979 resultados para Total investment
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Investment has declined in the euro area since the start of the economic and financial crisis, but this does not mean that there is necessarily an ‘investment gap’, explains Daniel Gros in this CEPS Policy Brief. Investment was probably above a sustainable level due to the credit boom before 2007. Moreover, the fall in the euro area’s potential growth − due to a combination of a sharp demographic slowdown and lower total factor productivity (TFP) growth − should also lead to a permanently lower investment rate. Increasing the investment rate might thus be the wrong target for economic policy. The author advises that the aim of economic policy should be to increase consumption, rather than investment overall. Increasing infrastructure investment might be justified in some member countries, but it is not a ‘free lunch’ when efficiency levels are low, which seems to be the case in some of the financially stressed euro area countries.
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Since the start of 2015, the ECB has been applying quantitative easing (QE), i.e. a programme in which large amounts of money are injected in the economy. Every month the ECB buys €60 billion of government bonds and in so doing injects the same amount of money in the economy. To date, the total amount of liquidity injection approaches €700 billion. On 3 December 2015, the ECB announced that this programme would be continued until February 2017. As a result, the cumulative amount of bond purchases will then reach €1.56 trillion.
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There is increasing empirical and theoretical evidence that foreign direct investment (FDI) may be motivated not by the desire to exploit some competitive advantage possessed by multinationals, but to access the technology of host economy firms. Using a panel of FDI flows across OECD countries and manufacturing sectors between 1984 and 1995, we test whether these contrasting motivations influence the effects that FDI has on domestic total factor productivity. The distinction between technology-exploiting FDI (TEFDI) and technology-sourcing FDI (TSFDI) is made using R&D intensity differentials between host and source sectors. The hypothesis that the motivation for FDI has an effect on total factor productivity spillovers is supported: TEFDI has a net positive effect, while TSFDI has a net negative effect. These net effects are explained in terms of the offsetting influences of productivity spillovers and market stealing effects induced by incoming multinationals.
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This article compares the importance of agglomerations of local firms, and inward FDI as drivers of regional development. The empirical analysis exploits a unique panel dataset of the Italian manufacturing sector at the regional and industry levels. We explore whether FDI and firm agglomeration can be drivers of total factor productivity (separately and jointly), with this effect being robust to different estimators, and different assumptions about inter-regional effects. In particular, we isolate one form of firm agglomeration that is especially relevant in the Italian context, industrial districts, in order to ascertain their impact on productivity. In so doing, we distinguish standard agglomeration and localization economies from industrial districts to understand what additional impact the latter has on standard agglomeration effects. Interaction effects between FDI spillovers and different types of agglomeration economies shed some light on the heterogeneity of regional development patterns as well as on the opportunity to fine tune policy measures to specific regional contexts.
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We implement a method to estimate the direct effects of foreign-ownership on foreign firms' productivity and the indirect effects (or spillovers) from the presence of foreign-owned firms on other foreign and domestic firms' productivity in a unifying framework, taking interactions between firms into account. To do so, we relax a fundamental assumption made in empirical studies examining a direct causal effect of foreign ownership on firm productivity, namely that of no interactions between firms. Based on our approach, we are able to combine direct and indirect effects of foreign ownership and calculate the total effect of foreign firms on local productivity. Our results show that all these effects vary with the level of foreign presence within a cluster, an important finding for the academic literature and policy debate on the benefits of attracting foreign owned firms.
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Cette thèse examine l’investissement en capital humain au Canada en s’intéressant à la contribution de l’aide financière aux études, aux effets de la fiscalité, à la rentabilité de l’investissement en éducation postsécondaire et à la redistribution des revenus. Elle est subdivisée en cinq chapitres. Le premier chapitre présente une révue chronologique des études microéconomiques sur l’investissement en capital humain. Il présente également une synthèse des études canadiennes sur l’investissement en capital humain en insistant sur les limites portant essentiellement sur la non prise en compte de l’hétérogénéité des systèmes de prêts et bourses et des systèmes fiscaux à travers les provinces canadiennes et la faible analyse de la répartition des coûts et bénéfices de l’investissement en éducation au Canada. Le second chapitre présente la méthodologie de mesure des rendements de l’éducation et des gains issus des investissements en éducation. Il décrit les données utilisées et les résultats des régressions économetriques. Finalement, le chapitre présente SIMAID, un calculateur d’aide financière aux études élaboré pour les objectifs dans cette thèse et qui permet d’estimer le montant de l’aide financière devant être attribuée à chaque étudiant en fonction de ses caractéristiques personnelles et de celles de sa famille. Dans sa première section, le troisième chapitre présente les rendements sociaux, privés et publics de l’éducation et montre que les rendements de l’éducation varient selon les provinces, les filières de formation, le genre et les cohortes d’année de naissance et décroient avec le niveau d’éducation. Dans sa seconde section, le chapitre montre que l’aide financière aux études accroît le rendement des études du baccalauréat de 24.3% et 9.5% respectivement au Québec et en Ontario. Finalement, le chapitre indique qu’un changement du système d’aide financière aux études de Québec par celui de l’Ontario entraîne une baisse de 11.9% du rendement des études au baccalauréat alors qu’un changement du système fiscal québécois par celui ontarien entraine une hausse du rendement du baccalauréat de 4.5%. L’effet combiné du changement des systèmes d’aide financière et fiscal est une baisse du rendement du baccalauréat de 7.4%. Le quatrième chapitre fournit une décomposition comptable détaillée des gains sociaux, privés et publics des investissements en éducation. Le gain social de l’investissement au baccalauréat est de $738 384 au Québec et de $685 437 en Ontario. Ce gain varie selon les filières de formation avec un niveau minimal pour les études humanitaires et un niveau maximal pour les études en ingénierie. Le chapitre montre également que la répartition des bénéfices et des coûts de l’investissement en éducation entre les individus et le gouvernement est plus équitable en Ontario qu’à Québec. En effet, un individu qui investit à Québec supporte 51.6% du coût total et engrange 64.8% des gains alors que le même individu supporterait 62.9% des coûts sociaux et engrangerait 62.2% des gains en Ontario. Finalement, le cinquième chapitre présente et analyse les effets rédistributifs des transferts et des taxes suite à un investissement en éducation. Il examine aussi si l’aide financière aux études est effectivement allouée aux personnes les plus pauvres. L’argument selon lequel l’aide financière est destinée aux plus pauvres est rejeté en analysant la distribution du revenu permanent. En effet, il ressort que 79% des personnes bénéficiant de l’aide financière aux études se trouvent dans le cinquième quintile de la distribution des revenus permanents. Le chapitre montre également que l’investissement en éducation impacte positivement les effets rédistributifs en 2006, 2001 et 1996 et négativement en 1991 et 2011. L’impact est également perceptible sur les composantes de l’effet rédistributif. Toutefois, la sensibilité de l’impact au taux d’actualisation dépend de l’indice utilisé dans l’analyse.
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The Moreton Bay prawn trawl fishery is one of Queensland’s oldest commercial fisheries, but is currently economically unsustainable. The fishery is characterized by a mix of large and small vessels, with the small vessels facing different licensing and boat replacement restrictions to the large. Industry have proposed the removal of the current two-for-one boat replacement policy that affects the smaller vessels to encourage investment and replacement by larger vessels, although there is concern by managers about the impact of this on total fishing effort and sustainability of the stocks, despite the existence of a total cap in vessel capacity units. We estimate the impact of removing the boat replacement policy for the smaller vessels on fleet performance and total fishing effort, and find that removing the boat replacement policy is unlikely to result in a substantial increase in fishing effort due to the existence of a vessel unitization scheme.