327 resultados para Tournées de véhicules


Relevância:

10.00% 10.00%

Publicador:

Resumo:

Rfrence bibliographique : Rol, 59850

Relevância:

10.00% 10.00%

Publicador:

Resumo:

Rfrence bibliographique : Rol, 59851

Relevância:

10.00% 10.00%

Publicador:

Resumo:

Rfrence bibliographique : Rol, 59917

Relevância:

10.00% 10.00%

Publicador:

Resumo:

Document ralis dans le cadre de la collection Archives en mouvement. Sous la direction d'Yvon Lemay, la collection vise explorer la diffusion par l'utilisation de documents d'archives.

Relevância:

10.00% 10.00%

Publicador:

Resumo:

"Mmoire prsent la Facult des tudes suprieures en vue de l'obtention du grade de matrise en droit (LL.M.)"

Relevância:

10.00% 10.00%

Publicador:

Resumo:

Les agences de notation de crdit ont permis la banalisation des véhicules de titrisation. Elles ont sous-estim la probabilit que les metteurs de certains instruments financiers complexes ne puissent pas honorer leurs dettes. Elles ont tard reflter la dtrioration du march de leurs notes. Les agences de notation ont donc t en partie responsables de la tempte que traversent les places financires mondiales et ont expos les entreprises un risque srieux de dfiance. Alors que les entreprises doivent lheure actuelle matriser de multiples risques, celles-ci ont t les premires victimes des professionnels de la notation. Pour apporter une rponse au risque de la notation, les rgulateurs tentent de ragir. Par lintermdiaire de leur autorit boursire, les Etats-Unis ont t les premiers modifier le cadre rglementaire de lactivit de la notation. Cest ce cadre rglementaire, adopt au premier trimestre 2009, qui fait lobjet du prsent papier.

Relevância:

10.00% 10.00%

Publicador:

Resumo:

Limage qua la population du phnomne des gangs est fortement influence par les mdias. Les informations vhicules par les journaux et par les canaux de nouvelles mettent gnralement lemphase sur les strotypes associs aux gangs et aux comportements de ces derniers. Ceci a pour consquence de rehausser la crainte que dveloppe la population lendroit des gangs de rue. Dans un contexte o le phnomne des gangs parat devenu omniprsent dans nos quartiers, nos villes et reprsente une problmatique en expansion dans plusieurs grandes villes du Qubec et du Canada, une attention particulire porte au trafic de drogues fait par les membres de gangs de rue, reconnu par plusieurs comme la principale activit des gangs de rue, revt sans nul doute un grand intrt. Obtenir la description la plus prcise possible, faite par des membres ou dex-membres de gangs de rue, partir de leurs connaissances concernant le trafic de drogues tant donn leur appartenance et leur implication dans les activits dun gang de rue et, le cas chant, le trafic de drogues effectu par ce dernier, reprsente lobjectif principal de la prsente tude. Cest par le biais dentrevues avec les principaux concerns que le trafic de drogues fait par les membres de gangs est abord. Au total, quinze entrevues semi-directives ont t ralises auprs de membres et ex-membres de gangs de rue, tous une exception prs - pris en charge au Centre jeunesse de Montral-Institut universitaire. Globalement, il ressort de cette tude quen plus du trafic de stupfiants, les gangs ou les membres de gangs sadonneraient une dlinquance polymorphe, le trafic tant rarement lunique source de revenus du gang ou du membre. De plus, le trafic de stupfiants ne serait pas une activit exclusive aux gangs de rue auxquels appartiennent les membres interviews. Ainsi, mme si lon retrouve un certain nombre de membres participant la vente comme activit structure dun gang, il est possible pour un membre deffectuer de la vente de drogues de faon indpendante, tout en tant affili un gang de rue. Il appert que la plupart des interviews font partie dune clique, sidentifient une couleur ou un quartier, et sapprovisionnent en drogues auprs de membres plus gs et hauts placs dans la structure des gangs de rue, que les rpondants identifient comme tant les vtrans. En ce qui les concerne, les rpondants signalent limportance de gagner la confiance des plus haut placs sils souhaitent dbuter et voluer dans la vente de stupfiants. Lorsque la confiance est prsente et que le nouveau vendeur dbute ses activits, soit il sapproprie un territoire, gnralement lintrieur de son quartier, soit on lui fournit un endroit de vente o il peut travailler . La prsence dun membre de la famille dj affili un gang parat faciliter le processus daccs des nouveaux lactivit de trafic. Lorsque les interviews abordent laspect du territoire de vente, plusieurs dimensions viennent sy greffer : la comptition, les conflits, les interactions avec les gangs ennemis et la violence, pour ne nommer que celles-l. Les interviews indiquent vendre une certaine varit de drogues, le cannabis et le crack reprsentant les deux drogues les plus couramment cites. La marge de profits varierait, entre autres, en fonction du type de drogue vendue, du quartier et des caractristiques de la clientle. Cette dernire, malgr quelle soit diversifie, comporte une constante : les consommateurs dpendants sont, comme plusieurs interviews lont mentionn, prts tout pour assurer leur consommation. Les consommateurs sont ordinairement des tudiants, des propritaires de commerces, des employs de bars, des travailleurs de la construction, des itinrants, des prostitus, des ftards, des voyageurs de passage Montral. Les rpondants dnotent galement la prsence de policiers, agents doubles, pouvant se prsenter comme clients. Ceci tant, il leur apparat essentiel de dvelopper des habilets permettant de dtecter la prsence policire et la distinguer des clients rguliers. Ct consommation, les interviews affirment se limiter presquessentiellement lalcool et au cannabis. Nanmoins, plusieurs avouent avoir consomm une grande varit dintoxicants au cours de leur vie. Plusieurs signalent quune trop grande consommation nuit la vente de stupfiants.

