891 resultados para Maximal Voluntary Contraction
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Ce mémoire porte sur les propriétés fonctionnelles du plancher pelvien à la suite de traitements pour un cancer de l’endomètre. Chez les femmes, le cancer de l’endomètre est le cancer gynécologique ayant la plus forte prévalence. Les traitements oncologiques de ce cancer ont des conséquences néfastes sur la continence urinaire et il est possible que des altérations aux muscles du plancher pelvien à la suite de ces traitements puissent expliquer en partie cette problématique. Ce mémoire est composé de deux études principales. La première étude porte sur la recension des écrits liés aux impacts de la radiothérapie sur la structure anatomique et la fonction musculaire du plancher pelvien chez des adultes atteints d’un cancer pelvien. La deuxième étude compare les propriétés fonctionnelles du plancher pelvien de femmes avec incontinence urinaire à la suite d’un cancer de l’endomètre traité par chirurgie et une radiothérapie adjuvante (groupe à l’étude), à celles de femmes avec hystérectomie sans incontinence (groupe témoin). Cette étude a permis de mettre en évidence une diminution de l’ouverture maximale à l’entrée vaginale, de la longueur vaginale, de la force maximale volontaire du plancher pelvien, du taux de développement de la force dans un test de force maximale et de la coordination lors d’un test de contractions rapides. Ainsi, les deux études de ce mémoire apportent de nouvelles évidences sur les altérations des propriétés fonctionnelles du plancher pelvien à la suite de traitements pour un cancer génital.
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La déchirure de la coiffe des rotateurs est une des causes les plus fréquentes de douleur et de dysfonctionnement de l'épaule. La réparation chirurgicale est couramment réalisée chez les patients symptomatiques et de nombreux efforts ont été faits pour améliorer les techniques chirurgicales. Cependant, le taux de re-déchirure est encore élevé ce qui affecte les stratégies de réhabilitation post-opératoire. Les recommandations post-chirurgicales doivent trouver un équilibre optimal entre le repos total afin de protéger le tendon réparé et les activités préconisées afin de restaurer l'amplitude articulaire et la force musculaire. Après une réparation de la coiffe, l'épaule est le plus souvent immobilisée grâce à une écharpe ou une orthèse. Cependant, cette immobilisation limite aussi la mobilité du coude et du poignet. Cette période qui peut durer de 4 à 6 semaines où seuls des mouvements passifs peuvent être réalisés. Ensuite, les patients sont incités à réaliser les exercices actifs assistés et des exercices actifs dans toute la mobilité articulaire pour récupérer respectivement l’amplitude complète de mouvement actif et se préparer aux exercices de résistance réalisés dans la phase suivante de la réadaptation. L’analyse électromyographique des muscles de l'épaule a fourni des évidences scientifiques pour la recommandation de beaucoup d'exercices de réadaptation au cours de cette période. Les activités sollicitant les muscles de la coiffe des rotateurs à moins de 20% de leur activation maximale volontaire sont considérés sécuritaires pour les premières phases de la réhabilitation. À partir de ce concept, l'objectif de cette thèse a été d'évaluer des activités musculaires de l'épaule pendant des mouvements et exercices qui peuvent théoriquement être effectués au cours des premières phases de la réhabilitation. Les trois questions principales de cette thèse sont : 1) Est-ce que la mobilisation du coude et du poignet produisent une grande activité des muscles de la coiffe? 2) Est-ce que les exercices de renforcement musculaire du bras, de l’avant-bras et du torse produisent une grande activité dans les muscles de la coiffe? 3) Au cours d'élévations actives du bras, est-ce que le plan d'élévation affecte l'activité de la coiffe des rotateurs? Dans notre première étude, nous avons évalué 15 muscles de l'épaule chez 14 sujets sains par électromyographie de surface et intramusculaire. Nos résultats ont montré qu’avec une orthèse d’épaule, les mouvements du coude et du poignet et même quelques exercices de renforcement impliquant ces deux articulations, activent de manière sécuritaire les muscles de ii la coiffe. Nous avons également introduit des tâches de la vie quotidienne qui peuvent être effectuées en toute sécurité pendant la période d'immobilisation. Ces résultats peuvent aider à modifier la conception d'orthèses de l’épaule. Dans notre deuxième étude, nous avons montré que l'adduction du bras réalisée contre une mousse à faible densité, positionnée pour remplacer le triangle d’une orthèse, produit des activations des muscles de la coiffe sécuritaires. Dans notre troisième étude, nous avons évalué l'électromyographie des muscles de l’épaule pendant les tâches d'élévation du bras chez 8 patients symptomatiques avec la déchirure de coiffe des rotateurs. Nous avons constaté que l'activité du supra-épineux était significativement plus élevée pendant l’abduction que pendant la scaption et la flexion. Ce résultat suggère une séquence de plan d’élévation active pendant la rééducation. Les résultats présentés dans cette thèse, suggèrent quelques modifications dans les protocoles de réadaptation de l’épaule pendant les 12 premières semaines après la réparation de la coiffe. Ces suggestions fournissent également des évidences scientifiques pour la production d'orthèses plus dynamiques et fonctionnelles à l’articulation de l’épaule.
