964 resultados para Oncology
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Research Question: What are the psychosocial factors that affect causality assessment in early phase oncology clinical trials? Methods: Thirty-two qualitative interviews were explicated with the aid of “Naturalistic Decision Making”. Data explication consisted of phenomenological reduction, delineating and clustering meaning units, forming themes, and creating a composite summary. Participants were members of the National Cancer Institute of Canada’s Clinical Trial Group Investigative New Drug committee. Results: The process of assigning causality is extremely subjective and full of uncertainty. Physicians had no formal training, nor a tool to assist them with this process. Physicians were apprehensive about their decisions and felt pressure from their patients, as well as the pharmaceutical companies sponsoring the trial. Conclusions: There are many problem areas when attributing causality, all of which have serious consequences, but clinicians used a variety of methods to cope with these problem areas.
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Le cancer de la prostate est le cancer le plus fréquemment diagnostiqué chez les hommes canadiens et la troisième cause de décès relié au cancer. Lorsque diagnostiqué à un stade précoce de la maladie, le cancer de la prostate est traité de manière curative par chirurgie et radiothérapie. Par contre, les thérapies actuelles ne peuvent éradiquer la maladie lorsqu’elle progresse à des stades avancés. Ces thérapies, comme la chimiothérapie et l’hormonothérapie, demeurent donc palliatives. Il est primordial d’optimiser de nouvelles thérapies visant l’élimination des cellules cancéreuses chez les patients atteints des stades avancés de la maladie. Une de ces nouvelles options thérapeutiques est l’immunothérapie. L’immunothérapie du cancer a fait des progrès considérables durant les dernières années. Cependant, les avancements encourageants obtenus lors d’essais précliniques ne se sont pas encore traduits en des résultats cliniques significatifs. En ce qui concerne le cancer de la prostate, les résultats négligeables suivants des interventions immunothérapeutiques peuvent être causés par le fait que la plupart des études sur le microenvironnement immunologique furent effectuées chez des modèles animaux. De plus la majorité des études sur l’immunologie tumorale humaine furent effectuées chez des patients atteints d’autres cancers, tels que le mélanome, et non chez les patients atteints du cancer de la prostate. Donc, le but central de cette thèse de doctorat est d’étudier le microenvironnement immunologique chez les patients atteints du cancer de la prostate afin de mieux définir les impacts de la tumeur sur le développement de la réponse immunitaire antitumorale. Pour réaliser ce projet, nous avons établi deux principaux objectifs de travail : (i) la caractérisation précise des populations des cellules immunitaires infiltrant la tumeur primaire et les ganglions métastatiques chez les patients atteints du cancer de la prostate; (ii) l’identification et l’étude des mécanismes immunosuppressifs exprimés par les cellules cancéreuses de la prostate. Les résultats présentés dans cette thèse démontrent que la progression du cancer de la prostate est associée au développement d’un microenvironnement immunosuppressif qui, en partie, est régulé par la présence des androgènes. L’étude initiale avait comme but la caractérisation du microenvironnement immunologique des ganglions drainant la tumeur chez des patients du cancer de la prostate. Les résultats présentés dans le chapitre III nous a permis de démontrer que les ganglions métastatiques comportent des signes cellulaires et histopathologiques associés à une faible réactivité immunologique. Cette immunosuppression ganglionnaire semble dépendre de la présence des cellules métastatiques puisque des différences immunologiques notables existent entre les ganglions non-métastatiques et métastatiques chez un même patient. La progression du cancer de la prostate semble donc associée au développement d’une immunosuppression affectant les ganglions drainant la tumeur primaire. Par la suite, nous nous sommes intéressés à l’impact de la thérapie par déplétion des androgènes (TDA) sur le microenvironnement immunologique de la tumeur primaire. La TDA est associée à une augmentation marquée de l’inflammation prostatique. De plus, les protocoles d’immunothérapies pour le cancer de la prostate actuellement évalués en phase clinique sont dirigés aux patients hormonoréfractaires ayant subi et échoué la thérapie. Cependant, peu d’information existe sur la nature de l’infiltrat de cellules immunes chez les patients castrés. Il est donc essentiel de connaître la nature de cet infiltrat afin de savoir si celui-ci peut répondre de manière favorable à une intervention immunothérapeutique. Dans le chapitre IV, je présente les résultats sur l’abondance des cellules immunes infiltrant la tumeur primaire suivant la TDA. Chez les patients castrés, les densités de lymphocytes T CD3+ et CD8+ ainsi que des macrophages CD68+ sont plus