938 resultados para Bogue family ( William Bogue, d. 1720 or 1)


Relevância:

100.00% 100.00%

Publicador:

Resumo:

Grounded on the resource-based view of the firm, the study of this thesis investigates the effect of four internal and external factors engineer intensity, location, affiliation with the government, government funding on Chinese firms decision to either invest in internal R&D activities or external R&D and the effect of this decision on the firms international market success. In addition, the moderating role of the presence of foreign firms in China is examined. To understand these relationships, the thesis theorization focuses on the issue of how firms can combine optimally the two options internal R&D and external R&D. In this regard I juxtapose internal R&D and external R&D and compare their advantages and disadvantages. To test my model, I apply panel data from the Annual Industrial Survey Database provided by the Chinese National Bureau of Statistics. My results show that three of the four investigated factors affect Chinese firms resource allocation decisions; and effective resource allocation decisions lead effectively to international market success, strengthened by the presence of foreign firms in China. Moreover the findings bear several theoretical and managerial contributions. First I propose the last dimension of the VRIO framework organization as an endogenous component of the VRIO framework, as my study investigated how firms can effectively combine resources to generate a competitive advantage in terms of international market success. Previous academic literature so far focused on examining whether internal and external R&D are complements or substitutes. My study fills a gap in the literature by investigating the determinants of the efficient combination of the two strategies and the outcome of the combination. One of the managerial implications is that Chinese firms can learn from foreign companies that are present in China.

Relevância:

100.00% 100.00%

Publicador:

Resumo:

Muster roll (1 page, handwritten) of the Royal Quebec Volunteers of Company no. 3 with Captain W. Power, Lieutenant J.P. Bradley and Ensign C. Allegn, n.d.

Relevância:

100.00% 100.00%

Publicador:

Resumo:

Affiliation: J. O'Loughlin: Department of Social and Preventive Medicine, Centre de recherche CHUM, Universit de Montral

Relevância:

100.00% 100.00%

Publicador:

Resumo:

Nous nous sommes intresss lanalyse et la mise jour dune typologie de laide reue par les personnes ges de 65 ans et plus vivant domicile. Cette tude secondaire sest base sur les donnes recueuillies dans deux milieux francophones, Hochelaga-Maisonneuve (HM) et Moncton (MCT). La collecte de donnes avait t faite par lentremise dun questionnaire administr par entrevue face face. Les deux objectifs, de cette thse sont : 1) tablir une typologie des rseaux daide, rsultant de la combinaison des sources daide et des tches accomplies ; 2) Identifier les principaux dterminants dappartenance aux rseaux. La typologie obtenue met en relation les ressources, formelles ou informelles, utilises par les personnes ges et laide instrumentale reue. La capacit ou lincapacit effectuer neuf activits de la vie quotidienne et huit de la vie domestique ont servi valuer laide reue. Six ressources formelles et dix informelles ont t examines selon quelles taient les 1res, 2imes ou 3imes sources daide utilises par les personnes ges. Lapproche privilgie sest inspire de celle des rseaux sociaux et du modle de Pescosolido. Cest linfluence des caractristiques sociodmographiques des personnes ges, de leurs tats de sant, de leurs habitudes de vie sur leurs rseaux qui nous ont intresss. Les rsultats sont prsents chaque fois pour nos deux milieux sparment. Nous commenons par un descriptif des sources daide utilises et des aides reues. Puis les profils des sources daide utilises et des activits accomplies sont exposs pour lensemble des personnes ges. Ces profils servent de base pour obtenir notre typologie. Elle comprend cinq catgories. Ces catgories sont toutes composes de personnes ges faisant appel de laide formelle, informelle ou mixte pour accomplir des tches uniques ou multiples. La premire catgorie Transitoire , comprend 39% (HM) et 46% (MCT) des personnes ges qui dbute un processus dincapacit. Elles font appel des ressources informelles pour accomplir une tche unique. La deuxime catgorie Personnes ges seules en rassemble 14% (HM et MCT), majoritairement des femmes, avec peu dincapacits. Ces dernires utilisent de laide formelle pour une tche unique. La troisime catgorie Familiale regroupe 12% (HM et MCT) des personnes ges bien entoures qui ont plusieurs incapacits. Ces gens font appel des sources daide informelles pour raliser des tches multiples. La quatrime catgorie Trs fragile rassemble 30% (HM) et 25% (MCT) des personnes ges peu entoures ayant beaucoup dincapacits. Elles utilisent des ressources daide mixtes pour effectuer des tches multiples. La cinquime catgorie Pr institutionnel comprend 4% (HM et MCT) des personnes ges qui ont le plus dincapacits et qui sont seules. Ces gens font appel de laide formelle pour des tches multiples. Les dterminants dappartenance ces catgories proviennent des blocs sociodmographiques, tat de sant et rseaux sociaux de notre modle thorique. Une des contributions importantes de cette thse a t de pouvoir identifier cinq catgories bien distinctes composant une typologie de laide reue, indpendamment du milieu, par des personnes ges vivant domicile. MOTS CLS : Typologie, rseaux sociaux, personnes ges, services de soins, formels, informels, aides reues, sources daide, incapacits, dterminants dappartenance, fragilit

Relevância:

100.00% 100.00%

Publicador:

Resumo:

Les phospholipases A2 scrtes (sPLA2) font partie dune grande famille denzymes impliques dans la synthse dcosanodes, de chimiokines et dans lexpression de molcules dadhrence. Ce groupe comprend dix isoformes diffrentes (sPLA2-IB, -IIA, -IIC, -IID, -IIE, -IIF, -III, -V, -X et XII) dont la majorit sont surexprimes en prsence de molcules pro-inflammatoires telles que linterleukine-1 (IL-1 ) et le lipopolysaccharide bactrien (LPS). La sPLA2-IIA fut longtemps considre comme la principale sPLA2 associe linflammation. Toutefois, un nombre grandissant dtudes suggre limplication dautres isoformes dans la rponse inflammatoire. tant donn la similarit structurelle des diffrentes isoformes de sPLA2, la majorit des inhibiteurs prsentement disponibles sont non spcifiques et bloquent simultanment plus dune sPLA2. De ce fait, encore peu de choses sont connues quant au rle prcis de chacune des sPLA2 dans la rponse inflammatoire. Ayant accs des souris gntiquement modifies nexprimant pas la sPLA2-V (sPLA2-V-/-), nous avons donc investigu le rle spcifique de la sPLA2-V dans le recrutement leucocytaire induit par le LPS, ainsi que sa capacit moduler lexpression de certaines molcules dadhrence. Pour ce faire, nous avons utilis le modle inflammatoire de la poche dair sous-cutane. Ladministration de LPS dans la poche dair de souris contrles (WT) entrane un recrutement leucocytaire important. Cet appel de cellules inflammatoires est cependant significativement diminu chez les souris sPLA2-V-/-. De plus, lexpression des molcules dadhrence VCAM-1 et ICAM-1 est galement diminue chez les souris sPLA2-V-/- comparativement aux souris WT. Nos rsultats dmontrent donc le rle important de la sPLA2-V dans le recrutement leucocytaire et lexpression de molcules dadhrence induits par le LPS, confirmant ainsi limplication de cette enzyme dans le processus inflammatoire.

