974 resultados para Organisations non-gouvernementales
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More than ever, education organisations are experiencing the need to develop new services and processes to satisfy expanding and changing customer needs and to adapt to the environmental changes and continually tightening economic situation. Innovation has been found in many studies to have a crucial role in the success of an organisation, both in the private and public sectors, in formal education and in manufacturing and services alike. However, studies concerning innovation in non-formal adult education organisations, such as adult education centres (AECs) in Finland, are still lacking. This study investigates innovation in the non-formal adult education organisation context from the perspective of organisational culture types and social networks. The objective is to determine the significant characteristics of an innovative non-formal adult education organisation. The analysis is based on data from interviews with the principals and fulltime staff of four case AECs. Before the case study, a pre-study phase is accomplished in order to obtain a preliminary understanding of innovation at AECs. The research found strong support for the need of innovation in AECs. Innovation is basically needed to accomplish the AEC system’s primary mission mentioned in the ACT on Liberal Adult Education. In addition, innovation is regarded vital to institutes and may prevent their decline. It helps the institutes to be more attractive, to enter new market, to increase customer satisfaction and to be on the cutting edge. Innovation is also seen as a solution to the shortage of resources. Innovative AECs search actively for additional resources for development work through project funding and subsidies, cooperation networks and creating a conversational and joyful atmosphere in the institute. The findings also suggest that the culture type that supports innovation at AECs is multidimensional, with an emphasis on the clan and adhocratic culture types and such values as: dynamism, future orientation, acquiring new resources, mistake tolerance, openness, flexibility, customer orientation, a risk-taking attitude, and community spirit. Active and creative internal and external cooperation also promote innovation at AECs. This study also suggests that the behaviour of a principal is crucial. The way he or she shows appreciation the staff, encouragement and support to the staff and his or her approachability and concrete participation in innovation activities have a strong effect on innovation attitudes and activities in AECs.
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Cette étude qui s’inscrit dans la perspective de l’action située, vise à comprendre le phénomène de (re)construction des communautés de pratique (CoPs) en contexte de fusion hospitalière. La recherche repose sur un devis d’étude de cas longitudinale qui combine plusieurs sources de données : documentaires, d’entretiens semi-directifs et d’observations de terrain. La stratégie d’analyse combine deux méthodes : l’une processuelle, permettant un ordonnancement temporel de récits d’événements et d'activités qui ont contribué à situer l’action dans le temps; l’autre selon l’approche de la théorisation ancrée, a permis la comparaison des données par leur regroupement systématique en catégories et sous catégories, tout au long de la collecte des données. La démarche de recherche processuelle adoptée, nous a conduit à révéler la dynamique de construction d’une communauté de pratique (CoP) à partir des caractéristiques inter reliées, identifiées dans la littérature et qui font référence à un engagement mutuel, une entreprise commune et un répertoire partagé. Ainsi, nos analyses montrent que le domaine d’action qui vient délimiter les points de convergence des participants, constitue le dénominateur commun de la pratique de la communauté qui met à jour des savoirs tacites et explicites qui s’échangent et se développent dans le temps. Cette pratique partagée, éminemment sociale, génère des connaissances et des règles négociées et entretenues par les membres dans le cadre de leurs rencontres. Nos analyses révèlent également que le processus d’évolution d’une communauté de pratique, s’inscrit dans une trajectoire d’apprentissages continue où se combinent de façon dynamique, des temps de participation intense, propices à la construction progressive d’une compréhension commune et négociée du domaine d’action (participation) et des temps de mise en forme de ces représentations (réification). Ici, la dialectique participation/réification qui se donne à voir, révèle un véritable travail d’organisation où la construction du sens à donner à l’action s’instruit à l’aune d’une régulation sociale omniprésente. Toutefois, le résultat de la régulation sociale, n’implique pas de facto, la rencontre d’une régulation conjointe. Plutôt, nos résultats mettent à jour un ensemble de régulations, tantôt concurrentes, tantôt en équilibre en regard du contexte dans lequel sont placés les acteurs. Enfin, nos résultats sur la dynamique de (re)construction des communautés de pratique en contexte de fusion, permettent d’appréhender le changement organisationnel non plus sous ses seuls aspects stratégiques et en direction des équipes dirigeantes, mais également sous l’angle des capacités d’acteurs « ordinaires » à l’initier dans une perspective continue et située.
