994 resultados para Marshall, Archibald, 1866-1934.
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Ce mémoire porte sur l’étude de deux réseaux d’eau distincts, soit celui de la ville d’Arthabaska et celui de la ville de Victoriaville. Nous souhaitons éclairer le rôle joué par les facteurs environnementaux, naturels et urbains, au cours du processus ayant mené à l’implantation de réseaux d’eau potable et d’eaux usées dans les deux villes à l’étude. Divers travaux ont traité de la mise en place des réseaux d’aqueduc et d’égout à la grandeur du Canada. Toutefois, ce sont essentiellement les grandes villes comme Montréal ou Toronto qui ont retenu l’attention de l’histoire urbaine, politique et environnementale canadienne. L’objectif de cette démarche consiste à montrer que le milieu physique rural doit être incorporé à l’analyse comme élément vivant qui se transforme, qui influence et qui est influencé à son tour par l’être humain, puisqu’un et l’autre sont en constante interaction. Nous soutenons que la mise en place et le développement de réseaux d’eau sont influencés par le territoire dans lequel ils sont implantés et qu’ils ne peuvent pas être correctement analysés sans celui-ci. Afin de mettre l’espace au cœur de l’étude, nous avons mené une analyse des villes d’Arthabaska et de Victoriaville en considérant la géographie de la région à l’aide des cartes et des plans d’assurance-incendie, en plus de consulter des documents officiels et des articles tirés des journaux locaux.
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La période de l’après-guerre posa d’importants défis commerciaux à l’économie canadienne. Les années entre 1945 et 1950 furent effectivement marquées par la rupture de son système commercial traditionnel et la recherche d’une stratégie alternative. Le pays dut composer avec un déficit commercial croissant à l’égard des États-Unis, ainsi qu’une chute de ses exportations à destination du Royaume-Uni, ruiné par les années de guerre. Ce déséquilibre commercial qui menaçait d’épuiser les réserves canadiennes de dollars américains reflétait l’écart entre les capacités productives des deux rives de l’Atlantique. Le programme de reconstruction des économies européennes, ou plan Marshall, fut accueilli avec enthousiasme à Ottawa puisqu’il devait non seulement rétablir les marchés du Vieux Continent, mais également faciliter la mise en place d’un réseau multilatéral d’échanges et la libéralisation du commerce international. Les tensions de la guerre froide limitèrent toutefois l’ouverture de ces marchés aux marchandises canadiennes, puisque l’endiguement du communisme commanda une consolidation européenne qui privilégia le démantèlement des entraves aux échanges intra-européens, aux dépens du commerce transatlantique. Les préoccupations de Washington en matière de sécurité collective devaient néanmoins laisser place à une stratégie alternative pour le Canada, en poussant la coopération économique des deux pays, dans le but d’optimiser une production de défense destinée aux pays membres de l’OTAN, dont la demande était soutenue par l’aide Marshall. L’incorporation du Canada dans ce dispositif de défense élargie à la communauté atlantique permit ainsi d’assurer un accès privilégié à ses marchandises sur le marché américain, et par conséquent de progresser vers l’équilibre commercial.
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Ce mémoire de maîtrise analyse les influences transnationales qui ont mené à la nationalisation de l’électricité au Québec. En contraste avec les précédentes études sur Hydro-Québec voulant que les incitatifs locaux fussent la source exclusive de la nationalisation de l’électricité au Québec, cette recherche vient démontrer que les idées transnationales ont été tout aussi influentes. Tout au long du récit, on voit que la conjoncture politico-économique de refonte du libéralisme économique classique vers une version plus keynésienne de l’économie occidentale a été un stimulant de première importance pour la nationalisation de l’électricité au Québec. Dans le premier chapitre sont détaillées les nationalisations d’électricité de l’Ontario, de la Vallée du Tennessee et de la France, ainsi que les relations qu’elles ont eues entre elles et avec le Québec. Dans un second temps, il est démontré que l’étatisation de l’électricité en Ontario au début du XXe siècle et celle de la Vallée du Tennessee durant la crise économique des années 1930 ont été des incitatifs majeurs pour le projet menant à la nationalisation de la Montreal Light Heat & Power en 1944. Enfin, dans le troisième chapitre, ce sont les influences venant des nationalisations d’électricité étasunienne, ontarienne et française sur la nationalisation de l’ensemble des compagnies d’électricité québécoises de 1963 qui sont analysées.