Relevância:

100.00% 100.00%

Publicador:

Resumo:

Le cancer du sein (CS) est la deuxime cause de dcs lis au cancer parmi les femmes dans la plupart des pays industrialiss. Les personnes qui ont le CS peuvent ne pas hriter des mutations causant le cancer de leurs parents. Ainsi, certaines cellules subissent des mutations qui mnent au cancer. Dans le cas de cancer hrditaire, les cellules tumorales contiennent gnralement des mutations qui ne sont pas trouves ailleurs dans l'organisme, mais peuvent maintenir des mutations qui vont rpartir dans toutes les cellules. La gense du CS est le rsultat des mutations de gnes qui assurent la rgulation de la prolifration cellulaire et la rparation de lADN. Deux gnes semblent particulirement concerns par les mutations. Les gnes Breast Cancer 1 (BRCA1) et Breast Cancer 2 (BRCA2), sont impliqus dans la prdisposition gntique de CS. On estime que 5-10% des cas de cancer du sein sont attribuables une prdisposition gntique. La plupart de ces cancers sont lis une anomalie du gne BRCA1 ou BRCA2. Plusieurs tudes ont t menes chez les femmes atteintes de CS sporadique et quelques tudes se sont concentres sur celles qui sont porteuses de mutations de BRCA. Alors, notre recherche a t entreprise afin de vrifier lhypothse dune association entre le CS, le mode vie et les habitudes alimentaires chez les Canadiennes-franaises non porteuses des 6 mutations de BRCA les plus frquentes parmi cette population. Nous avons men une tude cas-tmoins dans cette population. Quelque 280 femmes atteintes du cancer du sein et non-porteuses de mutations de BRCA, ont t recrutes en tant que cas. Les tmoins taient recruts parmi les membres de la famille des cas (n=15) ou partir d'autres familles atteintes de CS (n=265). Les participantes taient de tous ges, recrutes partir dune tude de cohorte qui est actuellement en cours, mene par une quipe de chercheurs au Centre Hospitalier Universitaire de Montral (CHUM) Htel-Dieu Montral. Les apports alimentaires ont t recueillis par un questionnaire de frquence semi-quantitatif valid et administr par une nutritionniste, qui portait sur la priode avant les deux ans prcdant le premier diagnostic de CS pour les cas et la priode avant les deux ans prcdant lentrevue tlphonique pour les tmoins. Un questionnaire de base tait administr par linfirmire de recherche aux participantes afin de colliger des renseignements sociodmographiques et sur les facteurs de risque du CS. Une association positive et significative a t dtecte entre lge (plus de 50 ans) auquel les sujets avaient atteint leur Indice de Masse Corporel (IMC) le plus lev et le CS rapport de cotes (OR) =2,83; intervalle de confiance 95% (IC95%) (2,34-2,91). De plus, une association positive a t dtecte entre un gain de poids de >34 lbs comparativement un gain de poids de 15 lbs, ds lge de 20 ans OR=1,68; IC95% (1,10-2,58). Un gain de poids de >24 lbs comparativement un gain de poids de 9 lbs, ds lge de 30 ans a aussi montr une augmentation de risque de CS OR=1,96; IC95% (1,46-3,06). Une association positive a aussi t dtect entre, un gain de poids de >12 lbs comparativement un gain de poids de 1 lb, ds lge de 40 ans OR=1,91; IC95% (1,53-2,66). Concernant le tabagisme, nous avons observ une association positive et significative relie la consommation de plus de 9 paquets-annes OR = 1,59; IC95% (1,57-2,87). Il fut suggr que lactivit physique modr confre une protection contre le CS: une pratique de > 24,8 (metabolic equivalent) MET-hrs par semaine par rapport 10,7 MET-hrs par semaine, diminue le risque du CS de 52% OR = 0,48 ; IC95% (0,31-0,74). Lactivit physique totale (entre 16,2 et 33,2 MET-hrs par semaine), a aussi montr une rduction de risque de CS de 43% OR = 0,57 ; IC95% (0,37-0,87). Toutefois, il n'y avait aucune association entre une activit physique vigoureuse et le risque de CS. Lanalyse portant sur les macro- et micro-nutriments et les groupes alimentaires a montr quun apport en nergie totale de plus de 2057 Kcal par jour augmentait le risque de CS de 2,5 fois OR = 2,54; IC95% (1,67-3,84). En ce qui concerne la consommation de caf, les participantes qui buvaient plus de 8 tasses de caf par jour avaient un risque de CS augment de 40% OR = 1,40; IC95% (1,09-2,24). Les sujets ayant une consommation dpassant 9 g dalcool (thanol) par jour avaient galement un risque lev de 55% OR = 1,55; IC95% (1,02-2,37). De plus, une association positive et significative a t dtecte entre le CS et la consommation de plus de deux bouteilles de bire par semaine OR = 1,34; IC95% (1,28-2,11), 10 onces de vin par semaine OR = 1,16; IC95% (1,08-2,58) ou 6 onces de spiritueux par semaine OR = 1,09; IC95% (1,02-2,08), respectivement. En rsum, les rsultats de cette recherche supportent lhypothse selon laquelle le mode de vie et les habitudes alimentaires jouent un rle important dans ltiologie de CS chez les Canadiennes-franaises non porteuses de mutations de BRCA. Les rsultats nous permettent de constater que le gain de poids et le tabagisme sont lis des risques levs de CS, tandis que l'activit physique modre aide rduire ce risque. De plus, nos rsultats suggrent quun apport nergtique total relativement lev et une consommation leve de caf et d'alcool peuvent accrotre le risque de ce cancer. Ce travail a permis de mettre laccent sur une nouvelle direction de recherche, jusqu' prsent non investigue. Les rsultats de ce travail de recherche pourraient contribuer recueillir de nouvelles informations et des conseils pouvant influencer et aider la population modifier son mode de vie et ses habitudes alimentaires afin de diminuer le risque de cancer du sein.