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Le Web se caractérise de bien des façons, un de ses traits dominants étant son caractère hautement évolutif. Bien que relativement jeune, il en est déjà à sa deuxième génération – on parle du Web 2.0 – et certains entrevoient déjà le Web 3.0. Cette évolution n’est pas uniquement technologique mais aussi culturelle, modifiant le rapport des internautes à cet univers numérique et à l’information qui s’y trouve. Les technologies phares du Web 2.0 – blogues, fils RSS, sites Wikis, etc. – offrent aux utilisateurs du Web la possibilité de passer d’un rôle passif d’observateurs à un rôle actif de créateurs. Le Web que l’on côtoie actuellement en est ainsi un plus participatif, dynamique et collaboratif. Les organisations doivent ainsi sérieusement considérer non seulement le potentiel de ces nouveaux environnements pour les aider dans le cadre de leurs activités, mais aussi la nouvelle cyberculture qu’ils engendrent chez leurs employés, clients et partenaires. Les plateformes du Web 2.0 viennent renforcer le potentiel déjà perçu par les organisations des systèmes d’information Web (SIW) à plusieurs niveaux : comme le partage d’information, l’augmentation de la compétitivité ou l’amélioration des relations avec leurs clients. Les milieux documentaires peuvent, au même titre que d’autres types d’organisations, tirer profit des outils de ce Web participatif et de la nouvelle culture collaborative qui en découle. Depuis quelque temps déjà, les bibliothèques se penchent activement sur ces questions et la communauté archivistique emboîte le pas… « vers une Archivistique 2.0 ? » se demanderont certains. Cet article se propose d’examiner le potentiel du Web 2.0 pour les organisations en général ainsi que plus particulièrement pour la communauté archivistique. Nous nous attarderons dans un premier temps à définir ce qu’est le Web 2.0 et à détailler ses technologies et concepts clés. Ces précisions aideront à mieux comprendre par la suite l’apport possible du Web 2.0 en contexte organisationnel. Finalement, des exemples d’utilisation du Web 2.0 par la communauté archivistique viendront conclure cette réflexion sur le Web 2.0, les organisations et l’archivistique.
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Cette thèse porte sur le rapport université/entreprise au Mexique après 1990. Il s’agit d’une étude de cas sur l’Université Nationale Autonome du Mexique (UNAM), la plus grande université mexicaine et la plus importante institution productrice de connaissances scientifiques au pays. À partir de 1988, l’introduction au Mexique d’une économie du marché a été le point de départ des nombreux changements politiques et économiques qui ont modifié les conditions d’exploitation des organisations et des institutions au pays. Ainsi, depuis 1990, le nouveau contexte politique et économique du Mexique a modifié les politiques gouvernementales vers les institutions publiques y compris celles de la santé et de l’éducation. Pour ce qui est des universités publiques mexicaines, ces politiques ont réduit leur financement et leur ont demandé une participation plus active à l’économie nationale, par la production de connaissances pouvant se traduire en innovation dans le secteur de la production. Ces nouvelles conditions économiques et politiques constituent des contingences auxquelles les universitaires font face de diverses façons, y compris l’établissement des relations avec les entreprises, comme le prescrivent les politiques du gouvernement fédéral élaborées sur la base des recommandations de l’OCDE. En vue de contribuer à la connaissance des relations université/entreprise développées au Mexique, nous avons réalisé notre étude de cas fondée sur une approche méthodologique qualitative à caractère exploratoire qui a recueilli des données provenant de sources documentaires et perceptuelles. Nous avons encadré notre recherche du point de vue de l’organisation par la théorie de la contingence, et pour l’analyse de la production de la connaissance sur la base des modèles de la Triple hélice et du Mode 2. Différents documents de sources diverses, y compris l’Internet, ont été consultés pour l’encadrement des rapports université/entreprise au Mexique et à l’UNAM. Les sources perceptuelles ont été 51 entrevues semi-structurées auprès de professeurs et de chercheurs à temps plein ayant établi des rapports avec des entreprises (dans les domaines de la biomédecine, la biotechnologie, la chimie et l’ingénierie) et de personnes ayant un rôle de gestion dans les rapports des entreprises avec l’institution. Les données recueillies ont montré que la politique