Relevância:

10.00% 10.00%

Publicador:

Resumo:

Problmatique : Larrive des tests de pharmacogntique a t annonce dans les mdias et la littrature scientifique telle une rvolution, un tournant vers la mdecine personnalise. En ralit, cette rvolution se fait toujours attendre. Plusieurs barrires lgislatives, scientifiques, professionnelles et thiques sont dcrites dans la littrature comme tant la cause du dlai de la translation des tests de pharmacogntique, du laboratoire vers la clinique. Cet optimisme quant larrive de la pharmacogntique et ces barrires existent-elles au Qubec? Quel est le contexte de translation des tests de pharmacogntique au Qubec? Actuellement, il nexiste aucune donne sur ces questions. Il est pourtant essentiel de les valuer. Alors que les attentes et les pressions pour lintgration rapide de technologies gntiques sont de plus en plus leves sur le systme de sant qubcois, labsence de planification et de mcanisme de translation de ces technologies font craindre une translation et une utilisation inadquates. Objectifs : Un premier objectif est dclairer et denrichir sur les conditions dutilisation et de translation ainsi que sur les enjeux associs aux tests de pharmacogntique dans le contexte qubcois. Un deuxime objectif est de cerner ce qui est vhicul sur la PGt dans diffrentes sources, dont les mdias. Il ne sagit pas dvaluer si la pharmacogntique devrait tre intgre dans la clinique, mais de mettre en perspective les espoirs vhiculs et la ralit du terrain. Ceci afin dorienter la rflexion quant au dveloppement de mcanismes de translation efficients et de politiques associes. Mthodologie : Lanalyse des discours de plusieurs sources documentaires (n=167) du Qubec et du Canada (1990-2005) et dentretiens avec des experts qubcois (n=19) a t effectue. Quatre thmes ont t analyss : 1) le positionnement et les perceptions envers la pharmacogntique; 2) les avantages et les risques relis son utilisation; 3) les rles et les tensions entre professionnels; 4) les barrires et les solutions de translation. Rsultats : Lanalyse des reprsentations vhicules sur la pharmacogntique dans les sources documentaires se cristallise autour de deux ples. Les reprsentations optimistes qui rvlent une fascination envers la mdecine personnalise, crant des attentes ( Gnohype ) en regard de larrive de la pharmacogntique dans la clinique. Les reprsentations pessimistes qui rvlent un scepticisme ( Gnomythe ) envers larrive de la pharmacogntique et qui semblent imprgns par lhistorique des reprsentations mdiatiques ngatives de la gntique. Quant lanalyse des entretiens, celle-ci a permis de mettre en lumire le contexte actuel du terrain daccueil. En effet, selon les experts interviews, ce contexte comporte des dficiences lgislatives et un dysfonctionnement organisationnel qui font en sorte que lutilisation des tests de pharmacogntique est limite, fragmente et non standardise. Sajoute ceci, le manque de donnes probantes et de dialogue entre des acteurs mal ou peu informs, la rsistance et la crainte de certains professionnels. Discussion : Plusieurs changements dans la rglementation des systmes dinnovation ainsi que dans le contexte daccueil seront ncessaires pour rendre accessibles les tests de pharmacogntique dans la pratique clinique courante. Des mcanismes facilitateurs de la translation des technologies et des facteurs cls de russite sont proposs. Enfin, quelques initiatives phares sont suggres. Conclusion : Des efforts au niveau international, national, provincial et local sont indispensables afin de rsoudre les nombreux obstacles de la translation des tests de pharmacogntique au Qubec et ainsi planifier lavenir le plus efficacement et srement possible.

