158 resultados para Sulcus vocalis
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Oratoire.
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Cet opuscule commence (folio 7 recto) par un résumé de la légende iranienne depuis Housheng ; vient ensuite celle des Sassanides (folio 12 verso), sous une forme encore plus sommaire ; celle de Mahomet et des khalifes (folio 16 recto), jusqu'à Mostaʿsim billah, le dernier vicaire du Prophète, qui fut mis à mort par Houlagou ; ensuite vient un chapitre, qui est donné comme le troisième de l'ouvrage (folio 26 recto), dans lequel se trouve une histoire fantaisiste du khalife Maʾmoun ; puis un chapitre donné comme le quatrième (folio 57 recto), qui expose une histoire romanesque du khalife. omayyade Valid II, fils de Yazid ; après quoi, vient un chapitre, qui serait le cinquième (folio 73 verso), dans lequel il est parlé des aventures extraordinaires qui survinrent au roi sassanide Shapour, fils d'Hormouz, à la cour de l'empereur grec, lesquelles forment une grande partie de ce recueil de légendes. On lit, à l'intérieur de l'un des plats de la reliure, le titre fantaisiste de تحفة المرتاض في التاريخ, avec cette glose que c'est une histoire des rois, contenant des anecdotes admirables et de très beaux enseignements. Manuscrit de luxe, orné d'un sarloh, enluminé en bleu et en or.
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Dastan-i Kahreman-i katil
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Commentaire sur le Coran
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La voix humaine constitue la partie dominante de notre environnement auditif. Non seulement les humains utilisent-ils la voix pour la parole, mais ils sont tout aussi habiles pour en extraire une multitude d’informations pertinentes sur le locuteur. Cette expertise universelle pour la voix humaine se reflète dans la présence d’aires préférentielles à celle-ci le long des sillons temporaux supérieurs. À ce jour, peu de données nous informent sur la nature et le développement de cette réponse sélective à la voix. Dans le domaine visuel, une vaste littérature aborde une problématique semblable en ce qui a trait à la perception des visages. L’étude d’experts visuels a permis de dégager les processus et régions impliqués dans leur expertise et a démontré une forte ressemblance avec ceux utilisés pour les visages. Dans le domaine auditif, très peu d’études se sont penchées sur la comparaison entre l’expertise pour la voix et d’autres catégories auditives, alors que ces comparaisons pourraient contribuer à une meilleure compréhension de la perception vocale et auditive. La présente thèse a pour dessein de préciser la spécificité des processus et régions impliqués dans le traitement de la voix. Pour ce faire, le recrutement de différents types d’experts ainsi que l’utilisation de différentes méthodes expérimentales ont été préconisés. La première étude a évalué l’influence d’une expertise musicale sur le traitement de la voix humaine, à l’aide de tâches comportementales de discrimination de voix et d’instruments de musique. Les résultats ont démontré que les musiciens amateurs étaient meilleurs que les non-musiciens pour discriminer des timbres d’instruments de musique mais aussi les voix humaines, suggérant une généralisation des apprentissages perceptifs causés par la pratique musicale. La seconde étude avait pour but de comparer les potentiels évoqués auditifs liés aux chants d’oiseaux entre des ornithologues amateurs et des participants novices. L’observation d’une distribution topographique différente chez les ornithologues à la présentation des trois catégories sonores (voix, chants d’oiseaux, sons de l’environnement) a rendu les résultats difficiles à interpréter. Dans la troisième étude, il était question de préciser le rôle des aires temporales de la voix dans le traitement de catégories d’expertise chez deux groupes d’experts auditifs, soit des ornithologues amateurs et des luthiers. Les données comportementales ont démontré une interaction entre les deux groupes d’experts et leur catégorie d’expertise respective pour des tâches de discrimination et de mémorisation. Les résultats obtenus en imagerie par résonance magnétique fonctionnelle ont démontré une interaction du même type dans le sillon temporal supérieur gauche et le gyrus cingulaire postérieur gauche. Ainsi, les aires de la voix sont impliquées dans le traitement de stimuli d’expertise dans deux groupes d’experts auditifs différents. Ce résultat suggère que la sélectivité à la voix humaine, telle que retrouvée dans les sillons temporaux supérieurs, pourrait être expliquée par une exposition prolongée à ces stimuli. Les données présentées démontrent plusieurs similitudes comportementales et anatomo-fonctionnelles entre le traitement de la voix et d’autres catégories d’expertise. Ces aspects communs sont explicables par une organisation à la fois fonctionnelle et économique du cerveau. Par conséquent, le traitement de la voix et d’autres catégories sonores se baserait sur les mêmes réseaux neuronaux, sauf en cas de traitement plus poussé. Cette interprétation s’avère particulièrement importante pour proposer une approche intégrative quant à la spécificité du traitement de la voix.
