207 resultados para Inclusões fluídas
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Résumé : Introduction : l'ostéoporose est une maladie fréquente, invalidante, sous-diagnostiquée et sous-traitée, alors qu'il existe des évidences cliniques, densitométriques et biologiques de l'efficacité de la prévention secondaire. Matériel et méthode : dans cette étude, nous décrivons les habitudes de prescription de traitements en prévention secondaire dans les 6 mois qui suivent une fracture de fragilité et définissons les catégories de femmes recevant ou non un traitement, selon le type de fractures, les antécédents fracturaires et les données socio-démographiques. Il s'agit d'une étude suisse de cohorte, prospective de 7609 femmes de 70 ans et plus, suivies de 1998 à 2000. Deux groupes de patientes ont été analysés : celles avec un événement fracturaire durant le suivi (3 sous-groupes de fractures ont été considérés fractures vertébrales, fractures du radius distal et fractures de l'humérus proximal) et celles sans fractures durant le suivi (groupe contrôle). La détermination des événements fracturaires et l'instauration d'un traitement s'est faite par l'envoi aux patientes et à leurs médecins traitants d'un questionnaire structuré. Dans cette étude, le but primaire est de décrire les attitudes médicales de prévention secondaire, le but secondaire d'analyser les motifs dé décision thérapeutique (type de fracture, antécédents de fractures), alors que le but tertiaire cherche à caractériser les femmes non traitées. Résultats, discussion : 7354 femmes ont été incluses dans cette étude, 183 dans le groupe fracture et 7171 dans le groupe contrôle. Le suivi moyen a été de 21 mois. L'introduction d'un traitement est restée rare dans chaque catégorie de fracture et a été plus importante pour le sous-groupe avec fracture vertébrale (p<0.001). La seule donnée associée à l'adjonction d'un traitement a été la présence d'un antécédent anamnestique de fracture vertébrale. La description des attitudes thérapeutiques après une fracture de fragilité, a montré que. 44 % des femmes ne reçoivent aucun traitement en prévention secondaire. Seule la fracture vertébrale et les antécédents de fracture vertébrale entraînent une modification de l'attitude thérapeutique des médecins traitants mais de façon encore insuffisante puisque plus de 50 % des femmes avec une fracture de vertèbre n'ont aucun changement dans leur prise en charge. Les femmes non traitées ne différaient pas des autres sur un plan socio-démographique. Le nombre de patientes dans chaque sous-groupe est relativement faible ce qui limite !a puissance statistique de l'analyse. Les données consistent essentiellement en du « selfreporting » ce qui peut limiter la signification de celles-ci. Les résultats sont cependant suffisamment inquiétants pour que de nouvelles campagnes d'information soient lancées auprès des médecins de .premiers recours quant à la nécessité d'instaurer un traitement efficace lors de la survenue d'une fracture clinique ou radiologique chez une femme en post-ménopause.
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O objetivo deste trabalho foi avaliar os efeitos da metionina e colina sobre o desempenho produtivo e a morfologia do fígado de tilápia-do-nilo. Durante 87 dias, 160 peixes da linhagem Supreme, com peso vivo médio inicial de 77±0,8 g, distribuídos igualmente em 16 tanques de 1.000 L cada, foram cultivados em sistema com recirculação de água. Os peixes foram alimentados com rações, peletizadas, três vezes ao dia, até saciedade aparente. Foram utilizadas quatro rações com 33% de proteína bruta e 3.000 kcal kg-1 de energia digestível: controle, sem suplementação; suplementação com 3.000 mg kg-1 de metionina; com 2.000 mg kg-1 de colina; com 3.000 mg kg-1 de metionina e 2.000 mg kg-1 de colina. Não foi observado efeito do fornecimento de metionina ou colina sobre o ganho de peso diário, conversão alimentar, rendimento de filé, índice hepatossomático e gordura visceral. Os peixes alimentados com dietas suplementadas com colina e metionina tiveram menor teor de gordura nos filés e redução de inclusões lipídicas no tecido hepático. A suplementação com colina e metionina não afeta o desempenho produtivo de juvenis de tilápia-do-Nilo, mas a colina tem ação na utilização do lipídio hepático, evidenciada pela redução de inclusões lipídicas.
