911 resultados para Spatial Frequency
Resumo:
The mouse has emerged as an animal model for many diseases. At IRO, we have used this animal to understand the development of many eye diseases and treatment of some of them. Precise evaluation of vision is a prerequisite for both these approaches. In this unit we describe three ways to measure vision: testing the optokinetic response, and evaluating the fundus by direct observation and by fluorescent angiography.
Resumo:
Purpose: C57/Bl6, Cpfl1-/- (Cone photoreceptors function loss 1; pure rod function), Gnat1alpha-/- (rod alpha-transducin; pure cone function) and Rpe65-/-;Rho-/- double knock-out mice were studied in order to distinguish the respective contributions of the different photoreceptor (PR) systems that enable light perception and mediate a visual reflex in adult Rpe65-/- mice using a simple behavioural procedure. Methods: Visual function was estimated using a rotating automatized optomotor drum covered with vertical black and white stripes at spatial frequencies of 0.025 to 0.5 cycles per degree (cpd) in both photopic and scotopic conditions. To evaluate the contribution as well as the light intensity threshold of each PR system, we tested the mouse strains with different luminances. Results: Stripe rotation elicits head movements in wild-type (WT) animals in photopic and scotopic conditions depending on the spatial frequency, whereas Cpfl1-/- mice show a reduced activity in the photopic condition and Gnat1alpha-/- mice an almost absent response in the scotopic condition. Interestingly, a robust visual response is obtained with Rpe65-/- knockout mice at 0.075 cpd and 0.1 cpd in the photopic condition. The residual rod function in the Rpe65-/- animals was demonstrated by testing Rpe65-/-;Rho-/- mice that present no response in photopic conditions. Conclusions: The optomotor test is a simple method to estimate the visual function, and to evaluate the respective contributions of rod and cone systems. Using this test, we demonstrate that in Rpe65-/- mice, devoid of functional cones and of detectable 11-cis-retinal protein, rods mimic in part the cone function by mediating vision in photopic conditions.
Resumo:
When the second of two targets (T2) is presented temporally close to the first target (T1) in rapid serial visual presentation, accuracy to detect/identify T2 is markedly reduced as compared to longer target separations. This is known as the attentional blink (AB), and is thought to reflect a limitation of selective attention. While most individuals show an AB, research has demonstrated that individuals are variously susceptible to this effect. To explain these differences, Dale and Arnell (2010) examined whether dispositional differences in attentional breadth, as measured by the Navon letter task, could predict individual AB magnitude. They found that individuals who showed a natural bias toward the broad, global level of Navon letter stimuli were less susceptible to the AB as compared to individuals who showed a natural bias toward the detailed, local aspects of Navon letter stimuli. This suggests that individuals who naturally broaden their attention can overcome the AB. However, it was unclear how stable these individual differences were over time, and whether a variety of global/local tasks could predict AB performance. As such, the purpose of this dissertation was to investigate, through four empirical studies, the nature of individual differences in both global/local bias and the AB, and how these differences in attentional breadth can modulate AB performance. Study 1 was designed to examine the stability of dispositional global/local biases over time, as well as the relationships among three different global/local processing measures. Study 2 examined the stability of individual differences in the AB, as well as the relationship among two distinct AB tasks. Study 3 examined whether the three distinct global/local tasks used in Study 1 could predict performance on the two AB tasks from Study 2. Finally, Study 4 explored whether individual differences in global/local bias could be manipulated by exposing participants to high/low spatial frequencies and Navon stimuli. In Study 1, I showed that dispositional differences in global/local bias were reliable over a period of at least a week, demonstrating that these individual biases may be trait-like. However, the three tasks that purportedly measure global/local bias were unrelated to each other, suggesting that they measure unique aspects of global/local processing. In Study 2, I found that individual variation in AB performance was also reliable over a period of at least a week, and that the two AB task versions were correlated. Study 3 showed that dispositional global/local biases, as measured by the three tasks from Study 1, predicted AB magnitude, such that individuals who were naturally globally biased had smaller ABs. Finally, in Study 4 I demonstrated that these dispositional global/local biases are resistant to both spatial frequency and Navon letter manipulations, indicating that these differences are robust and intractable. Overall, the results of the four studies in this dissertation help clarify the role of individual differences in attentional breadth in selective attention.