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La perception visuelle ne se résume pas à la simple perception des variations de la quantité de lumière qui atteint la rétine. L’image naturelle est en effet composée de variation de contraste et de texture que l’on qualifie d’information de deuxième ordre (en opposition à l’information de premier ordre : luminance). Il a été démontré chez plusieurs espèces qu’un mouvement de deuxième ordre (variation spatiotemporelle du contraste ou de la texture) est aisément détecté. Les modèles de détection du mouvement tel le modèle d’énergie d’Adelson et Bergen ne permettent pas d’expliquer ces résultats, car le mouvement de deuxième ordre n’implique aucune variation de la luminance. Il existe trois modèles expliquant la détection du mouvement de deuxième ordre : la présence d’une circuiterie de type filter-rectify-filter, un mécanisme de feature-tracking ou simplement l’existence de non-linéarités précoces dans le traitement visuel. Par ailleurs, il a été proposé que l’information visuelle de deuxième ordre soit traitée par une circuiterie neuronale distincte de celle qui traite du premier ordre. Bon nombre d’études réfutent cependant cette théorie et s’entendent sur le fait qu’il n’y aurait qu’une séparation partielle à bas niveau. Les études électrophysiologiques sur la perception du mouvement de deuxième ordre ont principalement été effectuées chez le singe et le chat. Chez le chat, toutefois, seules les aires visuelles primaires (17 et 18) ont été extensivement étudiées. L’implication dans le traitement du deuxième ordre de l’aire dédiée à la perception du mouvement, le Sulcus syprasylvien postéro-médian latéral (PMLS), n’est pas encore connue. Pour ce faire, nous avons étudié les profils de réponse des neurones du PMLS évoqués par des stimuli dont la composante dynamique était de deuxième ordre. Les profils de réponses au mouvement de deuxième ordre sont très similaires au premier ordre, bien que moins sensibles. Nos données suggèrent que la perception du mouvement par le PMLS serait de type form-cue invariant. En somme, les résultats démontrent que le PMLS permet un traitement plus complexe du mouvement du deuxième ordre et sont en accord avec son rôle privilégié dans la perception du mouvement.
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La mémoire à court terme visuelle (MCTv) est un système qui permet le maintien temporaire de l’information visuelle en mémoire. La capacité en mémoire à court terme se définit par le nombre d’items qu’un individu peut maintenir en mémoire sur une courte période de temps et est limitée à environ quatre items. Il a été démontré que la capacité en MCTv et les habiletés mathématiques sont étroitement liées. La MCTv est utile dans beaucoup de composantes liées aux mathématiques, comme la résolution de problèmes, la visualisation mentale et l’arithmétique. En outre, la MCTv et le raisonnement mathématique font appel à des régions similaires du cerveau, notamment dans le cortex pariétal. Le sillon intrapariétal (SIP) semble être particulièrement important, autant dans la réalisation de tâches liées à la MCTv qu’aux habiletés mathématiques. Nous avons créé une tâche de MCTv que 15 participants adultes en santé ont réalisée pendant que nous enregistrions leur activité cérébrale à l’aide de la magnétoencéphalographie (MEG). Nous nous sommes intéressés principalement à la composante SPCM. Une évaluation neuropsychologique a également été administrée aux participants. Nous souhaitions tester l’hypothèse selon laquelle l’activité cérébrale aux capteurs pariéto-occipitaux pendant la tâche de MCTv en MEG sera liée à la performance en mathématiques. Les résultats indiquent que l’amplitude de l’activité pariéto-occipitale pendant la tâche de MCTv permet de prédire les habiletés mathématiques ainsi que la performance dans une tâche de raisonnement perceptif. Ces résultats permettent de confirmer le lien existant entre les habiletés mathématiques et le fonctionnement sous-jacent à la MCTv.