importantes que chez les patients contrôles. Nous avons également observé une corrélation entre la densité de cellules NK et une diminution du risque de progression de la maladie (rechute biochimique). Inversement, une forte infiltration de macrophages est associée à un plus haut risque de progression. Conjointement, durant cette étude, nous avons développé une nouvelle approche informatisée permettant la standardisation de la quantification de l’infiltrat de cellules immunes dans les échantillons pathologiques. Cette approche facilitera la comparaison d’études indépendantes sur la densité de l’infiltrat immun. Ces résultats nous ont donc permis de confirmer que les effets pro-inflammatoires de la TDA chez les patients du cancer de la prostate ciblaient spécifiquement les lymphocytes T et les macrophages. L’hypothèse intéressante découlant de cette étude est que les androgènes pourraient réguler l’expression de mécanismes immunosuppressifs dans la tumeur primaire. Dans le chapitre V, nous avons donc étudié l’expression de mécanismes immunosuppressifs par les cellules cancéreuses du cancer de la prostate ainsi que leur régulation par les androgènes. Notre analyse démontre que les androgènes augmentent l’expression de molécules à propriétés immunosuppressives telles que l’arginase I et l’arginase II. Cette surexpression dépend de l’activité du récepteur aux androgènes. Chez les patients castrés, l’expression de l’arginase II était diminuée suggérant une régulation androgénique in vivo. Nous avons observé que l’arginase I et l’arginase II participent à la prolifération des cellules du cancer de la prostate ainsi qu’à leur potentiel immunosuppressif. Finalement, nous avons découvert que l’expression de l’interleukin-8 était aussi régulée par les androgènes. De plus, l’interleukin-8, indépendamment des androgènes, augmente l’expression de l’arginase II. Ces résultats confirment que les androgènes participent au développement d’une microenvironnement immunosuppressif dans le cancer de la prostate en régulant l’expression de l’arginase I, l’arginase II et l’interleukin-8. En conclusion, les résultats présentés dans cette thèse témoignent du caractère unique du microenvironnement immunologique chez les patients atteints du cancer de la prostate. Nos travaux ont également permis d’établir de nouvelles techniques basées sur des logiciels d’analyse d’image afin de mieux comprendre le dialogue entre la tumeur et le système immunitaire chez les patients. Approfondir les connaissances sur les mécanismes de régulation du microenvironnement immunologique chez les patients atteint du cancer de la prostate permettra d’optimiser des immunothérapies mieux adaptées à éradiquer cette maladie.
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As the mean age of the global population increases, breast cancer in older individuals will be increasingly encountered in clinical practice. Management decisions should not be based on age alone. Establishing recommendations for management of older individuals with breast cancer is challenging because of very limited level 1 evidence in this heterogeneous population. In 2007, the International Society of Geriatric Oncology (SIOG) created a task force to provide evidence-based recommendations for the management of breast cancer in elderly individuals. In 2010, a multidisciplinary SIOG and European Society of Breast Cancer Specialists (EUSOMA) task force gathered to expand and update the 2007 recommendations. The recommendations were expanded to include geriatric assessment, competing causes of mortality, ductal carcinoma in situ, drug safety and compliance, patient preferences, barriers to treatment, and male breast cancer. Recommendations were updated for screening, primary endocrine therapy, surgery, radiotherapy, neoadjuvant and adjuvant systemic therapy, and metastatic breast cancer.
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doi: 10.1111/j.1741-2358.2012.00636.x Hyperbaric oxygen therapy treatment for the fixation of implant prosthesis in oncology patients irradiated Objectives: This study aimed to present a clinical report of an irradiated oncologic patient who underwent hyperbaric oxygen therapy to be rehabilitated with implant-supported prosthesis. Materials and Methods: A 67-year-old man was admitted at Oral Oncology Center (FOA-UNESP) presenting a lesion on the mouth floor. After clinical evaluation, incisional biopsy and histopathological exam, a grade II squamous cell carcinoma was diagnosed. The patient was subjected to surgery to remove the lesion and partial glossectomy. Afterwards, the radiotherapy, in the left/right cervicofacial area of the supraclavicular fossa, was conducted. After 3 years of the surgery, the patient was submitted to hyperbaric oxygen therapy. Then, four implants were installed in patients mandible. Five months later, an upper conventional complete denture and lower full-arch implant-supported prosthesis were fabricated. Conclusion: The treatment resulted in several benefits such as improving his chewing efficiency, swallowing and speech, less denture trauma on the mucosa and improving his self-esteem.