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Aims To compare magnetic resonance imaging (MRI) of the pelvic floor musculature (PFM), bladder neck and urethral sphincter morphology under three conditions (rest, PFM maximal voluntary contraction (MVC), and straining) in older women with symptoms of stress (SUI) or mixed urinary incontinence (MUI) or without incontinence. Methods This 2008–2012 exploratory observational cohort study was conducted with community-dwelling women aged 60 and over. Sixty six women (22 per group), mean age of 67.7 ± 5.2 years, participated in the study. A 3 T MRI examination was conducted under three conditions: rest, PFM MVC, and straining. ANOVA or Kruskal–Wallis tests (data not normally distributed) were conducted, with Bonferroni correction, to compare anatomical measurements between groups. Results Women with MUI symptoms had a lower PFM resting position (M-Line P = 0.010 and PC/H-line angle P = 0.026) and lower pelvic organ support (urethrovesical junction height P = 0.013) than both continent and SUI women. Women with SUI symptoms were more likely to exhibit bladder neck funneling and a larger posterior urethrovesical angle at rest than both continent and MUI women (P = 0.026 and P = 0.008, respectively). There were no significant differences between groups on PFM MVC or straining. Conclusions Women with SUI and MUI symptoms present different morphological defects at rest. These observations emphasize the need to tailor UI interventions to specific pelvic floor defects and UI type in older women.
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La déchirure de la coiffe des rotateurs est une des causes les plus fréquentes de douleur et de dysfonctionnement de l'épaule. La réparation chirurgicale est couramment réalisée chez les patients symptomatiques et de nombreux efforts ont été faits pour améliorer les techniques chirurgicales. Cependant, le taux de re-déchirure est encore élevé ce qui affecte les stratégies de réhabilitation post-opératoire. Les recommandations post-chirurgicales doivent trouver un équilibre optimal entre le repos total afin de protéger le tendon réparé et les activités préconisées afin de restaurer l'amplitude articulaire et la force musculaire. Après une réparation de la coiffe, l'épaule est le plus souvent immobilisée grâce à une écharpe ou une orthèse. Cependant, cette immobilisation limite aussi la mobilité du coude et du poignet. Cette période qui peut durer de 4 à 6 semaines où seuls des mouvements passifs peuvent être réalisés. Ensuite, les patients sont incités à réaliser les exercices actifs assistés et des exercices actifs dans toute la mobilité articulaire pour récupérer respectivement l’amplitude complète de mouvement actif et se préparer aux exercices de résistance réalisés dans la phase suivante de la réadaptation. L’analyse électromyographique des muscles de l'épaule a fourni des évidences scientifiques pour la recommandation de beaucoup d'exercices de réadaptation au cours de cette période. Les activités sollicitant les muscles de la coiffe des rotateurs à moins de 20% de leur activation maximale volontaire sont considérés sécuritaires pour les premières phases de la réhabilitation. À partir de ce concept, l'objectif de cette thèse a été d'évaluer des activités musculaires de l'épaule pendant des mouvements et exercices qui peuvent théoriquement être effectués au cours des premières phases de la réhabilitation. Les trois questions principales de cette thèse sont : 1) Est-ce que la mobilisation du coude et du poignet produisent une grande activité des muscles de la coiffe? 2) Est-ce que les exercices de renforcement musculaire du bras, de l’avant-bras et du torse produisent une grande activité dans les muscles de la coiffe? 