999 resultados para Valais, Canton du
Resumo:
[Table des matières] 1. Objectifs d'évaluation pour 2010. - 2. Données de la surveillance biologique et comportementale: Nouvelles déclarations de tests VIH positifs à Genève en 2010 - Comportements face au VIH/sida. 3. Suivi des associations: - Groupe Sida Genève (GsG) - Dialogai - L'association Première ligne - Association genevoise des Personnes Vivant Avec le VIH/sida (PVA) - Association Solidarité Femmes Africaines de Genève (ASFAG). 4. Annexes. 5. Liste des figures et des tableaux.
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Il ressort que de l'avis largement majoritaire de tous les acteurs, institutions comme médecins privés, les soins palliatifs se sont améliorés dans le canton au cours des dix dernières années. Ce bilan positif est également confirmé par la comparaison des données qui avaient été recueillies en 2000 lors de la phase d'organisation des soins palliatifs dans le canton de Vaud. Trois éléments-clé sont évoqués comme cause de cette amélioration: les équipes mobiles en soins palliatifs (EMSP), les personnes-ressource et les formations en soins palliatifs . Cependant, des lacunes demeurent dans les institutions concernant, par exemple, l'inscription d'une définition des soins palliatifs dans les chartes institutionnelles ainsi que les différences observées entre les divers secteurs de soins et l'augmentation des déclarations de ressources inadéquates ou insuffisantes pour les soins palliatifs en comparaison à 2000. Les médecins quant à eux sont nombreux à faire part de leur difficulté à trouver le temps nécessaire à une formation spécifique mais aussi à faire reconnaître celui que requiert la coordination dans une prise en charge comprenant des soins palliatifs.
Les frontières actuelles du canton de Vaud: genèse historique d'un territoire et question de limites
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Hip fractures place a major and increasing burden on health services in Western countries. Reported incidence rates vary considerably from one geographic area to another. No published data are available for Switzerland or surrounding countries, but such descriptive indicators are indispensable in orienting national or regional policies. To fill this gap and to assess the similarity of hip fracture incidence in Switzerland and other countries, we collected data from several sources in 26 public and private hospitals, in the Canton of Vaud (total population: 538,000) for 1986, which allowed us to calculate the incidence (for people over twenty years old) and assess related parameters. 577 hip fractures were identified among the resident population, indicating a crude average annual incidence rate of 140 per 100,000 (95% confidence interval: 128, 152). Corresponding rates for males and females were 58 (47, 68) and 213 (193, 232). Standardized rates and international comparisons show that Swiss rates are slightly lower than those of most industrial countries. More detailed results of relative risks for various study variables are presented and the pathogenesis of hip fractures is discussed.
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Summary: Victims of crime are not only physical persons. Firms also experience some different forms of victimization either from outsiders or front employees. Crimes committed inside the firm are various: theft, embezzlement, fraud, fraudulent management, money laundering, vandalism etc. Assessed damage could be considerable. But in general, most of the criminological studies relating to victimization have been interested in individuals as victims. In Switzerland, to date, research on firms'victimization is simply rare and traditional research methods such as victimization survey, self-reported delinquency or controlled experiments are not very much utilized in Swiss white-collar crime studies. Thus, in order to improve the situation, we have decided to start a victimization study on white-collar crime committed in firms of the canton of Geneva. To narrow the field of research, our project seeks to apprehend white-collar crime as a series of offences committed by employees inside the firm, by fraud or deceit, aiming at an illegitimate enrichment. The phenomenon of white-collar crime perpetrated has been evaluated by examining the presence of risk factors and prevention strategies. Furthermore, the correlation between the victimization rate and some aspects of vulnerability has also been investigated. Using data collected from the victimization survey carried out in 2005, some of the key research questions are the following: - which are the types of offences committed? - Which types of measure of prevention are the most efficient to prevent such offences ? - Which type of business is more vulnerable? - Which are the risk factors? - Which is the profile of the authors? - Which are the motivations?, etc. Findings show that companies which valorize their employees and pursue a transparent management style suffer a lower victimization rate. Further, the retail sector seems to be more affected than the financial sector and big firms are more vulnerable.
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Actuellement, en Suisse, environ 1% des femmes en âge de procréer ont une hépatite B chronique(8). En l'absence de mesures de prévention, le risque de transmission du virus de l'hépatite B, de la mère à son enfant, est estimé à 40%(3,4,5) lors de l'accouchement. Ce risque s'étend bien au-delà de la période péri¬natale. Les enfants infectés dans ces circonstances ont une probabilité de 90% de développer une infection chronique(5,7) et un quart meurent prématurément de cirrhose ou d'hépatocarcinome(2). L'Office fédéral de la santé publique recommande d'effectuer un dépistage anténatal de l'antigène HBsAg lors de toute grossesse(1) et d'effectuer une vaccination passive et active chez tous les enfants naissant d'une mère avec une hépatite B chronique. Cette prophylaxie doit être effectuée comme suit : immunoglobuline spécifique et lere dose de vaccin dans les 12 heures suivant la naissance (en maternité) ; 2eme dose de vaccin à 1 mois, 3eme dose de vaccin à 6 mois et contrôle de la réponse immune entre le 7eme et le 12eme mois (par le médecin traitant). Cette étude vise à évaluer la compliance du système de soins envers ces recommandations qui exigent l'intervention des maternités et des médecins traitants et qui s'étalent dans le temps. Pour ce faire, un recensement rétrospectif des enfants nés de mère avec une hépatite B chronique, en 2005 et 2006 dans 4 maternités vaudoises, a été effectué. Les mesures appliquées par les maternités, les informations transmises aux médecins traitants et les mesures appliquées par ces derniers ont été évaluées. Sur un total de 10'412 parturientes testées, 70 présentent une infection chronique et 51 acceptent le recrutement dans l'étude (représentant un collectif de 54 enfants). En maternité, l'immunisation active et passive est effectuée chez tous les enfants. L'évidence qu'elle est effectuée dans les 12 heures suivant la naissance est fournie dans 61% des cas (mais dans 100% des dossiers dans lequel ce renseignement est consigné). La nécessité de poursuivre la vaccination n'est mentionné au médecin traitant que dans 15% des cas, et dans seulement 11% des cas les modalités du calendrier vaccinal sont précisées. La recommandation d'effectuer un contrôle sérologique n'apparaît dans aucun document de transmission. Chez les médecins traitants, la 2eme dose de vaccin est administrée à 100% des enfants, mais seulement dans 15% des cas dans les délais recommandés. La 3eme dose de vaccination est administrée à 98% des enfants, mais seulement dans 43% des cas dans les délais recommandés. La sérologie de contrôle n'est effectuée que chez 24% des enfants, et seulement dans 7% des cas dans les délais recommandés. Les maternités appliquent les mesures de prophylaxie dans le délai imparti, tout au moins quand l'heure d'intervention est indiquée. Les médecins traitants sont rarement informés de la nécessité de compléter la vaccination et jamais des modalités ni de la nécessité d'effectuer un contrôle sérologique. L'application des mesures de prévention par les médecins traitants est non conforme aux recommandations. Nous émettons l'hypothèse que cet état reflète la carence d'information de la part des maternités et nous proposons que celles-ci utilisent un document de transmission standardisé qui indique précisément aux médecins traitants ce qui reste à faire, et quand, en matière de prévention de l'hépatite B chez le nouveau-né/nourrisson.