999 resultados para Hymenoptera-trichogrammatidae


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Trichogramma species are mass-produced for biological control using host eggs. Artificial diets have been developed to reduce production costs, however, most include insect haemolymph as a major component, which still results in a significant expense. Medium conditioned with insect cell lines has produced some success as a haemolymph replacement in artificial diets for several parasitoid wasp species. Trichogramma australicum Girault (Hymenoptera: Trichogrammatidae) was the first species to develop successfully to the adult stage on diets containing concentrated HeliothiS zea (Boddie) (Lepidoptera: Noctuidae) cells. Tricho-gramma pretiosum Riley (Hymenoptera: Trichogrammatidae) was subsequently grown to the adult stage on a similar cell line diet. This success encouraged a systematic investigation into the use of insect cell lines in Trichogramma artificial diets. We compared the effect of diets containing insect cells with diets containing conditioned cell line media. Diets containing insect cells produced significantly more pupae than diets containing conditioned medium and, although not significant, produced a higher number of adults. Second, we compared the effect of diets containing cell lines established from ovary-associated tissue of H. zea and embryo tissue of Aedes albopictus (Skuse) (Diptera: Culicidae) on T pretiosum development. Trichogramma pretiosum development was not significantly different on diets containing cells from the two origins and tissue types. Third, the effect of cell storage on T pretiosum development was observed. HeliothiS zea cells in medium were stored at 4 degrees C and room temperature (22 degrees C for one, two, four and seven days before addition to artificial diets. Cell viability was calculated for these storage treatments. HeliothiS zea cells could be stored at 4 degrees C for up to seven days with no detrimental effect on T pretiosum development. Tricho-gramma pretiosum development did not depend on cell viability. The use of insect cell lines as a haemolymph replacement has the potential to significantly reduce production costs and simplify Trichogramma artificial diets with the eventual aim of replacing host production in mass rearing facilities. (c) 2005 Elsevier Inc. All rights reserved.

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An artificial diet incorporating insect cells originally developed for Trichogramma australicum Girault (Hymenoptera: Tricho-grammatidae) was successfully used to rear Trichogramm pretiosum Riley (Hymenoptera: Trichogrammatidae). To refine the diet, individual components were removed. Chicken egg yolk and the insect cells were identified as the most important components for T. pretiosum development. Their removal resulted in few pupae and no adults. Removal of Grace's insect medium, a common component of artificial diets, was found to markedly improve the development of T pretiosum, producing 60% larva to pupa transition and 19% pupa to adult transition. There was no significant difference in T pretiosum development on diets in which milk powder, malt powder or infant formula were interchanged, despite differences in nutrient composition. The use of yeast extract resulted in significantly higher survival to the adult stage when compared with yeast hydrolysate enzymatic and a combination of yeast extract and yeast hydrolysate enzymatic. Comparison of four antimicrobial agents showed the antibacterial agent Gentamycin and the antifungal agent Nystatin had the least detrimental effect on T pretiosum development. The use of insect cell line diets has the potential to simplify artificial diet production and significantly reduce T pretiosum production costs in Australia compared to diets using insect hemolymph or the use of natural or factitious hosts. (c) 2005 Elsevier Inc. All rights reserved.

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The response of generalist egg parasitoids to alternative natural hosts that are present simultaneously is not well known. We investigated the behavior of Trichogramma pretiosum Riley (Hymenoptera: Trichogrammatidae) in relation to two field hosts Helicoverpa armigera Hubner and Spodoptera litura Fabricius, in choice and no choice tests. We quantified the effects of natal host species and post-emergence adult age on the oviposition preference of the parasitoids. H. armigera eggs were consistently preferred over S. litura eggs, regardless of the natal host and adult age. When only S. litura eggs were available as hosts, they were parasitized at statistically similar rates to H. armigera eggs (average of 17 +/- 2.7 vs. 13 +/- 3.0, H. armigera to S. litura). The adult lifespan and lifetime fecundity of T. pretiosum were variable but were affected by natal host species and/or host species to which they were exposed. Mean lifespan and fecundity of parasitoids that had developed in H. armigera eggs and were exposed to H. armigera eggs for oviposition were 13.9 +/- 1.8 days and 98.7 +/- 11.0 adult offspring. By contrast, those that developed in S. litura eggs and were exposed to S. litura eggs for oviposition lived for 7 +/- 0.9 days and produced 53.8 +/- 8.0 adult offspring. The ovigeny index (OI) was significantly lower in the parasitoids exposed to H. armigera eggs than in those exposed to S. litura eggs, regardless of the natal host, indicating that H. armigera eggs sustain the adult parasitoids better than S. litura eggs. These results are used to predict parasitoid behavior in the field when both hosts are available. (c) 2006 Elsevier Inc. All rights reserved.