Relevância:

100.00% 100.00%

Publicador:

Resumo:

Le diabte maternel est un facteur de risque majeur pour le dveloppement de malformations congnitales. Dans le syndrome de lembryopathie diabtique, lexposition prolonge du ftus de hautes concentrations ambientes de glucose induit des dommages qui peuvent affecter plusieurs organes, dont les reins. Les malformations rnales sont la cause de prs de 40 pourcent des cas dinsuffisance rnale infantile. Lhyperglycmie constitue un environnement utrin adverse qui nuit la nphrogense et peut causer lagense, la dysplasie (aplasie) ou lhypoplasie rnale. Les mcanismes molculaires par lesquels les hautes concentrations ambientes de glucose mnent la dysmorphogense et aux malformations demeurent toutefois mal dfinis. Le diabte maternel prdispose aussi la progniture au dveloppement dautres problmes lge adulte, tels lhypertension, lobsit et le diabte de type 2. Ce phnomne appel programmation prinatale a suscit lintrt au cours des dernires dcennies, mais les mcanismes responsables demeurent mal compris. Mes tudes doctorales visaient lucider les mcanismes molculaires par lesquels le diabte maternel ou un environnement in utero hyperglycmique affecte la nphrogense et programme par la suite la progniture a dvelopper de lhypertension par des observations in vitro, ex vivo et in vivo. Nous avons utilis les cellules MK4, des cellules embryonnaires du msenchyme mtanphrique de souris, pour nos tudes in vitro et deux lignes de souris transgniques (Tg) pour nos tudes ex vivo et in vivo, soient les souris HoxB7-GFP-Tg et Nephrin-CFP-Tg. Les souris HoxB7-GFP-Tg expriment la protine fluorescente verte (GFP) dans le bourgeon urtrique (UB), sous le contrle du promoteur HoxB7. Les souris Nephrin-CFP expriment la protine fluorescente cyan (CFP) dans les glomrules, sous le contrle du promoteur nephrin spcifique aux podocytes. Nos tudes in vitro visaient dterminer si les hautes concentrations de glucose modulent lexpression du gne Pax2 dans les cellules MK4. Les cellules MK4 ont t traites pendant 24h avec du milieu contenant soit 5mM D-glucose et 20mM D-mannitol ou 25mM D-glucose et avec ou sans antioxydants ou inhibiteurs de p38 MAPK, p44/42 MAPK, PKC et NF-kB. Nos rsultats ont dmontr que le D-glucose lev (25mM) augmente la gnration des espces ractives de loxygne (ROS) dans les cellules MK4 et induit spcifiquement lexpression du gne Pax2. Des analogues du glucose tels le D-mannitol, L-glucose ou le 2-Deoxy-D-glucose ninduisent pas cette augmentation dans les cellules MK4. La stimulation de lexpression du gne Pax2 par le D-glucose dans les cellules MK4 peut tre bloque par des inhibiteurs des ROS et de NF-kB, mais pas par des inhibiteurs de p38 MAPK, p44/42 MAPK ou PKC. Ces rsultats indiquent que la stimulation de lexpression du gne Pax2 par les concentrations leves de glucose est due, au moins en partie, la gnration des ROS et lactivation de la voie de signalisation NF-kB, et non pas via les voies PKC, p38 MAPK et p44/42 MAPK. Nos tudes ex vivo sintressaient aux effets dun milieu hyperglycmique sur la morphogense de la ramification du bourgeon urtrique (UB). Des explants de reins embryonnaires (E12 E18) ont t prlevs par micro-dissection de femelles HoxB7-GFP gestantes. Les explants ont ensuite t cultivs dans un milieu contenant soit 5mM D-glucose et 20mM D-mannitol ou 25mM D-glucose et avec ou sans antioxydants, catalase ou inhibiteur de PI3K/AKT pour diverses dures. Nos rsultats ont dmontr que le D-glucose stimule la ramification du UB de manire spcifique, et ce via lexpression du gne Pax2. Cette augmentation de la ramification et de lexpression du gne Pax2 peut tre bloque par des inhibiteurs des ROS et de PI3K/AKT. Ces tudes ont dmontr que les hautes concentrations de glucose altrent la morphogense de la ramification du UB via lexpression de Pax2. Leffet stimulant du glucose semble seffectuer via la gnration des ROS et lactivation de la voie de signalisation Akt. Nos tudes in vivo visaient dterminer le rle fondamental du diabte maternel sur les dfauts de morphogense rnale chez la progniture. Dans notre modle animal, le diabte maternel est induit par le streptozotocin (STZ) chez des femelles HoxB7-GFP gestantes (E13). Les souriceaux ont t tudis diffrents ges (naissants et gs de une, deux ou trois semaines). Nous avons examin leurs morphologie rnale, nombre de nphrons, expression gnique et les vnements apoptotiques lors de cette tude court terme. La progniture des mres diabtiques avait un plus faible poids, taille et poids des reins, et possdait des glomrules plus petits et moins de nphrons par rapport la progniture des mres contrles. La dysmorphogense rnale observe est peut-tre cause par laugmentation de lapoptose des cellules dans la rgion du glomrule. Nos rsultats ont montr que les souriceaux ns de mres diabtiques possdent plus de podocytes apoptotiques et plus de marquage contre la caspase-3 active dans leurs tubules rnaux que la progniture des mres contrles. Les souriceaux des mres diabtiques montrent une augmentation de lexpression des composants du systme rnine angiotensine (RAS) intrarnal comme langiotensinogne et la rnine, ainsi quune augmentation des isoformes p50 et p65 de NF-kB. Ces rsultats indiquent que le diabte maternel active le RAS intrarnal et induit lapoptose des glomrules, menant une altration de la morphogense rnale de la progniture. En conclusion, nos tudes ont permis de dmontrer que le glucose lev ou lenvironnement in utero diabtique altre la morphogense du UB, qui rsulte en un retard dans la nphrogense et produit des reins plus petits. Cet effet est d, au moins en partie, la gnration des ROS, lactivation du RAS intrarnal et la voie NF-kB. Nos tudes futures se concentreront sur les mcanismes par lesquels le diabte maternel induit la programmation prinatale de lhypertension chez la progniture adulte. Cette tude long terme porte sur trois types de prognitures : adultes ns de mres contrles, diabtiques ou diabtiques traites avec insuline pendant la gestation. Nous observerons la pression systolique, la morphologie rnale et lexpression de divers gnes et protines. Nous voulons de plus dterminer si la prsence dun systme antioxydant (catalase) peut protger la progniture des effets nfastes des ROS causs par lenvironnement in utero hyperglycmique. Les souris Catalase-Tg expriment la catalase spcifiquement dans les tubules proximaux et nous permettrons dexplorer notre hypothse sur le rle des ROS dans notre modle exprimental de diabte maternel.