de l’UNAM sur les rapports université/entreprise a été aussi flottante que la structure organisationnelle soutenant sa création et formalisation. Toutes sortes d’entreprises, publiques ou privées collaborent avec les chercheurs de l’UNAM, mais ce sont les entreprises parastatales et gouvernementales qui prédominent. À cause du manque d’infrastructure scientifique et technologique de la plupart des entreprises au Mexique, les principales demandes adressées à l’UNAM sont pour des services techniques ou professionnels qui aident les entreprises à résoudre des problèmes ponctuels. Le type de production de connaissance à l’UNAM continue d’être celui du Mode 1 ou traditionnel. Néanmoins, particulièrement dans le domaine de la biotechnologie, nous avons identifié certains cas de collaboration plus étroite qui pointaient vers l’innovation non linéaire proposée par le Mode 2 et la Triple hélice. Parmi les principaux avantages découlant des rapports avec les entreprises les interviewés ont cité l’obtention de ressources additionnelles pour la recherche, y compris de l’équipement et des fonds pour les bourses d’étudiants, mais souvent ils ont observé que l’un des plus gros avantages était la connaissance qu’ils obtenaient des contacts avec les firmes et le sens du réel qu’ils pouvaient intégrer dans la formation des étudiants. Les programmes gouvernementaux du CONACYT pour la science, la technologie et l’innovation ne semblent pas réussir à renforcer les rapports entre les institutions génératrices de la connaissance et le secteur de la production du Mexique.
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Au Québec, la Loi sur les services de santé et les services sociaux, Chapitre S-4.2, à son article 233, demande à ce que chacun des établissements de santé, dispose d’un code d’éthique qui essentiellement demande de préciser les droits des usagers et de fixer les conduites attendues du personnel. Le législateur souhaitait améliorer les conduites du personnel dès le début des années 1990 et envisageait désigner un organisme de surveillance pour s’en assurer. Cette contrainte ne fut pas retenue et 20 ans plus tard, la volonté d’assurer des conduites attendues n’est toujours pas assujettie de contraintes ou de contrôles même si elle est toujours souhaitée. En 2003 toutefois, le Ministre a mis en place un processus de visites ministérielles dans les milieux d’hébergement et à ce jour quelques 150 établissements ont été visités. Ces équipes se sont préoccupées entre autre de la fonction du code d’éthique pour soutenir les directions de ces établissements. Elles ne réussissent pas à pouvoir s’appuyer sur le code d’éthique pour qu’il soit l’assise pour baser les décisions cliniques, organisationnelles et de gestion de chacune des organisations du réseau de la santé et des services sociaux du Québec. Il faut à ce moment-ci faire le constat que le code d’éthique, obligatoire, figure au nombre des nombreuses contraintes rencontrées par les organisations. Les établissements doivent passer un processus d’agrément aux trois ans et le code d’éthique n’est pas davantage un élément dynamique retenu à ce processus de validation de normes de qualité. De plus, une revue québécoise spécialisée en gestion de la santé a consacré un numéro complet de 15 articles sur « éthique et comportements » et le code d’éthique y est absent sauf pour deux articles qui s’y attardent spécifiquement. Est-ce une question d’éthique dont il est question par ce code, ou si ce n’est pas davantage de la déontologie, d’autant que le législateur veut avant tout s’assurer de comportements adéquats de la part des employés et des autres personnes qui exercent leur profession. Est-ce qu’un code de conduite ne serait pas plus approprié pour atteindre les fins visées? Cette question est répondue dans ce mémoire qui regarde les concepts d’éthique, de déontologie, de codes, de régulation des comportements. De plus, des analyses détaillées de 35 codes d’éthique actuels de divers établissements et de diverses régions du Québec iv sont présentées. La littérature nous donne les conditions de réussite pour un code et outre l’importance à accorder aux valeurs énoncées dans l’organisation, il est également question des sanctions à prévoir au non-respect de ces valeurs. Elles se doivent d’être claires et appliquées. Enfin, beaucoup d’organisations parlent maintenant de code de conduite et ce terme serait tout à fait approprié pour rejoindre le souhait du législateur qui veut assurer des conduites irréprochables des employés et autres personnes qui y travaillent. C’est la conclusion de ce travail, énoncée sous forme de recommandation.