3) Au cours d'élévations actives du bras, est-ce que le plan d'élévation affecte l'activité de la coiffe des rotateurs? Dans notre première étude, nous avons évalué 15 muscles de l'épaule chez 14 sujets sains par électromyographie de surface et intramusculaire. Nos résultats ont montré qu’avec une orthèse d’épaule, les mouvements du coude et du poignet et même quelques exercices de renforcement impliquant ces deux articulations, activent de manière sécuritaire les muscles de ii la coiffe. Nous avons également introduit des tâches de la vie quotidienne qui peuvent être effectuées en toute sécurité pendant la période d'immobilisation. Ces résultats peuvent aider à modifier la conception d'orthèses de l’épaule. Dans notre deuxième étude, nous avons montré que l'adduction du bras réalisée contre une mousse à faible densité, positionnée pour remplacer le triangle d’une orthèse, produit des activations des muscles de la coiffe sécuritaires. Dans notre troisième étude, nous avons évalué l'électromyographie des muscles de l’épaule pendant les tâches d'élévation du bras chez 8 patients symptomatiques avec la déchirure de coiffe des rotateurs. Nous avons constaté que l'activité du supra-épineux était significativement plus élevée pendant l’abduction que pendant la scaption et la flexion. Ce résultat suggère une séquence de plan d’élévation active pendant la rééducation. Les résultats présentés dans cette thèse, suggèrent quelques modifications dans les protocoles de réadaptation de l’épaule pendant les 12 premières semaines après la réparation de la coiffe. Ces suggestions fournissent également des évidences scientifiques pour la production d'orthèses plus dynamiques et fonctionnelles à l’articulation de l’épaule.
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Aims To compare magnetic resonance imaging (MRI) of the pelvic floor musculature (PFM), bladder neck and urethral sphincter morphology under three conditions (rest, PFM maximal voluntary contraction (MVC), and straining) in older women with symptoms of stress (SUI) or mixed urinary incontinence (MUI) or without incontinence. Methods This 2008–2012 exploratory observational cohort study was conducted with community-dwelling women aged 60 and over. Sixty six women (22 per group), mean age of 67.7 ± 5.2 years, participated in the study. A 3 T MRI examination was conducted under three conditions: rest, PFM MVC, and straining. ANOVA or Kruskal–Wallis tests (data not normally distributed) were conducted, with Bonferroni correction, to compare anatomical measurements between groups. Results Women with MUI symptoms had a lower PFM resting position (M-Line P = 0.010 and PC/H-line angle P = 0.026) and lower pelvic organ support (urethrovesical junction height P = 0.013) than both continent and SUI women. Women with SUI symptoms were more likely to exhibit bladder neck funneling and a larger posterior urethrovesical angle at rest than both continent and MUI women (P = 0.026 and P = 0.008, respectively). There were no significant differences between groups on PFM MVC or straining. Conclusions Women with SUI and MUI symptoms present different morphological defects at rest. These observations emphasize the need to tailor UI interventions to specific pelvic floor defects and UI type in older women.
Effect of eccentric contraction velocity on muscle damage in repeated bouts of elbow flexor exercise
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Eccentric exercise induces muscle damage, but controversy exists concerning the effect of contraction velocity on the magnitude of muscle damage, and little is known about the effect of contraction velocity on the repeated-bout effect. This study examined slow (60 degrees.s(-1)) and fast (180 degrees.s(-1)) velocity eccentric exercises for changes in indirect markers of muscle damage following 3 exercise bouts that were performed every 2 weeks. Fifteen young men were divided into 2 groups based on the velocity of eccentric exercise: 7 in the Ecc60 (60 degrees.s(-1)) group, and 8 in the Ecc180 (180 degrees.s(-1)) group. The exercise consisted of 30 maximal eccentric contractions of the elbow flexors at each velocity, in which the elbow joint was forcibly extended from 60 degrees to 180 degrees (full extension) on an isokinetic dynamometer. Changes in maximal voluntary isometric contraction strength, range of motion, muscle soreness, and plasma creatine kinase activity before and for 4 days after the exercise were compared in the 2 groups using a mixed-model analysis (group x bout x time). No significant differences between groups were evident for changes in any variables following exercise bouts; however, the changes were significantly smaller (p < 0.05) after the second and third bouts than after the first bout. These results indicate that the contraction velocity does not influence muscle damage or the repeated-bout effect.
