953 resultados para String Quartet
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Technical and interpretative aspects of the String Quartet No. 2 Guerra-Peixe will approach this work of a composer who is considered one of the greatest exponents of Brazilian music of the twentieth century, who developed several strands in his career as a musicologist, performer, composer, arranger radio and cinema, among others. In this work, we will see in the work in question their compositional styles, pointing sources that he has been drinking and offering elements that will subsidize technical and interpretive choices for future interpreters. After the historical context and esthetics, we will make some brief remarks about the terms performance and interpretation, to support the objective of the work, which will be the interpretation of the work. For that purpose, a comparative analysis was performed between recording of important Brazilian quartets, interviews with relevant players on the national scene and trials in rehearsals and recitals, always making a Quartet bridge with other works by the composer. Concomitantly, it was held analysis of handwritten edits by the composer, culminating with its own revised edition.
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Technical and interpretative aspects of the String Quartet No. 2 Guerra-Peixe will approach this work of a composer who is considered one of the greatest exponents of Brazilian music of the twentieth century, who developed several strands in his career as a musicologist, performer, composer, arranger radio and cinema, among others. In this work, we will see in the work in question their compositional styles, pointing sources that he has been drinking and offering elements that will subsidize technical and interpretive choices for future interpreters. After the historical context and esthetics, we will make some brief remarks about the terms performance and interpretation, to support the objective of the work, which will be the interpretation of the work. For that purpose, a comparative analysis was performed between recording of important Brazilian quartets, interviews with relevant players on the national scene and trials in rehearsals and recitals, always making a Quartet bridge with other works by the composer. Concomitantly, it was held analysis of handwritten edits by the composer, culminating with its own revised edition.
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Visant à contribuer à la pérennité de la musique d’art instrumentale, cette thèse aborde plusieurs sujets la concernant, autant sur les plans théorique et esthétique que pratique et compositionnel. Les deux principaux contextes observés sont ceux de la modernité et de l’économie de marché. Le premier, par le triomphe de la raison technicienne, aurait conduit à l’autonomie de l’art désormais confronté aux risques de l’autoréférence. Le deuxième, par la pression exercée sur le compositeur à la base de la chaîne création-production-diffusion, compromettrait cette autonomie qu’elle avait pourtant contribuée à rendre possible. Or, l’autonomie de l’art, en tant que conquête sur les plans esthétique, social, politique, économique et intellectuel, représente un enjeu de taille, puisque d’éventuelles compromissions envers des impératifs extérieurs impliquent un recul sur tous ces plans. Pour répondre à cette problématique, la thèse explore des pistes de réflexions et d’opérations pour réaffirmer – en le revendiquant – ce que la musique d’art possède en propre et qui mérite encore d’être entendu, militant ainsi pour la survie de ce qui la rend possible. Plus précisément, la dialectique du son et de la musique que je développe ici me permet, dans un premier temps, d’aborder les médiations successives conduisant des ondes mécaniques à se structurer dans notre conscience jusqu’à se transmettre à nous sous forme de patrimoine; puis, dans un deuxième temps, de décrire ma propre intention de communication par la musique en analysant deux œuvres de ma composition : Musique d’art pour quintette à cordes et Musique d’art pour orchestre de chambre II (partie 1.). Musique d’art pour quintette à cordes est une œuvre-concert de soixante-cinq minutes pour quatuor à cordes et contrebasse, spatialisation, traitement et mise en espace des musiciens. Il s’agit d’un projet de recherche-création de mon initiative que j’ai aussi mené à titre de producteur. Musique d’art pour orchestre de chambre II (partie 1.) est une œuvre de commande de quatorze minutes. Le retour critique portant sur l’ensemble des composantes caractéristiques du média ouvre la voie à une corrélation plus étroite entre son contenu et sa forme privilégiée de présentation, le concert. Cette corrélation peut amener le public à désirer visiter les œuvres et apprécier leur signification, préservant la musique d’art comme mode spécifique de connaissance du monde.