Relevância:

100.00% 100.00%

Publicador:

Resumo:

La baisse de plus en plus marque de lge au premier rapport sexuel et laugmentation de lge au premier mariage impliquent une dure plus longue dexposition au risque des grossesses prnuptiales et aux infections sexuellement transmissibles incluant le VIH/sida. Cest pourquoi des interventions ont t mises en place en vue de protger la sant des adolescents et jeunes. LObservatoire de Population en pidmiologie Socio-Clinique (POSE) conu et mis sur pied au Cameroun depuis 1995, a fait de la sant des adolescents et jeunes une de ses priorits de sant publique en Afrique travers le programme de promotion de la sant reproductive des adolescents et jeunes au Cameroun (CAREH). Le Programme CAREH mne des activits dintervention dans la prfecture de Bandjoun depuis juillet 2000, et dans plusieurs autres rgions du Cameroun depuis 2003. Cette thse vise valuer certains aspects de cette intervention, en examinant dans quelle mesure entre 2000 et 2002, les activits dintervention menes auraient contribu : 1) au report plus tard du premier rapport sexuel chez les adolescents de 10 20 ans ; 2) la prvention des grossesses non dsires chez les jeunes de 10 29 ans ; et 3) la prvention de linfection VIH chez les jeunes de 10 29 ans. Les donnes proviennent de lEnqute sur la Famille et la Sant au Cameroun (EFSC), mene Bandjoun en 2002. Un devis post-intervention a t utilis aprs stratification des adolescents et jeunes en quatre groupes savoir : jeunes exposs lintervention en milieu communautaire, jeunes exposs lintervention en milieu scolaire, jeunes non scolariss non-exposs lintervention et jeunes scolariss non-exposs lintervention. Les analyses descriptives et les analyses multivaries utilisant la rgression logistique ont t utilises pour examiner les associations prsumes entre les variables dintervention et les variables dpendantes considres par rapport aux hypothses de recherche mises. Nos analyses suggrent que les adolescents scolariss qui navaient pas dclar avoir t exposs lintervention (RC = 1,973 ; IC =1,195-3,260) sont plus ports avoir une perception ngative de la sexualit prmaritale, que les adolescents non scolariss nayant pas dclar avoir t exposs aux activits dintervention. Il ny avait cependant pas de report significatif du premier rapport sexuel dans les groupes dadolescents exposs lintervention par rapport ceux non-exposs. Les connaissances sur la prvention des grossesses sont significativement plus leves chez les jeunes scolariss non-exposs (RC=1,953; IC=1,452 2,627), jeunes exposs lintervention en milieu communautaire (RC = 3,074 ; IC = 2,157 - 4,382) et les jeunes exposs lintervention en milieu scolaire (RC = 4,962 ; IC = 3,367 - 7,311) que chez les jeunes non scolariss nayant pas dclar avoir t exposs aux activits dintervention. Il ny a aucune diffrence statistiquement significative entre ces diffrents groupes quant lutilisation de la contraception moderne. La discussion sur la prvention des grossesses ou lutilisation de la contraception avec un formateur tait significativement associe une amlioration des connaissances en prvention de grossesses chez les jeunes exposs lintervention en milieu scolaire (RC = 1,549 ; IC = 1,056 2,272), comparativement leurs camarades exposs aux activits dintervention en milieu communautaire sans avoir bnfici dune telle discussion. Les jeunes exposs lintervention en milieu communautaire (RC = 2,106 ; IC = 1,514 2,930) et ceux exposs lintervention en milieu scolaire (RC = 3,117 ; IC = 2,192 4,433) connaissent mieux les modes de prvention de linfection VIH que les jeunes scolariss mais nayant pas t exposs aux activits dintervention. Il ny avait toutefois pas de diffrences entre les groupes quant lutilisation du condom. Ces conclusions sont interprtables dans les limites des donnes disponibles. En effet, il na pas t possible de dterminer les niveaux de connaissances en prvention de grossesses ou du VIH avant lexposition des jeunes lintervention. Ainsi, chez les jeunes exposs en milieu communautaire ou scolaire, on ne peut savoir quel aurait t leur niveau de connaissance en labsence de lintervention. Toutefois, il est trs probable que lintervention ait eu plus deffets bnfiques sur lamlioration des connaissances que des comportements.

Relevância:

100.00% 100.00%

Publicador:

Resumo:

