327 resultados para Tournées de véhicules
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R��f��rence bibliographique : Rol, 59850
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R��f��rence bibliographique : Rol, 59851
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R��f��rence bibliographique : Rol, 59917
[Illustrations de La M��tamorphose d'Ovide figur��e] / Bernard Salomon, dess. ; Ovide, aut. du texte
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Durand (Jean). Album amicorum (1583-1592)
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Document r��alis�� dans le cadre de la collection Archives en mouvement. Sous la direction d'Yvon Lemay, la collection vise �� explorer la diffusion par l'utilisation de documents d'archives.
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"M��moire pr��sent�� �� la Facult�� des ��tudes sup��rieures en vue de l'obtention du grade de ma��trise en droit (LL.M.)"
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Les agences de notation de cr��dit ont permis la banalisation des véhicules de titrisation. Elles ont sous-estim�� la probabilit�� que les ��metteurs de certains instruments financiers complexes ne puissent pas honorer leurs dettes. Elles ont tard�� �� refl��ter la d��t��rioration du march�� de leurs notes. Les agences de notation ont donc ��t�� en partie responsables de la temp��te que traversent les places financi��res mondiales et ont expos�� les entreprises �� un risque s��rieux de d��fiance. Alors que les entreprises doivent �� l���heure actuelle ma��triser de multiples risques, celles-ci ont ��t�� les premi��res victimes des professionnels de la notation. Pour apporter une r��ponse au risque de la notation, les r��gulateurs tentent de r��agir. Par l���interm��diaire de leur autorit�� boursi��re, les Etats-Unis ont ��t�� les premiers �� modifier le cadre r��glementaire de l���activit�� de la notation. C���est ce cadre r��glementaire, adopt�� au premier trimestre 2009, qui fait l���objet du pr��sent papier.
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L���image qu���a la population du ph��nom��ne des gangs est fortement influenc��e par les m��dias. Les informations v��hicul��es par les journaux et par les canaux de nouvelles mettent g��n��ralement l���emphase sur les st��r��otypes associ��s aux gangs et aux comportements de ces derniers. Ceci a pour cons��quence de rehausser la crainte que d��veloppe la population �� l���endroit des gangs de rue. Dans un contexte o�� le ph��nom��ne des gangs para��t devenu omnipr��sent dans nos quartiers, nos villes et repr��sente une probl��matique en expansion dans plusieurs grandes villes du Qu��bec et du Canada, une attention particuli��re port��e au trafic de drogues fait par les membres de gangs de rue, reconnu par plusieurs comme la principale activit�� des gangs de rue, rev��t sans nul doute un grand int��r��t. Obtenir la description la plus pr��cise possible, faite par des membres ou d���ex-membres de gangs de rue, �� partir de leurs connaissances concernant le trafic de drogues ��tant donn�� leur appartenance et leur implication dans les activit��s d���un gang de rue et, le cas ��ch��ant, le trafic de drogues effectu�� par ce dernier, repr��sente l���objectif principal de la pr��sente ��tude. C���est par le biais d���entrevues avec les principaux concern��s que le trafic de drogues fait par les membres de gangs est abord��. Au total, quinze entrevues semi-directives ont ��t�� r��alis��es aupr��s de membres et ex-membres de gangs de rue, tous ��� �� une exception pr��s - pris en charge au Centre jeunesse de Montr��al-Institut universitaire. Globalement, il ressort de cette ��tude qu���en plus du trafic de stup��fiants, les gangs ou les membres de gangs s���adonneraient �� une d��linquance polymorphe, le trafic ��tant rarement l���unique source de revenus du gang ou du membre. De plus, le trafic de stup��fiants ne serait pas une activit�� exclusive aux gangs de rue auxquels appartiennent les membres interview��s. Ainsi, m��me si l���on retrouve un certain nombre de membres participant �� la vente comme activit�� structur��e d���un gang, il est possible pour un membre d���effectuer de la vente de drogues de fa��on ind��pendante, tout en ��tant affili�� �� un gang de rue. Il appert que la plupart des interview��s font partie d���une clique, s���identifient �� une couleur ou �� un quartier, et s���approvisionnent en drogues aupr��s de membres plus ��g��s et hauts plac��s dans la structure des gangs de rue, que les r��pondants identifient comme ��tant les v��t��rans. En ce qui les concerne, les r��pondants signalent l���importance de gagner la confiance des plus haut plac��s s���ils souhaitent d��buter et ��voluer dans la vente de stup��fiants. Lorsque la confiance est pr��sente et que le nouveau vendeur d��bute ses activit��s, soit il s���approprie un territoire, g��n��ralement �� l���int��rieur de son quartier, soit on lui fournit un endroit de vente o�� il peut �� travailler ��. La pr��sence d���un membre de la famille d��j�� affili�� �� un gang para��t faciliter le processus d���acc��s des nouveaux �� l���activit�� de trafic. Lorsque les interview��s abordent l���aspect du territoire de vente, plusieurs dimensions viennent s���y greffer : la comp��tition, les conflits, les interactions avec les gangs ennemis et la violence, pour ne nommer que celles-l��. Les interview��s indiquent vendre une certaine vari��t�� de drogues, le cannabis et le crack repr��sentant les deux drogues les plus couramment cit��es. La marge de profits varierait, entre autres, en fonction du type de drogue vendue, du quartier et des caract��ristiques de la client��le. Cette derni��re, malgr�� qu���elle soit diversifi��e, comporte une constante : les consommateurs d��pendants sont, comme plusieurs interview��s l���ont mentionn��, pr��ts �� tout pour assurer leur consommation. Les consommateurs sont ordinairement des ��tudiants, des propri��taires de commerces, des employ��s de bars, des travailleurs de la construction, des itin��rants, des prostitu��s, des f��tards, des voyageurs de passage �� Montr��al. Les r��pondants d��notent ��galement la pr��sence de policiers, agents doubles, pouvant se pr��senter comme clients. Ceci ��tant, il leur appara��t essentiel de d��velopper des habilet��s permettant de d��tecter la pr��sence polici��re et la distinguer des clients r��guliers. C��t�� consommation, les interview��s affirment se limiter presqu���essentiellement �� l���alcool et au cannabis. N��anmoins, plusieurs avouent avoir consomm�� une grande vari��t�� d���intoxicants au cours de leur vie. Plusieurs signalent qu���une trop grande consommation nuit �� la vente de stup��fiants.
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Probl��matique : L���arriv��e des tests de pharmacog��n��tique a ��t�� annonc��e dans les m��dias et la litt��rature scientifique telle une r��volution, un tournant vers la m��decine personnalis��e. En r��alit��, cette r��volution se fait toujours attendre. Plusieurs barri��res l��gislatives, scientifiques, professionnelles et ��thiques sont d��crites dans la litt��rature comme ��tant la cause du d��lai de la translation des tests de pharmacog��n��tique, du laboratoire vers la clinique. Cet optimisme quant �� l���arriv��e de la pharmacog��n��tique et ces barri��res existent-elles au Qu��bec? Quel est le contexte de translation des tests de pharmacog��n��tique au Qu��bec? Actuellement, il n���existe aucune donn��e sur ces questions. Il est pourtant essentiel de les ��valuer. Alors que les attentes et les pressions pour l���int��gration rapide de technologies g��n��tiques sont de plus en plus ��lev��es sur le syst��me de sant�� qu��b��cois, l���absence de planification et de m��canisme de translation de ces technologies font craindre une translation et une utilisation inad��quates. Objectifs : Un premier objectif est d�����clairer et d���enrichir sur les conditions d���utilisation et de translation ainsi que sur les enjeux associ��s aux tests de pharmacog��n��tique dans le contexte qu��b��cois. Un deuxi��me objectif est de cerner ce qui est v��hicul�� sur la PGt dans diff��rentes sources, dont les