922 resultados para cortisol salivaire


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Tesis (Maestría en Ciencias Odontológicas con Orientación en Periodoncia e Implantología) UANL, 2013.

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Le trouble du déficit de l’attention/hyperactivité (TDA/H) est un des troubles comportementaux le plus commun chez les enfants. TDAH a une étiologie complexe et des traitements efficaces. Le médicament le plus prescrit est le méthylphénidate, un psychostimulant qui bloque le transporteur de la dopamine et augmente la disponibilité de la dopamine dans la fente synaptique. Des études précliniques et cliniques suggèrent que le cortisol peut potentialiser les effets de la dopamine. Un dysfonctionnement du système hypothalamo-hypophyso-surrénalien (HHS) est associé avec plusieurs maladies psychiatriques comme la dépression, le trouble bipolaire, et l’anxiété. Nous avons fait l’hypothèse que le cortisol influence l’efficacité du traitement des symptômes du TDAH par le méthylphénidate. L’objectif de cette étude est de mesurer les niveaux de cortisol le matin au réveil et en réponse à une prise de sang dans un échantillon d’enfants diagnostiqué avec TDAH âgé de 8 ans. Le groupe était randomisé dans un protocole en chassé croisé et en double aveugle avec trois doses de méthylphénidate et un placebo pour une période de quatre semaines. Les enseignants et les parents ont répondu aux questionnaires SWAN et à une échelle d’évaluation des effets secondaires. Les résultats ont démontrés qu’un niveau de cortisol élevé au réveil prédit les sujets qui ne répondent pas au traitement du TDAH, si on se fie aux rapports des parents. En plus, la réactivité au stress élevé suggère un bénéfice additionnel d’une dose élevée de méthylphénidate selon les enseignants. Aussi, les parents rapportent une association entre la présence de troubles anxieux co-morbide avec le TDAH et une meilleure réponse à une dose élevée. Cette étude suggère qu’une forte réactivité de l’axe HHS améliore la réponse clinique à des doses élevées, mais qu’une élévation chronique du niveau de cortisol pourrait être un marqueur pour les non répondeurs. Les résultats de cette étude doivent être considérés comme préliminaires et nécessitent des tests plus approfondis des interactions possibles entre les médicaments utilisés pour traiter le TDAH et l’axe HHS.

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L’objectif de ce projet de recherche était de vérifier la présence de changements de sensibilité de la rétine et du système circadien suite à deux semaines d'exposition à un milieu faiblement ou fortement éclairé, dans des conditions contrôlées en laboratoire. De plus, comme un changement de sensibilité peut modifier l'ajustement du système circadien au cycle jour-nuit extérieur, nous voulions également vérifier si la phase circadienne serait modifiée par le traitement et si la vigilance et l’humeur seraient affectées. Dix sujets ont été exposés à de la lumière tamisée (70 lux [LT]) et 10 ont été exposés à de la lumière vive (3000 lux [LV]) pendant 12 jours consécutifs en laboratoire de 8h45 à 19h00 tous les jours. L’exposition à la lumière a été mesurée 5 jours avant l’entrée au laboratoire dans l’habitat naturel du sujet et pendant la période en laboratoire à l’aide de l’Actiwatch-L®. La sensibilité rétinienne a été mesurée avant et après le traitement lumineux, par un électrorétinogramme (ERG) et la sensibilité circadienne, par le test de suppression de mélatonine salivaire. Tout au long du protocole, la vigilance, la somnolence et l'humeur ont été évaluées à plusieurs moments de la journée à intervalles prédéterminés. Après 12 jours d’exposition en lumière contrôlée, l’amplitude de l’onde-a au Vmax à l’ERG photopique a diminué en LV alors qu’elle a augmenté en LT. À l’ERG scotopique, une différence de sensibilité rétinienne (log K) entre les groupes avant le traitement expérimental s’est amenuisée à la fin du traitement (p=.053). La suppression de mélatonine après 90 minutes d’exposition au test de suppression a diminué en LV alors qu’il n’y a pas eu de modification en LT, cependant cette interaction n’était pas significative (p=.16). La phase circadienne des sujets exposés à LV a été devancée de 58 minutes (p=.04) alors qu’elle a été retardée de 26 minutes en LT (p=.32). Les mesures de vigilance subjective (EVA) ont indiqué que les sujets LV se considéraient plus éveillés que les sujets LT après le traitement (p=.02). Par contre, aucune différence n’est apparue quant aux mesures de performance psychomotrice ni de l’humeur. L’histoire lumineuse n’a pas modifié la sensibilité rétinienne dans le sens prévu par les hypothèses alors qu’il y a eu une tendance vers une augmentation de la sensibilité circadienne en condition de lumière tamisée. L’amélioration de la vigilance subjective après l’exposition en LV n’a pas été soutenue par les résultats de la performance psychomotrice. L’histoire lumineuse n’a eu aucun effet sur l’humeur des sujets. Cette étude souligne l’importance d’utiliser des mesures permettant de départager les effets immédiats d’un traitement lumineux des effets à long terme autant sur le plan rétinien que circadien. Il reste également complexe d’étudier en laboratoire des changements adaptatifs qui se produisent dans le milieu naturel en raison du confinement et des modifications physiologiques et psychologiques pouvant y être associées.

