999 resultados para Physiologie -- 19e siècle


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Collection : [Ancien Paris] ; 228

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Chapitre 149, description des buttes de l’Occident. Première section de deux vignettes, avec deux divinités momiformes, à la tête de chacal pour la première, à tête de faucon pour la deuxième, suivie d’une colonne de hiératique.Deuxième section de douze colonnes, constituées chacune d’une vignette surmontant le texte. Chacune de ces colonnes est consacrée à une butte.Une bande horizontale contient le titre des formules en rouge, très effacé.La troisième section est constituée d’un tableau à 16 cases, reprenant le nom des buttes.

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La présente thèse se propose d'étudier les fortifications connues dans le territoire d'Erétrie (île d'Eubée, Grèce), essentiellement aux époques classique et hellénistique (Ve-IIe siècles av. J.-C.). La plupart de ces constructions (forteresses de grand appareil, habitats fortifiés, enceintes de pierres sèches et tours) sont connues depuis le 19e siècle, mais ce travail constitue la première étude archéologique et historique d'ensemble qui leur est consacrée exclusivement. Bien que décrites depuis longtemps, les fortifications des campagnes grecques ont surtout été étudiées d'un point de vue architectural et historique. Cette approche a privilégié une interprétation militaire et stratégique, reliant les fortifications au sein de réseaux défensifs conçus à grande échelle et destinés à bloquer les accès et les frontières du territoire. Notre perspective est différente, puisqu'elle s'efforce de replacer chaque fortification dans la géographie antique en étudiant son interaction avec les plaines et les reliefs, les frontières, l'habitat, les voies de communication, les terres cultivables et la répartition de la population. Pour ce faire, nous avons établi une carte archéologique de l'Erétriade, conduit des prospections extensives autour des fortifications, ainsi que dans de nombreuses régions du territoire. Cette méthode permet d'aborder l'étude des fortifications rurales en adoptant des angles d'analyse différents : le premier, macro-géographique, met ainsi en valeur des caractéristiques générales, telles que la relation entre les fortifications et la capitale d'une part, les fortifications et les terres cultivables de l'autre ; au plan régional, ou micro-géographique, elle analyse la répartition des fortifications au sein de chaque district de l'Erétriade, voire des vallées ou des cantons, mettant en évidence le rôle local des ouvrages fortifiés. Au terme de cette recherche, il est apparu qu'une approche purement stratégique ou militaire ne permettait pas d'expliquer la répartition géographique des fortifications, puisque ces dernières se trouvent pour la plupart à l'intérieur du territoire et non à ses frontières. Elles ne sont pas non plus disposées de manière à pouvoir exercer une surveillance étroite sur les routes pénétrant dans la chôra ; aussi leur fonctionnement au sein d'un «réseau défensif frontalier ne peut pas être démontré. Dans l'Erétriade, la colonne vertébrale de la sécurité publique est formée par les habitats fortifiés, dèmes et kômai, complétée par l'existence de deux forteresses militaires ayant accueilli des garnisons. Placés toujours à bonne distance de la ville, puis à intervalles plus ou moins réguliers au sein du territoire, les habitats fortifiés jouent sur le plan régional le rôle de la ville : en cas d'invasion ou de danger, la population du dème ou des dèmes environnants pouvait y trouver refuge, mettant ainsi à l'abri récoltes, biens et animaux. L'apparition des fortifications territoriales correspond à l'extension maximale de l'occupation humaine, agricole et économique du territoire. Les communautés rurales qui en avaient la possibilité se dotèrent alors de fortifications, souvent sommaires, pour faire face à des menaces variées, mais surtout pour assurer leur propre sécurité et protéger un équilibre autarcique fragile. Il ne faut donc pas nécessairement attribuer la construction de fortifications à un événement historique précis, interprétation abusive courante dans l'étude des fortifications, en Grèce comme ailleurs. La fortification des habitats ruraux s'est réalisée de manière progressive, en réponse aux sentiments d'insécurité d'une population rurale toujours plus nombreuse. Faute de références littéraires et d'inscriptions, en particulier de décrets honorifiques, les forteresses et les habitats fortifiés de l'Erétriade constituent les derniers témoins de l'insécurité publique et des violences auxquelles fut confronté le territoire d'Erétrie aux époques classique et hellénistique.

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Comprend : [Planche du 1er Frontispice. Parisienne fin de siècle] [Cote : BNF C214312] ; [2ème frontispice. Hommes et femmes de la bourgeoisie dans un café parisien.] [Cote : BNF 91C153751] ; [Planche du 3ème frontispice. Homme et deux élégantes dans un café parisien.] [Cote : BNF C214313] ; [Planche en regard de la p.11. Bourgeois et élégantes parisiennes.] [Cote : BNF C214314] ; [Planche en regard de la p.37. L'ambulante.] [Cote : BNF C39544] ; [Planche en regard de la p.49. Le marchand de marrons parisien.] [Cote : BNF C39545] ; [Planche en regard de la p.55. La Bièvre. Paysage des alentours de Paris.] [Cote : BNF C39546] ; [Planche en regard de la p.66. La rue de la Chine à Paris.] [Cote : BNF C39547] ; [Planche en regard de la p.85. Homme mangeant à une table de café parisien.] [Cote : BNF C214315] ; [Planche en regard de la p.99. Elégante parisienne.] [Cote : BNF C214316]