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As relações genéticas de 105 acessos de diferentes origens geográficas do banco de germoplasma de mangueira da Embrapa foram determinadas com base no marcador AFLP, de forma a orientar trabalhos de melhoramento e manejo de recursos genéticos da espécie para a região Semi-Árida brasileira. Foram ainda incluídos dois acessos de duas espécies do gênero Mangifera, como "outgroup". O DNA dos acessos foi extraído pelo método do CTAB, as reações de AFLP foram realizadas para os iniciadores EcoRI/MseI e as bandas polimórficas foram analisadas para construção de fenograma, baseando-se no coeficiente de similaridade de Jaccard. Foram obtidas 157 e 54 bandas de AFLP polimórficas e monomórficas, respectivamente, em 13 combinações de iniciadores. O valor co-fenético do fenograma foi estimado em 0,81. Foram observados cinco grupos: 1) cultivares como Amrapali, Malika, híbridos Embrapa-Cpac e algumas variedades americanas formando um grupo; 2) grupo formado, predominantemente, por cultivares americanas, com algumas inclusões de híbridos sul-africanos e brasileiros; 3) grande grupo formado por cultivares brasileiras, com algumas inclusões de cultivares australianas, indianas e americanas; 4) grupo formado por algumas variedades tipo Espada, Rosa e acessos de diferentes origens; e 5) grupo formado por M. foetida e M. similis. Os acessos Carabao e Manilla apresentaram a maior similaridade, 97%. Os acessos estudados apresentaram similaridade superior a 51%, evidenciando a alta variabilidade genética da coleção de germoplasma de mangueira estudada.
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1) Introduction: pour les jeunes souffrant de maladie chronique, l'objectif de la transition vers les soins pour adultes est d'optimiser leur fonctionnement et leur potentiel. Le but de cette étude pilote était d'évaluer si les jeunes adultes souffrant de maladie chronique jugeaient que le passage vers les soins adultes était plus facile lorsque la question de la transition avait été discutée au préalable avec leur pédiatre. 2) Matériel et méthodes: deux groupes de jeunes adultes atteints de maladie chronique ont été identifiés selon l'existence (n = 70) ou non (n = 22) d'une discussion préalable avec leur pédiatre à propos de la transition vers une prise en charge pour adultes. Ces deux groupes ont été comparés pour des variables démographiques et de santé. Les variables significatives en analyse bivariée ont été incluses dans une régression logistique descendante pas à pas. 3) Résultats: les jeunes adultes qui avaient discuté de la transition étaient significativement plus nombreux à se sentir prêts (72,9 % vs 45,5 %) et accompagnés (58,6 % vs 27,3 %) pour le transfert, à avoir consulté leur spécialiste pour adultes (60 % vs 31,8 %) et à voir leur médecin sans la présence de leurs parents (70 % vs 40,9 %). En analyse multivariée, seuls, le fait de se sentir accompagné (odds ratio ajustée [ORa] : 3,56) et celui d'avoir consulté leur spécialiste pour adultes (ORa : 4,14) étaient significatifs. 4) Conclusions: la préparation des jeunes souffrant de maladie chronique au transfert vers les soins pour adultes semble bénéfique. Cependant, le transfert lui-même n'est qu'une petite partie du concept beaucoup plus large de la transition vers la vie adulte. Une transition bien planifiée doit permettre à ces jeunes adultes d'atteindre tout leur potentiel. INTRODUCTION: The goal of transition in healthcare for young people with chronic illnesses is to maximize their functioning and potential. The purpose of this pilot study was to assess whether young adults with chronic illnesses found that the transition to adult care was easier when the transition was discussed in advance with their pediatric specialist. METHODS: Two groups were created according to whether patients had discussed (n=70) or not (n=22) the transition with their pediatric specialist and compared regarding demographic and health-related variables. All the significant variables at the bivariate level were included in a backward stepwise logistic regression. RESULTS: Youth who had discussed the transition were significantly more likely to feel ready for the transfer (72.9% vs 45.5%) and accompanied (58.6% vs 27. %) during transfer, to have consulted their specialist for adults (60.0% vs 31.8%), and seen their doctor without the presence of their parents (70.0% vs 40.9%). At the multivariate level, only feeling accompanied during transfer (adjusted odds ratio (aOR): 3.56) and having consulted their specialist for adults (aOR: 4.14) remained significant. CONCLUSIONS: Preparing chronically ill youths for transfer to adult care appears to be beneficial for them. However, transfer is only a small part of the much broader transition that is preparation for adult life. A well-planned transition should allow these young people to reach their full potential.