Lobjectif de cette tude est de dterminer certains paramtres respiratoires et cardiovasculaires chez des sujets de tous ges pour utilisation, titre dintrants physiologiques, en modlisation toxicocintique et en analyse du risque toxique. La base de donnes utilise est tire de la littrature. Il sagit de mesures portant sur la dpense dnergie quotidienne de base et la dpense dnergie quotidienne de totale obtenues, lune par calorimtrie indirecte, lautre par double marquage isotopique des molcules deau. Selon le type dunit retenu, les valeurs les plus leves au 99e centile des taux quotidiens dinhalation sont obtenues chez des adolescentes et des femmes ges de 11 55 ans souffrant dembonpoint ou dobsit, durant leur 36e semaine de grossesse (47,31 m/jour), ainsi que chez des garons de poids corporel normal gs de 2,6 moins de 6 mois (1,138 m/kg-jour) et de 10 moins de 16,5 ans (22,29 m/m-jour). Chez les enfants et les adolescents de poids corporel normal gs de 5 moins de 16.5 ans, les valeurs pour lcart entre le 2,5e au 99e centile sont gnralement plus leves que celles obtenues chez les sujets plus gs : taux de ventilation minute, 0,132 0,774 L/kg-min ou 4,42 21,69 L/m-min versus 0,076 0,461 L/kg-min ou 2,80 16,99 L/m-min; taux de ventilation alvolaire, 0,093 0,553 L/kg-min ou 3,09 15,53 L/m-min versus 0,047 0,312 L/kg-min ou 1,73 11,63 L/m-min; dbit cardiaque, 0,065 0,330 L/kg-min ou 2,17 9,46 L/m-min versus 0,045 0,201 L/kg-min ou 1,63 7,24 L/m-min; ratio de ventilation-perfusion, 1,12 2,16 versus 0,78 2,40. Il faut conclure que les apports inhals en polluants, exprims en ug/kg-min ou ug/m-min sont plus levs chez les enfants que chez les sujets plus gs pour des concentrations dexposition comparables. Dautres donnes montrent quil en est de mme pour les apports inhals par unit de poids corporel chez les femmes enceintes et les femmes qui allaitent par rapport des sujets males dge comparable. Lensemble des rsultats obtenus suggre notamment que les valeurs des NOAELH de Sant Canada pourraient tre abaisses par un facteur de 2,6 par utilisation du 99e centile le plus lev des taux quotidiens dinhalation chez les enfants; le taux de ventilation minute de 20,83 L/min approxim pour une journe de travail de 8 heures peut tre considr comme tant conservateur ; par contre, lutilisation du taux quotidien dinhalation de 0,286 m/kg-jour (c.--d. 20 m/jour pour un adulte de poids corporel de 70 kg) est inapproprie en analyse et gestion du risque lorsquapplique lensemble de la population.

Relevância:

100.00% 100.00%

Publicador:

Resumo:

L'empathie est un mode motionnel qui associe le point de vue d'autrui des sensations physiologiques. Ce phnomne a tendance tre plus important envers certaines personnes qu'envers d'autres. Or, il existe parfois de bonnes raisons morales de promouvoir une empathie plus galitaire. Notre hypothse de psychologie morale est qu'il est possible d'utiliser l'imagination, et en particulier sa dimension volontaire et sa transparence aux motions, pour corriger certains biais empathiques.

Relevância:

100.00% 100.00%

Publicador:

Resumo:

Au cours d'une transaction portant sur une acceptation bancaire (ci-aprs BA tel que dnomme dans le jargon juridique) diffrents types de relations peuvent s'tablir entre les parties impliques, certaines plus directes que d'autres. Dans une transaction donne, part le client et la banque, on peut trouver une ou plusieurs banques participantes et un ou plusieurs investisseurs, qui deviennent dtenteurs de BA. La situation peut devenir complexe et les relations lgales risquent de devenir assez compliques. Cependant, il est important d'identifier si la relation s'est tablie travers l'instrument de BA, si elle existe par le biais d'une relation contractuelle ordinaire ou encore, si elle existe par le fait de la loi. Une bonne analyse des circonstances entourant la transaction, des facteurs connexes la transaction et des droits et obligations qui existent entre les parties, sera ncessaire pour dterminer laquelle de la loi provinciale ou fdrale s'appliquera, et dans quelle mesure. Une fois accorde, la BA est gouverne par la Loi sur les lettres de change. Toutes solutions apportes un problme qui implique des BA, doivent, en principe, respecter la nature inhrente de la BA en tant qu'effet de commerce, gouvern par la loi fdrale. En matire de BA, c'est, soit la Loi sur les lettres de change soit la Loi sur les lettres et billets de dpt (Depository Bills and Note Act) qui s'appliqueront l'acte. Comme il existe des lois fdrales applicables la BA, l'objet de notre tude est de dterminer si, et dans quelle circonstance la loi de la province, tel que le Code civil du Qubec, trouvera application et claircira dans certains cas la disposition contenue dans la Loi sur les lettres de change, notamment lorsque les dispositions de ladite loi sont silencieuses ou ambiges. La solution la plus simple serait d'appliquer la loi provinciale aux matires qui ne sont pas traites dans la loi, tant donn que les lois provinciales apportent souvent un complment la lgislation fdrale. Cependant, la Loi sur les lettres de change contient des dispositions spciales, tel que l'article 9 qui stipule : 9. Les rgles de la common law d'Angleterre, y compris en droit commercial, s'appliquent aux lettres, billets et chques dans la mesure de leur compatibilit avec les dispositions expresses de la prsente loi. Cette disposition a cre une certaine confusion relativement l'application du droit civil du Qubec en matire de Lettres de change. En effet, il existe un doute quant savoir si l'application de l'article 9 est une incorporation par rfrence qui exclue totalement l'application du droit civil. Cette question continue de se poser inexorablement dans la doctrine et la jurisprudence. Elle a en effet donn lieu une srie de thories quand au degr d'application de la common law en matire de lettres de change. Une revue de la jurisprudence dominante nous permet de conclure que les tribunaux ont accept l'application du droit provinciale dans certaines questions impliquant les lettres de change. La question essentielle traite lors de notre analyse est la suivante: lorsqu'un litige prend naissance dans une transaction de BA, quelle est la rgle qui devra s'appliquer? Quel sera le droit qui gouvernera les problmes mergeant dans une BA, celui du Code Civil du Qubec ou celui de la common law d'Angleterre? tant donne le nombre de cas qui sont ports devant les cours de justice en rapport avec des transactions de BA, comprendre quelle sera la loi applicable est d'une importance fondamentale. Pour rpondre cette question, nous commencerons par un examen de l'historique, du dveloppement et de l'volution de la BA. Afin de mieux comprendre la BA, nous dbuterons par un bref survol des origines de cet instrument juridique. Dans le deuxime chapitre, nous analyserons la nature et le caractre lgal de la BA. Cela constituera le cadre aux travers duquel nous pourrons identifier les rgles et les principes qui s'appliquent aux diffrents aspects de la transaction de BA. Le chapitre trois fera l'objet d'un examen dtaill des mcanismes de l'opration de BA tout en tudiant de prs les exigences imposes par la lgislation applicable. Aprs avoir examine l'aspect lgal de la BA, nous procderons au chapitre quatre, l'tude de l'applicabilit de la loi provinciale relativement certains aspects de la transaction de BA. A cet effet, nous examinerons les diffrentes approches de comprhension de la Loi sur les lettres de change et plus particulirement la problmatique rencontre l'article 9. Nous tudierons aussi l'application et l'interprtation de cette loi par les tribunaux du Qubec au cours du sicle dernier. Les juges et les juristes se sont penchs sur les sens qu'a voulu donner le lgislateur lorsqu'il a stipul dans l'article 9 Le rgles de la common law d'Angleterre, y compris en droit commercial, s appliquent aux lettres, billets et chques dans la mesure de leur compatibilit avec les dispositions expresses de la prsente loi . Cette section doit-elle tre applique la lettre, nous obligeant appliquer la common law d'Angleterre a chaque problme qui peut se poser en relation avec les lettres et les billets? Le Parlement a-t-il l'intention que cette disposition s'applique galement au Qubec, dont le droit priv est bas sur le systme du Code Civil? Notre tude portera sur les diffrentes approches d'interprtation qui offrent une diversit de solutions au problme pos par l'article 9. Finalement, compte tenu des nouveaux dveloppements lgislatifs, au chapitre cinq, nous proposons une mthode en vue de dterminer la loi applicable aux diffrents aspects de la transaction de BA. Notre analyse nous a conduit adopter la solution propose par la majorit des juristes, la diffrence que notre approche de l'article 9 est base sur des raisons de politique. Nous avons donc adopt la stricte dichotomie (en tant qu'effet ngociable d'une part, et d'une sorte de contrat et de proprit de l'autre) en prenant en compte les difficults inhrentes dterminer quand l'un finit et l'autre commence. En conclusion, selon notre opinion, il existe deux solutions. Premirement, il y a la possibilit que l'article 9 puisse tre cart. Dans ce cas, toutes les matires qui ne sont pas expressment voques dans la loi tomberont dans la comptence de la loi provinciale, comme c'est le cas dans d'autres types de lgislations fdrales. Dans ces situations, le droit civil du Qubec joue un rle suppltif dans les applications d'une loi fdrale au Qubec. Deuximement, modifier l'article 9 plutt que d'en carter son application offre une autre possibilit. Incorporer la large stricte dichotomie dans l'article 9 nous semble tre une solution prfrable. La disposition pourrait se lire comme suit: Les rgles de la common law d'Angleterre incluant le droit commercial dans la mesure ou elles ne sont pas incompatibles avec les dispositions expresses de la Loi, sappliquent aux lettres, billets, et chques au sens stricte. Pour plus de certitude, les lettres et les billets au sens strict, incluent la forme, la dlivrance et Imission des lettres, billets, et chques. Ce type de changement se rvlera tre un pas important dans le but de clarifier la loi et dterminer l'quilibre trouver entre l'application des lois fdrales et provinciales en matire de BA.