m��dias. Il ne s���agit pas d�����valuer si la pharmacog��n��tique devrait ��tre int��gr��e dans la clinique, mais de mettre en perspective les espoirs v��hicul��s et la r��alit�� du terrain. Ceci afin d���orienter la r��flexion quant au d��veloppement de m��canismes de translation efficients et de politiques associ��es. M��thodologie : L���analyse des discours de plusieurs sources documentaires (n=167) du Qu��bec et du Canada (1990-2005) et d���entretiens avec des experts qu��b��cois (n=19) a ��t�� effectu��e. Quatre th��mes ont ��t�� analys��s : 1) le positionnement et les perceptions envers la pharmacog��n��tique; 2) les avantages et les risques reli��s �� son utilisation; 3) les r��les et les tensions entre professionnels; 4) les barri��res et les solutions de translation. R��sultats : L���analyse des repr��sentations v��hicul��es sur la pharmacog��n��tique dans les sources documentaires se cristallise autour de deux p��les. Les repr��sentations optimistes qui r��v��lent une fascination envers la m��decine personnalis��e, cr��ant des attentes (�� G��nohype ��) en regard de l���arriv��e de la pharmacog��n��tique dans la clinique. Les repr��sentations pessimistes qui r��v��lent un scepticisme (�� G��nomythe ��) envers l���arriv��e de la pharmacog��n��tique et qui semblent impr��gn��s par l���historique des repr��sentations m��diatiques n��gatives de la g��n��tique. Quant �� l���analyse des entretiens, celle-ci a permis de mettre en lumi��re le contexte actuel du terrain d���accueil. En effet, selon les experts interview��s, ce contexte comporte des d��ficiences l��gislatives et un dysfonctionnement organisationnel qui font en sorte que l���utilisation des tests de pharmacog��n��tique est limit��e, fragment��e et non standardis��e. S���ajoute �� ceci, le manque de donn��es probantes et de dialogue entre des acteurs mal ou peu inform��s, la r��sistance et la crainte de certains professionnels. Discussion : Plusieurs changements dans la r��glementation des syst��mes d���innovation ainsi que dans le contexte d���accueil seront n��cessaires pour rendre accessibles les tests de pharmacog��n��tique dans la pratique clinique courante. Des m��canismes facilitateurs de la translation des technologies et des facteurs cl��s de r��ussite sont propos��s. Enfin, quelques initiatives phares sont sugg��r��es. Conclusion : Des efforts au niveau international, national, provincial et local sont indispensables afin de r��soudre les nombreux obstacles de la translation des tests de pharmacog��n��tique au Qu��bec et ainsi planifier l���avenir le plus efficacement et s��rement possible.
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INTRODUCTION : En milieu urbain, l���am��lioration de la s��curit�� des pi��tons pose un d��fi de sant�� publique. Pour chaque d��c��s attribuable aux collisions routi��res, il y a des centaines de personnes bless��es et, dans les pays riches, la diminution du nombre annuel de pi��tons d��c��d��s s���expliquerait en partie par la diminution de la marche. Les strat��gies pr��ventives pr��dominantes n���interviennent pas sur le volume de circulation automobile, un facteur pourtant fondamental. De plus, les interventions environnementales pour am��liorer la s��curit�� des infrastructures routi��res se limitent habituellement aux sites comptant le plus grand nombre de d��c��s ou de bless��s. Cette th��se vise �� d��crire la contribution des volumes de circulation automobile, des pratiques locales de marche et de la g��om��trie des routes au nombre et �� la r��partition des pi��tons bless��s en milieu urbain, et d���ainsi ��tablir le potentiel d���une approche populationnelle orient��e vers la reconfiguration des environnements urbains pour am��liorer la s��curit�� des pi��tons. M��THODE : Le devis est de type descriptif et transversal. Les principales sources de donn��es sont les registres des services ambulanciers d���Urgences-sant�� (bless��s de la route), l���enqu��te Origine-Destination (volumes de circulation automobile), la G��obase du r��seau routier montr��alais (g��om��trie des routes) et le