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Au terme de la Grande Guerre (1914-1918), rares sont ceux et celles qui ne rêvent pas d’un monde nouveau. Après quatre années de souffrance et d’angoisse, la paix s’impose comme une pulsion de vie qui touche toutes les populations impliquées dans le conflit, en premier lieu celles qui ont connu les combats sur leur propre territoire. Un nombre record de mouvements pour la paix émerge des cendres de la guerre, dont plusieurs sont spécifiquement féminins. Pour ces femmes, privées du droit de vote et donc exclues de la vie politique au sens traditionnel, ces mouvements apparaissent comme autant de nouveaux espaces d’actions politiques. À travers leur lutte pacifiste, elles investissent le champ politique et social, avec des débats qui n’ignorent aucune des grandes questions de l’entre-deux-guerres. C’est donc dans cette perspective que les femmes prennent parole : même si elles n’ont pas connu comme les hommes les champs de bataille, elles ont aussi souffert pendant le conflit et revendiquent le droit de « refaire le monde ». Ces quelques femmes sont toutefois longtemps restées dans l’ombre : doublement ignorées en raison de leur pacifisme et de leur sexe. L’historiographie de l’entre-deux-guerres en France a en effet longtemps négligé leur travail dans l’établissement de la paix et dans les relations internationales. Cette thèse cherche donc à combler un vide laissé par une historiographie trop longtemps axée seulement sur les hommes politiques et liant de façon trop stricte l’action politique et le droit de vote. À partir de l’analyse de cinq associations pacifistes féminines – la Section française de la Ligue internationale des femmes pour la paix et la liberté (SFLIFPL), la Ligue des femmes contre la Guerre (LFCG), l’Union féminine pour la Société des Nations (UFSDN), l’Union fraternelle des femmes contre la guerre (UFFCG) et la Ligue internationale des mères et des éducatrices pour la paix (LIMEP) – notre recherche propose une nouvelle analyse des affaires internationales en abordant les questions de la paix, de la réconciliation franco-allemande et du désarmement au féminin. Elle met également en lumière les discours sur le rôle et la place des femmes dans la société de l’entre-deux-guerres et cherche à comprendre comment les pacifistes contournent leur exclusion des affaires politiques et légitiment leurs démarches dans la construction de la société d’après-guerre.
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v.6:no.8(1934)
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v.22(1933)
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no.13(1934)
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Deportation and colonization: an atempted solution of the race problem, by W.L. Fleming.--The literary movement for secession, by U.B. Phillips.--The frontier and secession, by C.W. Ramsdell.--The French consuls in the Confederate States, M.L. Bonham, jr.--The judicial interpretation of the Confederate constitution, by S.D. Brummer.--Southern legislation in respect to freedmen, 1865-1866, by J.G. de R. Hamilton.--Carpet-baggers in the United States Senate, by C. Mildred Thompson.--Grant's southern policy, by E.C. Woolley.--The federal enforcement acts, by W.W. Davis.--Negro suffrage in the South, by W.R. Smith.--Some phases of educational history in the South since 1865, by W.K. Boyd.--The new South, economic and social, by H. Thompson.--The political philosophy of John C. Calhoun, by C.E. Merriam.--Southern political theories, by D.Y. Thomas.--Southern politics since the civil war, by J.W. Garner.