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Introduction : Le bloc transverse de l'abdomen (bloc TAP, Transversus Abdominis Plane) échoguidé consiste en l'injection d'anesthésique local dans la paroi abdominale entre les muscles oblique interne et transverse de l'abdomen sous contrôle échographique. Ceci permet de bloquer l'innervation sensitive de la paroi antérolatérale de l'abdomen afin de soulager la douleur après des interventions chirurgicales. Auparavant, cette procédure reposait sur une technique dite « à l'aveugle » qui utilisait des repères anatomiques de surface. Depuis quelques années, cette technique est effectuée sous guidage échographique ; ainsi, il est possible de visualiser les structures anatomiques, l'aiguille et l'anesthésique local permettant ainsi une injection précise de l'anesthésique local à l'endroit désiré. Les précédentes méta- analyses sur le bloc TAP n'ont inclus qu'un nombre limité d'articles et n'ont pas examiné l'effet analgésique spécifique de la technique échoguidée. L'objectif de cette méta-analyse est donc de définir l'efficacité analgésique propre du bloc TAP échoguidé après des interventions abdominales chez une population adulte. Méthode : Cette méta-analyse a été effectuée selon les recommandations PRISMA. Une recherche a été effectuée dans les bases de donnée MEDLINE, Cochrane Central Register of Controlled Clinical Trials, Excerpta Medica database (EMBASE) et Cumulative Index to Nursing and Allied Health Literature (CINAHL). Le critère de jugement principal est la consommation intraveineuse de morphine cumulée à 6 h postopératoires, analysée selon le type de chirurgie (laparotomie, laparoscopie, césarienne), la technique anesthésique (anesthésie générale, anesthésie spinale avec/ou sans morphine intrathécale), le moment de l'injection (début ou fin de l'intervention), et la présence ou non d'une analgésie multimodale. Les critères de jugement secondaires sont, entre autres, les scores de douleur au repos et à l'effort à 6 h postopératoires (échelle analogique de 0 à 100), la présence ou non de nausées et vomissements postopératoires, la présence ou non de prurit, et le taux de complications de la technique. Résultats : Trente et une études randomisées contrôlées, incluant un total de 1611 adultes ont été incluses. Indépendamment du type de chirurgie, le bloc TAP échoguidé réduit la consommation de morphine à 6 h postopératoires (différence moyenne : 6 mg ; 95%IC : -7, -4 mg ; I =94% ; p<0.00001), sauf si les patients sont au bénéfice d'une anesthésie spinale avec morphine intrathécale. Le degré de réduction de consommation de morphine n'est pas influencé par le moment de l'injection (I2=0% ; p=0.72) ou la présence d'une analgésie multimodale (I2=73% ; p=0.05). Les scores de douleurs au repos et à l'effort à 6h postopératoire sont également réduits (différence moyenne au repos : -10 ; 95%IC : -15, -5 ; I =92% ; p=0.0002; différence moyenne en mouvement : -9 ; 95%IC : -14, -5 ; I2=58% ; p<0. 00001). Aucune différence n'a été retrouvée au niveau des nausées et vomissements postopératoires et du prurit. Deux complications mineures ont été identifiées (1 hématome, 1 réaction anaphylactoïde sur 1028 patients). Conclusions : Le bloc TAP échoguidé procure une analgésie postopératoire mineure et ne présente aucun bénéfice chez les patients ayant reçu de la morphine intrathécale. L'effet analgésique mineure est indépendant du moment de l'injection ou de la présence ou non d'une analgésie multimodale.
