846 resultados para Love poetry, Canadian.
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Poems.
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Volumes issued by Curll under the above title vary considerbly in their contents.
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Publisher's advertisements on p. [1] and [3-6] at end.
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--Index of media.--Index of titles.
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Published also in his: Robert Browning: essays and thoughts.
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Notes on "The stacycons of Rome", by W.M. Rossetti. -- Political poems, etc. -- Love poems, etc. -- Religious poems from ms. Harl. 7322. An A B C poem on the passion of Christ. The Fifty-first psalm. -- Additions: Verse prolog and epilog to a book on medicine, A.B. 1440. A prentise unto woe, by Henry Baradoun, A.B. 1483. Hymn to the Virgin, by William Huchen, A.B. 1460. 'Peare of Provence and the fair Maguelone', a fragment. The Knight Amoryus and the Lady Cleopes ... by John Metham.
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Not issued in 1924.
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This poetry collection moves from the narrator’s childhood in the marshes of Canada to her coming of age in a new, southern swamp in South Florida. Many of the poems use free verse as well as fairly recent poetic forms like the Golden Shovel and the Pecha Kucha. Others rely on wordplay and nonce forms. Influenced by Hector Veil Temperly, Matthew Zapruder, Dorothea Lasky, Laura Kasischke and Anne Carson, the poems often employ simple language in stream of consciousness, and oscillate between lyric and narrative. These poems are feverish creations inspired by the oracular tradition and induced by the psychic crush of modern life: depression of the body and mind, cultural paranoia, and the decline of nature. The reader is privy not only to the personal biography of the narrator, but also to the inner workings of the narrator’s mind as it encounters and interprets the world.
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Non-cognitive skills have caught the attention of current education policy writers in Canada. Within the last 10 years, almost every province has produced a document including the importance of supporting non-cognitive skills in K-12 students in the classroom. Although often called different names (such as learning skills, cross curricular competencies, and 20th Century Skills) and occasionally viewed through different lenses (such as emotional intelligence skills, character skills, and work habits), what unifies non-cognitive skills within the policy documents is the claim that students that are strong in these skills are more successful in academic achievement and are more successful in post-secondary endeavors. Though the interest from policy-makers and educators is clear, there are still many questions about non-cognitive skills that have yet to be answered. These include: What skills are the most important for teacher’s to support in the classroom? What are these skills’ exact contributions to student success? How can teachers best support these skills? Are there currently reliable and valid measures of these skills? These are very important questions worth answering if Canadian teachers are expected to support non-cognitive skills in their classrooms with an already burdened workload. As well, it can begin to untangle the plethora of research that exists within the non-cognitive realm. Without a critical look at the current literature, it is impossible to ensure that these policies are effective in Canadian classrooms, and to see an alignment between research and policy. Upon analysis of Canadian curriculum, five non-cognitive skills were found to be the most prevalent among many of the provinces: Self-Regulation, Collaboration, Initiative, Responsibility and Creativity. The available research literature was then examined to determine the utility of teaching these skills in the classroom (can students improve on these skills, do these skills impact other aspects of students’ lives, and are there methods to validly and reliably assess these skills). It was found that Self-Regulation and Initiative had the strongest basis for being implemented in the classroom. On the other hand, Creativity still requires a lot more justification in terms of its impact on students’ lives and ability to assess in the classroom.
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Ce mémoire en recherche création est divisé en deux principales sections : un recueil de poésie et un essai. Le recueil, intitulé Le Cœur est une permanence, explore différentes interprétations du phénomène d’empathie dans la création littéraire. Afin que l’empathie devienne l’objet du discours, ce dernier est centré sur la relation à l’autre. L’empathie prend vie à travers deux entités, un « je » et un « tu ». Alors que le « je » entre en contact avec ses propres zones d’ombres, il s’ouvre tranquillement aux souffrances du « tu ». Au fil des poèmes, le « je » et le « tu » apaisent leur douleur en la partageant, faisant de l’empathie une voie d’accès à l’intimité. Ce déploiement de l’intime prend forme en trois temps : les sections replis de voix, point archimédien et ensembles vides. Le recueil accorde une importance particulière à la figure du corps comme véhicule de la souffrance. Il propose une réflexion sur l’amour, balançant entre naufrage et terre promise, et fait de l’enfance une pierre de touche pour interroger la douleur. La deuxième partie de ce mémoire est un essai intitulé Empathie et souffrance dans Tête première / Dos / Contre dos de Martine Audet. Divisé en trois chapitres, cet essai étudie l’empathie à l’œuvre dans le recueil de Audet, selon une approche bioculturelle. Il allie interprétation littéraire, sciences cognitives de deuxième génération et philosophie de l’esprit. Dans le premier chapitre, le concept de « simulation incarné », développé par Vittorio Gallese, permet d’interpréter la figure du corps et de suggérer qu’elle véhicule la douleur tout en étant la manifestation d’un effacement identitaire. Le deuxième chapitre se penche sur l’intersubjectivité en lien avec l’empathie. Il intègre certaines notions clés de la phénoménologie husserlienne afin d’analyser les manifestations du lien empathique unissant les deux présences parcourant le recueil de Audet. Le dernier chapitre explique comment les représentations de l’environnement dans lequel évoluent ces présences peuvent refléter leur souffrance. Pour ce faire, certains concepts liés à l’environnement, particulièrement importants pour l’écocritique actuelle, sont analysés dans Tête première / Dos / Contre dos, comme ceux de place et de nature. Ces derniers, étant construits par les perceptions propres à la cognition humaine, sont envisagés d’un point de vue bioculturel. En interprétant ces trois principaux aspects du texte (figure du corps, intersubjectivité et environnement), l’hypothèse selon laquelle la perception de la souffrance dans Tête première / Dos / Contre dos repose essentiellement sur l’empathie comme effet et objet du discours s’en voit validée.