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Cette thèse a pour objectif de comparer les expressions émotionnelles évoquées par la musique, la voix (expressions non-linguistiques) et le visage sur les plans comportemental et neuronal. Plus précisément, le but est de bénéficier de l’indéniable pouvoir émotionnel de la musique afin de raffiner notre compréhension des théories et des modèles actuels associés au traitement émotionnel. Qui plus est, il est possible que cette disposition surprenante de la musique pour évoquer des émotions soit issue de sa capacité à s’immiscer dans les circuits neuronaux dédiés à la voix, bien que les évidences à cet effet demeurent éparses pour le moment. Une telle comparaison peut potentiellement permettre d’élucider, en partie, la nature des émotions musicales. Pour ce faire, différentes études ont été réalisées et sont ici présentées dans deux articles distincts. Les études présentées dans le premier article ont comparé, sur le plan comportemental, les effets d’expressions émotionnelles sur la mémoire entre les domaines musical et vocal (non-linguistique). Les résultats ont révélé un avantage systématique en mémoire pour la peur dans les deux domaines. Aussi, une corrélation dans la performance individuelle en mémoire a été trouvée entre les expressions de peur musicales et vocales. Ces résultats sont donc cohérents avec l’hypothèse d’un traitement perceptif similaire entre la musique et la voix. Dans le deuxième article, les corrélats neuronaux associés à la perception d’expressions émotionnelles évoquées par la musique, la voix et le visage ont été directement comparés en imagerie par résonnance magnétique fonctionnelle (IRMf). Une augmentation significative du signal « Blood Oxygen Level Dependent » (BOLD) a été trouvée dans l’amygdale (et à l’insula postérieure) en réponse à la peur, parmi l’ensemble des domaines et des modalités à l’étude. Une corrélation dans la réponse BOLD individuelle de l’amygdale, entre le traitement musical et vocal, a aussi été mise en évidence, suggérant à nouveau des similarités entre les deux domaines. En outre, des régions spécifiques à chaque domaine ont été relevées. Notamment, le gyrus fusiforme (FG/FFA) pour les expressions du visage, le sulcus temporal supérieur (STS) pour les expressions vocales ainsi qu’une portion antérieure du gyrus temporal supérieur (STG) particulièrement sensible aux expressions musicales (peur et joie), dont la réponse s’est avérée modulée par l’intensité des stimuli. Mis ensemble, ces résultats révèlent des similarités mais aussi des différences dans le traitement d’expressions émotionnelles véhiculées par les modalités visuelle et auditive, de même que différents domaines dans la modalité auditive (musique et voix). Plus particulièrement, il appert que les expressions musicales et vocales partagent d’étroites similarités surtout en ce qui a trait au traitement de la peur. Ces données s’ajoutent aux connaissances actuelles quant au pouvoir émotionnel de la musique et contribuent à élucider les mécanismes perceptuels sous-jacents au traitement des émotions musicales. Par conséquent, ces résultats donnent aussi un appui important à l’utilisation de la musique dans l’étude des émotions qui pourra éventuellement contribuer au développement de potentielles interventions auprès de populations psychiatriques.
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Recent brain imaging studies using functional magnetic resonance imaging (fMRI) have implicated insula and anterior cingulate cortices in the empathic response to another's pain. However, virtually nothing is known about the impact of the voluntary generation of compassion on this network. To investigate these questions we assessed brain activity using fMRI while novice and expert meditation practitioners generated a loving-kindness-compassion meditation state. To probe affective reactivity, we presented emotional and neutral sounds during the meditation and comparison periods. Our main hypothesis was that the concern for others cultivated during this form of meditation enhances affective processing, in particular in response to sounds of distress, and that this response to emotional sounds is modulated by the degree of meditation training. The presentation of the emotional sounds was associated with increased pupil diameter and activation of limbic regions (insula and cingulate cortices) during meditation (versus rest). During meditation, activation in insula was greater during presentation of negative sounds than positive or neutral sounds in expert than it was in novice meditators. The strength of activation in insula was also associated with self-reported intensity of the meditation for both groups. These results support the role of the limbic circuitry in emotion sharing. The comparison between meditation vs. rest states between experts and novices also showed increased activation in amygdala, right temporo-parietal junction (TPJ), and right posterior superior temporal sulcus (pSTS) in response to all sounds, suggesting, greater detection of the emotional sounds, and enhanced mentation in response to emotional human vocalizations for experts than novices during meditation. Together these data indicate that the mental expertise to cultivate positive emotion alters the activation of circuitries previously linked to empathy and theory of mind in response to emotional stimuli.