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O gênero Erigeron (Asteraceae), de plantas da vegetação espontânea, encontra-se amplamente disseminado nas regiões Sul e Sudeste do Brasil, sendo freqüentemente encontrado em lavouras perenes e anuais. Plantas de E. bonariensis com sintoma de mosaico, típico do induzido por vírus, foram coletadas no município de São Paulo e submetidas a análises ao microscópio eletrônico de transmissão, testes biológicos, sorológicos e moleculares. Em cortes ultrafinos do tecido foliar original, observaram-se inclusões tubulares e cata-ventos dispersos no citoplasma. Através de inoculação mecânica, somente Chenopodium amaranticolor, C. quinoa, Nicotiana benthamiana e N. clevelandii foram infetadas. Os resultados obtidos em ELISA foram negativos quando se utilizaram antissoros contra o Turnip mosaic vírus (TuMV) e diferentes estirpes do Potato virus Y (PVY), constatando-se relacionamento sorológico com o Lettuce mosaic virus (LMV). Com a utilização de oligonucleotídeos específicos para LMV amplificaram-se fragmentos esperados de aproximadamente 280 pb, que seqüênciados confirmaram a identidade do vírus. A ocorrência do LMV em E. bonariensis, gênero da mesma família botânica da alface (Lactuca sativa), é de grande importância, pois talvez possa atuar como reservatório para infecção de campos de produção de alface. Este é o primeiro relato, no Brasil, de vírus infetando Erigeron sp., o qual só havia sido reportado como hospedeira natural do Bidens mottle virus (BiMoV) e do Tomato spotted wilt virus (TSWV) nos Estados Unidos.
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Este trabalho relata a ocorrência de um surto epidemiológico causado pelo vírus do mosaico amarelo do pimentão (Pepper yellow mosaic virus - PepYMV) em tomateiro (Lycopersicon esculentum) 'Alambra' na região serrana do Estado do Espírito Santo. Os sintomas consistiam de mosaico, definhamento e redução de produção. Visando a caracterização do agente causal foram realizados estudos sorológicos por ELISA, observações ao microscópio eletrônico e determinação da gama parcial de hospedeiros. Ao microscópio eletrônico de transmissão foram observadas, em amostras de tomateiro, partículas alongadas e flexuosas e inclusões cilíndricas típicas de vírus do gênero Potivirus. O PepYMV foi confirmado como agente causal por ELISA indireto. Levantamentos realizados em campos de cultivo demonstraram que a disseminação do vírus é muito rápida. Este é o primeiro relato da ocorrência do PepYMV na cultura do tomate no Brasil, causando sérios danos.
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Os dois principais vírus que infectam o milho no Brasil são o Sugarcane mosaic virus (SCMV) e o Maize rayado fino virus (MRFV), cujos principais vetores são o afídeo Rhopalosiphum maidis e a cigarrinha Dalbulus maidis, respectivamente. O MRFV é freqüentemente encontrado em infecções mistas com fitoplasmas e espiroplasmas, causando as doenças denominadas enfezamentos do milho. Em uma lavoura de milho próxima a Santo Antonio da Posse, SP, cercada por campos de cana-de-açúcar, foi encontrada alta incidência de plantas apresentando mosaico, riscas, nanismo e espigas com falhas no enchimento de grãos. Análises serológicas com anti-soros específicos detectaram a presença do SCMV e MRFV nessas plantas. A infecção pelo SCMV também foi confirmada por RT-PCR com primers específicos e análise de seqüências. Em observações de preparações contrastadas negativamente em TEM, partículas flexuosas (ca.770 nm) e isométricas (ca.30 nm) foram detectadas. Em cortes ultrafinos, inclusões citoplasmáticas, típicas de Potyviridae, foram observadas; não foi encontrada a presença de espiroplasmas nem de fitoplasmas. Esses resultados mostram que a infecção conjunta por SCMV e MRFV pode ser responsável pelos danos encontrados nessa lavoura.