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Ce mémoire débute avec deux chapitres portant sur les problèmes des conduites et la régulation du stress, notamment sur l’axe hypothalamique-pituitaire-surrénal (HPS). Ensuite, la littérature est résumée et nous voyons que les études qui cherchent à établir un lien entre les problèmes des conduites et l’axe HPS ont trouvé des résultats différents et parfois contradictoires. Le chapitre suivant illustre les problèmes méthodologiques qui pourraient expliquer ces résultats différents. Vient ensuite l’étude présentée dans ce mémoire qui cherche à établir un lien entre la réponse cortisolaire à l’éveil (RCE), considérée comme un bon indice du fonctionnent de l’axe HPS, et les problèmes de conduites chez l’enfant. De plus, les émotions négatives ont été associées avec les problèmes des conduites ainsi qu’aux dysfonctions de l’axe HPS, notamment le RCE. L’étude présentée dans ce mémoire cherche aussi à établir si les émotions négatives pourrait être une variable médiatrice dans la relation potentielle entre la RCE et les problèmes des conduites. L’étude révèle que pour les garçons mais pas pour les filles, une RCE réduite est associée avec les émotions négatives, ce qui est successivement associé avec les problèmes des conduites. Le dernier chapitre du mémoire examine les implications théoriques de cette médiatisation et propose également des pistes psychobiologiques pour expliquer les différences sexuelles observées.

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Driving while impaired (DWI) is a grave and persistent high-risk behavior. Previous work demonstrated that DWI recidivists had attenuated cortisol reactivity compared to non-DWI drivers. This suggests that cortisol is a neurobiological marker of high-risk driving. The present study tested the hypothesis that this initial finding would extend to first-time DWI (fDWI) offenders compared to non-DWI drivers. Male fDWI offenders (n = 139) and non-DWI drivers (n = 31) were exposed to a stress task, and their salivary cortisol activity (total output and reactivity) was measured. Participants also completed questionnaires on sensation seeking, impulsivity, substance use, and engagement in risky and criminal behaviors. As hypothesized, fDWI offenders, compared to non-DWI drivers, had lower cortisol reactivity; fDWI offenders also showed lower total output. In addition, cortisol activity was the most important predictor of group membership, after accounting for alcohol misuse patterns and consequences and other personality and problem behavior characteristics. The findings indicate that attenuated cortisol activity is an independent factor associated with DWI offending risk at an earlier stage in the DWI trajectory than previously detected.

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Introducción: La relación entre el sistema inmune y el estrés ha sido motivo de debate en los últimos años. Los cambios neurohormonales generan variaciones en la respuesta inmunológica, con cambios importantes en los niveles de citoquinas lo que causa a su vez, en algunos casos, depresión de la respuesta citotóxica debida a la disminución de la población de células asesinas naturales (NK) (1). El estrés académico constituye un buen modelo para estudiar los cambios asociados en la secreción de algunas hormonas del eje Hipotalámico- Pituitario-Adrenocortical -HPA- (2, 3). Materiales y métodos: En el presente estudio se evaluó el comportamiento de las hormonascortisol y prolactina, así como su incidencia en la respuesta adaptativa a Herpes Simple tipo I, en una población de estudio constituída por 26 estudiantes de la Facultad de Medicina, con edades comprendidas entre 14 y 27 años, con mayor frecuencia de género masculino (80.8%). Se realizó un estudio de intervención longitudinal en tres momentos, donde se midieron los niveles de cortisol, prolactina y anticuerpos contra Herpes Simple tipo I. Así mismo, se realizó una medición 15 días antes de la exposición al estresor, durante la aplicación del estresor (semana de exámenes trimestrales), y quince días después de la exposición al estresor Todas las muestras fueron tomadas entre las 8:00 a.m. y las 10:00 a.m. Resultados y discusión: Se encontraron diferencias significativas (p < 0.001) en los valores promedio de prolactina, pues hubo una tendencia secular al aumento en los tres momentos evaluados. Para el cortisol, los cambios estuvieron cerca de mostrar diferencias significativas (p = 0.098), con un aumento en el momento del estresor y una disminución después del estresor. También hubo diferencias significativas (p = 0.043) en los niveles de anticuerpos para Herpes Simple tipo I, con una tendencia secular al aumento en los tres momentos evaluados. La respuesta adaptativa a Herpes Simple tipo I aumentó notoriamente como resultado de los cambios en la concentración de prolactina, la que, a su vez, aumentó de manera significativa después de la exposición al estresor. Aunque los niveles de cortisol no aumentan significativamente durante la semana del estresor, podrían ser suficientes para mantener niveles basales de prolactina, sin que haya un aumento de la respuesta adaptativa. Se podría inferir que el cortisol regula la síntesis de prolactina, pues en los resultados se observa que, a medida que disminuye la concentración de cortisol, los niveles de prolactina aumentan significativamente.

