68 resultados para Mogul-Dynastie
Resumo:
Title reads: Dynastie Egyptienne.
Resumo:
v. 1. Arabian nights' entertainments [from the French version of A. Galland] New Arabian nights [from the French version of D. Chavis and J. Cazotte]--v. 2. Continuation of the New Arabian nights. Persian tales [from the translation of F. Pétis de la Croix] Persian tales of Inatulla of Delhi [tr. by A. Dow] Oriental tales [by A. C. P., comte de Caylus] The history of Nourjahad [by Mrs. Frances Sheridan] Additional tales from the Arabian nights.--v. 3. Mogul tales [by T. S. Gueulette] Turkish tales [from the translation of F. Pétis de la Croix] Tartarian tales; Chinese tales [by T. S. Gueulette] Tales of the genii [by J. Ridley] The history of Abdalla, the son of Hanif [by J. P. Bignon]
Resumo:
Discourse is a giant field of research and gender related rights are still a disputed area of thinking. Thus, when Arab transnational satellite televisions produce dialogues, images, stories and narratives about the disputed “universal” gender rights in the Middle East, the big questions remain how and why. According to De Beauvoir (1949), one becomes woman and to Butler (1990) one is not born a gender at all but is “done” and “undone” to become one via discourse. Islamic feminism speaks of a cultural/religious specificity in defending women rights and even gender diversity based on new Quranic interpretations. The gender, “Al-Naw’u”, remains synonym to sex “Al Jins” as gender and queer theories never developed in Arabic in tandem with the European institutions or the theories of the19th century– especially those ideas emerging from studies of the mental asylum. This research tries to understand gender related “rights” and “wrongs” as manifest in the discursive institutions owned by media mogul Prince Al Waleed Ben Talal Al Saud. The trouble of such a study is lexical, ideological and institutional at the same time. Since we lack a critique of the discourses and narratives addressed in the pan-Arab satellite channels, in general it is difficult to understand their significance and influence in everyday life practices. What language is used to speak of gender rights or wrongs? Which ideology is favoured in this practice of legitimisation and/or policing? Using case studies, CDA of social and religious talk shows, narrative analysis of Arabic cinemas, this research adapted triangulation to show the complexity of conversing and narrating gender related content at the micro and macro levels within an institution of power. Using semi-structured interviews from fieldwork in Egypt (2009) and Lebanon (2011), archive research and online ethnography, the research exposes the power structure under which gender discourses evolve. It emerges that gender content is abundant on the Pan Arab satellite space, “manufactured” on talk shows and plotted tactfully in the cinematic “creative-act”. The result is a complex discourse of gender content that scratches the surface calling for interpretation. So how and why do gender rights and wrongs find place on Prince Al Waleed’s Media Empire?
Resumo:
Deeply conflicting views on the political situation of Judaea under the Roman prefects (6-41 c.e.) have been offered. According to some scholars, this was a period of persistent political unrest and agitation, whilst according to a widespread view it was a quiescent period of political calm (reflected in Tacitus’ phrase sub Tiberio quies). The present article critically examines again the main available sources –particularly Josephus, the canonical Gospels and Tacitus– in order to offer a more reliable historical reconstruction. The conclusions drawn by this survey calls into question some widespread and insufficiently nuanced views on the period. This, in turn, allows a reflection on the non-epistemic factors which might contribute to explain the origin of such views.
Resumo:
We aspire to shape the Constantine’s personality in particular by analyzing his loving relationship, first with Minervina and then with Fausta, and not forgetting the bond with his mother Helena, hence the reference to uxor, mater and concubina in our title. We will analyze if these women exercised any influence on the composition of his production rules and, if so, to what extent they were able to determine the historical development of the following decades. From this point of view we must consider in general the emperor had to combine their political claims and government with these relationships, showing great skill in handling times and ways, always putting the first to the second.
Resumo:
Este trabajo pretende explorar la dimensión ritual en los Textos de las Pirámides, el corpus de literatura religiosa extensa más antiguo de la humanidad. La naturaleza variada de sus componentes textuales ha impedido que los egiptólogos comprendan en profundidad las complejidades de la colección y los contextos originales en los que estos textos (ritos) aparecieron. La aplicación de la teoría del ritual, principalmente la aproximación de la sintaxis ritual, ofrece a los investigadores un marco excelente de análisis e interpretación del corpus, su estructura y función. Sujeto a las reglas de la sintaxis ritual es posible exponer los múltiples niveles de significado en el corpus para la resurrección y salvación del difunto.