Resumo:
Cette thèse porte sur l’amélioration des techniques d’imagerie à haut-contraste permettant la détection directe de compagnons à de faibles séparations de leur étoile hôte. Plus précisément, elle s’inscrit dans le développement du Gemini Planet Imager (GPI) qui est un instrument de deuxième génération pour les télescopes Gemini. Cette caméra utilisera un spectromètre à champ intégral (SCI) pour caractériser les compagnons détectés et pour réduire le bruit de tavelure limitant leur détection et corrigera la turbulence atmosphérique à un niveau encore jamais atteint en utilisant deux miroirs déformables dans son système d’optique adaptative (OA) : le woofer et le tweeter. Le woofer corrigera les aberrations de basses fréquences spatiales et de grandes amplitudes alors que le tweeter compensera les aberrations de plus hautes fréquences ayant une plus faible amplitude. Dans un premier temps, les performances pouvant être atteintes à l’aide des SCIs présentement en fonction sur les télescopes de 8-10 m sont investiguées en observant le compagnon de l’étoile GQ Lup à l’aide du SCI NIFS et du système OA ALTAIR installés sur le télescope Gemini Nord. La technique de l’imagerie différentielle angulaire (IDA) est utilisée pour atténuer le bruit de tavelure d’un facteur 2 à 6. Les spectres obtenus en bandes JHK ont été utilisés pour contraindre la masse du compagnon par comparaison avec les prédictions des modèles atmosphériques et évolutifs à 8−60 MJup, où MJup représente la masse de Jupiter. Ainsi, il est déterminé qu’il s’agit plus probablement d’une naine brune que d’une planète. Comme les SCIs présentement en fonction sont des caméras polyvalentes pouvant être utilisées pour plusieurs domaines de l’astrophysique, leur conception n’a pas été optimisée pour l’imagerie à haut-contraste. Ainsi, la deuxième étape de cette thèse a consisté à concevoir et tester en laboratoire un prototype de SCI optimisé pour cette tâche. Quatre algorithmes de suppression du bruit de tavelure ont été testés sur les données obtenues : la simple différence, la double différence, la déconvolution spectrale ainsi qu’un nouvel algorithme développé au sein de cette thèse baptisé l’algorithme des spectres jumeaux. Nous trouvons que l’algorithme des spectres jumeaux est le plus performant pour les deux types de compagnons testés : les compagnons méthaniques et non-méthaniques. Le rapport signal-sur-bruit de la détection a été amélioré d’un facteur allant jusqu’à 14 pour un compagnon méthanique et d’un facteur 2 pour un compagnon non-méthanique. Dernièrement, nous nous intéressons à certains problèmes liés à la séparation de la commande entre deux miroirs déformables dans le système OA de GPI. Nous présentons tout d’abord une méthode utilisant des calculs analytiques et des simulations Monte Carlo pour déterminer les paramètres clés du woofer tels que son diamètre, son nombre d’éléments actifs et leur course qui ont ensuite eu des répercussions sur le design général de l’instrument. Ensuite, le système étudié utilisant un reconstructeur de Fourier, nous proposons de séparer la commande entre les deux miroirs dans l’espace de Fourier et de limiter les modes transférés au woofer à ceux qu’il peut précisément reproduire. Dans le contexte de GPI, ceci permet de remplacer deux matrices de 1600×69 éléments nécessaires pour une séparation “classique” de la commande par une seule de 45×69 composantes et ainsi d’utiliser un processeur prêt à être utilisé plutôt qu’une architecture informatique plus complexe.
