841 resultados para International law|International relations
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During the 1980's and for much of the 1990's, many countries in the Asia Pacific were renowned for their economic development and prosperity. The Asian tigers were a source of great interest for many economists and international investors. The 1997 Asian financial crisis, however, dramatically altered the growth and the performance of these economies. The crisis sent several ofAsia's best performing economies on a downward spiral from which many have yet to fully recover. The crisis exposed the financial and the political weaknesses ofmany countries in the region. Moreover, the crisis severely affected the wellbeing and the security ofmany ofthe region's citizens. This text will examine the economic crisis in greater detail and explore current debates in the study of international relations theory. More specifically, this paper will examine recent challenges posed to traditional international relations theory and address alternative approaches to this field of study. This paper will examine Critical theory and its role in shifting the referent object of security from the state to the individual. In this context, this paper will also assess Critical theory's role in enabling such issues as gender and human security to find a place on the agendas of international relations scholars and foreign policy makers. The central focus ofthis study will be the financial crisis and its impact on human security in the Southeast Asia. Furthermore, this paper will assess the recovery efforts ofthe domestic governments, international organizations and various Canadian sponsored initiatives in the context ofhuman security.
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There has been and will continue to be substantial debate over how the international system can best be characterized. The objective of this paper is to demonstrate that the international system can best be characterized by the essential features of realism, but the use of realist policy prescriptions are inadequate when applied independently to deal with the threat of terrorism as it exists today. In order to demonstrate this an examination of realism in the international system, U.S. foreign policy, and case analysis of Afghanistan and Iraq will be undertaken to demonstrate that although realist policy prescriptions do have a role in dealing with modem transnational security threats, these prescriptions on their own are inadequate when dealing with terrorism.
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Please consult the paper edition of this thesis to read. It is available on the 5th Floor of the Library at Call Number: Z 9999 P65 D53 2007
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Brian Job, Professor, Department of Political Science, University of British Columbia, Director, Center of International Relations. Présentation dans le cadre du cycle de conférences organisé par le CRDP intitulé « Le droit à la sécurité ... la sécurité par le droit ».
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Ce mémoire part du constat que l’histoire et, a fortiori, la mémoire ont été largement sollicitées par le discours officiel français au moment et au lendemain de la réunification allemande. La fin définitive de l’après-guerre et le retour à la souveraineté diplomatique de l’Allemagne suscitent en France des questions qui inquiètent – en raison notamment du souvenir de l’histoire – et raniment la volonté d’encadrer la puissance allemande dans la communauté européenne. Pour comprendre le rôle que la mémoire a pu tenir dans la diplomatie française, l’étude tente d’analyser l’usage que les responsables français ont fait du passé en tant qu’instrument de la politique étrangère et le poids qu’il a représenté dans la vision française de l’unification allemande. Ce mémoire démontre que l’entendement du passé se conforme, sous toutes ses expressions, à la politique européenne de la France. Il atteste également que la France se saisit de ce moment charnière pour structurer un espace européen qui fait écho aux principes universalistes issus de la Révolution française, lesquels doivent être désormais portés par le binôme franco-allemand. L’invention de la tradition et l’usage métaphorique du passé répondent d’une préoccupation politique de réconciliation franco-allemande et accompagnent la mise en place d’un patriotisme historique sur lequel pourront s’établir les identités civique et juridique européennes. La mémoire officielle, qui est entièrement orientée vers la promotion et la justification de l’avenir communautaire, dénature certaines données historiques de manière à exorciser le présent d’un passé encombrant. Les limites de la mémoire officielle se trouvent donc dans cette représentation d’un passé aseptisé; un passé n’étant pas une finalité, mais un moyen déférant à l’intérêt national.
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Deux décennies après la chute de l'URSS (1991), ce mémoire propose une réévaluation de la thèse de Francis Fukuyama sur la Fin de l'Histoire, élaborée en 1989, qui postule qu'avec la chute de l'URSS aucune idéologie ne peut rivaliser avec la démocratie libérale capitaliste; et de la thèse de Samuel P. Huntington sur le Choc des civilisations, élaborée en 1993, qui pose l'existence d'un nombre fini de civilisations homogènes et antagonistes. Pourtant, lorsque confrontées à une étude approfondie des séquences historiques, ces deux théories apparaissent pour le moins relatives. Deux questions ont été traitées: l'interaction entre Idéologie et Conditions historiques, et la thèse de l'homogénéité intracivilisationnelle et de l'hétérogénéité antagoniste intercivilisationnelle. Sans les invalider complètement, cette recherche conclut toutefois que ces deux théories doivent être nuancées; elles se situent aux deux extrémités du spectre des relations internationales. La recherche effectuée a montré que les idéologies et leur poids relatif sont tributaires d'un contexte, contrairement à Fukuyama qui les pose dans l'absolu. De plus, l'étude de la Chine maoïste et particulièrement de la pensée de Mao Zedong montre que les traditions politiques locales sont plus hétérogènes qu'il n'y paraît au premier abord, ce qui relativise la thèse de Huntington. En conclusion, les rapports entre États sont plus dynamiques que ne le laissent penser les thèses de Fukuyama et de Huntington.