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Los niveles de cortisol se midieron en los tres momentos solamente en 17 estudiantes, mostrando datos faltantes para 9 estudiantes de Medicina. Para este grupo en los niveles de cortisol no se encontraron diferencias significativas en los tres momentos evaluados, aunque estuvo cerca de mostrarlas (P=0.098 análisis de varianza de medidas repetidas), presentándose un leve aumento durante el estresor con un promedio de 8.4+/-5.0 comparado con los niveles de cortisol antes del estresor con un promedio de 8.0+/-3.4 y también presentó una marcada disminución después del estresor con un promedio de 6.6+/-1.6. (Figura 2). Estimando los datos faltantes por el método de serie de medias para los 9 estudiantes sí se encontraron diferencias significativas en los momentos evaluados (p=0.005), siendo significativa la disminución después del estresor comparada con antes del estresor (p=0.049) y muy cerca de ser significativo entre el después el durante el estresor (p=0.069).

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Among younger adults, the ability to willfully regulate negative affect, enabling effective responses to stressful experiences, engages regions of prefrontal cortex (PFC) and the amygdala. Because regions of PFC and the amygdala are known to influence the hypothalamic-pituitary-adrenal axis, here we test whether PFC and amygdala responses during emotion regulation predict the diurnal pattern of salivary cortisol secretion. We also test whether PFC and amygdala regions are engaged during emotion regulation in older (62- to 64-year-old) rather than younger individuals. We measured brain activity using functional magnetic resonance imaging as participants regulated (increased or decreased) their affective responses or attended to negative picture stimuli. We also collected saliva samples for 1 week at home for cortisol assay. Consistent with previous work in younger samples, increasing negative affect resulted in ventral lateral, dorsolateral, and dorsomedial regions of PFC and amygdala activation. In contrast to previous work, decreasing negative affect did not produce the predicted robust pattern of higher PFC and lower amygdala activation. Individuals demonstrating the predicted effect (decrease s attend in the amygdala), however, exhibited higher signal in ventromedial prefrontal cortex (VMPFC) for the same contrast. Furthermore, participants displaying higher VMPFC and lower amygdala signal when decreasing compared with the attention control condition evidenced steeper, more normative declines in cortisol over the course of the day. Individual differences yielded the predicted link between brain function while reducing negative affect in the laboratory and diurnal regulation of endocrine activity in the home environment.

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Context: Pregnant tissues express corticotropin-releasing factor (CRF), a peptide modulating fetal and placental ACTH and cortisol secretion. These actions are modulated by the locally expressed CRF-binding protein (CRF-BP). Objective: The objective of the study was to determine whether CRF, CRF-BP, ACTH, and cortisol concentrations change in amniotic fluid and umbilical cord plasma in the presence of intraamniotic infection/inflammation (IAI) in women with spontaneous labor at term. Design: This was a cross-sectional study. Setting: The study was conducted at a tertiary referral center for obstetric care. Patients: Patients included women in active labor at term with (n = 39) and without (controls; n = 78) IAI. Main Outcome Measures: Amniotic fluid and umbilical cord plasma concentrations of CRF, CRF-BP, ACTH, and cortisol measured by RIA and immunoradiometric assays were measured. Results: In patients with IAI, amniotic fluid CRF (0.97 +/- 0.18 ng/ml) and CRF-BP (33.06 +/- 5.54 nmol/liter) concentrations were significantly (P < 0.001) higher than in controls (CRF: 0.32 +/- 0.04 ng/ml; CRF-BP: 14.69 +/- 2.79 ml). The umbilical cord plasma CRF and CRF-BP concentrations were significantly (P < 0.001 for all) higher in women with IAI than in controls (CRF: 2.96 +/- 0.35 ng/ml vs. 0.38 +/- 0.18 ng/ml; CRF-BP: 152.12 +/- 5.94 nmol/liter vs. 106.9 +/- 5.97 nmol/liter). In contrast, amniotic fluid and umbilical cord plasma ACTH and cortisol concentrations did not differ between groups. Conclusions: Amniotic fluid and umbilical cord plasma CRF and CRF-BP concentrations are increased in women with spontaneous labor at term and IAI. CRF-BP may modulate CRF actions on ACTH and cortisol secretion, playing a pivotal role in limiting the inflammatory process and thus avoiding an overactivation of the fetal/placental hypothalamus-pituitary-adrenal axis at birth.

