Staffing a state police agency for service and patrol /

Includes bibliographical references.

Las Cruces, New Mexico police-highway patrol

General note: Title and date provided by Bettye Lane.

Police Interviews with Victims and Suspects of Violent and Sexual Crimes : Interviewee's experiences and interview outcomes

The police interview is one of the most important investigative tools that law enforcement has close at hand, and police interview methods have changed during the twentieth century. A good police interview is conducted in the frame of the law, is governed by the interview goal, and is influenced by facilitating factors that may affect the elicited report. The present doctoral dissertation focuses on police interviews in cases of very serious crimes of violence and sexual offences. Results reveal crime victims’ and perpetrators’ experiences of being interviewed and police officers’ attitudes towards conducting interviews related to traumatizing crimes. Study 1 revealed that when police officers interviewed murderers and sexual offenders, the interviewees perceived attitudes characterized by either dominance or humanity. Police interviews marked by dominance and suspects’ responses of anxiety were mainly associated with a higher proportion of denials, whereas an approach marked by humanity, and responses of being respected were significantly associated with admissions. In line with Study 1, the victims of rape and aggravated assault in Study 2 also revealed the experience of two police interview styles, where an interviewing style marked by dominance and responses of anxiety was significantly associated with crime victims’ omissions of information. Moreover, a humanitarian interviewing style, and crime victims’ feelings of being respected and co-operative, was significantly related to crime victims providing all information from painful events. Special squad police officers’ attitudes towards interviewing crime victims, in Study 3, also showed a humanitarian approach and two dominant approaches, one affective and the other refusing. The attitude towards interviewing suspects of crimes in focus revealed humanitarian and dominant interviewing attitudes, and an approach marked by kindness. The present thesis shows that, during their entire career, an overwhelming majority of the special squad police officers have experienced stressful events during patrol as well as investigative duty. Results show that symptoms from stressful event exposures and coping mechanisms are associated with negative attitudes towards interviewing suspects and supportive attitudes towards crime victim interviews. Thus, experiences from stressful exposures may automatically activate ego-defensive functions that automatically generate dominant attitudes. Moreover, it is important to offer police officers who have been exposed to stressful events the opportunity to work through their experiences, for example, through debriefing procedures. After debriefings, police officers are better prepared to meet crime victims and suspects and, through conscious closed-loop processes, to conduct police interviews without awaking ego-defensive functions.

Les pratiques d’intervention policières auprès des personnes en crise ou atteintes de troubles mentaux : le cas des agents de réponse en intervention de crise du Service de police de la Ville de Montréal