Resumo:
Les neurones du cortex visuel primaire (aire 17) du chat adulte répondent de manière sélective à différentes propriétés d’une image comme l’orientation, le contraste ou la fréquence spatiale. Cette sélectivité se manifeste par une réponse sous forme de potentiels d’action dans les neurones visuels lors de la présentation d’une barre lumineuse de forme allongée dans les champs récepteurs de ces neurones. La fréquence spatiale (FS) se mesure en cycles par degré (cyc./deg.) et se définit par la quantité de barres lumineuses claires et sombres présentées à une distance précise des yeux. Par ailleurs, jusqu’à récemment, l’organisation corticale chez l’adulte était considérée immuable suite à la période critique post-natale. Or, lors de l'imposition d'un stimulus non préféré, nous avons observé un phénomène d'entrainement sous forme d'un déplacement de la courbe de sélectivité à la suite de l'imposition d'une FS non-préférée différente de la fréquence spatiale optimale du neurone. Une deuxième adaptation à la même FS non-préférée induit une réponse neuronale différente par rapport à la première imposition. Ce phénomène de "gain cortical" avait déjà été observé dans le cortex visuel primaire pour ce qui est de la sélectivité à l'orientation des barres lumineuses, mais non pour la fréquence spatiale. Une telle plasticité à court terme pourrait être le corrélat neuronal d'une modulation de la pondération relative du poids des afférences synaptiques.
Resumo:
Les neurones des couches superficielles du collicule supérieur et du cortex visuel primaire du rat adulte sont sensibles à de basses fréquences spatiales de haut contraste défilant à des vitesses élevées. Entre les jours post-nataux 27-30 et l’âge adulte, les fréquences temporelles optimales des neurones du cortex visuel primaire augmentent, tandis que leurs seuils de contraste diminuent. Cependant, les fréquences spatiales optimales, les valeurs de résolution spatiale et les bandes passantes spatiales de ces neurones sont, dès l’ouverture des paupières, similaires à celles observées chez le rat adulte. Ces profils de réponse neuronale suggèrent que les projections rétino-colliculaires et rétino-géniculo-corticales sont essentiellement issues de neurones ganglionnaires rétinofuges magnocellulaires et koniocellulaires. Les neurones du cortex visuel primaire du rat ayant subi des convulsions hyperthermiques présentent, dès l’ouverture des paupières, de basses fréquences spatiales optimales, de larges bandes passantes directionnelles et temporelles ainsi que des seuils de contraste élevés par rapport aux neurones du rat normal. À l’âge adulte, de basses fréquences temporelles optimales et de larges bandes passantes spatiales sont également observées chez le rat ayant subi des convulsions hyperthermiques. L’altération des profils de réponse des neurones du cortex visuel primaire du rat ayant subi de convulsions hyperthermiques suggère un déséquilibre entre les mécanismes neuronaux excitateurs et inhibiteurs de cette aire corticale. Ces résultats suggèrent également qu’un épisode unique de convulsions fébriles infantiles suffit à altérer le développement des propriétés spatio-temporelles des champs récepteurs des neurones du cortex visuel primaire.
Resumo:
L’effet d’encombrement, qui nous empêche d’identifier correctement un stimulus visuel lorsqu’il est entouré de flanqueurs, est omniprésent à travers une grande variété de classes de stimuli. L’excentricité du stimulus cible ainsi que la distance cible-flanqueur constituent des facteurs fondamentaux qui modulent l’effet d’encombrement. La similarité cible-flanqueur semble également contribuer à l’ampleur de l’effet d’encombrement, selon des données obtenues avec des stimuli non-linguistiques. La présente étude a examiné ces trois facteurs en conjonction avec le contenu en fréquences spatiales des stimuli, dans une tâche d’identification de lettres. Nous avons présenté des images filtrées de lettres à des sujets non-dyslexiques exempts de troubles neurologiques, tout en manipulant l’excentricité de la cible ainsi que la similarité cible-flanqueurs (selon des matrices de confusion pré-établies). Quatre types de filtrage de fréquences spatiales ont été utilisés : passe-bas, passe-haut, à large bande et mixte (i.e. élimination des fréquences moyennes, connues comme étant optimales pour l’identification de lettres). Ces conditions étaient appariées en termes d’énergie de contraste. Les sujets devaient identifier la lettre cible le plus rapidement possible en évitant de commettre une erreur. Les résultats démontrent que la similarité cible-flanqueur amplifie l’effet d’encombrement, i.e. l’effet conjoint de distance et d’excentricité. Ceci étend les connaissances sur l’impact de la similarité sur l’encombrement à l’identification visuelle de stimuli linguistiques. De plus, la magnitude de l’effet d’encombrement est plus grande avec le filtre passe-bas, suivit du filtre mixte, du filtre passe-haut et du filtre à large bande, avec différences significatives entre les conditions consécutives. Nous concluons que : 1- les fréquences spatiales moyennes offrent une protection optimale contre l’encombrement en identification de lettres; 2- lorsque les fréquences spatiales moyennes sont absentes du stimulus, les hautes fréquences protègent contre l’encombrement alors que les basses fréquences l’amplifient, probablement par l’entremise de leur impact opposé quant la disponibilité de l’information sur les caractéristiques distinctives des stimul.