Relevância:

10.00% 10.00%

Publicador:

Resumo:

INTRODUCTION : En milieu urbain, lamlioration de la scurit des pitons pose un dfi de sant publique. Pour chaque dcs attribuable aux collisions routires, il y a des centaines de personnes blesses et, dans les pays riches, la diminution du nombre annuel de pitons dcds sexpliquerait en partie par la diminution de la marche. Les stratgies prventives prdominantes ninterviennent pas sur le volume de circulation automobile, un facteur pourtant fondamental. De plus, les interventions environnementales pour amliorer la scurit des infrastructures routires se limitent habituellement aux sites comptant le plus grand nombre de dcs ou de blesss. Cette thse vise dcrire la contribution des volumes de circulation automobile, des pratiques locales de marche et de la gomtrie des routes au nombre et la rpartition des pitons blesss en milieu urbain, et dainsi tablir le potentiel dune approche populationnelle oriente vers la reconfiguration des environnements urbains pour amliorer la scurit des pitons. MTHODE : Le devis est de type descriptif et transversal. Les principales sources de donnes sont les registres des services ambulanciers dUrgences-sant (blesss de la route), lenqute Origine-Destination (volumes de circulation automobile), la Gobase du rseau routier montralais (gomtrie des routes) et le recensement canadien (pratiques locales de marche, position socioconomique). Les analyses descriptives comprennent la localisation cartographique (coordonnes x,y) de lensemble des sites de collision. Des modles de rgression multi-niveaux nichent les intersections dans les secteurs de recensement et dans les arrondissements. RSULTATS : Les analyses descriptives dmontrent une grande dispersion des sites de collision au sein des quartiers. Les analyses multivaries dmontrent les effets significatifs, indpendants du volume de circulation automobile, de la prsence dartre(s) et dune quatrime branche aux intersections, ainsi que du volume de marche dans le secteur, sur le nombre de pitons blesss aux intersections. Lanalyse multi-niveaux dmontre une grande variation spatiale de leffet du volume de circulation automobile. Les facteurs environnementaux expliquent une part substantielle de la variation spatiale du nombre de blesss et du gradient socioconomique observ. DISCUSSION : La grande dispersion des sites de collision confirme la pertinence dune approche ne se limitant pas aux sites comptant le plus grand nombre de blesss. Les rsultats suggrent que des stratgies prventives bases sur des approches environnementales et populationnelle pourraient considrablement rduire le nombre de pitons blesss ainsi que les ingalits observes entre les quartiers.

Relevância:

10.00% 10.00%

Publicador:

Resumo:

Le projet de territoire naura jamais suscit autant de dbats et de passions. Son devenir mobilise bien des gards la construction collective dun dessein se matrialisant par des formes qui informent des forces tout autant que par des forces qui investissent des formes lesquelles traduisent les valeurs du moment. Par consquent, cette projection dans un avenir partag amne des exigences sociales en matire ddification du projet de territoire mettant lordre du jour la complexit dune telle entreprise. Lenchevtrement dactions et de logiques qui sy oprent et qui sy expriment pour en laborer, dans la plus grande incertitude, les contours dun futur souhait nous presse de sy prononcer : la construction complexe dun dessein territorial sexhibant nous interpelle quant son valuation voire quant sa reformulation. Parmi les modalits dexpression qui permettent une telle dlibration, il y a lnonc visuel. Mdiation discursive privilgie, elle autorise llaboration et la mise en scne collective dun devenir territorial possible. Or depuis quelques annes, au couple projet / reprsentation, vient se superposer une autre mdiation, celle du numrique. Porte par le dveloppement des technologies de linformation, celle-ci sinvite dans le champ de ldification du projet de territoire. En salliant avec la puissance de limage, elle recompose les reprsentations dun dessein territorial collectivement formul, ouvrant un nouvel espace dactions loccasion dune dmarche de planification. Dmarche de plus en plus complexe. De surcroit, la prsente recherche tient cette complexit non comme un mot fourre-tout ou une tare dont il faudrait se dbarrasser, mais se rsout laffronter en sinscrivant dans un paradigme en pleine gestation, celui de la pense complexe. La fcondit autant conceptuelle quopratoire dune telle inscription permettra de jeter un regard renouvel sur une pratique travers une de ses modalits discursives la fois la plus manifeste et la moins questionne, savoir lnonc visuel. En fin de compte, les reprsentations notamment celles construites et vhicules par le numrique sauront-elles rendre compte et relever le dfi de ldification collective dun projet de territoire qui se pose dans toute sa complexit ? Telle est en substance le questionnement dont cette recherche sattellera apporter des lments de rponse et esquisser de nouvelles perspectives.

