999 resultados para Récepteur des estrogènes [Alpha] et [Bêta]
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The method developed by Robson (1966) is used to standardize fishing effort of C��te d'Ivoire trawlers whose size and power are very different. This method also allows the estimation of the relative abundances in the different fishing areas. The results obtained using 10 years data show that the entire Ivorian continental shelf can be considered as a single fishery unit. The relative fishing power of vessels is well correlated with gross tonnage, brake horse power and length of the vessel. The obsolescence of the trawlers affects their fishing power.
Etude par analyse d’images en 2D des processus d’agregation et d’evolution des prosites dans les sol
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info:eu-repo/semantics/nonPublished
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L'utilisation des nouvelles technologies de l'information et de la communication (NTIC) fait l'objet de discussions dans le domaine de l'��ducation. La pr��sente recherche a pour objectif principal d'identifier le profil des comp��tences informatiques et des attitudes du corps professoral d'une haute ��cole de formation technologique du Cambodge au regard de l'utilisation des environnements informatiques dans sa pratique d'enseignement. Cette ��tude descriptive exploratoire aura comme principale retomb��e de contribuer au d��veloppement de l'int��gration des NTIC en p��dagogie universitaire au Cambodge. Nous tenterons ��ventuellement de mettre en lumi��re les besoins que cette int��gration suscite. L'��laboration d'une strat��gie de syst��matisation de l'implantation des NTIC en p��dagogie universitaire pourrait ��tre trait��e dans une future ��tude. Le recueil de donn��es a ��t�� r��alis�� �� l'aide d'un questionnaire d'enqu��te ainsi que d'une s��rie d'entrevues r��alis��es aupr��s du personnel enseignant de l'Institut de Technologie du Cambodge durant la session d'hiver 2001.
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Dans le cadre de notre m��moire, nous avons comme objectif de d��crire et de comprendre comment le contexte statistique, avec son caract��re quasi-proportionnel, influence le raisonnement chez les ��l��ves au 3e cycle du primaire. D'abord, nous d��veloppons quatre probl��mes. En r��solvant ces probl��mes, les ��l��ves d'une classe du 3e cycle du primaire fourniront un aper��u de leur raisonnement proportionnel et statistique et des strat��gies qu'ils utilisent pour la r��solution de ces t��ches qui favorisent un traitement statistique ou proportionnel. Le chapitre 1 de notre m��moire sert �� pr��senter la probl��matique de la recherche. Ensuite, le chapitre 2 concerne le cadre conceptuel et les questions sp��cifiques de la recherche. Le chapitre 3 expose les consid��rations de la m��thodologie, notamment de la description des t��ches, de l'analyse et du traitement des donn��es. Par la suite, dans le chapitre 4, nous pr��sentons et analyserons nos donn��es. Finalement, dans les chapitres 5 et 6, la discussion des r��sultats sert �� mettre en relation des principaux r��sultats de la pr��sente recherche. Aussi, quelques pistes �� poursuivre dans d'autres recherches sont sugg��r��es.