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Le sujet de la gestion du risque m’a toujours interpelée, surtout après que j’ai vécu deux ouragans et un tremblement de terre dévastateurs au Salvador. Bien qu’on ait assez écrit sur le sujet en le reliant souvent aux changements climatiques, on ne sait pas comment les organisations gouvernementales et civiles vivent cette gestion du risque au quotidien. À partir d’une étude ethnographique de la Commission de la protection civile de la Mairie de Tecoluca au Salvador, j’observais les processus qui se mettent en place dans la recherche et l’analyse des facteurs structuraux causant les situations de vulnérabilité. Pour ce faire, j’adoptais une approche basée sur l’étude des interactions, mobilisant les théories de la cognition distribuée et de l’acteur réseau. Comme je le montre, la gestion du risque, vue comme un processus participatif, se caractérise, d’une part, par la coopération et la coordination entre les personnes et, d’autre part, par la contribution d’outils, de technologies, de documents et de méthodes contribuant à la détection de risques. Ceci exige la mobilisation de connaissances qui doivent être produites, partagées et distribuées entre les membres d’un groupe à travers les divers artéfacts, outils, méthodes et technologies qu’ils mobilisent et qui les mobilisent. À ce sujet, la théorie de la cognition distribuée permet d’explorer des interactions qui se produisent au sein d’un groupe de travail en se focalisant sur ce qui contribue à l’acte de connaitre, conçu comme une activité non pas seulement individuelle, mais surtout collective et distribuée. Par ailleurs, la théorie de l’acteur-réseau me permet, quant à elle, de montrer comment dans l’exécution de cette tâche (la gestion du risque), la contribution active d’acteurs non humains, tant en soi qu’en relations avec les acteurs humains, participe de l’activité de détection et de prévention du risque.
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Drawing from the organisational learning and governance literature, this paper assesses four internationally networked governmental and non‐governmental organisations in the UK addressing climate change. We analyse how those concerned understand the climate change crisis, what mechanisms are put in place to address information flows, and what evidence there is of learning through sharing information between the organisational headquarters and their regional offices. The most striking finding is the evidence of learning that largely depends on ad‐hoc informal processes and shadow networks.
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Weak institutional development and information flows have constrained the extent to which the small-holder farming sector in developing countries can significantly drive growth and poverty reduction. Thisis despite widely implemented economic liberalisation policies focussing on market efficiency. Farmerorganisations are viewed as a potential means of addressing public and private institutional failure but thishas frequently been limited by inequalities in access to power and information. This article investigatestwo issues that have received little research attention to date: what role downward accountability plays inenabling farmer organisations to improve services and markets, and what influences the extent to whichdownward accountability is achieved. Kenya Tea Development Agency (KTDA), one of the largest farmerorganisations in the world (>400,000 farmers) is examined alongside wider literature. Mixed methodswere used including key informant interviews, and eight months of participant observation followedby a questionnaire survey. The article concludes that without effective downward accountability farmerorganisations can become characterised by institutions and mechanisms that favour elites, restrictedweak coordination and regulation, and manipulated information flows. This in turn reduces individuals’incentives to invest. If farmer organisations are to realise their potential as a means of enabling the small-holder sector to significantly contribute to economic growth and poverty reduction, policy and researchneeds to address key factors which influence accountability including: how to ensure initial processes information of farmer organisations establish appropriate structures and rules; strong state regulation toenhance corporate accountability; transparent information provision regarding actions of farmer organi-sation leaders; and the role independent non-government organisations can play. Consequently attentionneeds to focus on developing means of legitimising rights, building poor people’s capacity to challengeexclusion, and moving from rights to obligations regarding information provision.