Cette recherche porte sur les pratiques d’intervention des agents de réponse en intervention de crise (RIC), de leur partenaire fixe et des agents en attente de la formation du Service de police de la Ville de Montréal (SPVM) auprès des personnes en crise ou atteintes de troubles mentaux. Les agents RIC sont des patrouilleurs de première ligne qui ont reçu une formation complète sur les principes d’intervention en contexte de crise ou de santé mentale. Ce modèle de réponse spécialisée est une solution proactive qui a pour but d’améliorer l’action policière en situation de crise et de veiller à une meilleure prise en charge de ces personnes par les ressources institutionnelles. La désinstitutionnalisation des soins et des services psychiatriques a eu pour effet une augmentation du nombre de personnes atteintes de troubles mentaux dans la communauté. Par conséquent, cet accroissement a engendré des rapports plus fréquents entre les services policiers et cette clientèle. Les interventions en contexte de crise ou de santé mentale sont particulières et complexes, de même qu’elles requièrent un niveau supérieur de compréhension des crises humaines. Les autorités policières ont admis que ces interventions représentent une part significative de leur travail et que la formation policière traditionnelle ne les prépare pas suffisamment pour intervenir adéquatement auprès de cette population. En réponse à ces considérations et dans l’objectif d’améliorer leur capacité d’agir, les forces policières se sont dotées de modèles de réponse policière spécialisée en intervention de crise. L’approche la plus répandue est l’équipe d’intervention de crise (« crisis intervention team » ou « CIT »), aussi appelée le modèle de Memphis. Il existe plusieurs variantes de ce modèle, mais les composantes principales, c’est-à-dire la formation avancée et la consolidation d’un partenariat avec le système de santé demeurent dans l’ensemble de ces structures. L’objectif de cette recherche consiste à sonder les perceptions des agents RIC, de leur partenaire fixe et des agents en attente de la formation afin de comprendre et de contraster leurs visions et leurs pratiques d’intervention en contexte de crise ou de santé mentale. Chaque groupe a apporté des précisions intéressantes. Nous avons conduit 12 entrevues qualitatives avec des policiers du SPVM. De façon générale, les participants rapportent que leurs pratiques d’intervention auprès des personnes en crise ou atteintes de troubles mentaux sont davantage ancrées dans une perspective de relation d’aide. Ils mentionnent également que la communication, l’écoute et la confiance doivent être privilégiées avant tout autre stratégie dans les situations qui les permettent et que la force doit être employée seulement lorsqu’elle est nécessaire, c’est-à-dire lorsque leur sécurité ou celle d’autrui est en péril ou lorsque la communication n’est pas possible. Puis, ils admettent que le recours à l’expertise des intervenants en santé mentale permet une analyse plus approfondie de la situation et de l’état mental de la personne visée par l’intervention. D’autre part, en ce qui concerne les limites de la formation policière traditionnelle, les candidats ont soulevé qu’il y a un manque de connaissances en matière de santé mentale ainsi qu’une difficulté associée à l’évaluation de l’état de la personne et du besoin de transport ont été soulevés. Sur le plan des apprentissages, les agents RIC disent avoir une compréhension plus globale de la problématique de santé mentale, de meilleures habiletés communicationnelles, une analyse plus approfondie de la situation, de plus grandes connaissances juridiques, une compréhension du fonctionnement des services hospitaliers ainsi qu’une appréciation particulière pour le partage de savoirs et les principes d’endiguement. Ils font part également de l’importance des rapports pour documenter l’évolution de l’état mental d’une personne et ils ajoutent que la dimension temporelle joue un rôle clé dans la résolution définitive de la problématique. Au sujet des partenaires, ils évoquent des retombées similaires. Toutefois, à la suite de la formation, ils reconnaissent davantage l’importance de leur rôle dans la sécurité de leur partenaire et ils y accordent dorénavant une attention marquée lors de ces interventions. Enfin, les agents non formés formulent des attentes relatives au développement d’outils et de compétences, ce qui leur sera rendu dans la formation RIC. Globalement, les agents RIC et les partenaires interviewés ont modifié leurs pratiques pour les arrimer avec la philosophie des interventions en contexte de crise ou de santé mentale. Ils ont également davantage confiance en leurs capacités et habiletés d’intervention auprès des personnes en crise ou atteintes de troubles mentaux grâce aux connaissances acquises dans la formation.

Les pratiques d’intervention policières auprès des personnes en crise ou atteintes de troubles mentaux : le cas des agents de réponse en intervention de crise du Service de police de la Ville de Montréal