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Ce mémoire vise à comprendre les motivations des États à intervenir militairement dans un autre État pour mettre fin aux violations graves des droits de l’homme tel que le nettoyage ethnique et le génocide. Plus précisément, nous cherchons à comprendre pourquoi il y a eu une variation dans la position américaine face aux cas de génocide au Rwanda en 1994, au Kosovo en 1999 et au Darfour de 2003 à 2008. À partir d’une approche réaliste en Relations Internationales qui met l’accent sur l’intérêt national égoïste comme facteur principal explicatif du comportement des États, nous procédons à l’étude des cas de la position américaine lors de trois crises humanitaires. Plus précisément, nous cherchons à comprendre la non intervention des États-Unis lors du génocide des Tutsis au Rwanda en 1994, l’intervention américaine au Kosovo en 1999, et enfin la non intervention américaine au Darfour de 2003 à 2008. En somme, nos études de cas démontrent que c’est l’intérêt national qui motive les États d’intervenir ou de ne pas intervenir lors des cas de nettoyage ethnique ou de génocide. D’une part, lors du génocide des Tutsis au Rwanda en 1994, les États-Unis ne sont pas intervenus car l’intérêt national interprété comme le repli sur les affaires internes américaines ne serait pas maximisé par l’intervention militaire. Ensuite, l’intervention des États-Unis et de l’OTAN au Kosovo en 1999 est expliquée par l’intérêt national américain dans un contexte de l’après guerre froide d’approfondir son engagement sécuritaire en Europe et de préserver sa position hégémonique et son prestige sur la scène internationale, d’assurer la stabilité régionale et de préserver la crédibilité de l’OTAN. Finalement, l’intérêt national défini en termes de sécurité dans un contexte de la guerre au terrorisme explique la non intervention américaine au Darfour de 2003 à 2008.
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Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal
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Mémoire de maîtrise utilisant les archives trouvées aux Archives Nationales de France ( AN section Paris), aux archives du Ministère des Affaires étrangères de France (AMAE) et celles du fond d'archives Colonna Walewski (ACW).
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En 1939, la France et la Grande-Bretagne réalisent que, pour arrêter les agressions d’Hitler en Europe, il va leur falloir constituer un front commun. Cette recherche d’alliés les mène à courtiser l’Union soviétique. Malgré plus de quatre mois de négociations anglo-franco-soviétiques, aucune entente n’intervient entre les parties. Cet échec est d’autant plus douloureux que le 23 août un pacte de non-agression est signé entre Berlin et Moscou et, qu’une semaine plus tard, l’Allemagne envahit la Pologne. La Seconde Guerre mondiale est commencée. Depuis les années 1990, plusieurs historiens ont affirmé que l’historiographie occidentale concernant l’échec des négociations tripartites de 1939 a été influencée par la propagande de la Guerre froide et qu’elle avait propagé l’idée que les Soviétiques n’avaient jamais eu l’intention de s’allier avec l’Entente. Toutefois, après l’analyse des études publiées entre 1961 et 2011 par les historiens français et britanniques, ce mémoire démontre que, depuis 1961, en Grande-Bretagne et en France, l’interprétation du rôle de l’Union soviétique dans cet échec est beaucoup plus libre d’aprioris idéologiques qu’on pourrait le croire. La publication de l’ouvrage d’A.J.P. Taylor, The Origins of the Second World War, et la controverse qu’il va causer ont radicalement modifié la nature du débat et permis l’ascendant de thèses en tous points semblables à celles qui ont cours en Occident depuis le démantèlement de l’Union soviétique. Celles-ci soutiennent que les dirigeants soviétiques ont priorisé une alliance avec l’Entente au moins jusqu’à la fin du mois de juillet et que ce sont les politiques étrangères de la France et, plus particulièrement, de la Grande-Bretagne, qui ont causé l’échec des négociations tripartites de 1939.