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The response of the abdominal muscles to voluntary contraction of the pelvic floor (PF) muscles was investigated in women with no history of symptoms of stress urinary incontinence to determine whether there is co-activation of the muscles surrounding the abdominal cavity during exercises for the PF muscles. Electromyographic (EMG) activity of each of the abdominal muscles was recorded with fine-wire electrodes in seven parous females. Subjects contracted the PF muscles maximally in three lumbar spine positions while lying supine. In all subjects. the EMG activity of the abdominal muscles was increased above the baseline level during contractions of the PF muscles in at least one of the spinal positions. The amplitude of the increase in EMG activity of obliquus externus abdominis was greatest when the spine was positioned in flexion and the increase in activity of transversus abdominis was greater than that of rectus abdominis and obliquus externus abdominis when the spine was positioned in extension. In an additional pilot experiment. EMG recordings were made from the pubococcygeus and the abdominal muscles with fine-wire electrodes in two subjects during the performance of three different sub-maximal isometric abdominal muscle maneuvers. Both subjects showed an increase in EMG activity of the pubococcygeus with each abdominal muscle contraction. The results of these experiments indicate that abdominal muscle activity is a normal response to PF exercise in subjects with no symptoms of PF muscle dysfunction and provide preliminary evidence that specific abdominal exercises activate the PF muscles. Neurourol. Urodynam. 20:31-42, 2001. (C) 2001 Wiley-Liss, Inc.
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PURPOSE: The effects of β(2)-agonists on human skeletal muscle contractile properties, particularly on slow fibers, are unclear. Moreover, it remains to be ascertained whether central motor drive (CMD) during voluntary contractions could counter for eventual contractile alterations induced by β(2)-agonists. This study investigated central and peripheral neuromuscular adjustments induced by β(2)-agonist terbutaline on a predominantly slow human muscle, the soleus. METHODS: Ten recreationally active men ingested either a single dose of 8 mg of terbutaline or placebo in a randomized double-blind order (two experimental sessions). Isometric plantarflexion torque was measured during single and tetanic (10 and 100 Hz) stimulations as well as during submaximal and maximal voluntary contractions (MVC). Twitch peak torque and half-relaxation time were calculated. CMD was estimated via soleus electromyographic recordings obtained during voluntary contractions performed at approximately 50% MVC. RESULTS: MVC and twitch peak torque were not modified by terbutaline. Twitch half-relaxation time was 28% shorter after terbutaline administration compared with placebo (P < 0.001). Tetanic torques at 10 and 100 Hz were significantly lower after terbutaline intake compared with placebo (-40% and -24% respectively, P < 0.001). Despite comparable torque of submaximal voluntary contractions in the two conditions, CMD was 7% higher after terbutaline ingestion compared with placebo (P < 0.01). CONCLUSION: These results provide evidence that terbutaline modulates the contractility of the slow soleus muscle and suggest that the increased CMD during submaximal contractions may be viewed as a compensatory adjustment of the central nervous system to counter the weakening action induced by terbutaline on the contractile function of slow muscle fibers.
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The strength of the respiratory muscles can be evaluated from static measurements (maximal inspiratory and expiratory pressures, MIP and MEP) or inferred from dynamic maneuvers (maximal voluntary ventilation, MVV). Although these data could be suitable for a number of clinical and research applications, no previous studies have provided reference values for such tests using a healthy, randomly selected sample of the adult Brazilian population. With this main purpose, we prospectively evaluated 100 non-smoking subjects (50 males and 50 females), 20 to 80 years old, selected from more than 8,000 individuals. Gender-specific linear prediction equations for MIP, MEP and MVV were developed by multiple regression analysis: age and, secondarily, anthropometric measurements explained up to 56% of the variability of the dependent variables. The most cited previous studies using either Caucasian or non-Caucasian samples systematically underestimated the observed values of MIP (P<0.05). Interestingly, the self-reported level of regular physical activity and maximum aerobic power correlates strongly with both respiratory and peripheral muscular strength (knee extensor peak torque) (P<0.01). Our results, therefore, provide a new frame of reference to evaluate the normalcy of some useful indexes of respiratory muscle strength in Brazilian males and females aged 20 to 80.
