989 resultados para MIC-MAC
Resumo:
Résumé : Ce travail comprend deux parties : La première partie a pour but de présenter une revue des techniques de gastrostomie chez l'enfant. La gastrostomie est, par définition, un tractus fistuleux entre l'estomac et la paroi abdominale. Le but de la gastrostomie est de permettre la décompression gastrique, la nutrition entérale et l'apport médicamenteux. Les indications et contre-indications à la confection et utilisation de la gastrostomie sont détaillées dans ce travail. Historiquement, les premières gastrostomies étaient d'origine accidentelle ou infectieuse (fistule gastro-cutanée), incompatibles avec la vie. Sedillot, en 1845 décrivit la première gastrostomie chirurgicale sans cathéter, qui avait comme désavantage la présence de fuites. Depuis, les techniques se sont multipliées en évoluant vers la continence et l'utilisation de cathéters. En 1979 Gauderer décrivit pour la première fois une technique percutanée, réalisée sur un enfant âgé de 5 mois. Cette technique est appelée « Percutaneous Endoscopic Gastrostomy » (PEG). Elle a ensuite été élargie à la population adulte. Actuellement, il existe une grande multiplicité de techniques par abord « laparotomique », laparoscopique ou percutanée (endoscopique ou radiologique). Ces techniques peuvent être combinées. Toutes ces techniques nécessitent la présence intermittente ou continue d'un dispositif, qui permet le maintient de la gastrostomie ouverte et évite les fuites gastriques. Ces dispositifs sont multiples; initialement il s'agissait de cathéters rigides (bois, métal, caoutchouc). Ensuite ils ont été fabriqués en silicone, ce qui les rend plus souples et mieux tolérés par le patient. Pour éviter leur dislocation, ils possèdent un système d'amarrage intra-gastrique tel que : un champignon (Bard®), un ballonnet (Foley®, Mic-Key®), ou une forme spiralée du cathéter (« pig-tail ») et possèdent un système d'amarrage extra-gastrique (« cross-bar »). En 1982, Gauderer créa le premier dispositif à fleur de peau : le bouton de gastrostomie (BG). Actuellement, il en existe deux types : à champignon (Bard®) et à ballonnet (Mic-Key®). Il existe plusieurs types de complications liées à la technique opératoire, à la prise en charge et au matériel utilisé. Une comparaison des différentes techniques, matériaux utilisés et coûts engendrés est détaillée dans ce travail. La deuxième partie de ce travail est dédiée aux BG et plus spécifiquement au BG à ballonnet (Mic-Key®). Nous présentons les différents boutons et les techniques spécifiques. Le BG est inséré soit dans une gastrostomie préformée, soit directement lors de la confection d'une gastrostomie par laparotomie, laparoscopie ou de façon percutanée. Les complications liées au BG sont rapportées. D'autres utilisations digestives ou urologiques sont décrites. Nous présentons ensuite notre expérience avec 513 BG à ballonnet (Mic-Key®) dans une revue de 73 enfants. La pose du BG est effectuée dans une gastrostomie préformée sans recours à une anesthésie générale. La technique choisie pour la confection de la gastrostomie dépend de la pathologie de base, de l'état général du patient, de la nécessité d'une opération concomitante et du risque anesthésique. Nous apportons des précisions sur le BG telles que la dimension en fonction de l'âge, la durée de vie, et les causes qui ont amené au changement du BG. Nos résultats sont comparés à ceux de la littérature. Sur la base de notre expérience et après avoir passé en revue la littérature spécialisée, nous proposons des recommandations sur le choix de la technique et le choix du matériel. Ce travail se termine avec une réflexion sur le devenir de la gastrostomie. Si le futur consiste à améliorer et innover les techniques et les matériaux, des protocoles destinés à la standardisation des techniques, à la sélection des patients et à l'enseignement des soins devraient s'en suivre. La prise en charge de l'enfant ne se limite pas à la sélection appropriée de la technique et des matériaux, mais il s'agit avant tout d'une approche multidisciplinaire. La collaboration entre le personnel soignant, la famille et l'enfant est essentielle pour que la prise en charge soit optimale et sans risques.