Relevância:

100.00% 100.00%

Publicador:

Resumo:

Contexte: Les facteurs de risque comportementaux, notamment linactivit physique, le comportement sdentaire, le tabagisme, la consommation dalcool et le surpoids sont les principales causes modifiables de maladies chroniques telles que le cancer, les maladies cardiovasculaires et le diabte. Ces facteurs de risque se manifestent galement de faon concomitante chez lindividu et entranent des risques accrus de morbidit et de mortalit. Bien que les facteurs de risque comportementaux aient t largement tudis, la distribution, les patrons dagrgation et les dterminants de multiples facteurs de risque comportementaux sont peu connus, surtout chez les enfants et les adolescents. Objectifs: Cette thse vise 1) dcrire la prvalence et les patrons dagrgation de multiples facteurs de risque comportementaux des maladies chroniques chez les enfants et adolescents canadiens; 2) explorer les corrlats individuels, sociaux et scolaires de multiples facteurs de risque comportementaux chez les enfants et adolescents canadiens; et 3) valuer, selon le modle conceptuel de ltude, linfluence longitudinale dun ensemble de variables distales (cest--dire des variables situes une distance intermdiaire des comportements risque) de type individuel (estime de soi, sentiment de russite), social (relations sociales, comportements des parents/pairs) et scolaire (engagement collectif la russite, comprhension des rgles), ainsi que de variables ultimes (cest--dire des variables situes une distance loigne des comportements risque) de type individuel (traits de personnalit, caractristiques dmographiques), social (caractristiques socio-conomiques des parents) et scolaire (type dcole, environnement favorable, climat disciplinaire) sur le taux doccurrence de multiples facteurs de risque comportementaux chez les enfants et adolescents canadiens. Mthodes: Des donnes transversales (n = 4724) partir du cycle 4 (2000-2001) de lEnqute longitudinale nationale sur les enfants et les jeunes (ELNEJ) ont t utilises pour dcrire la prvalence et les patrons dagrgation de multiples facteurs de risque comportementaux chez les jeunes canadiens gs de 10-17 ans. Lagrgation des facteurs de risque a t examine en utilisant une mthode du ratio de cas observs sur les cas attendus. La rgression logistique ordinale a t utilise pour explorer les corrlats de multiples facteurs de risque comportementaux dans un chantillon transversal (n = 1747) de jeunes canadiens gs de 10-15 ans du cycle 4 (2000-2001) de lELNEJ. Des donnes prospectives (n = 1135) partir des cycle 4 (2000-2001), cycle 5 (2002-2003) et cycle 6 (2004-2005) de lELNEJ ont t utilises pour valuer linfluence longitudinale des variables distales et ultimes (tel que dcrit ci-haut dans les objectifs) sur le taux doccurrence de multiples facteurs de risque comportementaux chez les jeunes canadiens gs de 10-15 ans; cette analyse a t effectue laide des modles de Poisson longitudinaux. Rsultats: Soixante-cinq pour cent des jeunes canadiens ont rapport avoir deux ou plus de facteurs de risque comportementaux, comparativement seulement 10% des jeunes avec aucun facteur de risque. Les facteurs de risque comportementaux se sont agrgs en de multiples combinaisons. Plus prcisment, loccurrence simultane des cinq facteurs de risque tait 120% plus leve chez les garons (ratio observ/attendu (O/E) = 2.20, intervalle de confiance (IC) 95%: 1.31-3.09) et 94% plus leve chez les filles (ratio O/E = 1.94, IC 95%: 1.24-2.64) quattendu. Lge (rapport de cotes (RC) = 1.95, IC 95%: 1.21-3.13), ayant un parent fumeur (RC = 1.49, IC 95%: 1.09-2.03), ayant rapport que la majorit/tous de ses pairs consommaient du tabac (RC = 7.31, IC 95%: 4.00-13.35) ou buvaient de lalcool (RC = 3.77, IC 95%: 2.18-6.53), et vivant dans une famille monoparentale (RC = 1.94, IC 95%: 1.31-2.88) ont t positivement associs aux multiples comportements risque. Les jeunes ayant une forte estime de soi (RC = 0.92, IC 95%: 0.85-0.99) ainsi que les jeunes dont un des parents avait un niveau dducation postsecondaire (RC = 0.58, IC 95%: 0.41-0.82) taient moins susceptibles davoir de multiples facteurs de risque comportementaux. Enfin, les variables de type social distal (tabagisme des parents et des pairs, consommation dalcool par les pairs) (Log du rapport de vraisemblance (LLR) = 187.86, degrs de libert = 8, P < 0,001) et individuel distal (estime de soi) (LLR = 76.94, degrs de libert = 4, P < 0,001) ont significativement influenc le taux doccurrence de multiples facteurs de risque comportementaux. Les variables de type individuel ultime (ge, sexe, anxit) et social ultime (niveau dducation du parent, revenu du mnage, structure de la famille) ont eu une influence moins prononce sur le taux de cooccurrence des facteurs de risque comportementaux chez les jeunes. Conclusion: Les rsultats suggrent que les interventions de sant publique devraient principalement cibler les dterminants de type individuel distal (tel que lestime de soi) ainsi que social distal (tels que le tabagisme des parents et des pairs et la consommation dalcool par les pairs) pour prvenir et/ou rduire loccurrence de multiples facteurs de risque comportementaux chez les enfants et les adolescents. Cependant, puisque les variables de type distal (telles que les caractristiques psychosociales des jeunes et comportements des parents/pairs) peuvent tre influences par des variables de type ultime (telles que les caractristiques dmographiques et socioconomiques), les programmes et politiques de prvention devraient galement viser amliorer les conditions socioconomiques des jeunes, particulirement celles des enfants et des adolescents des familles les plus dmunies.