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RESUMOA codigestão dos dejetos de suínos e dos resíduos lipídicos vem sendo amplamente explorada, com melhorias na degradação dos substratos em digestão e, consequentemente, dos rendimentos de biogás. Assim, foram avaliados os desempenhos de biodigestores abastecidos com dejetos de suínos e crescentes níveis de óleo de descarte, por meio das produções e potenciais de produção de biogás, reduções dos teores de sólidos totais (ST), sólidos voláteis (SV) e da demanda química de oxigênio (DQO). Para o desenvolvimento do ensaio de codigestão, foram preparados substratos compostos por dejetos de suínos, óleo de descarte (nas proporções de 0; 2; 4; 6; 8; 10 e 12% de óleo em relação aos teores de ST do substrato), água para diluição destes resíduos e inóculo, contendo teor inicial de 4,0% de ST e abastecimento dos biodigestores batelada. As máximas reduções de ST e SV foram de 36,8 e 41,1% e ocorreram nos níveis de 5,2 e 5,8% de óleo aos substratos. As inclusões de 5,4 e 6,1% de óleo permitiram o alcance de potenciais de 222,9 e 263,6 litros de biogás por kg de ST e SV adicionados, que foram superiores em 10,8 e 5,5% aos rendimentos observados para a dose contendo 0% de óleo. A inclusão de óleo na composição de substratos contendo dejetos de suínos nas doses entre 5 e 6% melhora os rendimentos de biogás.
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Infecção experimental de ovinos com o herpesvírus bovino tipo 5 (BHV-5) reproduziu vários aspectos da infecção pelo BHV-5 em bovinos. Inoculação intranasal foi seguida de extensiva replicação viral na cavidade nasal, excreção e transmissão do vírus a outros animais, estabelecimento e reati-vação de latência, e o desenvolvimento de meningoencefalite clínica em um animal. Ovinos inoculados com a amostra brasileira EVI-88 apresentaram hipertermia transitória, hiperemia da mucosa nasal e corrimento nasal de seroso a muco-purulento. Os animais eliminaram vírus em secreções nasais em títulos de até 107,11DICC50/ml por até 16 dias. Um cordeiro apresentou sinais clínicos de encefalite no dia 10 pós-inoculação, sendo sacrificado in extremis no início do dia 13. Infectividade foi detectada em várias regiões do encéfalo desse animal, incluindo os hemisférios anterior e posterior, córtex dorso- e ventro-lateral, ponte, pedúnculo cerebral, cerebelo e bulbo olfatório. Alterações histológicas foram observadas em várias regiões do encéfalo, principalmente no hemisfério anterior, córtex ventro-lateral e pedúnculos cerebrais, e consistiram de meningite mononuclear, manguitos perivasculares, gliose focal, necrose e inclusões intranucleares em neurônios . Quatro ovinos mantidos como sentinelas adquiriram a infecção e eliminaram vírus a partir do final do segundo dia, até 7 dias. Ovinos inoculados com a amostra argentina A663 apresentaram apenas hiperemia e umidecimento da mucosa nasal, embora eliminassem vírus nas secreções nasais por até 15 dias. Tratamento dos animais com dexametasona a partir do dia 50 pós-inoculação provocou reativação da infecção latente e eliminação viral durante até 11 dias por 76,9% (10/13) dos animais inoculados e por 100% (3/3) dos animais sentinela. Esses resultados demonstram que ovinos são susceptíveis à infecção aguda e latente pelo BHV-5 e sugerem que infecções naturais de ovinos por este vírus podem potencialmente ocorrer. Ness sentido, uma possível participação da espécie ovina como reservatório natural desse vírus deve ser melhor investigada.
