939 resultados para Legal history
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Examination questions in each volume
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The structure of the Queensland legal profession today is a product of a series of historical developments that can be traced to the beginnings of the legal profession in England. A proper understanding of the present practice and structure of the Australian legal profession needs an understanding of these English origins and then of the profession's introduction into Australia. It is proposed, therefore, to give a brief outline of the development of the legal profession in England and then to deal with the early years of the profession in the Colony of New South Wales after British settlement. The article will then describe the development of the profession in Queensland after separation from New South Wales in 1859 with some emphasis on the major changes relating to the roles of barristers and solicitors.
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The law and finance theory identifies two dominating legal traditions, a common law tradition inherited from England, and a civil law tradition that is going back to 19th century codifications in France, Germany and Scandinavia. Another key notion of the theory is the distinction between insiders (stakeholders, "the State") and outsiders (shareholders as well as creditors). The micro foundation of this approach is the willingness to invest. The innovative addition of the law and finance theory to these ideas lies in the way it combines them with its peculiar view on legal history. The innovative addition of the law and finance theory to these ideas lies in the way it combines them with its peculiar view on legal history. The major conclusion of this theory is that the common law system provides the best basis for financial development and economic growth, followed by Scandinavian and German origin civil law and finally French origin civil law.
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Vladimir S. Soloviev (1853-1900) était un philosophe russe, poète et dissident de la période prérévolutionnaire. Comme celle de beaucoup de ses contemporains prérévolutionnaires russes, la pensée de Soloviev fut constamment sollicitée par la réfection imminente de l’État russe dans un futur très proche. Dans le contexte de cette époque, un examen des fondements théoriques du système juridique était peut-être inévitable. Néanmoins, dans la pensée russe, c’est seulement avec Soloviev que le droit cessa d’être un sujet spécialisé dans le domaine de l’administration, ne concernant guère les grands enjeux de société, et devint intimement lié au développement même de la philosophie morale et sociale. Au sein du projet philosophique systématique que propose Soloviev, le concept de l’unitotalité est envahissant, en termes épistémologique et social. Une pierre d’assise également fondamentale est le concept philosophico-religieux de la divino-humanité, à travers lequel la source de la dignité humaine est ultimement exprimée. La philosophie juridique de Soloviev, contenue pour l’essentiel dans un traité intitulé La Justification du bien : essai de philosophie morale (1897), a pour principal objet l’interaction entre le droit et la morale. Alors que l’objet et la portée du droit peuvent être directement déduits de principes moraux, le droit ne peut pas coïncider exactement avec la morale, compte tenu de son caractère plus limité, fini et coercitif. Pour Soloviev, le droit doit imposer un niveau minimum du bien en fournissant les conditions de base (par ex. la primauté du droit, le droit à une existence digne, la liberté de conscience) pour le libre développement des facultés humaines sans transposer directement en lui la plénitude complète du bien. La principale motivation de Soloviev réside dans la prémisse théologique sous-jacente que le bien ne peut jamais être complètement subsumé sauf par un acte conscient de liberté personnelle. En tandem, Soloviev souligne le rôle progressiste de l’État pour favoriser le libre perfectionnement humain. En tant que tel, Soloviev nous fournit certaines voies innovatrices dans le façonnement de la relation tant théorique que pratique entre le droit et la religion. À l’encontre d’un compromis entre objets, c’est-à-dire un arrangement de type interculturel situé entre fragmentation culturelle (multiculturalisme idéologique) et assimilation antireligieuse (laïcité militante), l’analyse de Soloviev présente la nécessité d’une conciliation temporelle, dans une perspective historique beaucoup plus large, où la laïcité est considérée non pas comme une finalité ontologique en soi, figée dans le temps, mais comme un moyen au service d’une destinée humaine en cours d’actualisation. Le cadre philosophico-juridique de Soloviev peut être utilement mis en dialogue avec des auteurs contemporains comme Stephen L. Carter, Charles Taylor, John Witte Jr, Ronald Dworkin et Jürgen Habermas. La contribution potentielle de Soloviev sur la place de la religion dans la société russe contemporaine est également mentionnée, avec un accent particulier sur le réexamen critique de l’héritage durable de la notion byzantine de la symphonie entre l’Église et l’État. Enfin, une théorie du fédéralisme inspirée par Soloviev est développée en appliquant, sur une base comparative, des avancées théoriques dans le domaine de l’histoire juridique global à l’évolution constitutionnelle du Canada et d’Israël.
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There is a place where a Canadian citizen can be sent to 30 days detention, by someone who is not a judge, without being represented by counsel, and without having a meaningful right to appeal. It is the summary trial system of the Canadian Armed Forces. This thesis analyses that system and suggests reforms. It is aimed at those who have an interest in improving the administration of military justice at the unit level but want to sufficiently understand the issues before doing so. Through a classic legal approach with elements of legal history and comparative law, this study begins by setting military justice in the Canadian legal firmament. The introductory chapter also explains fundamental concepts, first and foremost the broader notion of discipline, for which summary trial is one of the last maintaining tools. Chapter II describes the current system. An overview of its historical background is first given. Then, each procedural step is demystified, from investigation until review. Chapter III identifies potential breaches of the Charter, highlighting those that put the system at greater constitutional risk: the lack of judicial independence, the absence of hearing transcript, the lack of legal representation and the disparity of treatment between ranks. Alternatives adopted in the Canadian Armed Forces and in foreign jurisdictions, from both common law and civil law traditions, in addressing similar challenges are reviewed in Chapter IV. Chapter V analyses whether the breaches could nevertheless be justified in a free and democratic society. Its conclusion is that, considering the availability of reasonable alternatives, it would be hard to convince a court that the current system is a legitimate impairment of the individual’s legal rights. The conclusion Chapter presents options to address current challenges. First, the approach of ‘depenalization’ taken by the Government in recent Bill C-71 is analysed and criticised. The ‘judicialization’ approach is advocated through a series of 16 recommendations designed not only to strengthen the constitutionality of the system but also to improve the administration of military justice in furtherance of service members’ legal rights.