Relevância:

100.00% 100.00%

Publicador:

Resumo:

La prclampsie est responsable du quart des mortalits maternelles et est la deuxime cause de dcs maternels associs la grossesse au Canada et dans le monde. Lidentification dune stratgie efficace pour la prvention de la prclampsie est une priorit et un dfi primordial dans les milieux de recherche en obsttrique. Le rle des lments nutritifs dans le dveloppement de la prclampsie a rcemment reu davantage dattention. Plusieurs tudes cliniques et pidmiologiques ont t menes pour dterminer les facteurs de risque alimentaires potentiels et examiner les effets dune supplmentation nutritive dans le dveloppement de troubles hypertensifs de la grossesse. Pour dterminer les effets de supplments antioxydants pris pendant la grossesse sur le risque dhypertension gestationnelle (HG) et de prclampsie, un essai multicentrique contrl double insu a t men au Canada et au Mexique (An International Trial of Antioxidants in the Prevention of Preeclampsia INTAPP). Les femmes, stratifies par risque, taient assignes au traitement exprimental quotidien (1 gramme de vitamine C et 400 UI de vitamine E) ou au placebo. En raison des effets secondaires potentiels, le recrutement pour lessai a t arrt avant que lchantillon complet ait t constitu. Au total, 2640 femmes ligibles ont accept dtre recrutes, dont 2363 (89.5%) furent incluses dans les analyses finales. Nous navons retrouv aucune vidence quune supplmentation prnatale de vitamines C et E rduisait le risque dHG et de ses effets secondaires (RR 0,99; IC 95% 0,78-1,26), HG (RR 1,04; IC 95% 0,89-1,22) et prclampsie (RR 1,04; IC 95% 0,75-1,44). Toutefois, une analyse secondaire a rvl que les vitamines C et E augmentaient le risque de perte ftale ou de dcs prinatal (une mesure non spcifie au pralable) ainsi quune rupture prmature des membranes avant terme. Nous avons men une tude de cohorte prospective chez les femmes enceintes recrutes dans lINTAPP afin dvaluer les relations entre le rgime alimentaire maternel en dbut et fin de grossesse et le risque de prclampsie et dHG. Un questionnaire de frquence alimentaire valid tait administr deux fois pendant la grossesse (12-18 semaines, 32-34 semaines). Les analyses furent faites sparment pour les 1537 Canadiennes et les 799 Mexicaines en raison de lhtrognit des rgimes alimentaires des deux pays. Parmi les canadiennes, aprs ajustement pour lindice de masse corporelle (IMC) prcdant la grossesse, le groupe de traitement, le niveau de risque (lev versus faible) et les autres facteurs de base, nous avons constat une association significative entre un faible apport alimentaire (quartile infrieur) de potassium (OR 1,79; IC 95% 1,03-3,11) et de zinc (OR 1,90; IC 95% 1,07-3,39) et un risque augment de prclampsie. Toujours chez les Canadiennes, le quartile infrieur de consommation dacides gras polyinsaturs tait associ un risque augment dHG (OR 1,49; IC 95% 1,09-2,02). Aucun des nutriments analyss naffectait les risques dHG ou de prclampsie chez les Mexicaines. Nous avons entrepris une tude cas-tmoins lintrieur de la cohorte de lINTAPP pour tablir le lien entre la concentration srique de vitamines antioxydantes et le risque de prclampsie. Un total de 115 cas de prclampsie et 229 tmoins ont t inclus. Les concentrations de vitamine E ont t mesures de faon longitudinale 12-18 semaines (avant la prise de supplments), 24-26 semaines et 32-34 semaines de grossesse en utilisant la chromatographie liquide de haute performance. Lorsquexamine en tant que variable continue et aprs ajustement multivari, une concentration de base leve de gamma-tocophrol tait associe un risque augment de prclampsie (quartile suprieur vs quartile infrieur 24-26 semaines : OR 2,99, IC 95% 1,13-7,89; 32-34 semaines : OR 4,37, IC 95% 1,35-14,15). Nous navons pas trouv de lien entre les concentrations de alpha-tocophrol et le risque de prclampsie. En rsum, nous navons pas trouv deffets de la supplmentation en vitamines C et E sur le risque de prclampsie dans lINTAPP. Nous avons toutefois trouv, dans la cohorte canadienne, quune faible prise de potassium et de zinc, tel questime par les questionnaires de frquence alimentaire, tait associe un risque augment de prclampsie. Aussi, une plus grande concentration srique de gamma-tocophrol pendant la grossesse tait associe un risque augment de prclampsie.