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Os protocolos de 5.361 necropsias de cães realizadas no Laboratório de Patologia Veterinária da Universidade Federal de Santa Maria de 1965 a 2006 foram revisados à procura de casos de cinomose. Seiscentos e oitenta e três casos (12,7%) da doença foram encontrados, dos quais 620 apresentavam sinais neurológicos. Desses 620, os seguintes dados foram recuperados para cada caso: idade, sinais clínicos, achados histopatológicos e presença ou não de doença concomitante. Faixas etárias foram classificadas como filhotes (até 1 ano), adultos (de 1 a 9 anos) e idosos (10 anos de idade ou mais). Lesões histológicas foram observadas em 565 (91,1%) dos 620 casos com sinais neurológicos de cinomose e em 554 desses casos a idade foi registrada no protocolo com a seguinte distribuição por faixa etária: 45,9% de filhotes, 51,4% de adultos e 2,7% de idosos. Os sinais neurológicos compreendiam um largo espectro de distúrbios motores, posturais e do comportamento, que podiam ocorrer juntos ou individualmente. Os sinais clínicos mais freqüentes foram mioclonia (38,4%), incooordenação motora (25,0%), convulsões (18,5%) e paraplegia (13,4%). Em 98,4% dos 565 cães com alterações histopatológicas no encéfalo, foram observadas desmielinização, encefalite não-supurativa ou uma combinação dessas duas lesões. Corpúsculos de inclusão foram observados em diferentes células de 343 dos 565 cães com alterações histopatológicas no encéfalo. Em 170 (49,6%) o tipo celular com inclusão não foi mencionado no protocolo; nos restantes, as inclusões foram vistas em astrócitos (94,8% dos casos), neurônios (3,5%), oligodendrócitos (1,1%) e células do epêndima (0,6%). Levando em consideração o tipo de lesões e as faixas etárias, casos com desmielinização e encefalite não-supurativa ocorreram em 40,0% dos filhotes, 51,2% dos adultos e 72,7% dos cães idosos. Somente desmielinização foi descrita em 48,4% dos filhotes, 41,3% dos adultos e 35,7% dos cães idosos. Somente encefalite não-supurativa foi descrita em 11,6% dos filhotes, 7,5% dos adultos e 7,1% dos cães idosos.
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A meningoencefalite por herpesvírus bovino-5 (BoHV-5) é uma doença infecto-contagiosa, aguda ou subaguda, geralmente fatal e que afeta principalmente bovinos jovens submetidos a situações de estresse. A doença tem sido freqüentemente diagnosticada em várias regiões do Brasil e em outras partes do mundo. BoHV-5 é um vírus da família Herpesviridae e subfamília Alphaherpesvirinae e possui como genoma uma molécula de DNA fita dupla. Esses vírus são caracterizados por rápida replicação em cultivo, que resulta em lise das células infectadas, e afetam várias espécies de hospedeiros, estabelecendo latência principalmente em neurônios de gânglios sensoriais. A transmissão de BoHV-5 ocorre principalmente por contato direto ou indireto entre bovinos. Após a replicação primária nas mucosas oral, nasal, ocular e orofaríngea, o vírus invade as terminações nervosas e é transportado até os neurônios de gânglios sensoriais, onde replica ativamente e estabelece latência. A invasão viral do encéfalo pode resultar em replicação viral massiva e produção de doença neurológica. A maioria dos bovinos que desenvolvem doença neurológica morre em decorrência de meningo-encefalite, porém alguns podem desenvolver infecção subclínica e, após recuperação, permanecerem portadores da infecção latente. A disseminação viral nos rebanhos é facilitada em situações de grande concentração de animais, introdução de bovinos e desmame de lotes de bezerros em idade que coincide com o decréscimo da imunidade passiva. Certas condições, naturais ou induzidas, podem reativar o vírus do estado latente e propiciar condições para sua transmissão e disseminação a outros indivíduos. A doença pode ocorrer na forma de surtos ou em casos isolados, com coeficientes de morbidade que podem variar de 0,05%-5%; a letalidade é quase sempre de 100%. Os sinais clínicos incluem depressão, descarga nasal e ocular, ranger de dentes, andar em círculos, cegueira, febre, movimentos de pedalagem, disfagia, dor abdominal, nistagmo, tremores, sialorréia, incoordenação, opistótono, pressão da cabeça contra objetos, quedas e convulsões. A evolução do quadro clínico pode variar de 1 a 15 dias. Achados de necropsia podem estar ausentes, mas normalmente se observa tumefação das porções rostrais do córtex telencefálico e achatamento das circunvoluções, com segmentos amarelados e amolecidos (malacia). Com a evolução da doença, essas áreas se tornam gelatinosas e acinzentadas, e em casos avançados ocorre o desaparecimento segmentar do córtex telencefálico frontal (lesão