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There is an increasing need for more accurate prognostic and predictive markers in veterinary oncology because of an increasing number of treatment options, the increased financial costs associated with treatment, and the emotional stress experienced by owners in association with the disease and its treatment. Numerous studies have evaluated potential prognostic and predictive markers for veterinary neoplastic diseases, but there are no established guidelines or standards for the conduct and reporting of prognostic studies in veterinary medicine. This lack of standardization has made the evaluation and comparison of studies difficult. Most important, translating these results to clinical applications is problematic. To address this issue, the American College of Veterinary Pathologists' Oncology Committee organized an initiative to establish guidelines for the conduct and reporting of prognostic studies in veterinary oncology. The goal of this initiative is to increase the quality and standardization of veterinary prognostic studies to facilitate independent evaluation, validation, comparison, and implementation of study results. This article represents a consensus statement on the conduct and reporting of prognostic studies in veterinary oncology from veterinary pathologists and oncologists from around the world. These guidelines should be considered a recommendation based on the current state of knowledge in the field, and they will need to be continually reevaluated and revised as the field of veterinary oncology continues to progress. As mentioned, these guidelines were developed through an initiative of the American College of Veterinary Pathologists' Oncology Committee, and they have been reviewed and endorsed by the World Small Animal Veterinary Association.
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The objectives of this study were to assess the interrater reproducibility of the instrument to classify pediatric patients with cancer; verify the adequacy of the patient classification instrument for pediatric patients with cancer; and make a proposal for changing the instrument, thus allowing for the necessary adjustments for pediatric oncology patients. A total of 34 pediatric inpatients of a Cancer Hospital were evaluated by the teams of physicians, nurses and nursing technicians. The Kappa coefficient was used to rate the agreement between the scores, which revealed a moderate to high value in the objective classifications, and a low value in the subjective. In conclusion, the instrument is reliable and reproducible, however, it is suggested that to classify pediatric oncology patients, some items should be complemented in order to reach an outcome that is more compatible with the reality of this specific population.
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Head and neck tumors are a major health concern worldwide, due to their high incidence and mortality rates, particularly in developing countries. In Brazil, this type of cancer is commonly diagnosed and studies suggested that it may be the leading cause of mortality in the country. The increase in life expectancy worldwide, as well as environmental and behavioral factors, are related to carcinogenesis. Therefore, an understanding of basic epidemiology and statistical methods is critical, in order to promote early diagnosis and cancer prevention. Cancer patients with an indication for prosthesis were selected from the medical records of the Oral Oncology Center, School of Dentistry, São Paulo State University (UNESP), Araçatuba, between 1991 and 2010. The following variables were recorded: gender, age, type and location of the lesion, radiation dose and dental prosthesis. The majority of the patients were male (74.15%) and >60 years of age (53.37%). Tumors were most commonly located in the floor of the mouth (11.1%) and squamous cell carcinoma was the most prevalent type (72.8%). This study provides the profiles of patients who attended the Oral Oncology Center and the results may aid in the creation of cancer prevention programs.
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The objectives of this study were to assess the interrater reproducibility of the instrument to classify pediatric patients with cancer; verify the adequacy of the patient classification instrument for pediatric patients with cancer; and make a proposal for changing the instrument, thus allowing for the necessary adjustments for pediatric oncology patients. A total of 34 pediatric inpatients of a Cancer Hospital were evaluated by the teams of physicians, nurses and nursing technicians. The Kappa coefficient was used to rate the agreement between the scores, which revealed a moderate to high value in the objective classifications, and a low value in the subjective. In conclusion, the instrument is reliable and reproducible, however, it is suggested that to classify pediatric oncology patients, some items should be complemented in order to reach an outcome that is more compatible with the reality of this specific population.