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Cette ��tude s’int��resse �� la fa��on dont l’enveloppe du b��timent s’est d��velopp��e au Qu��bec depuis l’industrialisation des proc��d��s de construction, soit vers le milieu du XIXe si��cle, jusqu’�� nos jours. L’��tude cherche �� recenser l’ensemble des crit��res, de nature technique, social, historique, ��conomique ou autre, qui influencent nos fa��ons de penser, de construire et d’entretenir l’enveloppe, et ultimement nos approches d’intervention. Ce travail comporte trois volets principaux. La premi��re partie vise �� d��finir le contexte de la conservation en lien avec les enjeux li��s �� l’enveloppe du b��timent. Une recherche documentaire a ��t�� pas la suite r��alis��e autant dans des ouvrages �� propension th��orique que dans d’autres plus techniques, pour comprendre comment est trait��e l’enveloppe, ici et ailleurs. Enfin une synth��se de l’ensemble des ��tudes devait permettre de d��gager la fa��on dont l’enveloppe du b��timent est comprise, diagnostiqu��e et trait��e dans le cadre de la r��habilitation des ��difices. Les r��sultats de ce m��moire confirment que plusieurs facteurs influencent la conception et la r��alisation de l’enveloppe. Ils confirment surtout que ces facteurs sont peu tenus en compte dans la cadre actuel de la conservation. Il est souhaitable que la r��flexion entam��e dans ce projet de recherche puisse se poursuivre, en vue de d��velopper un outil d’accompagnement pour les professionnels sp��cialis��s dans ce domaine. Mots-cl��s : Enveloppe, identit��, histoire, mat��riau, syst��me, assemblage, fa��ade, performance, conservation, r��habilitation. Envelope, enclosure, identity, history, component, system, assembly, facade, performance, conservation, refurbishment, rehabilitation.
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Chez les patineurs, des processus postcopulatoires sont document��s et un conflit sexuel sur le taux d’accouplement est d��montr��. Cependant, leurs effets combin��s sur le succ��s reproducteur ont rarement ��t�� investigu��s. Cette ��tude joint une analyse de filiation g��n��tique �� des observations comportementales pour ��valuer l’effet des processus pr��- et post- copulatoires sur le succ��s reproducteur de Gerris buenoi. Nos r��sultats montrent la nature antagoniste des combats pr��copulatoires et un niveau de r��sistance optimal interm��diaire pour les femelles. Cependant, le taux d’accouplement n’a eu aucune influence sur le succ��s reproducteur des deux sexes. Un taux d’accouplement ��lev�� permettant �� des processus postcopulatoires de se mettre en place ainsi que plusieurs copulations superflues ont vraisemblablement masqu�� les effets attendus du taux d’accouplement. Notre ��tude confirme l’id��e que des pr��cisions peuvent ��tre apport��es sur les forces de s��lection sexuelle en jeu lorsque l’on consid��re tous les ��pisodes d’un cycle d’accouplement chez les animaux polygynandres.
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Les aspects physiques et psychiques sont ��troitement intriqu��s �� l'adolescence, et le corps repr��sente un lieu privil��gi�� d'expression des conflits. C'est dire l'importance de donner une place de choix au versant psychologique au sein d'une consultation de sant�� des adolescents, pour tenter de discerner la souffrance psychique souvent cach��e derri��re la plainte somatique.
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In the framework of health services research sponsored by the Swiss National Science Foundation, a research was undertaken of the activity of the large majority of the public health nurses working in the Swiss cantons of Vaud and Fribourg (total population 700,000). During one week, 130 nurses gathered, with a specially devised instrument, data on 4165 patient visits. Studying the duration of the contacts, one has distinguished contact duration per se (DC), duration of the travel time preceding the contact (DD), and total duration in relation with the contact (DTC-addition of the first two). It was noted that the three durations increased significantly with patient age (as regard travel time, this is explained by the higher proportion of home visits in higher age groups, as compared with visits at a health center). Examined according to location of the visit, contact duration per se (without travel) is higher for visits at home and in nursing homes than for those taking place at a health center. Looked at in respect to the care given (technical care, or basic nursing care, or both simultaneously), our data show that the provision of basic nursing care (alone or with technical care) doubles contact duration (from 20 to 42-45'). The analyses according to patient age shows that, at an advanced age (beyond 80 years particularly), there is an important increase of the visits where both types of care are given. However, contact duration per se shows a significant raise with age only for the group "technical care only"; it can be demonstrated that this is due to the fact that older patients require more complex technical acts (e.g., bladder care, as compared with simpler acts such as injection). A model of the relationships between patient age and contact duration is proposed: it is because of the increase in the proportions of home visits, of visits including basic nursing care, and of more complex technical acts that older persons require more of the working time of public health nurses.