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Ce mémoire en recherche création est divisé en deux principales sections : un recueil de poésie et un essai. Le recueil, intitulé Le Cœur est une permanence, explore différentes interprétations du phénomène d’empathie dans la création littéraire. Afin que l’empathie devienne l’objet du discours, ce dernier est centré sur la relation à l’autre. L’empathie prend vie à travers deux entités, un « je » et un « tu ». Alors que le « je » entre en contact avec ses propres zones d’ombres, il s’ouvre tranquillement aux souffrances du « tu ». Au fil des poèmes, le « je » et le « tu » apaisent leur douleur en la partageant, faisant de l’empathie une voie d’accès à l’intimité. Ce déploiement de l’intime prend forme en trois temps : les sections replis de voix, point archimédien et ensembles vides. Le recueil accorde une importance particulière à la figure du corps comme véhicule de la souffrance. Il propose une réflexion sur l’amour, balançant entre naufrage et terre promise, et fait de l’enfance une pierre de touche pour interroger la douleur. La deuxième partie de ce mémoire est un essai intitulé Empathie et souffrance dans Tête première / Dos / Contre dos de Martine Audet. Divisé en trois chapitres, cet essai étudie l’empathie à l’œuvre dans le recueil de Audet, selon une approche bioculturelle. Il allie interprétation littéraire, sciences cognitives de deuxième génération et philosophie de l’esprit. Dans le premier chapitre, le concept de « simulation incarné », développé par Vittorio Gallese, permet d’interpréter la figure du corps et de suggérer qu’elle véhicule la douleur tout en étant la manifestation d’un effacement identitaire. Le deuxième chapitre se penche sur l’intersubjectivité en lien avec l’empathie. Il intègre certaines notions clés de la phénoménologie husserlienne afin d’analyser les manifestations du lien empathique unissant les deux présences parcourant le recueil de Audet. Le dernier chapitre explique comment les représentations de l’environnement dans lequel évoluent ces présences peuvent refléter leur souffrance. Pour ce faire, certains concepts liés à l’environnement, particulièrement importants pour l’écocritique actuelle, sont analysés dans Tête première / Dos / Contre dos, comme ceux de place et de nature. Ces derniers, étant construits par les perceptions propres à la cognition humaine, sont envisagés d’un point de vue bioculturel. En interprétant ces trois principaux aspects du texte (figure du corps, intersubjectivité et environnement), l’hypothèse selon laquelle la perception de la souffrance dans Tête première / Dos / Contre dos repose essentiellement sur l’empathie comme effet et objet du discours s’en voit validée.
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I am a landscape architect, a non-photographer, and in reviewing this exhibition, it seems that in a critical discourse on photography the nature of the view and its relation to the observer (presumably the camera) is inevitably a key focus of creative inquiry, in an epistemological sense. In conducting such a review, of 'self-portraits' by 'female photographers' in relation to 'the landscape', one cannot help but ask what priority this critique should allocate to each of these conceptual agendas, quite apart from the simple formal quality of the individual pieces themselves. Analytically, each could form the axes of a matrix that might allow for a number of quite different permutations and therefore differently conclusive commentaries on the others: the view vs landscape; the view vs sexuality; the self-portrait vs the landscape picture. All of these would be productive in their own right and each is alluded to in the works themselves and in the narrative of the catalogue. Considering this range of possible permutations, this show is certainly rich and this richness sits well with the relative formal saturation of the images themselves.