residual). Em muitos casos podem ser observados focos de malacia na substância cinzenta dos núcleos basais e do tálamo. Histologicamente observa-se meningoencefalite não-supurativa necrosante, principalmente no córtex telencefálico frontal, associada a inclusões intranucleares eosinofílicas em astrócitos e neurônios, embora a freqüência dessas inclusões seja irregular. O diagnóstico de meningoencefalite por BoHV-5 deve ser feito com base nos achados epidemiológicos, clínicos, de necropsia e histopatológicos, associados com o isolamento do vírus em cultivo celular células ou com detecção de antígenos virais em seções do encéfalo ou em células descamadas presentes nas secreções nasais. A identificação e caracterização de BoHV-5 pode ser realizada por meio de testes com anticorpos mono-clonais, reação em cadeia de polimerase (PCR) e por análise de restrição genômica. Não há tratamento específico para a meningoencefalite por BoHV-5. Como o BoHV-1 e o BoHV-5 são antigenicamente muito semelhantes, recomenda-se a vacinação com vacinas para BoHV-1 como forma de reduzir as perdas causadas por BoHV-5, principalmente durante surtos de doença neurológica. Adicionalmente, outras medidas podem ser adotadas para prevenir ou reduzir os prejuízos ocasionados pela enfermidade, como testar sorologicamente os bovinos a serem introduzidos nos rebanhos, minimizar situações de estresse, sobretudo no desmame, e isolamento dos bovinos afetados.
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As partes aéreas dessecadas de Senecio brasiliensis (Spreng.) colhidas em estágio de brotação foram administradas a 14 eqüinos de raça mista, com idades de 4-22 anos e pesos de 230-475 kg. Um eqüino de 15 anos, que não recebeu a planta, serviu de controle. Pequenas quantidades da planta eram misturadas à ração oferecida aos eqüinos; quantidades maiores eram moídas, misturadas em água e administradas por sonda nasogástrica. Biópsias hepáticas foram periodicamente realizadas em 11 eqüinos. Nove eqüinos morreram com sinais ou lesões da intoxicação após receberem quantidades da planta correspondente a 0,87%, 1,5% (administrações únicas), 1,74% (duas administrações semanais), 3.0% (três administrações diárias), 7.42% (17 administrações semanais), 8.9% (284 administrações diárias), 9.66% (82 administrações diárias) e 9,30% (43 administrações semanais) de seus pesos corporais. Dois eqüinos que receberam quantidades da planta correspondentes a 15,0% (30 e 60 administrações diárias) de seus pesos corporais morreram durante o experimento por causas não relacionadas à intoxicação. Três eqüinos que receberam quantidades da planta correspondentes a 0,5% e 1.0% (administrações únicas), 15.0% (240 administrações diárias) de seus pesos corporais e o eqüino controle sobreviveram sem apresentar sinais clínicos. A doença clínica induzida pela planta teve uma evolução de 1-30 dias e foi caracterizada por anorexia, icterícia, e sinais neurológicos de encefalopatia hepática. Perda de peso foi observada nos casos de evolução clínica mais longa. Os achados de necropsia incluíam acentuação do padrão lobular na superfície natural e de corte dos fígados ou eram firmes e vermelho-escuros. Hemorragias disseminadas eram freqüentes, mas mais conspícuas no tecido subcutâneo, superfícies serosa e mucosa do trato gastrintestinal. Edema era observado na submucosa do trato gastrintestinal e nas cavidades orgânicas. Microscopicamente, o fígado dos eqüinos que ingeriram quantidades maiores da planta por períodos relativamente curtos mostrava necrose coagulativa e hemorragia com cuja distribuição variava de centrolobular a massiva. Hepatomegalocitose moderada ou acentuada e fibrose discreta a moderada foi observada em 4 eqüinos que ingeriram pequenas quantidades da planta por períodos mais prolongados. Colestase e hemossiderose foram observadas no fígado de 8 eqüinos, agregados de neutrófilos no de 6, e pseudo-inclusões acidofílicas intranucleares ocorreram nos hepatócitos do fígado de 3 eqüinos. Alterações sugestivas de encefalopatia hepática foram observadas no encéfalo de 6 eqüinos. A lesão mais precoce observada nas biópsias hepáticas foi vacuolização dos núcleos de hepatócitos seguida por perda de hepatócitos por apoptose, hepatomegalocitose, infiltração por neutrófilos e necrose centrolobular. Ocasionalmente, observavam-se pseudo-inclusões acidofílicas intranu-cleares nos hepatócitos e, em casos mais crônicos, leve fibrose. Não foram observadas alterações nas biópsias hepáticas dos 4 eqüinos que receberam a planta e que sobreviveram, nem nas biópsias hepáticas dos 2 eqüinos que morreram de causas não relacionas à intoxicação. O eqüino controle não apresentou sinais clínicos.
