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Brake wear particulate matter (PM) may provoke cardiovascular effects. A system was developed to expose cells to airborne PM from brakes. Six car models were tested, each with full stop and normal deceleration. PM numbers, mass and surface, metals, and carbon compounds were measured. Full stop produced higher PM number and mass concentrations than normal deceleration (up to 10 million particles/cm3 in 0.2 m3 volume). 87% of the PM mass was in the fine (100 nm to 2.5 ìm) and 12% in the coarse (2.5 to 10 ìm) fraction, whereas 74% of the PM number was nanoscaled (ultrafine < 0.1 ìm) and 26% fine PM. Elemental concentrations were 2,364, 236, and 18 ìg/m3 of iron, copper and manganese, respectively, and 664 and 36 ìg/m3 of organic and elemental carbon. PM-release differed between cars and braking behaviour. Temperature and humidity were stable. In conclusion, the established system seems feasible for exposing cell cultures to brake wear PM. [Authors]
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PURPOSE: The diagnosis of microbial ureteral stent colonisation (MUSC) is difficult, since routine diagnostic techniques do not accurately detect microorganisms embedded in biofilms. New methods may improve diagnostic yield and understanding the pathophysiology of MUSC. The aim of the present study was to evaluate the potential of sonication in the detection of MUSC and to identify risk factors for device colonisation. METHODS: Four hundred and eight polyurethane ureteral stents of 300 consecutive patients were prospectively evaluated. Conventional urine culture (CUC) was obtained prior to stent placement and device removal. Sonication was performed to dislodge adherent microorganisms. Data of patient sex and age, indwelling time and indication for stent placement were recorded. RESULTS: Sonicate-fluid culture detected MUSC in 36%. Ureteral stents inserted during urinary tract infection (UTI) were more frequently colonised (59%) compared to those placed in sterile urine (26%; P < 0.001). Female sex (P < 0.001) and continuous stenting (P < 0.005) were significant risk factors for MUSC; a similar trend was observed in patients older than 50 years (P = 0.16). MUSC and indwelling time were positively correlated (P < 0.005). MUSC was accompanied by positive CUC in 36%. Most commonly isolated microorganisms were Coagulase-negative staphylococci (18.3%), Enterococci (17.9%) and Enterobacteriaceae (16.9%). CONCLUSIONS: Sonication is a promising approach in the diagnosis of MUSC. Significant risk factors for MUSC are UTI at the time of stent insertion, female sex, continuous stenting and indwelling time. CUC is a poor predictor of MUSC. The clinical relevance of MUSC needs further evaluation to classify isolated microorganism properly as contaminants or pathogens.
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Résumé Qu'est-ce que la psychose, comment apparaît-elle comme «perte du contact avec la réalité», le rapport au réel permet-il de constituer une classe de maladies mentales en soi, d'inférer une structure ou une superstructure commune aux diverses formes cliniques, voilà nos questions de départ, à l'heure où la notion même de psychose est peut-être en train de disparaître de la nosologie psychiatrique contemporaine. Notre travail s'attache, dans sa première partie, à montrer comment est apparu, dans la littérature médicale et psychiatrique du XIXème siècle, le terme de «psychose », pour désigner d'abord l'ensemble des affections mentales telles qu'elles se manifestaient en particulier chez les malades asilaires, dans le cadre plus général des «névroses », c'est-à-dire des affections primaires du système nerveux. Ainsi, la psychose se situe dès l'origine à l'interface du biologique et du psychologique ; s'esquisse aussi de la sorte un champ spécifique au psychiatre, les névroses : « non-psychotiques » relevant plutôt du somaticien. Un premier auteur (H.Schuele) distingue cérébro-psychoses » et « psycho-névroses » dans une acception plus familière au lecteur contemporain : les premières sont des maladies plus sévères, irréversibles, dont l'étiologie est plutôt organique, et les secondes sont moins graves, des maladies « de l'esprit ». Mais c'est avec Freud, qui réunit l'hystérie (la névrose par excellence, d'autant plus qu'elle se manifeste presque exclusivement par des symptômes neurologiques, c'est-à-dire «névrotiques »), les phobies et ce que Kraepelin appelait la Zwangsirresein (la folie de contrainte) sous le terme de psychonévroses de transfert, que vient se constituer durablement le partenaire dialectique qui permettra à la psychose de s'ériger en classe, regroupant la schizophrénie, la maladie maniaco-dépressive, la paranoïa et les psychoses organiques. Freud a situé la problématique spécifique de la psychose comme une perturbation du rapport à la réalité. Cet aspect des psychoses est le plus largement retenu dans le langage «courant » de la psychiatrie clinique, de nos jours encore. Dans sa deuxième partie, ce travail cherche à préciser comment s'élaborent chez Freud les théories de la psychose, plus particulièrement pour ce qui est du rapport à la réalité. On verra alors que ces théories rendent compte pour l'essentiel de la clinique de ce que Freud appelle les paraphrénies, qui rassemblent la schizophrénie et la paranoïa, mais que la maladie maniaco-dépressive semble pour lui d'un registre relativement différent. Il propose même de la ranger dans une catégorie propre, les «névroses narcissiques », reprenant pour l'occasion un terme qu'il utilisait auparavant pour les «psychoses » - comme quoi les questions terminologiques ne sont ni anodines, ni simples. Notre travail s'intéresse enfin à la façon dont la littérature analytique a abordé ces questions, à la suite de Freud. Les auteurs, choisis pour leur renom et leur importance historique ainsi que pour leur intérêt pour les questions soulevées ici, ont chacun des conceptions très diverses des psychoses et de la façon dont l'homme établit un rapport avec la réalité qui l'entoure. D'une façon générale, et comme Freud, ils traitent de la schizophrénie bien plus que de la maladie maniaco-dépressive, et les mécanismes psychopathologiques proposés semblent toujours assez distincts. En définitive, nous n'avons pas trouvé, dans l'histoire de la notion de psychose et chez quelques-uns des auteurs majeurs de la psychanalyse, de justification théorique à la constitution d'une classe en soi de maladies mentales, articulée autour d'un trouble spécifique du rapport à la réalité, qui corresponde à la classe des psychoses. Il n'en reste pas moins que la clinique, qui rapproche souvent la crise schizophrénique et la crise maniaque, appelle assez naturellement l'adjectif «psychotique », comme descriptif de certains symptômes manifestant, le plus souvent, la présence d'une «psychose» sous-jacente.
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Neuromotor functioning - i.e., timed performance and quality of movements - was examined in 66 left-handed children and adolescents between 5 and 18.5 years by means of the Zurich Neuromotor Assessment. Quality of movements was assessed by the degree and the frequency of associated movements. Results were compared to normative data from 593 right-handers. The overall scores for timed motor performance were similar for left-handers and right-handers, while left-handers had more associated movements than right-handers with both sides. In agreement with previous studies in adults, we found that left-handed children were less lateralized than right-handers. They performed faster with their non-dominant side and slower with their dominant side. This finding was roughly independent of age, which may indicate that handedness does not reflect long-term effects of previous motor experience, but may be primarily attributed to genetic factors.
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The new text of the Swiss penal code, which entered into effect at the beginning of 2007, has many incidences on the practice of the psychiatrists realizing expertises in the penal field or engaged in the application of legal measures imposing a treatment. The most notable consequences of this text are, on the one hand, a new definition of the concept of penal irresponsibility which is not necessarily any more related to a psychiatric diagnosis and, on the other hand, a new definition of legal constraints that justice can take to prevent new punishable acts and which appreciably modifies the place of the psychiatrists in the questions binding psychiatric care and social control.