Resumo:
Question : Cette thèse comporte deux articles portant sur l’étude d’expressions faciales émotionnelles. Le processus de développement d’une nouvelle banque de stimuli émotionnels fait l’objet du premier article, alors que le deuxième article utilise cette banque pour étudier l’effet de l’anxiété de trait sur la reconnaissance des expressions statiques. Méthodes : Un total de 1088 clips émotionnels (34 acteurs X 8 émotions X 4 exemplaire) ont été alignés spatialement et temporellement de sorte que les yeux et le nez de chaque acteur occupent le même endroit dans toutes les vidéos. Les vidéos sont toutes d’une durée de 500ms et contiennent l’Apex de l’expression. La banque d’expressions statiques fut créée à partir de la dernière image des clips. Les stimuli ont été soumis à un processus de validation rigoureux. Dans la deuxième étude, les expressions statiques sont utilisées conjointement avec la méthode Bubbles dans le but d’étudier la reconnaissance des émotions chez des participants anxieux. Résultats : Dans la première étude, les meilleurs stimuli ont été sélectionnés [2 (statique & dynamique) X 8 (expressions) X 10 (acteurs)] et forment la banque d’expressions STOIC. Dans la deuxième étude, il est démontré que les individus présentant de l'anxiété de trait utilisent préférentiellement les basses fréquences spatiales de la région buccale du visage et ont une meilleure reconnaissance des expressions de peur. Discussion : La banque d’expressions faciales STOIC comporte des caractéristiques uniques qui font qu’elle se démarque des autres. Elle peut être téléchargée gratuitement, elle contient des vidéos naturelles et tous les stimuli ont été alignés, ce qui fait d’elle un outil de choix pour la communauté scientifique et les cliniciens. Les stimuli statiques de STOIC furent utilisés pour franchir une première étape dans la recherche sur la perception des émotions chez des individus présentant de l’anxiété de trait. Nous croyons que l’utilisation des basses fréquences est à la base des meilleures performances de ces individus, et que l’utilisation de ce type d’information visuelle désambigüise les expressions de peur et de surprise. Nous pensons également que c’est la névrose (chevauchement entre l'anxiété et la dépression), et non l’anxiété même qui est associée à de meilleures performances en reconnaissance d’expressions faciales de la peur. L’utilisation d’instruments mesurant ce concept devrait être envisagée dans de futures études.