Relevância:

100.00% 100.00%

Publicador:

Resumo:

L'clatement est une transformation jouant un rle important en gomtrie, car il permet de rsoudre des singularits, de relier des varits birationnellement quivalentes, et de construire des varits possdant des proprits indites. Ce mmoire prsente d'abord l'clatement tel que dvelopp en gomtrie algbrique classique. Nous l'tudierons pour le cas des varits affines et (quasi-)projectives, en un point, et le long d'un idal et d'une sous-varit. Nous poursuivrons en tudiant l'extension de cette construction la catgorie diffrentiable, sur les corps rels et complexes, en un point et le long d'une sous-varit. Nous conclurons cette section en explorant un exemple de rsolution de singularit. Ensuite nous passerons la catgorie symplectique, o nous ferons la mme chose que pour le cas diffrentiable complexe, en portant une attention particulire la forme symplectique dfinie sur la varit. Nous terminerons en tudiant un thorme d Franois Lalonde, o l'clatement joue un rle cl dans la dmonstration. Ce thorme affirme que toute 4-varit fibre par des 2-sphres sur une surface de Riemann, et diffrente du produit cartsien de deux 2-sphres, peut tre quipe d'une 2-forme qui lui confre une structure symplectique rgle par des courbes holomorphes par rapport sa structure presque complexe, et telle que l'aire symplectique de la base est infrieure la capacit de la varit. La preuve repose sur l'utilisation de l'clatement symplectique. En effet, en clatant symplectiquement une boule contenue dans la 4-varit, il est possible d'obtenir une fibration contenant deux sphres d'auto-intersection -1 distinctes: la pr-image du point o est fait l'clatement complexe usuel, et la transformation propre de la fibre. Ces dernires sont dites exceptionnelles, et donc il est possible de procder l'inverse de l'clatement - la contraction - sur chacune d'elles. En l'accomplissant sur la deuxime, nous obtenons une varit minimale, et en combinant les informations sur les aires symplectiques de ses classes d'homologies et de celles de la varit originale nous obtenons le rsultat.

Relevância:

100.00% 100.00%

Publicador:

Resumo:

L'anmie de l'enfant reste un problme d'importance pour la sant mondiale, malgr les dcennies de recherche visant comprendre son tiologie et dvelopper des interventions efficaces pour rduire sa prvalence et ses consquences. Bien que les facteurs de risque individuels de l'anmie soient connus, y compris les facteurs lis la malnutrition et la morbidit, l'interaction entre lesdits facteurs est moins documente dans des contextes o les enfants sont frquemment exposs plusieurs facteurs en mme temps. Cette tude vise documenter les efforts de lutte contre l'anmie du programme MICAH qui a t mis en oeuvre au Ghana, au Malawi et en Tanzanie. Ensuite, en utilisant les donnes relatives la fois au processus et l'valuation colliges au cours du programme, elle vise mieux comprendre les facteurs de risque d'anmie chez les jeunes enfants dans ces contextes et comprendre comment les relations entre ces facteurs peuvent avoir chang au fil du temps lors de l'intervention. Spcifiquement, cette tude vrifie sil y a des preuves d'une rduction de la vulnrabilit des enfants aux facteurs de risque associs l'anmie dans chaque contexte. Un examen de la documentation a t ralis afin de caractriser le contexte du programme et des interventions, leur l'intensit et tendue. Les donnes transversales sur la nutrition et l'tat de sant des enfants gs de 24 59 mois (N = 2405) obtenues en 2000 et 2004 partir des enqutes d'valuation du programme MICAH au Ghana, au Malawi et en Tanzanie, ont t utilises pour dcrire la prvalence de l'anmie. Les modles polynomiaux de rgression logistique et linaire ont t utiliss pour estimer les risques d'anmie lgre et d'anmie modre / svre et les niveaux dhmoglobine associs des groupes de variables. Les estimations du risque attribuable une population (RAP) ont aussi t calcules. Une anmie (Hb <110 g/L) a touch au moins 60% des enfants dans les trois pays; l'anmie modre / svre (<100 g/L) constituait la majorit des cas. Une forte diminution de l'anmie a t observe entre 2000 et 2004 au Ghana, mais seulement une lgre baisse au Malawi et en Tanzanie. Le risque d'anmie modre / svre tait associ au retard de croissance chez les enfants du Ghana (OR 2,68, IC 95% 1,70-4,23) et du Malawi (OR 1,71; 1,29-2,27) mais pas de la Tanzanie (OR 1,29; 0,87- 1,92). Le paludisme et les maladies rcentes taient associes une hmoglobine plus basse. Une attnuation de cette association en 2004 a t observe seulement au Malawi pour le paludisme et au Ghana pour les maladies rcentes. Le risque d'anmie modre / svre tait 44% moindre chez les enfants gs de 48 59 mois comparativement aux enfants de 24 35 mois dans les trois pays et cela n'a pas chang entre 2000 et 2004. Les RAP estims ont montr quenviron un cinquime des cas danmie modre svre tait attribuable au retard de croissance au Ghana et Malawi, mais pas en Tanzanie. Des RAP moindres et dpendants des contextes ont t trouvs pour le paludisme et les maladies rcentes. Dans ces zones dintervention intgres de sant et de nutrition la relation de certains facteurs de risque l'anmie se modifia avec le temps. Le retard de croissance est rest toutefois un facteur de risque indpendant et non mitig de l'anmie. Une rduction efficace des causes de la malnutrition chronique est ncessaire afin de rduire la vulnrabilit des enfants et de garantir un impact maximum des programmes de lutte contre l'anmie. Une mitigation de l'impact du paludisme peut par contre tre vise dans les rgions endmiques.