Resumo:
La dynastie des Flaviens est souvent mal connue et appréciée en raison de sa situation chronologique, « coincée » entre la famille des descendants de César et d’Auguste et celle allant de Trajan à Marc Aurèle. Elle passe parfois pour une simple dynastie de « transition » qui aurait uniquement servi de passerelle entre deux familles considérées comme plus brillantes qui ont par ailleurs laissé un souvenir plus durable. En un peu plus d’un quart de siècle (69-96), Vespasien, Titus et Domitien ont pourtant davantage fait pour la stabilité de Rome et de l’Empire que certains de leurs prédécesseurs ou successeurs. Sorti vainqueur des troubles civils de l’année des quatre empereurs (68-69), Vespasien ramena la paix en Orient et en Italie en plus de s’attacher à stabiliser les institutions et de reconstituer les finances de l’État, passablement écornées par les dernières années du Principat de Néron (54-68) et la guerre civile elle-même. Plus que la paix et la stabilité à l’intérieur et aux frontières de l’Empire, il fit cependant en sorte de refonder les bases institutionnelles du Principat en assumant sa transformation en un régime monarchique et héréditaire. Un principe parfaitement admis puisque ses deux fils adultes, Titus et Domitien, lui succédèrent sans difficulté. Davantage peut-être que les récits laissés par les sources littéraires anciennes, les inscriptions romaines et italiennes ainsi que les monnaies émises par l’atelier de Rome sont probablement le meilleur témoignage permettant de saisir le plus précisément et le plus profondément l’idée que les Flaviens se faisaient d’eux-mêmes et du pouvoir dont ils étaient investis. Le contenu de leur titulature officielle comme leurs choix iconographiques permettent ainsi de dégager leurs différents thèmes de propagande qui laissent finalement apparaitre une vraie continuité dans leur idéologie du pouvoir et leur manière de gouverner. Vespasien a ainsi posé des fondations idéologiques et politiques que ses fils ont globalement poursuivies et respectées, ce qui renforce l’idée selon laquelle les Flaviens ont effectivement suivi un « programme » qui les distinguait de leurs prédécesseurs et de leurs successeurs. Malgré des différences parfois importantes dans leurs pratiques, les inscriptions et l’iconographie monétaire permettent ainsi de mettre en lumière le fait que Titus et Domitien ont finalement moins cherché à faire preuve d’originalité qu’à s’inscrire dans la continuité de l’œuvre de leur père afin de garantir le maintien de la paix et avec elle la prospérité et la stabilité de l’État, et avec elles la satisfaction et la tranquillité de l’ensemble de la société.
Resumo:
La dynastie des Flaviens est souvent mal connue et appréciée en raison de sa situation chronologique, « coincée » entre la famille des descendants de César et d’Auguste et celle allant de Trajan à Marc Aurèle. Elle passe parfois pour une simple dynastie de « transition » qui aurait uniquement servi de passerelle entre deux familles considérées comme plus brillantes qui ont par ailleurs laissé un souvenir plus durable. En un peu plus d’un quart de siècle (69-96), Vespasien, Titus et Domitien ont pourtant davantage fait pour la stabilité de Rome et de l’Empire que certains de leurs prédécesseurs ou successeurs. Sorti vainqueur des troubles civils de l’année des quatre empereurs (68-69), Vespasien ramena la paix en Orient et en Italie en plus de s’attacher à stabiliser les institutions et de reconstituer les finances de l’État, passablement écornées par les dernières années du Principat de Néron (54-68) et la guerre civile elle-même. Plus que la paix et la stabilité à l’intérieur et aux frontières de l’Empire, il fit cependant en sorte de refonder les bases institutionnelles du Principat en assumant sa transformation en un régime monarchique et héréditaire. Un principe parfaitement admis puisque ses deux fils adultes, Titus et Domitien, lui succédèrent sans difficulté. Davantage peut-être que les récits laissés par les sources littéraires anciennes, les inscriptions romaines et italiennes ainsi que les monnaies émises par l’atelier de Rome sont probablement le meilleur témoignage permettant de saisir le plus précisément et le plus profondément l’idée que les Flaviens se faisaient d’eux-mêmes et du pouvoir dont ils étaient investis. Le contenu de leur titulature officielle comme leurs choix iconographiques permettent ainsi de dégager leurs différents thèmes de propagande qui laissent finalement apparaitre une vraie continuité dans leur idéologie du pouvoir et leur manière de gouverner. Vespasien a ainsi posé des fondations idéologiques et politiques que ses fils ont globalement poursuivies et respectées, ce qui renforce l’idée selon laquelle les Flaviens ont effectivement suivi un « programme » qui les distinguait de leurs prédécesseurs et de leurs successeurs. Malgré des différences parfois importantes dans leurs pratiques, les inscriptions et l’iconographie monétaire permettent ainsi de mettre en lumière le fait que Titus et Domitien ont finalement moins cherché à faire preuve d’originalité qu’à s’inscrire dans la continuité de l’œuvre de leur père afin de garantir le maintien de la paix et avec elle la prospérité et la stabilité de l’État, et avec elles la satisfaction et la tranquillité de l’ensemble de la société.