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The utility of repeated salivary cortisol sampling as a substitute for 24-hour urinary-free cortisol (UFC) assessment was examined. Forty-four participants completed both 24-hour collections and 6 salivary collections at wake-up, 08:00, 12:00, 16:00, 20:00 and bedtime, during the same 24-hour period. The results demonstrated that mean, maximum, and amplitude (maximum minus minimum) for salivary cortisol all correlated positively with urinary cortisol, but the associations of these variables with urinary-free cortisol excretion were relatively small. Furthermore, a single salivary sample taken at wake-up was as good an indicator of overall cortisol production as the measures derived from multiple salivary samples. An examination of subject compliance indicated that many subjects failed to collect the timed salivary collections as instructed. The authors conclude that diurnal salivary cortisol sampling versus 24-hour urinary cortisol collections are likely to provide different information about ambient hypothalamic-pituitary-adrenal productivity, and therefore these measures should not be used interchangeably. In addition, subject compliance is a serious consideration in designing studies that employ home salivary collections. Published by Elsevier Science Inc.

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Objective: To evaluate cortisol suppression following 0.5 mg of dexamethasone (DEX) in trauma survivors (N = 52),with posttraumatic stress disorder (PTSD), major depressive disorder (MDD), both, or neither disorder, and in subjects never exposed to trauma (N = 10), in order to examine interactions between diagnosis and trauma history on cortisol negative feedback inhibition. Method: Lifetime trauma exposure and psychiatric diagnoses were assessed and blood samples were obtained at 8:00 a.m. for the determination of baseline cortisol. Participants ingested 0.5 mg of DEX at 11:00 p.m. and blood samples for determination of cortisol and DEX were obtained at 8:00 a.m. the following day. Results: PTSD was associated with enhanced cortisol suppression in response to DEX Among trauma survivors, the presence of a traumatic event prior to the "focal" trauma had a substantial impact on cortisol suppression in subjects with MDD. Such subjects were more likely to show cortisol alterations similar to those associated with PTSD, whereas subjects with MDD with no prior trauma were more likely to show alterations in the opposite direction, i.e. relative non-suppression. Conclusions: Cortisol hypersuppression in PTSD appears not to be dependent on the presence of traumatic events prior to the focal trauma. However, prior trauma exposure may affect cortisol suppression in MDD. This finding may have implications for understanding why only some depressed patients show non-suppression on the DST. Published by Elsevier Ltd.

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Background. Animal research shows that early adverse experience results in altered glucocorticoid levels in adulthood, either raised basal levels or accentuated responses to stress. If a similar phenomenon operates in humans, this suggests a biological mechanism whereby early adversity might transmit risk for major depression, glucocorticoid elevations being associated with the development of this disorder. Methods. We measured salivary cortisol at 8:00 Am and 8:00 Pm over 10 days in 13-year-old adolescents who had (n = 48) or bad not (n = 39) been exposed to postnatal maternal depression. Results: Maternal postnatal depression was associated with higher, more variable morning cortisol in offspring, a pattern previously found to predict major depression. Conclusions. Early adverse experiences might alter later steroid levels in humans. Because maternal depression confers added risk for depression to children, these alterations might provide a link between early events and later psychopathology.

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Background: We have previously reported higher and more variable salivary morning cortisol in 13-year-old adolescents whose mothers were depressed in the postnatal period, compared with control group adolescents whose mothers did not develop postnatal depression (PND). This observation suggested a biological mechanism by which intrafamilial risk for depressive disorder may be transmitted. In the current article, we examined whether the cortisol disturbances observed at 13 years could predict depressive symptornatology in adolescents at 16 years of age. Methods: We measured self-reported depressive symptoms in 16-year-old adolescents who had (n = 48) or had not (n = 39) been exposed to postnatal maternal depression and examined their prediction by morning and evening cortisol indices obtained via 10 days of salivary collections at 13 years. Results: Elevated morning cortisol secretion at 13 years, and particularly the maximum level recorded over 10 days of collection, predicted elevated depressive symptoms at 16 years over and above 13-year depressive symptom levels and other possible confounding factors. Morning cortisol secretion mediated an association between maternal PND and symptornatology in 16-year-old offspring. Conclusions: Alterations in steroid secretion observed in association with maternal PND may provide a mechanism by which risk for depression is transmitted from mother to offspring.