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A mamilite causada pelo herpesvírus bovino tipo 2 (BoHV-2) possui importante repercussão sanitária em gado leiteiro de alguns países, mas a sua patogenia permanece pouco conhecida. Este trabalho descreve a reprodução e caracterização da mamilite aguda em ovelhas lactantes inoculadas com o BoHV-2 na pele do úbere e dos tetos. Cinco de oito ovelhas inoculadas desenvolveram extensas placas com necrose focal, pequenas vesículas e formação de crostas nos locais de inoculação. As lesões foram inicialmente observadas no 4º dia pós-inoculação (pi), progrediram em extensão e gravidade até os dias 7-8pi e posteriormente regrediram. O vírus foi isolado das lesões entre os dias 7 e 8 pi. Antígenos virais e partículas típicas de herpesvírus foram demonstrados por microscopia eletrônica em biópsias de lesões coletadas nos dias 5, 6 e 10pi. Os achados histológicos foram caracterizados por necrose epitelial, erosões e úlceras, com formação de células sinciciais e infiltrado inflamatório linfoplasmocitário na derme. Associadas a essas lesões observaram-se inclusões eosinofílicas intranucleares em células epiteliais, sinciciais e inflamatórias. Em um segundo experimento, 7 de 10 cordeiros inoculados na mucosa nasal desenvolveram hiperemia e descarga nasal, bem como vesículas e erosões no focinho. O vírus foi isolado das secreções nasais por até três dias e todos os cordeiros soroconverteram ao BoHV-2. Tentativas de reativar a infecção latente pela administração de dexametasona no 40º dia pi foram infrutíferas, pois não foram observados re-excreção viral, recrudescência clínica ou soroconversão. Esses resultados demonstram que ovelhas são susceptíveis à infecção experimental pelo BoHV-2 e desenvolvem lesões semelhantes às observadas em casos naturais de mamilite herpética. Além disso, esses resultados sugerem o uso dessa espécie animal como modelo para o estudo de vários aspectos da biologia da infecção pelo BoHV-2.
Resumo:
Descrevem-se dez surtos de ectima contagioso em caprinos e dois em ovinos no semi-árido da Paraíba. Os animais jovens foram os mais afetados, mas em oito surtos animais adultos também foram afetados, principalmente cabras lactantes que apresentavam lesões no úbere. Em nenhum dos rebanhos afetados havia antecedentes de vacinação contra ectima contagioso. Histologicamente a epiderme apresentava acantose com hiperplasia pseudoepiteliomatosa e com múltiplos focos de degeneração hidrópica formando vesículas ou pústulas. Inclusões intracitoplasmáticas eosinofílicas foram observadas em queratinócitos. Havia restos celulares necróticos formando crostas, hiperqueratose e microabscessos intracorneais ou extensas áreas ulceradas. Na derme observou-se infiltrado inflamatório mononuclear difuso. Também foi registrado um caso humano em um pesquisador que tinha administrado planta por via oral a um caprino que, posteriormente, apresentou lesões de ectima contagioso. Neste caso, também foram observadas lesões características em uma biopsia e o vírus foi identificado por microscopia eletrônica. Conclui-se que a doença é endêmica no semi-árido e que é necessária a vacinação sistemática dos rebanhos para diminuir os prejuízos econômicos causados pela mesma. A utilização de luvas para o manuseio de animais afetados é necessária para evitar casos humanos da enfermidade.