Cette recherche porte sur les pratiques d’intervention des agents de réponse en intervention de crise (RIC), de leur partenaire fixe et des agents en attente de la formation du Service de police de la Ville de Montréal (SPVM) auprès des personnes en crise ou atteintes de troubles mentaux. Les agents RIC sont des patrouilleurs de première ligne qui ont reçu une formation complète sur les principes d’intervention en contexte de crise ou de santé mentale. Ce modèle de réponse spécialisée est une solution proactive qui a pour but d’améliorer l’action policière en situation de crise et de veiller à une meilleure prise en charge de ces personnes par les ressources institutionnelles. La désinstitutionnalisation des soins et des services psychiatriques a eu pour effet une augmentation du nombre de personnes atteintes de troubles mentaux dans la communauté. Par conséquent, cet accroissement a engendré des rapports plus fréquents entre les services policiers et cette clientèle. Les interventions en contexte de crise ou de santé mentale sont particulières et complexes, de même qu’elles requièrent un niveau supérieur de compréhension des crises humaines. Les autorités policières ont admis que ces interventions représentent une part significative de leur travail et que la formation policière traditionnelle ne les prépare pas suffisamment pour intervenir adéquatement auprès de cette population. En réponse à ces considérations et dans l’objectif d’améliorer leur capacité d’agir, les forces policières se sont dotées de modèles de réponse policière spécialisée en intervention de crise. L’approche la plus répandue est l’équipe d’intervention de crise (« crisis intervention team » ou « CIT »), aussi appelée le modèle de Memphis. Il existe plusieurs variantes de ce modèle, mais les composantes principales, c’est-à-dire la formation avancée et la consolidation d’un partenariat avec le système de santé demeurent dans l’ensemble de ces structures. L’objectif de cette recherche consiste à sonder les perceptions des agents RIC, de leur partenaire fixe et des agents en attente de la formation afin de comprendre et de contraster leurs visions et leurs pratiques d’intervention en contexte de crise ou de santé mentale. Chaque groupe a apporté des précisions intéressantes. Nous avons conduit 12 entrevues qualitatives avec des policiers du SPVM. De façon générale, les participants rapportent que leurs pratiques d’intervention auprès des personnes en crise ou atteintes de troubles mentaux sont davantage ancrées dans une perspective de relation d’aide. Ils mentionnent également que la communication, l’écoute et la confiance doivent être privilégiées avant tout autre stratégie dans les situations qui les permettent et que la force doit être employée seulement lorsqu’elle est nécessaire, c’est-à-dire lorsque leur sécurité ou celle d’autrui est en péril ou lorsque la communication n’est pas possible. Puis, ils admettent que le recours à l’expertise des intervenants en santé mentale permet une analyse plus approfondie de la situation et de l’état mental de la personne visée par l’intervention. D’autre part, en ce qui concerne les limites de la formation policière traditionnelle, les candidats ont soulevé qu’il y a un manque de connaissances en matière de santé mentale ainsi qu’une difficulté associée à l’évaluation de l’état de la personne et du besoin de transport ont été soulevés. Sur le plan des apprentissages, les agents RIC disent avoir une compréhension plus globale de la problématique de santé mentale, de meilleures habiletés communicationnelles, une analyse plus approfondie de la situation, de plus grandes connaissances juridiques, une compréhension du fonctionnement des services hospitaliers ainsi qu’une appréciation particulière pour le partage de savoirs et les principes d’endiguement. Ils font part également de l’importance des rapports pour documenter l’évolution de l’état mental d’une personne et ils ajoutent que la dimension temporelle joue un rôle clé dans la résolution définitive de la problématique. Au sujet des partenaires, ils évoquent des retombées similaires. Toutefois, à la suite de la formation, ils reconnaissent davantage l’importance de leur rôle dans la sécurité de leur partenaire et ils y accordent dorénavant une attention marquée lors de ces interventions. Enfin, les agents non formés formulent des attentes relatives au développement d’outils et de compétences, ce qui leur sera rendu dans la formation RIC. Globalement, les agents RIC et les partenaires interviewés ont modifié leurs pratiques pour les arrimer avec la philosophie des interventions en contexte de crise ou de santé mentale. Ils ont également davantage confiance en leurs capacités et habiletés d’intervention auprès des personnes en crise ou atteintes de troubles mentaux grâce aux connaissances acquises dans la formation.

NYPD tactical patrol force during Crown Heights demonstration

General note: Title and date provided by Bettye Lane.

Predatory police : the roles of ethics and networks as mediating factors

The institution the police force has been established to protect citizens and their property from harm and predatory opportunism. However, there have been occasions when the very people assigned to protect become part of the predatory force against society. Predatory policing occurs when the police use their powers to extort money in the form of bribes. While, the concept is receiving attention in Europe but there have not been any direct studies in Australia. To overcome this research deficit and determine the extent, if any, of predatory policing in Australia data is interrogated from four police corruption inquiries in the Australian states of Queensland, New South Wales, Victoria and Western Australia. In addition, it examines the role of the type of networks used by corrupt police officers. The synthesis and application of public corruption and network literatures to the predatory policing domain provides new and relevant insights to assist those responsible for the administration of our institutions of justice. The paper concludes with a framework, drawn from the first stage of the project, to assist in the conceptualisation and monitoring of this public problem.

Curvilinear relationships between the job demands-resources (JD-R) model, and work engagement : a police service case study

The current study aims to investigate the non-linear relationship between the JD-R model and work engagement. Previous research has identified linear relationships between these constructs; however there are strong theoretical arguments for testing curvilinear relationships (e.g., Warr, 1987). Data were collected via a self-report online survey from officers of one Australian police service (N = 2,626). Results demonstrated a curvilinear relationship between job demands and job resources and engagement. Gender (as a control variable) was also found to be a significant predictor of work engagement. The results indicated that male police officers experienced significantly higher job demands and colleague support than female officers. However, female police officers reported significantly higher levels of work engagement than male officers. This study emphasises the need to test curvilinear relationships, as well as simple linear associations, when measuring psychological health.