Relevância:

10.00% 10.00%

Publicador:

Resumo:

Les agences de notation de crdit ont permis la banalisation des véhicules de titrisation. Elles ont sous-estim la probabilit que les metteurs de certains instruments financiers complexes ne puissent pas honorer leurs dettes. Elles ont tard reflter la dtrioration du march de leurs notes. Les agences de notation ont donc t en partie responsables de la tempte que traversent les places financires mondiales et ont expos les entreprises un risque srieux de dfiance. Alors que les entreprises doivent lheure actuelle matriser de multiples risques, celles-ci ont t les premires victimes des professionnels de la notation. Pour apporter une rponse au risque de la notation, le rgulateur europen a ragit avec vigueur. Par lintermdiaire de son rglement (CE) n1060/2009 du 16 septembre 2009, lUnion europenne a dcid dencadrer lactivit de la notation au travers dune gestion des conflits dintrts, dun renforcement de la qualit de la notation et daccroissement considrable de la transparence. Cest ce cadre rglementaire adopt au dernier trimestre 2009, ainsi que son apprciation critique, qui fait lobjet du prsent article.

Relevância:

10.00% 10.00%

Publicador:

Resumo:

Ladministration systmique datorvastatine sest montre neuroprotective suivant un traumatisme mdullaire, en diminuant la rponse inflammatoire au site de la lsion ainsi quen rduisant lapoptose des oligodendrocytes. Ce dernier pargne la matire blanche au site de linsulte et amliore la locomotion. Le but de cette tude tait de confirmer lefficacit neuroprotective de latorvastatine ainsi que son action prcoce, lorsquadministr post-trauma, sur la limitation de lapoptose. Des rats Sprague-Dawley femelles ont reu une injection intrapritonale de : (1) statine/saline (5 mg/kg) 2 h aprs une lsion contusive; (2) saline physiologique 2 h post-contusion; ou (3) saline physiologique sans lsion. Les rats traits la statine ont montr une amlioration significative (p<0.05) de leur locomotion aprs 4 semaines post-trauma, compare au groupe vhicule ls. Expliquant cette observation, lactivit de la caspase-3 fut diminue de 50% (p<0.05) et la mthode de TUNEL rvla une diminution dapproximativement 20% du nombre de cellules apoptotiques au site lsionnel (p<0.01) 4 h aprs linsulte contusive chez le groupe trait en comparaison aux groupes véhicules . Ces rsultats dmontrent que latorvastatine est efficace dans la prvention de lapoptose prcoce au site lsionnel dans un modle exprimental de traumatisme mdullaire aprs seulement 2 h post-traumatisme.

Relevância:

10.00% 10.00%

Publicador:

Resumo:

Le nombre d'unions o les deux conjoints n'ont pas la mme langue maternelle est en augmentation depuis les dernires dcennies au Qubec. Sachant que les enfants issus de ces unions gravitent dans un univers familial plurilingue, l'objectif de ce mmoire est de connatre les langues qui leur sont transmises. En utilisant les donnes du questionnaire long du recensement canadien de 2006, nous avons procd diffrentes analyses descriptives nous permettant de cerner les langues maternelles vhicules aux enfants issus d'une union mixte, de vrifier si ces enfants hritent davantage de la langue maternelle de leur mre ou de leur pre et s'ils oprent des substitutions linguistiques avant l'ge de 18 ans, c'est--dire si leur langue maternelle diffre de leur langue d'usage. De plus, par le biais de rgressions logistiques, nous avons tudi les dterminants contextuel, ethno-culturel et socio-conomique les plus susceptibles d'expliquer le choix de la langue transmise aux enfants. Les rsultats obtenus dmontrent la place prdominante des langues officielles canadiennes, au dtriment des langues non officielles, chez les familles exogames. De plus, le choix de la langue maternelle transmise s'avre principalement conditionn par le lieu de rsidence, le parcours migratoire des parents et le pays de naissance des enfants.