514 resultados para INFANTILE SPASMS
Resumo:
Acute gastroenteritis caused by viruses is one of the leading causes of infantile morbidity. The aim of the present study was to investigate the presence of human caliciviruses of the genera norovirus and sapovirus in children up to 3 years of age with acute gastroenteritis from low-income communities in the city of Salvador, Brazil. This study is an extension of previous work carried out to establish the profile of the most prevalent enteric pathogens present in these communities. In this report, 139 fecal samples, collected from July 2001 to January 2002 were analyzed by RT-PCR and 13 (9%) were positive for human caliciviruses. By sequencing, seven isolates were characterized as norovirus genogroup GII and one as sapovirus genotype GII/1. Sequencing of the previously detected group-A rotaviruses and human astroviruses was also performed and revealed the circulation of rotavirus group A genotypes G1P[8] and G9P[8], and human astrovirus genotypes 6, 7, and 8. No mixed infection was observed. Community-based studies provide geographically representative information on disease burden. However, there are only a few reports in developing countries concerning the genotypes of the most important gastroenteric viruses detected in such communities. The present findings demonstrate the wide diversity of genotypes of the most important viruses responsible for acute gastroenteritis circulating in low-income communities.
Resumo:
Mécénat texte imprimé : Cet ouvrage a été numérisé grâce au fonds « Docteur Jean-Paul Sichel », dédié à l'histoire de la psychiatrie
Resumo:
UANL
Resumo:
UANL
Resumo:
A l’époque de la Nouvelle-France, il n’était pas rare que des enfants de moins d’un an décèdent. Les parents acceptaient avec sagesse et résignation le décès de leurs enfants. Telle était la volonté du Tout-Puissant. Grâce au Registre de la Population du Québec Ancien (R.P.Q.A.) élaboré par le Programme de Recherche en Démographie Historique (P.R.D.H), l’ampleur de la mortalité infantile a pu être mesurée selon plusieurs critères, quelques facteurs déterminants examinés ainsi qu’une composante intergénérationnelle identifiée. Couvrant pour la première fois la totalité de l’existence de la colonie, nos résultats confirment l’importance de la mortalité des enfants aux XVIIe et XVIIIe siècles (entre 140 et 260‰ avant correction pour le sous-enregistrement des décès). Des disparités tangibles ont été constatées entre les sexes, selon le lieu de naissance ainsi que selon la catégorie professionnelle à laquelle appartient le père de l’enfant. L’inégalité des probabilités de survie des tout-petits reflète l’iniquité physiologique entre les genres, avec une surmortalité masculine de l’ordre de 20%, et l’influence de l’environnement dans lequel vit la famille : les petits de la ville de Québec décédaient en moyenne 1,5 à 1,2 fois plus que les petits des campagnes. Montréal, véritable hécatombe pour l’instant inexpliquée, perdait 50% de ses enfants avant l’âge d’un an, ce qui représente 1,9 fois plus de décès infantiles que ceux des enfants de la campagne, qui jouissent malgré tout des bienfaits de leur environnement. Les effets délétères de l’usage de la mise en nourrice, qui touche plus de la moitié des enfants des classes aisées citadines, ravagent leur descendance de plus en plus profondément. L’examen de la mortalité infantile sous ses composantes endogène et exogène révèle que la mortalité de causes exogènes explique au moins 70% de tous les décès infantiles. La récurrence des maladies infectieuses, l’absence d’hygiène personnelle, l’insalubrité des villes constituaient autant de dangers pour les enfants. Dans une perspective davantage familiale et intergénérationnelle où l’enfant est partie intégrante d’une fratrie, des risques significatifs ont été obtenus pour plusieurs caractéristiques déterminantes. Les mères de moins de 20 ans ou de plus de 30 ans, les enfants de rang de naissance supérieur à 8, un intervalle intergénésique inférieur à 21 mois ou avoir son aîné décédé accroissent les risques de décéder avant le premier anniversaire de l’ordre de 10 à 70%, parce que le destin d’un enfant n’est pas indépendant des caractéristiques de sa mère ou de sa fratrie. Nous avons aussi constaté une relation positive entre la mortalité infantile expérimentée par une mère et celle de ses filles. La distribution observée des filles ayant perdu au moins 40% de leurs enfants au même titre que leur mère est 1,3 à 1,9 fois plus grande que celle attendue pour les filles ayant eu 9 enfants et moins ou 10 enfants et plus. Il existerait une transmission intergénérationnelle de la mortalité infantile même lorsqu’on contrôle pour la période et la taille de la famille.