Work engagement and its antecedents in high-risk occupations : a police service case study

Introduction: Work engagement is a recent application of positive psychology and refers to a positive, fulfilling, work-related state of mind characterized by vigor, dedication and absorption. Despite theoretical assumptions, there is little published research on work engagement, due primarily to its recent emergence as a psychological construct. Furthermore, examining work engagement among high-stress occupations, such as police, is useful because police officers are generally characterized as having a high level of work engagement. Previous research has identified job resources (e.g. social support) as antecedents of work engagement. However detailed evaluation of job demands as an antecedent of work engagement within high-stress occupations has been scarce. Thus our second aim was to test job demands (i.e. monitoring demands and problem-solving demands) and job resources (i.e. time control, method control, supervisory support, colleague support, and friend and family support) as antecedents of work engagement among police officers. Method: Data were collected via a self-report online survey from one Australian state police service (n = 1,419). Due to the high number of hypothesized antecedent variables, hierarchical multiple regression analysis was employed rather than structural equation modelling. Results: Work engagement reported by police officers was high. Female officers had significantly higher levels of work engagement than male officers, while officers at mid-level ranks (sergeant) reported the lowest levels of work engagement. Job resources (method control, supervisor support and colleague support) were significant antecedents of three dimensions of work engagement. Only monitoring demands were significant antecedent of the absorption. Conclusion: Having healthy and engaged police officers is important for community security and economic growth. This study identified some common factors which influence work engagement experienced by police officers. However, we also note that excessive work engagement can yield negative outcomes such as psychological distress.

Strains as Mediators between Job Characteristics and Work-Related Outcomes in Police Officers

The relationship between job characteristics (e.g., job demands, social support) and work-related outcomes (e.g., turnover intentions, job performance) is assumed to be mediated by strains (e.g., work-related well-being, psychological strain). However, evidence suggests this association will be stronger for work-related strains than broader measures of overall psychological well-being. The primary aim of this study was to identify whether work and non-work related strains differ significantly in their ability to mediate between job characteristics and work-related outcomes. Perceptions of job characteristics, strain, turnover intentions and job performance were collected via a self-report survey from 2,588 Australian police officers. All job characteristics (job demands, job control, supervisor support and colleague support) were significant predictors of both job performance and turnover intentions, with the exception of job demands, which was not a significant predictor of turnover intentions. Both work and non-work related strains were significant predictors of turnover intentions and job performance. Strains were collectively significant in mediating between job characteristics and work-related outcomes, except in the case of job demands and job performance. The indirect effects of job characteristics on work-related outcomes were primarily through officers’ work-related enthusiasm. The relative importance of work-related enthusiasm in mediating between job characteristics and work-related outcomes offers some support for previous research suggesting stronger associations between work-related constructs. Future research should examine whether there are substantial differences in the explanatory power of work-related enthusiasm and a popular related construct, work engagement.

Duty of police and ambulance services : what happens when the plaintiff refuses treatment?

In a recent case the New South Wales Court of Appeal considered the duty of care owed by ambulance and police officers, issues concerning breach and causation and the practical effect of the exclusion of the plaintiff's evidence.

The impact of police speed enforcement practices on self-reported speeding: An exploration of the effects of visibility and mobility

Research has highlighted the relationship between vehicle speed and increased crash risk and severity. Evidence suggests that police speed enforcement, in particular speed camera operations, can be an effective tool for reducing traffic crashes. A quantitative survey of Queensland drivers (n = 852) was conducted to investigate the impact of police speed enforcement methods on self-reported speeding behaviour. Results indicate that visible enforcement was associated with significantly greater self-reported compliance than covert operations irrespective of the mobility of the approach, and the effects on behaviour were longer lasting. The mobility of operations appeared to be moderated the visibility of the approach. Specifically, increased mobility was associated with increase reported compliant behaviour, but only for covert operations, and increased longevity of reported compliant behaviour, but only for overt operations. The perceived effectiveness of various speed enforcement approaches are also analysed across a range of driving scenarios. Results are discussed in light of the small effect sizes. Recommendations for policy and future research are presented.

“I smile when I’m angry!” an examination of emotional dissonance among police officers

With the growth of service industry occupations, managing emotions at work has increased as a topic of interest among scholars and practitioners in organisational behaviour and human resource management(Grandey, 2000). Emotional dissonance occurs when there is discrepancy between organisational sanctioned emotions and actual emotions of employees(Zapf, Vogt, Seifert, Mertini, & Isic, 1999). This discrepancy can be associated with significant levels of psychological ill-health (Zapf, Seifert, Schmutte, Mertini, & Holz, 2001). Policing is consistently ranked among the top five stressful/high-risk occupations (e.g. Coman, Evans, Stanley, & Burrows, 1991). Police officers act as the front-line contact when dealing directly with community members; they are expected to be social workers, teachers, role models, and counsellors. Operational police officers are often required to suppress their actual emotions during their work, in order to perform their job to formally designated procedures and standards.