recensement canadien (pratiques locales de marche, position socio��conomique). Les analyses descriptives comprennent la localisation cartographique (coordonn��es x,y) de l���ensemble des sites de collision. Des mod��les de r��gression multi-niveaux nichent les intersections dans les secteurs de recensement et dans les arrondissements. R��SULTATS : Les analyses descriptives d��montrent une grande dispersion des sites de collision au sein des quartiers. Les analyses multivari��es d��montrent les effets significatifs, ind��pendants du volume de circulation automobile, de la pr��sence d���art��re(s) et d���une quatri��me branche aux intersections, ainsi que du volume de marche dans le secteur, sur le nombre de pi��tons bless��s aux intersections. L���analyse multi-niveaux d��montre une grande variation spatiale de l���effet du volume de circulation automobile. Les facteurs environnementaux expliquent une part substantielle de la variation spatiale du nombre de bless��s et du gradient socio��conomique observ��. DISCUSSION : La grande dispersion des sites de collision confirme la pertinence d���une approche ne se limitant pas aux sites comptant le plus grand nombre de bless��s. Les r��sultats sugg��rent que des strat��gies pr��ventives bas��es sur des approches environnementales et populationnelle pourraient consid��rablement r��duire le nombre de pi��tons bless��s ainsi que les in��galit��s observ��es entre les quartiers.
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Le projet de territoire n���aura jamais suscit�� autant de d��bats et de passions. Son devenir mobilise �� bien des ��gards la construction collective d���un dessein se mat��rialisant par des formes qui informent des forces tout autant que par des forces qui investissent des formes lesquelles traduisent les valeurs du moment. Par cons��quent, cette projection dans un avenir partag�� am��ne des exigences sociales en mati��re d�����dification du projet de territoire mettant �� l���ordre du jour la complexit�� d���une telle entreprise. L���enchev��trement d���actions et de logiques qui s���y op��rent et qui s���y expriment pour en ��laborer, dans la plus grande incertitude, les contours d���un futur souhait�� nous presse de s���y prononcer : la construction complexe d���un dessein territorial s���exhibant nous interpelle quant �� son ��valuation voire quant �� sa reformulation. Parmi les modalit��s d���expression qui permettent une telle d��lib��ration, il y a l�����nonc�� visuel. M��diation discursive privil��gi��e, elle autorise l�����laboration et la mise en sc��ne collective d���un devenir territorial possible. Or depuis quelques ann��es, au couple projet / repr��sentation, vient se superposer une autre m��diation, celle du num��rique. Port��e par le d��veloppement des technologies de l���information, celle-ci s���invite dans le champ de l�����dification du projet de territoire. En s���alliant avec la puissance de l���image, elle recompose les repr��sentations d���un dessein territorial collectivement formul��, ouvrant un nouvel espace d���actions �� l���occasion d���une d��marche de planification. D��marche de plus en plus complexe. De surcroit, la pr��sente recherche tient cette complexit�� non comme un mot ��fourre-tout�� ou une tare dont il faudrait se d��barrasser, mais se r��sout �� l���affronter en s���inscrivant dans un paradigme en pleine gestation, celui de la ��pens��e complexe��. La f��condit�� autant conceptuelle qu���op��ratoire d���une telle inscription permettra de jeter un regard renouvel�� sur une pratique �� travers une de ses modalit��s discursives �� la fois la plus manifeste et la moins questionn��e, �� savoir l�����nonc�� visuel. En fin de compte, les repr��sentations notamment celles construites et v��hicul��es par le num��rique sauront-elles rendre compte et relever le d��fi de l�����dification collective d���un projet de territoire qui se pose dans toute sa complexit�� ? Telle est en substance le questionnement dont cette recherche s���attellera �� apporter des ��l��ments de r��ponse et �� esquisser de nouvelles perspectives.