Resumo:
Thèse numérisée par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal
Resumo:
Les stimuli naturels projetés sur nos rétines nous fournissent de l’information visuelle riche. Cette information varie le long de propriétés de « bas niveau » telles que la luminance, le contraste, et les fréquences spatiales. Alors qu’une partie de cette information atteint notre conscience, une autre partie est traitée dans le cerveau sans que nous en soyons conscients. Les propriétés de l’information influençant l’activité cérébrale et le comportement de manière consciente versus non-consciente demeurent toutefois peu connues. Cette question a été examinée dans les deux derniers articles de la présente thèse, en exploitant les techniques psychophysiques développées dans les deux premiers articles. Le premier article présente la boîte à outils SHINE (spectrum, histogram, and intensity normalization and equalization), développée afin de permettre le contrôle des propriétés de bas niveau de l'image dans MATLAB. Le deuxième article décrit et valide la technique dite des bulles fréquentielles, qui a été utilisée tout au long des études de cette thèse pour révéler les fréquences spatiales utilisées dans diverses tâches de perception des visages. Cette technique offre les avantages d’une haute résolution au niveau des fréquences spatiales ainsi que d’un faible biais expérimental. Le troisième et le quatrième article portent sur le traitement des fréquences spatiales en fonction de la conscience. Dans le premier cas, la méthode des bulles fréquentielles a été utilisée avec l'amorçage par répétition masquée dans le but d’identifier les fréquences spatiales corrélées avec les réponses comportementales des observateurs lors de la perception du genre de visages présentés de façon consciente versus non-consciente. Les résultats montrent que les mêmes fréquences spatiales influencent de façon significative les temps de réponse dans les deux conditions de conscience, mais dans des sens opposés. Dans le dernier article, la méthode des bulles fréquentielles a été combinée à des enregistrements intracrâniens et au Continuous Flash Suppression (Tsuchiya & Koch, 2005), dans le but de cartographier les fréquences spatiales qui modulent l'activation de structures spécifiques du cerveau (l'insula et l'amygdale) lors de la perception consciente versus non-consciente des expressions faciales émotionnelles. Dans les deux régions, les résultats montrent que la perception non-consciente s'effectue plus rapidement et s’appuie davantage sur les basses fréquences spatiales que la perception consciente. La contribution de cette thèse est donc double. D’une part, des contributions méthodologiques à la recherche en perception visuelle sont apportées par l'introduction de la boîte à outils SHINE ainsi que de la technique des bulles fréquentielles. D’autre part, des indications sur les « corrélats de la conscience » sont fournies à l’aide de deux approches différentes.
Resumo:
Dans le cadre de cette thèse, nous investiguons la capacité de chaque hémisphère cérébral à utiliser l’information visuelle disponible lors de la reconnaissance de mots. Il est généralement convenu que l’hémisphère gauche (HG) est mieux outillé pour la lecture que l’hémisphère droit (HD). De fait, les mécanismes visuoperceptifs utilisés en reconnaissance de mots se situent principalement dans l’HG (Cohen, Martinaud, Lemer et al., 2003). Puisque les lecteurs normaux utilisent optimalement des fréquences spatiales moyennes (environ 2,5 - 3 cycles par degré d’angle visuel) pour reconnaître les lettres, il est possible que l’HG les traite mieux que l’HD (Fiset, Gosselin, Blais et Arguin, 2006). Par ailleurs, les études portant sur la latéralisation hémisphérique utilisent habituellement un paradigme de présentation en périphérie visuelle. Il a été proposé que l’effet de l’excentricité visuelle sur la reconnaissance de mots soit inégal entre les hémichamps. Notamment, la première lettre est celle qui porte habituellement le plus d’information pour l’identification d’un mot. C’est aussi la plus excentrique lorsque le mot est présenté à l’hémichamp visuel gauche (HVG), ce qui peut nuire à son identification indépendamment des capacités de lecture de l’HD. L’objectif de la première étude est de déterminer le spectre de fréquences spatiales utilisé par l’HG et l’HD en reconnaissance de mots. Celui de la deuxième étude est d’explorer les biais créés par l’excentricité et la valeur informative des lettres lors de présentation en champs divisés. Premièrement, nous découvrons que le spectre de fréquences spatiales utilisé par les deux hémisphères en reconnaissance de mots est globalement similaire, même si l’HG requière moins d’information visuelle que l’HD pour atteindre le même niveau de performance. Étonnament toutefois, l’HD utilise de plus hautes fréquences spatiales pour identifier des mots plus longs. Deuxièmement, lors de présentation à l’HVG, nous trouvons que la 1re lettre, c’est à dire la plus excentrique, est parmi les mieux identifiées même lorsqu’elle a une plus grande valeur informative. Ceci est à l’encontre de l’hypothèse voulant que l’excentricité des lettres exerce un biais négatif pour les mots présentés à l’HVG. De façon intéressante, nos résultats suggèrent la présence d’une stratégie de traitement spécifique au lexique.