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Examination of Beethoven’s ten sonatas for piano and violin as a single arc, to uncover linkages between the individual sonatas and observe their stylistic evolution as a set, benefits from placing these works also in relation to the wider realm of Beethoven’s chamber music as a whole. During the years in which his sonatas for piano and violin were written, Beethoven often produced multiple works simultaneously. In fact, the first nine sonatas for piano and violin were written within a mere five-year span (1798 – 1803.) After a gap of nine years, Beethoven completed his tenth and final sonata, marking the end of his “Middle Period.” Because of this distribution, it is important to consider each of these sonatas not only as an interdependent set, but also in relation to the whole of Beethoven’s output for small ensemble. Beethoven wrote the last of his piano and violin sonatas in 1812, with a decade and a half of innovation still ahead of him. This provokes one to look beyond these sonatas to discover the final incarnation of the ideas introduced in these works. In particular, the key creative turning points within the ten sonatas for piano and violin become strikingly apparent when compared to Beethoven’s string quartets, which dramatically showcase Beethoven’s evolution in sixteen works distributed more or less evenly across his career. From the perspective of a string quartet player, studying the ten sonatas for piano and violin provides an opportunity to note similarities between the genres. This paper argues that examining the ten sonatas from a viewpoint primarily informed by Beethoven’s string quartets yields a more thorough understanding of the sonatas themselves and a broader conception of the vast network of interrelationships that produce Beethoven’s definitive voice. The body of this paper contains a full exploration of each of the ten sonatas for piano and violin, highlighting key musical, historical, and theoretical elements. Each of the sonatas is then put not only in context of the set of ten, but is contrasted with Beethoven’s sixteen string quartets, identifying unifying motives, techniques, and structural principles that recur across both bodies of work.
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Visant à contribuer à la pérennité de la musique d’art instrumentale, cette thèse aborde plusieurs sujets la concernant, autant sur les plans théorique et esthétique que pratique et compositionnel. Les deux principaux contextes observés sont ceux de la modernité et de l’économie de marché. Le premier, par le triomphe de la raison technicienne, aurait conduit à l’autonomie de l’art désormais confronté aux risques de l’autoréférence. Le deuxième, par la pression exercée sur le compositeur à la base de la chaîne création-production-diffusion, compromettrait cette autonomie qu’elle avait pourtant contribuée à rendre possible. Or, l’autonomie de l’art, en tant que conquête sur les plans esthétique, social, politique, économique et intellectuel, représente un enjeu de taille, puisque d’éventuelles compromissions envers des impératifs extérieurs impliquent un recul sur tous ces plans. Pour répondre à cette problématique, la thèse explore des pistes de réflexions et d’opérations pour réaffirmer – en le revendiquant – ce que la musique d’art possède en propre et qui mérite encore d’être entendu, militant ainsi pour la survie de ce qui la rend possible. Plus précisément, la dialectique du son et de la musique que je développe ici me permet, dans un premier temps, d’aborder les médiations successives conduisant des ondes mécaniques à se structurer dans notre conscience jusqu’à se transmettre à nous sous forme de patrimoine; puis, dans un deuxième temps, de décrire ma propre intention de communication par la musique en analysant deux œuvres de ma composition : Musique d’art pour quintette à cordes et Musique d’art pour orchestre de chambre II (partie 1.). Musique d’art pour quintette à cordes est une œuvre-concert de soixante-cinq minutes pour quatuor à cordes et contrebasse, spatialisation, traitement et mise en espace des musiciens. Il s’agit d’un projet de recherche-création de mon initiative que j’ai aussi mené à titre de producteur. Musique d’art pour orchestre de chambre II (partie 1.) est une œuvre de commande de quatorze minutes. Le retour critique portant sur l’ensemble des composantes caractéristiques du média ouvre la voie à une corrélation plus étroite entre son contenu et sa forme privilégiée de présentation, le concert. Cette corrélation peut amener le public à désirer visiter les œuvres et apprécier leur signification, préservant la musique d’art comme mode spécifique de connaissance du monde.
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Pl. no. 111942.
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"Edition Eulenburg no. 303".
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Caption title: Serenade in G major, for two violins, viola and violoncello.
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Publisher's no.: Edition Eulenburg, no. 21.
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