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Oribius species are small flightless weevils endemic to the island of New Guinea and far northern Cape York, Australia. The adults feed externally on leaves, developing fruit and green bark, but their impact as pests and general host use patterns are poorly known. Working in Eastern Highlands Province, Papua New Guinea, we carried out structured host use surveys, farmer surveys, shade-house growth trials, and on-farm and on-station impact trials to: (i) estimate the host range of the local Oribius species; (ii) understand adult daily activity patterns; (iii) elucidate feeding habits of the soil dwelling larvae; and (iv) quantify the impacts of adult feeding damage. Oribius inimicus and O. destructor accounted for nearly all the Oribius species encountered locally: of these two O. inimicus was the most abundant. Weevils were collected from 31 of 33 plants surveyed in the Aiyura Valley and a combination of farmer interviews and literature records provided evidence for the beetles being pestiferous on 43 crops currently or previously grown in the Highlands. Adult weevils had a distinct diurnal pattern of being in the upper plant canopy early in the morning and, to a lesser extent, again late in the afternoon. For the remainder of the day beetles resided within the canopy, or possibly off the plant. Movement of adults between plants appeared frequent. Pot trials confirmed the larvae are root feeders. Quantified impact studies showed that the weevils are damaging to a range of vegetable and orchard crops (broccoli, capsicum, celery, French bean, Irish potato, lettuce, orange and strawberry), causing average yield losses of around 30-40%, but up to 100% on citrus. Oribius weevils pose a significant and apparently growing problem for Highland’s agriculture.
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Empire is central to U.S. history. When we see the U.S. projecting its influence on a global scale in today s world it is important to understand that U.S. empire has a long history. This dissertation offers a case study of colonialism and U.S. empire by discussing the social worlds, labor regimes, and culture of the U.S. Army during the conquest of southern Arizona and New Mexico (1866-1886). It highlights some of the defining principles, mentalities, and characteristics of U.S. imperialism and shows how U.S. forces have in years past constructed their power and represented themselves, their missions, and the places and peoples that faced U.S. imperialism/colonialism. Using insights from postcolonial studies and whiteness studies, this work balances its attention between discursive representations (army stories) and social experience (army actions), pays attention to silences in the process of historical production, and focuses on collective group mentalities and identities. In the end the army experience reveals an empire in denial constructed on the rule of difference and marked by frustration. White officers, their wives, and the white enlisted men not only wanted the monopoly of violence for the U.S. regime but also colonial (mental/cultural) authority and power, and constructed their identity, authority, and power in discourse and in the social contexts of the everyday through difference. Engaged in warfare against the Apaches, they did not recognize their actions as harmful or acknowledge the U.S. invasion as the bloody colonial conquest it was. White army personnel painted themselves and the army as liberators, represented colonial peoples as racial inferiors, approached colonial terrain in terms of struggle, and claimed that the region was a terrible periphery with little value before the arrival of white civilization. Officers and wives also wanted to place themselves at the top of colonial hierarchies as the refined and respectable class who led the regeneration of the colony by example: they tried to turn army villages into islands of civilization and made journeys, leisure, and domestic life to showcase their class sensibilities and level of sophistication. Often, however, their efforts failed, resulting in frustration and bitterness. Many blamed the colony and its peoples for their failures. The army itself was divided by race and class. All soldiers were treated as laborers unfit for self-government. White enlisted men, frustrated by their failures in colonial warfare and by constant manual labor, constructed worlds of resistance, whereas indigenous soldiers sought to negotiate the effects of colonialism by working in the army. As colonized labor their position was defined by tension between integration and exclusion and between freedom and colonial control.
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Reproduction of a painting of a meeting of the Joint Distribution Committee (representing the American Jewish Relief Committee, the Central Rellief Committee and the People's Relief Committee) and the Executive Committee of the American Jewish Relief Committee, with chairman Felix Warburg, secretary Albert Lucas, stenographer Mrs. F. Friedman, executive director Boris Bogen, comptroller Harriet Lowenstein, associate treasurer Paul Baerwald and treasurer Arthur Lehman; Office of Mr. Felix M. Warburg, 52 William Street, New York
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