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Causing civilian casualties during military operations has become a much politicised topic in international relations since the Second World War. Since the last decade of the 20th century, different scholars and political analysts have claimed that human life is valued more and more among the general international community. This argument has led many researchers to assume that democratic culture and traditions, modern ethical and moral issues have created a desire for a world without war or, at least, a demand that contemporary armed conflicts, if unavoidable, at least have to be far less lethal forcing the military to seek new technologies that can minimise civilian casualties and collateral damage. Non-Lethal Weapons (NLW) – weapons that are intended to minimise civilian casualties and collateral damage – are based on the technology that, during the 1990s, was expected to revolutionise the conduct of warfare making it significantly less deadly. The rapid rise of interest in NLW, ignited by the American military twenty five years ago, sparked off an entirely new military, as well as an academic, discourse concerning their potential contribution to military success on the 21st century battlefields. It seems, however, that except for this debate, very little has been done within the military forces themselves. This research suggests that the roots of this situation are much deeper than the simple professional misconduct of the military establishment, or the poor political behaviour of political leaders, who had sent them to fight. Following the story of NLW in the U.S., Russia and Israel this research focuses on the political and cultural aspects that have been supposed to force the military organisations of these countries to adopt new technologies and operational and organisational concepts regarding NLW in an attempt to minimise enemy civilian casualties during their military operations. This research finds that while American, Russian and Israeli national characters are, undoubtedly, products of the unique historical experience of each one of these nations, all of three pay very little regard to foreigners’ lives. Moreover, while it is generally argued that the international political pressure is a crucial factor that leads to the significant reduction of harmed civilians and destroyed civilian infrastructure, the findings of this research suggest that the American, Russian and Israeli governments are well prepared and politically equipped to fend off international criticism. As the analyses of the American, Russian and Israeli cases reveal, the political-military leaderships of these countries have very little external or domestic reasons to minimise enemy civilian casualties through fundamental-revolutionary change in their conduct of war. In other words, this research finds that employment of NLW have failed because the political leadership asks the militaries to reduce the enemy civilian casualties to a politically acceptable level, rather than to the technologically possible minimum; as in the socio-cultural-political context of each country, support for the former appears to be significantly higher than for the latter.
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During the second half of the nineteenth century fraternal and benevolent associations of numerous descriptions grew and prospered in mining communities everywhere. They played an important, but neglected role, in assisting transatlantic migration and movement between mining districts as well as building social capital within emerging mining communities. They helped to build bridges between different ethnic communities, provided conduits between labour and management, and networked miners into the non-mining community. Their influence spread beyond the adult males that made up most of their membership to their wives and families and provided levels of social and economic support otherwise unobtainable at that time. Of course, the influence of these organisations could also be divisive where certain groups or religions were excluded and they may have worked to exacerbate, as much as ameliorate, the problems of community development. This paper will examine some of these issues by looking particularly at the role of Freemasonry and Oddfellowry in Cornwall, Calumet, and Nevada City between 1860 and 1900. Work on fraternity in the Keweenaw was undertaken in Houghton some years ago with a grant from the Copper Country Archive and has since been continued by privately funded research in California and other Western mining states. Some British aspects of this research can be found in my article on mining industrial relations in Labour History Review April 2006