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BACKGROUND: A previous individual patient data meta-analysis by the Meta-Analysis of Chemotherapy in Nasopharynx Carcinoma (MAC-NPC) collaborative group to assess the addition of chemotherapy to radiotherapy showed that it improves overall survival in nasopharyngeal carcinoma. This benefit was restricted to patients receiving concomitant chemotherapy and radiotherapy. The aim of this study was to update the meta-analysis, include recent trials, and to analyse separately the benefit of concomitant plus adjuvant chemotherapy. METHODS: We searched PubMed, Web of Science, Cochrane Controlled Trials meta-register, ClinicalTrials.gov, and meeting proceedings to identify published or unpublished randomised trials assessing radiotherapy with or without chemotherapy in patients with non-metastatic nasopharyngeal carcinoma and obtained updated data for previously analysed studies. The primary endpoint of interest was overall survival. All trial results were combined and analysed using a fixed-effects model. The statistical analysis plan was pre-specified in a protocol. All data were analysed on an intention-to-treat basis. FINDINGS: We analysed data from 19 trials and 4806 patients. Median follow-up was 7·7 years (IQR 6·2-11·9). We found that the addition of chemotherapy to radiotherapy significantly improved overall survival (hazard ratio [HR] 0·79, 95% CI 0·73-0·86, p<0·0001; absolute benefit at 5 years 6·3%, 95% CI 3·5-9·1). The interaction between treatment effect (benefit of chemotherapy) on overall survival and the timing of chemotherapy was significant (p=0·01) in favour of concomitant plus adjuvant chemotherapy (HR 0·65, 0·56-0·76) and concomitant without adjuvant chemotherapy (0·80, 0·70-0·93) but not adjuvant chemotherapy alone (0·87, 0·68-1·12) or induction chemotherapy alone (0·96, 0·80-1·16). The benefit of the addition of chemotherapy was consistent for all endpoints analysed (all p<0·0001): progression-free survival (HR 0·75, 95% CI 0·69-0·81), locoregional control (0·73, 0·64-0·83), distant control (0·67, 0·59-0·75), and cancer mortality (0·76, 0·69-0·84). INTERPRETATION: Our results confirm that the addition of concomitant chemotherapy to radiotherapy significantly improves survival in patients with locoregionally advanced nasopharyngeal carcinoma. To our knowledge, this is the first analysis that examines the effect of concomitant chemotherapy with and without adjuvant chemotherapy as distinct groups. Further studies on the specific benefits of adjuvant chemotherapy after concomitant chemoradiotherapy are needed. FUNDING: French Ministry of Health (Programme d'actions intégrées de recherche VADS), Ligue Nationale Contre le Cancer, and Sanofi-Aventis.
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El estudio de las condiciones de trabajo de carácter psicosocial CTCPS-MAC consta de 75 ítems que agrupan cuatro dimensiones, que se pueden evaluar por separado y un total de 14 factores. Tiene como intención la evaluación de la percepción que tiene la población trabajadora de las condiciones de trabajo de carácter psicosocial en su propio entorno laboral así como de los factores individuales y los síntomas subjetivos y alteraciones de la salud.
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Este trabalho teve como objetivo identificar e sugerir métodos para avaliação da qualidade física e fisiológica de sementes de candeia (Eremanthus erythropappus). As sementes utilizadas foram colhidas nos anos de 2001 e 2002, respectivamente nos municípios de Carrancas e Lavras, no estado de Minas Gerais. As sementes foram secas, limpas e guardadas em sacos semipermeáveis, em câmara fria a 5ºC e 60% de umidade relativa até o início dos experimentos. Para facilitar a identificação de sementes vazias foi desenvolvido protocolo com a utilização de raios-x, combinando potência de radiação (Kv) e tempo de exposição das sementes à radiação (segundos). Para a eliminação das sementes vazias foi realizado experimento utilizando soprador de sementes, tipo South Dakota, combinando as aberturas do aparelho e tempo. Para os testes de germinação, as sementes foram passadas pelo soprador, lavadas em hipoclorito de sódio e colocadas para germinar sobre papel, em gerbox. O primeiro experimento avaliou temperaturas de germinação e foi realizado em mesa termogradiente, o segundo experimento testou sensibilidade à luz e alternância de temperatura e foi conduzida em germinadores tipo Mangelsdorfii. Foram determinadas curvas de embebição, nas condições de 30ºC, 20-30ºC/10 horas de luz e 30-20ºC/10 horas de luz. O protocolo para avaliação radiológica que melhor permitiu a visualização das estruturas internas da semente foi 30Kv por 45 segundos. A separação das sementes pelo soprador na abertura 6,0 e tempo de 30 segundos permitiu elevar de 14,75 para 93,37%, o número de sementes com embrião. Os resultados mostraram que as sementes não apresentam dormência e que, quando eliminadas as sementes vazias, a porcentagem de germinação foi alta. As sementes atingiram a máxima porcentagem de germinação aos 14 dias de embebição e a melhor condição para germinação foi alternância de temperatura de 20-30ºC/10 horas de luz. Os estudos revelaram ainda que a germinação de sementes desta espécie pode ocorrer na ausência de luz.
Resumo:
Référence bibliographique : Rol, 59578
Resumo:
Référence bibliographique : Rol, 60750