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Vladimir S. Soloviev (1853-1900) était un philosophe russe, poète et dissident de la période prérévolutionnaire. Comme celle de beaucoup de ses contemporains prérévolutionnaires russes, la pensée de Soloviev fut constamment sollicitée par la réfection imminente de l’État russe dans un futur très proche. Dans le contexte de cette époque, un examen des fondements théoriques du système juridique était peut-être inévitable. Néanmoins, dans la pensée russe, c’est seulement avec Soloviev que le droit cessa d’être un sujet spécialisé dans le domaine de l’administration, ne concernant guère les grands enjeux de société, et devint intimement lié au développement même de la philosophie morale et sociale. Au sein du projet philosophique systématique que propose Soloviev, le concept de l’unitotalité est envahissant, en termes épistémologique et social. Une pierre d’assise également fondamentale est le concept philosophico-religieux de la divino-humanité, à travers lequel la source de la dignité humaine est ultimement exprimée. La philosophie juridique de Soloviev, contenue pour l’essentiel dans un traité intitulé La Justification du bien : essai de philosophie morale (1897), a pour principal objet l’interaction entre le droit et la morale. Alors que l’objet et la portée du droit peuvent être directement déduits de principes moraux, le droit ne peut pas coïncider exactement avec la morale, compte tenu de son caractère plus limité, fini et coercitif. Pour Soloviev, le droit doit imposer un niveau minimum du bien en fournissant les conditions de base (par ex. la primauté du droit, le droit à une existence digne, la liberté de conscience) pour le libre développement des facultés humaines sans transposer directement en lui la plénitude complète du bien. La principale motivation de Soloviev réside dans la prémisse théologique sous-jacente que le bien ne peut jamais être complètement subsumé sauf par un acte conscient de liberté personnelle. En tandem, Soloviev souligne le rôle progressiste de l’État pour favoriser le libre perfectionnement humain. En tant que tel, Soloviev nous fournit certaines voies innovatrices dans le façonnement de la relation tant théorique que pratique entre le droit et la religion. À l’encontre d’un compromis entre objets, c’est-à-dire un arrangement de type interculturel situé entre fragmentation culturelle (multiculturalisme idéologique) et assimilation antireligieuse (laïcité militante), l’analyse de Soloviev présente la nécessité d’une conciliation temporelle, dans une perspective historique beaucoup plus large, où la laïcité est considérée non pas comme une finalité ontologique en soi, figée dans le temps, mais comme un moyen au service d’une destinée humaine en cours d’actualisation. Le cadre philosophico-juridique de Soloviev peut être utilement mis en dialogue avec des auteurs contemporains comme Stephen L. Carter, Charles Taylor, John Witte Jr, Ronald Dworkin et Jürgen Habermas. La contribution potentielle de Soloviev sur la place de la religion dans la société russe contemporaine est également mentionnée, avec un accent particulier sur le réexamen critique de l’héritage durable de la notion byzantine de la symphonie entre l’Église et l’État. Enfin, une théorie du fédéralisme inspirée par Soloviev est développée en appliquant, sur une base comparative, des avancées théoriques dans le domaine de l’histoire juridique global à l’évolution constitutionnelle du Canada et d’Israël.
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This phenomenological study explored Black male law enforcement officers’ perspectives of how racial profiling shaped their decisions to explore and commit to a law enforcement career. Criterion and snow ball sampling was used to obtain the 17 participants for this study. Super’s (1990) archway model was used as the theoretical framework. The archway model “is designed to bring out the segmented but unified and developmental nature of career development, to highlight the segments, and to make their origin clear” (Super, 1990, p. 201). Interview data were analyzed using inductive, deductive, and comparative analyses. Three themes emerged from the inductive analysis of the data: (a) color and/or race does matter, (b) putting on the badge, and (c) too black to be blue and too blue to be black. The deductive analysis used a priori coding that was based on Super’s (1990) archway model. The deductive analysis revealed the participants’ career exploration was influenced by their knowledge of racial profiling and how others view them. The comparative analysis between the inductive themes and deductive findings found the theme “color and/or race does matter” was present in the relationships between and within all segments of Super’s (1990) model. The comparative analysis also revealed an expanded notion of self-concept for Black males – marginalized and/or oppressed individuals. Self-concepts, “such as self-efficacy, self-esteem, and role self-concepts, being combinations of traits ascribed to oneself” (Super, 1990, p. 202) do not completely address the self-concept of marginalized and/or oppressed individuals. The self-concept of marginalized and/or oppressed individuals is self-efficacy, self-esteem, traits ascribed to oneself expanded by their awareness of how others view them. (DuBois, 1995; Freire, 1970; Sheared, 1990; Super, 1990; Young, 1990). Ultimately, self-concept is utilized to make career and life decisions. Current human resource policies and practices do not take into consideration that negative police contact could be the result of racial profiling. Current human resource hiring guidelines penalize individuals who have had negative police contact. Therefore, racial profiling is a discriminatory act that can effectively circumvent U.S. Equal Employment Opportunities Commission laws and serve as a boundary mechanism to employment (Rocco & Gallagher, 2004).
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Includes index.
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Signed: Prepared by J. P. Schmitt, New York.
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"The chapters constituting this dissertation are taken from a larger volume entitled A history of the greenbacks, which has appeared as volume ix, second series, of the Decennial publications of the University of Chicago."
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Mode of access: Internet.
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Bibliography: volume 1, pages xi-xiii.