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Les agences de notation de cr��dit ont permis la banalisation des véhicules de titrisation. Elles ont sous-estim�� la probabilit�� que les ��metteurs de certains instruments financiers complexes ne puissent pas honorer leurs dettes. Elles ont tard�� �� refl��ter la d��t��rioration du march�� de leurs notes. Les agences de notation ont donc ��t�� en partie responsables de la temp��te que traversent les places financi��res mondiales et ont expos�� les entreprises �� un risque s��rieux de d��fiance. Alors que les entreprises doivent �� l���heure actuelle ma��triser de multiples risques, celles-ci ont ��t�� les premi��res victimes des professionnels de la notation. Pour apporter une r��ponse au risque de la notation, le r��gulateur europ��en a r��agit avec vigueur. Par l���interm��diaire de son r��glement (CE) n��1060/2009 du 16 septembre 2009, l���Union europ��enne a d��cid�� d���encadrer l���activit�� de la notation au travers d���une gestion des conflits d���int��r��ts, d���un renforcement de la qualit�� de la notation et d���accroissement consid��rable de la transparence. C���est ce cadre r��glementaire adopt�� au dernier trimestre 2009, ainsi que son appr��ciation critique, qui fait l���objet du pr��sent article.
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L���administration syst��mique d���atorvastatine s���est montr��e neuroprotective suivant un traumatisme m��dullaire, en diminuant la r��ponse inflammatoire au site de la l��sion ainsi qu���en r��duisant l���apoptose des oligodendrocytes. Ce dernier ��pargne la mati��re blanche au site de l���insulte et am��liore la locomotion. Le but de cette ��tude ��tait de confirmer l���efficacit�� neuroprotective de l���atorvastatine ainsi que son action pr��coce, lorsqu���administr�� post-trauma, sur la limitation de l���apoptose. Des rats Sprague-Dawley femelles ont re��u une injection intrap��riton��ale de : (1) statine/saline (5 mg/kg) 2 h apr��s une l��sion contusive; (2) saline physiologique 2 h post-contusion; ou (3) saline physiologique sans l��sion. Les rats trait��s �� la statine ont montr�� une am��lioration significative (p<0.05) de leur locomotion apr��s 4 semaines post-trauma, compar��e au groupe �� v��hicule �� l��s��. Expliquant cette observation, l���activit�� de la caspase-3 fut diminu��e de 50% (p<0.05) et la m��thode de TUNEL r��v��la une diminution d���approximativement 20% du nombre de cellules apoptotiques au site l��sionnel (p<0.01) 4 h apr��s l���insulte contusive chez le groupe trait�� en comparaison aux groupes �� véhicules ��. Ces r��sultats d��montrent que l���atorvastatine est efficace dans la pr��vention de l���apoptose pr��coce au site l��sionnel dans un mod��le exp��rimental de traumatisme m��dullaire apr��s seulement 2 h post-traumatisme.
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Le nombre d'unions o�� les deux conjoints n'ont pas la m��me langue maternelle est en augmentation depuis les derni��res d��cennies au Qu��bec. Sachant que les enfants issus de ces unions gravitent dans un univers familial plurilingue, l'objectif de ce m��moire est de conna��tre les langues qui leur sont transmises. En utilisant les donn��es du questionnaire long du recensement canadien de 2006, nous avons proc��d�� �� diff��rentes analyses descriptives nous permettant de cerner les langues maternelles v��hicul��es aux enfants issus d'une union mixte, de v��rifier si ces enfants h��ritent davantage de la langue maternelle de leur m��re ou de leur p��re et s'ils op��rent des substitutions linguistiques avant l'��ge de 18 ans, c'est-��-dire si leur langue maternelle diff��re de leur langue d'usage. De plus, par le biais de r��gressions logistiques, nous avons ��tudi�� les d��terminants contextuel, ethno-culturel et socio-��conomique les plus susceptibles d'expliquer le choix de la langue transmise aux enfants. Les r��sultats obtenus d��montrent la place pr��dominante des langues officielles canadiennes, au d��triment des langues non officielles, chez les familles exogames. De plus, le choix de la langue maternelle transmise s'av��re principalement conditionn�� par le lieu de r��sidence, le parcours migratoire des parents et le pays de naissance des enfants.