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Locomoting through the environment typically involves anticipating impending changes in heading trajectory in addition to maintaining the current direction of travel. We explored the neural systems involved in the “far road” and “near road” mechanisms proposed by Land and Horwood (1995) using simulated forward or backward travel where participants were required to gauge their current direction of travel (rather than directly control it). During forward egomotion, the distant road edges provided future path information, which participants used to improve their heading judgments. During backward egomotion, the road edges did not enhance performance because they no longer provided prospective information. This behavioral dissociation was reflected at the neural level, where only simulated forward travel increased activation in a region of the superior parietal lobe and the medial intraparietal sulcus. Providing only near road information during a forward heading judgment task resulted in activation in the motion complex. We propose a complementary role for the posterior parietal cortex and motion complex in detecting future path information and maintaining current lane positioning, respectively. (PsycINFO Database Record (c) 2010 APA, all rights reserved)
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Visual observation of human actions provokes more motor activation than observation of robotic actions. We investigated the extent to which this visuomotor priming effect is mediated by bottom-up or top-down processing. The bottom-up hypothesis suggests that robotic movements are less effective in activating the ‘mirror system’ via pathways from visual areas via the superior temporal sulcus to parietal and premotor cortices. The top-down hypothesis postulates that beliefs about the animacy of a movement stimulus modulate mirror system activity via descending pathways from areas such as the temporal pole and prefrontal cortex. In an automatic imitation task, subjects performed a prespecified movement (e.g. hand opening) on presentation of a human or robotic hand making a compatible (opening) or incompatible (closing) movement. The speed of responding on compatible trials, compared with incompatible trials, indexed visuomotor priming. In the first experiment, robotic stimuli were constructed by adding a metal and wire ‘wrist’ to a human hand. Questionnaire data indicated that subjects believed these movements to be less animate than those of the human stimuli but the visuomotor priming effects of the human and robotic stimuli did not differ. In the second experiment, when the robotic stimuli were more angular and symmetrical than the human stimuli, human movements elicited more visuomotor priming than the robotic movements. However, the subjects’ beliefs about the animacy of the stimuli did not affect their performance. These results suggest that bottom-up processing is primarily responsible for the visuomotor priming advantage of human stimuli.
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In nonhuman species, testosterone is known to have permanent organizing effects early in life that predict later expression of sex differences in brain and behavior. However, in humans, it is still unknown whether such mechanisms have organizing effects on neural sexual dimorphism. In human males, we show that variation in fetal testosterone (FT) predicts later local gray matter volume of specific brain regions in a direction that is congruent with sexual dimorphism observed in a large independent sample of age-matched males and females from the NIH Pediatric MRI Data Repository. Right temporoparietal junction/posterior superior temporal sulcus (RTPJ/pSTS), planum temporale/parietal operculum (PT/PO), and posterior lateral orbitofrontal cortex (plOFC) had local gray matter volume that was both sexually dimorphic and predicted in a congruent direction by FT. That is, gray matter volume in RTPJ/pSTS was greater for males compared to females and was positively predicted by FT. Conversely, gray matter volume in PT/PO and plOFC was greater in females compared to males and was negatively predicted by FT. Subregions of both amygdala and hypothalamus were also sexually dimorphic in the direction of Male > Female, but were not predicted by FT. However, FT positively predicted gray matter volume of a non-sexually dimorphic subregion of the amygdala. These results bridge a long-standing gap between human and nonhuman species by showing that FT acts as an organizing mechanism for the development of regional sexual dimorphism in the human brain.