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Die Arbeit analysiert die Gründe, die erst zur Golfkrise führten und dann zum darauf folgenden Golfkrieg. Es geht diesbezüglich darum festzustellen, ob die damalige US Regierung unter George Bush, die Invasion Kuwaits zum Ausbau der US-amerikanischen Hegemonie nicht nur in der Golfregion ausnutzte, sondern ob sie die Invasion begünstigte oder sogar provozierte, um als Hegemon in den internationalen Beziehungen herrschen zu können. Aus Sicht der internationalen Mächte Konstellation ergab sich 1990, nach dem Fall der Berliner Mauer (1989) und letztendlich mit der Disintegration der Sowjet Union 1991, für die USA die Gelegenheit ohne großes realpolitisches Risiko einen Krieg in einer Region zu entfachen, mit dem sie als Sieger sich die Rohstoffe (Ö l, 2/3 der bekannten Welt Ö lreserven, ect) der Golfregion aneignen könnten. Ferner würde eine Dominanz über diese Region, die als geostrategisch äuß erst wichtig gilt ihren Status als Hegemon weiter ausbauen. Um die Entwicklung der US Hegemonie zu eruieren werden kurz weitere Stationen, nach dem Golfkrieg 1991, durchleuchtet: wie z.B. der Kosovo-Krieg 1999, der 11.9.2001, der Afghanistan Krieg 2001 & der 3. Golfkrieg der USA 2003. Theoretisch wird vor allem die Hegemonietheorie auf ihre Stärken und ggf. Schwächen, in Bezug auf den 2. Golfkrieg untersucht, um zu sehen ob sie nicht nur eine Erklärung für den Krieg abgeben kann, sondern auch ob sie den weiteren Verlauf der US Auß enpolitik eruieren kann. Der empirische Teil besteht größt enteils aus der diplomatischen Geschichte zwischen den Hauptakteuren Irak, USA, Kuwait, ect. Ö konomische Aspekte kommen vor allem bei der Analyse über die Auswirkung der damaligen (US) Rezession von 1990 zu Geltung und in wiefern diese die Golfkrise und den drauf folgenden Krieg beeinfluß ten. Gegen Ende der Arbeit werden die theoretischen und die empirischen Daten nochmals auf ihre Koherenz untersucht, um ein in sich geschlossenes Gesamtbild des 2. Golfkriegs und die darauf folgende US Auß enpolitik abzugeben.
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The paper introduces research on transatlantic relations done by neo-Gramscian authors. This research is distinctive by focusing on class in international relations and by using the concept of hegemony in a relational sense. Hegemony is leadership through the active consent of other classes and groups. A central question of this neo-Gramscian research is whether an international class of capitalists has emerged. Some authors have answered in the positive. This paper, however, maintains that hegemony in the international realm is still exercised by the American state, though its foreign economic policies have been greatly influenced by internationally-oriented corporations and that these actors have increasingly found allies among economic elites in other countries. The paper explores the relationship between hegemony by the American state and by internationally-oriented capital groups against the backdrop of transatlantic relations in the post-war period and the currrent debate on labor rights in international trade agreements.
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En África existe un fuerte legado colonial, el cual ha permeado la política y las Relaciones Internacionales de los países de este continente. La relación entre el Estado nigeriano y las Petroleras Occidentales evidencia dicha herencia: del mismo modo demuestra cómo la Ideología del Desarrollo Occidental obstaculiza el alcance de un desarrollo real en Nigeria, y en específico, en el Delta del Níger.
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A partir de las Pasiones, fundamento sociológico de las Relaciones Internaciones en un Prejuicio a la Racionalidad del teórico Marcel Merle; se analizó como la Reunificación Alemana es un factor a destacar, en el análisis del desarrollo de la xenofobia en los nuevos estados federados alemanes (nuevos Länder). De tal forma, se empleó un análisis holístico en el estudio de la nueva realidad social de los nuevos estados tras la transición del sistema socialista al capitalista, haciéndose énfasis en los principales factores políticos, económicos, sociales y culturales. La nueva realidad social en los nuevos estados está marcada por el descontento de su población, en donde son los jóvenes los más afectados y quienes resultan ser los perdedores del capitalismo. La preocupación obedece al desequilibrio en términos económicos entre la parte oriental alemana y la occidental. Esta situación crea un ambiente propicio para que el discurso de la extrema derecha alemana sea aceptado, este discurso se convierte en herramienta política de los partidos políticos y grupos neonazis; la discursiva de extrema derecha contiene un trasfondo ideológico ultranacionalista, que justifica los comportamientos de sus seguidores. Estas influencias desencadenan violencia contra las minorías, dentro de las cuales se encuentran los inmigrantes. Es especialmente en los nuevos estados federados alemanes en donde los actos violentos contra extranjeros han aumentado, estas acciones obedecen a un trasfondo xenófobo.