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Skeletal muscle force production following repetitive contractions is preferentially reduced when muscle is evaluated with low-frequency stimulation. This selective impairment in force generation is called low-frequency fatigue (LFF) and could be dependent on the contraction type. The purpose of this study was to compare LFF after concentric and eccentric maximal and submaximal contractions of knee extensor muscles. Ten healthy male subjects (age: 23.6 ± 4.2 years; weight: 73.8 ± 7.7 kg; height: 1.79 ± 0.05 m) executed maximal voluntary contractions that were measured before a fatigue test (pre-exercise), immediately after (after-exercise) and after 1 h of recovery (after-recovery). The fatigue test consisted of 60 maximal (100%) or submaximal (40%) dynamic concentric or eccentric knee extensions at an angular velocity of 60°/s. The isometric torque produced by low- (20 Hz) and high- (100 Hz) frequency stimulation was also measured at these times and the 20:100 Hz ratio was calculated to assess LFF. One-way ANOVA for repeated measures followed by the Newman-Keuls post hoc test was used to determine significant (P < 0.05) differences. LFF was evident after-recovery in all trials except following submaximal eccentric contractions. LFF was not evident after-exercise, regardless of exercise intensity or contraction type. Our results suggest that low-frequency fatigue was evident after submaximal concentric but not submaximal eccentric contractions and was more pronounced after 1-h of recovery.
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Fundação de Amparo à Pesquisa do Estado de São Paulo (FAPESP)
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Universidade Estadual de Campinas . Faculdade de Educação Física
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Universidade Estadual de Campinas . Faculdade de Educação Física
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Objectives: The purpose of this study was to investigate the levels of electromyographic (EMG) activation and maximal molar bite force before and after a 3-month acupuncture therapy in individuals with temporomandibular disorder (Helkimo Index) from a pool of subjects attending the Special Care Course of the Ribeirao Preto Dental School, Sao Paulo University, Brazil. Design: All 17 patients, aged between 37 and 50 years (44.2 +/- 4.84 years), with an average weight of 71 +/- 9.45 kg and height of 1.64 +/- 0.07 m, were clinically examined with regard to pain and dysfunctions of the masticatory system. The temporomandibular acupuncture points of needling were IG4, E6, E7, B2, VB14, VB20, ID18, ID19, F3, E36, VB34, E44, R3, and HN3. EMG measures were acquired before and after the treatment using a MyoSystem-BR1 electromyographer. The data collected at rest, protrusion, left and right laterality, and clenching were normalized by maximum voluntary contraction. Maximal bite force in right and left molar regions were registered using a dynamometer with a capacity of up to 1000 N, adapted for oral conditions. The highest value out of three recordings was considered to be the individual's maximal bite force. The results were statistically analyzed using the paired t test (SPSS version 15.0) during the comparison before and after treatment. Results: We found decreased EMG activity at rest, protrusion, left and right laterality, and clenching; as well as increased values of maximal bite force after acupuncture treatment. Conclusions: Acupuncture promoted alterations in the EMG activity of masticatory muscles, increased maximal molar bite force, and led to remission of the subjects' painful symptomatology.
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The aim of this study is to analyze the effect of neuromuscular electrical stimulation (NMES) on myoelectrical activity and on joint torque during isometric plantar flexion contraction. Ten healthy young adult subjects participate in this study. The electrodes for NMES are placed along posterior thigh along ciatic nerve trajectory. It is measured the myoelectrical activity and the isometric torque generated by ankle plantar flexion with an isokinetic dynamometer. The conditions of isometric contractions are maximum isometric voluntary contraction (MIVC), NMES, and association of both (MIVC+NMES). The results show lower torque during NMES and larger SOL activity compare to the others. Besides, in order to keep the same objective task (to produce the same level of torque), neuromuscular adaptations are necessary on the common drive.