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La présente thèse vise à évaluer le degré d’implantation et d’utilisation de systèmes de mesure de la performance (SMP) par les décideurs des organisations de réadaptation et à comprendre les facteurs contextuels ayant influencé leur implantation. Pour ce faire, une étude de cas multiples a été réalisée comprenant deux sources de données: des entrevues individuelles avec des cadres supérieurs des organisations de réadaptation du Québec et des documents organisationnels. Le cadre conceptuel Consolidated Framework for Implementation Research a été utilisé pour guider la collecte et l’analyse des données. Une analyse intra-cas ainsi qu’une analyse inter-cas ont été réalisées. Nos résultats montrent que le niveau de préparation organisationnelle à l’implantation d’un SMP était élevé et que les SMP ont été implantés avec succès et utilisés de plusieurs façons. Les organisations les ont utilisés de façon passive (comme outil d’information), de façon ciblée (pour tenter d’améliorer des domaines sous-performants) et de façon politique (comme outil de négociation auprès des autorités gouvernementales). Cette utilisation diversifiée des SMP est suscitée par l’interaction complexe de facteurs provenant du contexte interne propre à chaque organisation, des caractéristiques du SMP, du processus d’implantation appliqué et du contexte externe dans lequel évoluent ces organisations. Au niveau du contexte interne, l’engagement continu et le leadership de la haute direction ont été décisifs dans l’implantation du SMP de par leur influence sur l’identification du besoin d’un SMP, l’engagement des utilisateurs visés dans le projet, la priorité organisationnelle accordée au SMP ainsi que les ressources octroyées à son implantation, la qualité des communications et le climat d’apprentissage organisationnel. Toutefois, même si certains de ces facteurs, comme les ressources octroyées à l’implantation, la priorité organisationnelle du SMP et le climat d’apprentissage se sont révélés être des barrières à l’implantation, ultimement, ces barrières n’étaient pas suffisamment importantes pour entraver l’utilisation du SMP. Cette étude a également confirmé l’importance des caractéristiques du SMP, particulièrement la perception de qualité et d’utilité de l’information. Cependant, à elles seules, ces caractéristiques sont insuffisantes pour assurer le succès d’implantation. Cette analyse d’implantation a également révélé que, même si le processus d’implantation ne suit pas des étapes formelles, un plan de développement du SMP, la participation et l’engagement des décideurs ainsi que la désignation d’un responsable de projet ont tous facilité son implantation. Cependant, l’absence d’évaluation et de réflexion collective sur le processus d’implantation a limité le potentiel d’apprentissage organisationnel, un prérequis à l’amélioration de la performance. Quant au contexte externe, le soutien d’un organisme externe s’est avéré un facilitateur indispensable pour favoriser l’implantation de SMP par les organisations de réadaptation malgré l’absence de politiques et incitatifs gouvernementaux à cet effet. Cette étude contribue à accroître les connaissances sur les facteurs contextuels ainsi que sur leurs interactions dans l’utilisation d’innovations tels les SMP et confirme l’importance d’aborder l’analyse de l’implantation avec une perspective systémique.
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Thousands of self-help organisations (SHOs) exist in Australia but little is known about how they relate to the mainstream health care system. This qualitative study, based in south-east Queensland, aimed to identify examples of collaboration between general practitioners (GPs) and SHOs in order to examine the attributes of successful partnerships. Representatives of six SHOs, identified by key informants as having good collaborative links with GPs, and seven GPs with whom they collaborated, completed semi-structured interviews. The interviews focused on evidence of collaboration and perceptions of benefits and barriers experienced. Maximum variation sampling enabled a cross-section of SHOs in terms of size, funding, and health issue. Although GPs readily identified SHO benefits, they referred patients to them only rarely. SHO credibility, evidence of tangible benefits for patients, ease of contacting the SHO, and correspondence between the SHO?s focus and the GP?s personal and professional interests appear to contribute to the success of partnerships. We conclude that mutually beneficial partnerships between GPs and SHOs exist but are under-utilised. A more coordinated effort is needed to strengthen links between the two sectors.
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Many organisations are encouraging their staff to integrate work and non-work, but a qualitative study of young professionals found that many crave greater segregation rather than more integration. Most wished to build boundaries to separate the two and simplify a complex world. Where working practices render traditional boundaries of time and space ineffective, this population seems to create new idiosyncratic boundaries to segregate work from non-work. These idiosyncratic boundaries depended on age, culture and life-stage though for most of this population there was no appreciable gender difference in attitudes to segregating work and non-work. Gender differences only became noticeable for parents. A matrix defining the dimensions to these boundaries is proposed that may advance understanding of how individuals separate their work and personal lives. In turn, this may facilitate the development of policies and practices to integrate work and non-work that meet individual as well as organisational needs.