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Results of a cladistic analysis of the suborder Conulariina Miller and Gurley, 1896, a major extinct (Vendian-Triassic) group of scyphozoan cnidarians, are presented. The analysis sought to test whether the three conulariid subfamilies (Conulariinae Walcott, 1886, Paraconulariinae Sinclair, 1952 and Ctenoconulariinae Sinclair, 1952) recognized in the Treatise on Invertebrate Paleontology ( TIP) are monophyletic. A total of 17 morphological characters were scored for 16 ingroup taxa, namely the genera Archaeoconularia, Baccaconularia, Climacoconus, Conularia, Conulariella, Conularina, Ctenoconularia, Eoconularia, Glyptoconularia, Metaconularia, Notoconularia, Paraconularia, Pseudoconularia, Reticulaconularia, Teresconularia and Vendoconularia. The extant medusozoan taxa Cubozoa, Stauromedusae, Coronatae and Semaeostomeae served as outgroups. Unweighted analysisof the data matrix yielded 1057 trees, and successive weighting analysis resulted in one of the 1057 original trees. The ingroup is monophyletic with two autapomorphies: (1) the quadrate geometry of the oral region; and (2) the presence of a mineralized (phosphatic) periderm. Within the ingroup, the clade (Vendoconularia, Teresconularia, Conularina, Eoconularia) is supported by the sinusoidal longitudinal geometry of the transverse ridges, and the much larger clade (Baccaconularia, Glyptoconularia, Metaconularia, Pseudoconularia, Conularia, Ctenoconularia, Archaeoconularia, Notoconularia, Climacoconus, Paraconularia, Reticulaconularia) is supported by the presence of external tubercles, which, however, were lost in the clade (Notoconularia, Climacoconus, Paraconularia, Reticulaconularia). As proposed by Van Iten et al. (2000), the clade (Notoconularia, Climacoconus, Paraconularia, Reticulaconularia) is supported by the termination and alternation of the transverse ribs in the corner sulcus. The previously recognized subfamilies Conulariinae, Paraconulariinae and Ctenoconulariinae were not recovered from this analysis. The diagnostic features of Conulariinae (continuation of the transverse ornament across the corner sulcus and lack of carinae) and Ctenoconulariinae ( presence of carinae) are symplesiomorphic or homoplastic, and Paraconulariinae is polyphyletic. The families Conulariellidae Kiderlen, 1937 and Conulariopsidae Sugiyama, 1942, also recognized in the TIP, are monogeneric, and since they provide no additional phylogenetic information, should be abandoned.
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O trajeto das artérias coronárias foi estudado no cervo-do-pantanal para comparação com os ruminantes domésticos. A artéria coronária esquerda se origina na aorta, na superfície auricular cardíaca e divide-se em ramos paraconal e circunflexo, os quais preenchem o sulco paraconal interventricular e sulco subsinuoso, respectivamente; esta artéria também origina um ramo para o conus arteriosus imediatamente antes de entrar no miocárdio. A artéria coronária direita surge da aorta, na borda cranial cardíaca e termina nesta borda, próximo ao sulco subsinuoso interventricular, entretanto, sem preenche-lo.
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The hypothalamus is a diencephalic portion located around the third ventricle below the hypothalamic sulcus, limited by the optic chiasm, and by the mammillary bodies, acting as a center that integrates behavioral and homeostatic functions. Serotonin is a neurotransmitter produced in limited sites in the midbrain and brain stem, but is distributed throughout the central nervous system and has many functions, acting through specific receptors that are also distributed throughout the nervous system. Using immunohistochemical techniques, the aim of this study was to delineate the hypothalamic nuclei of the marmoset (Callithrix jacchus) and study the distribution of serotonin transporter and serotonin receptors in the hypothalamus of this species. We used the Nissl method to determine the cytoarchitecture of the hypothalamic nuclei, and immunohistochemistry to reveal the presence of NeuN as a method to determine the contours of the hypothalamic nuclei. As a result, we found serotonin containing fibers and terminals throughout the rostrocaudal extent of the hypothalamus, more concentrated in some nuclei, and even absent in some. Like serotonin, serotonin transporter was observed between pre-optic area and tuberal region of the hypothalamus, in densities and distribution similar to serotonin. The 5-HT1A and 5-HT1B receptors were found with minor differences among itselves regarding the disposition and intensity of staining.