Resumo:
Polymer materials find application in optical storage technology, namely in the development of high information density and fast access type memories. A new polymer blend of methylene blue sensitized polyvinyl alcohol (PVA) and polyacrylic acid (PAA) in methanol is prepared and characterized and its comparison with methylene blue sensitized PVA in methanol and complexed methylene blue sensitized polyvinyl chloride (CMBPVC) is presented. The optical absorption spectra of the thin films of these polymers showed a strong and broad absorption region at 670-650 nm, matching the wavelength of the laser used. A very slow recovery of the dye on irradiation was observed when a 7:3 blend of polyvinyl alcohol/polyacrylic acid at a pHof 3.8 and a sensitizer concentration of 4.67 10 5 g/ml were used. A diffraction efficiency of up to 20% was observed for the MBPVA/alcohol system and an energetic sensitivity of 2000 mJ/cm2 was obtained in the photosensitive films with a spatial frequency of 588 lines/mm.
Resumo:
Polymer materials find application in optical storage technology, namely in the development of high information density and fast access type memories. A new polymer blend of methylene blue sensitized polyvinyl alcohol (PVA) and polyacrylic acid (PAA) in methanol is prepared and characterized and its comparison with methylene blue sensitized PVA in methanol and complexed methylene blue sensitized polyvinyl chloride (CMBPVC) is presented. The optical absorption spectra of the thin films of these polymers showed a strong and broad absorption region at 670-650 nm, matching the wavelength of the laser used. A very slow recovery of the dye on irradiation was observed when a 7:3 blend of polyvinyl alcohol/polyacrylic acid at a pHof 3.8 and a sensitizer concentration of 4.67 10 5 g/ml were used. A diffraction efficiency of up to 20% was observed for the MBPVA/alcohol system and an energetic sensitivity of 2000 mJ/cm2 was obtained in the photosensitive films with a spatial frequency of 588 lines/mm.
Resumo:
Super Resolution problem is an inverse problem and refers to the process of producing a High resolution (HR) image, making use of one or more Low Resolution (LR) observations. It includes up sampling the image, thereby, increasing the maximum spatial frequency and removing degradations that arise during the image capture namely aliasing and blurring. The work presented in this thesis is based on learning based single image super-resolution. In learning based super-resolution algorithms, a training set or database of available HR images are used to construct the HR image of an image captured using a LR camera. In the training set, images are stored as patches or coefficients of feature representations like wavelet transform, DCT, etc. Single frame image super-resolution can be used in applications where database of HR images are available. The advantage of this method is that by skilfully creating a database of suitable training images, one can improve the quality of the super-resolved image. A new super resolution method based on wavelet transform is developed and it is better than conventional wavelet transform based methods and standard interpolation methods. Super-resolution techniques based on skewed anisotropic transform called directionlet transform are developed to convert a low resolution image which is of small size into a high resolution image of large size. Super-resolution algorithm not only increases the size, but also reduces the degradations occurred during the process of capturing image. This method outperforms the standard interpolation methods and the wavelet methods, both visually and in terms of SNR values. Artifacts like aliasing and ringing effects are also eliminated in this method. The super-resolution methods are implemented using, both critically sampled and over sampled directionlets. The conventional directionlet transform is computationally complex. Hence lifting scheme is used for implementation of directionlets. The new single image super-resolution method based on lifting scheme reduces computational complexity and thereby reduces computation time. The quality of the super resolved image depends on the type of wavelet basis used. A study is conducted to find the effect of different wavelets on the single image super-resolution method. Finally this new method implemented on grey images is extended to colour images and noisy images
Resumo:
As part of the European Commission (EC)'s revision of the Sewage Sludge Directive and the development of a Biowaste Directive, there was recognition of the difficulty of comparing data from Member States (MSs) because of differences in sampling and analytical procedures. The 'HORIZONTAL' initiative, funded by the EC and MSs, seeks to address these differences in approach and to produce standardised procedures in the form of CEN standards. This article is a preliminary investigation into aspects of the sampling of biosolids, composts and soils to which there is a history of biosolid application. The article provides information on the measurement uncertainty associated with sampling from heaps, large bags and pipes and soils in the landscape under a limited set of conditions, using sampling approaches in space and time and sample numbers based on procedures widely used in the relevant industries and when sampling similar materials. These preliminary results suggest that considerably more information is required before the appropriate sample design, optimum number of samples, number of samples comprising a composite, and temporal and spatial frequency of sampling might be recommended to achieve consistent results of a high level of precision and confidence. (C) 2004 Elsevier Ltd. All rights reserved.