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Les modèles d'optimalité postulent que les animaux en quête de ressources utilisent le taux de gain de valeur adaptative pour optimiser plusieurs comportements tels que la répartition du temps lors de l’exploitation d‘un agrégat et l'investissement en progénitures. Bien que la durée de plusieurs comportements doit être régulée, peu d’évidences de la perception du temps sont actuellement disponibles pour les insectes et aucune pour les guêpes parasitoïdes, et ce malgré leur importance en tant que modèles écologiques. De plus, puisque les guêpes parasitoïdes sont poïkilothermes, cette capacité pourrait être affectée par la température. Nous avons supposé que les guêpes parasitoïdes auraient la capacité de percevoir le temps, à la fois de façon prospective (mesure du temps écoulé) et rétrospective (durée d'un événement passé), afin d'optimiser les décisions liées à l'exploitation d’agrégats d’hôtes et à la reproduction. Nous avons également émis l'hypothèse que la température aurait une incidence sur la perception du temps des guêpes parasitoïdes. Pour la mesure prospective du temps, nous avons utilisé la capacité d’apprentissage associatif de Microplitis croceipes (Hymenoptera: Braconidae). Les guêpes ont été entraînées à associer une odeur à la durée d'un intervalle entre des hôtes. Après leur entraînement, elles ont été testées dans un tunnel de vol avec un choix d’odeurs. Les guêpes ont choisi majoritairement l'odeur associée à l'intervalle de temps auquel elles étaient testées. Nous avons également investigué le rôle de la dépense énergétique sur la mesure du temps. Suite à une restriction de mouvement des guêpes pendant l'intervalle de temps entre les hôtes, elles choisissaient aléatoirement dans le tunnel de vol. L'absence de dépense énergétique les aurait rendues incapables de mesurer le temps. La dépense d'énergie est donc un substitut essentiel pour mesurer le temps. Pour la mesure rétrospective du temps, nous avons utilisé le processus d'évaluation de l'hôte de Trichogramma euproctidis (Hymenoptera: Trichogrammatidae). Certains trichogrammes utilisent la durée du transit initial sur l'œuf hôte afin d’en évaluer la taille et d’ajuster le nombre d’œufs à y pondre. Nous avons augmenté artificiellement la durée de transit initiale de T. euproctidis en suspendant l'œuf hôte pour le faire paraître plus gros qu'un œuf de taille similaire. Une augmentation de la durée de transit initiale a augmenté la taille de la ponte. Ceci démontre la capacité de T. euproctidis de mesurer la durée du transit initial, et donc d’une mesure du temps rétrospective. Pour déterminer si la température modifie la mesure du temps dans les espèces poïkilothermes, nous avons utilisé le comportement d’exploitation d’agrégats d’hôtes de T. euproctidis. Les modèles d’optimalités prédisent que les guêpes devraient rester plus longtemps et quitter à un faible taux de gain de valeur adaptative suite à un déplacement de longue durée plutôt que pour un déplacement de courte durée. Nous avons testé l'impact d'un déplacement de 24 h à différentes températures sur l'exploitation d’agrégats d’hôtes. Un déplacement à température chaude augmente le temps de résidence dans l’agrégat et diminue le taux de gain de valeur adaptative au moment de quitter ; ces comportements sont associés à un trajet de longue durée. L'inverse a été observé lors d’un déplacement à une température froide. Les températures chaude et froide ont modulé la mesure du temps en accélérant ou ralentissant l'horloge biologique, faisant paraître le déplacement respectivement plus long ou plus court qu’il ne l’était réellement. Ces résultats démontrent clairement que les guêpes parasitoïdes ont la capacité de mesurer le temps, autant rétrospectivement que prospectivement. Des preuves directes de leur capacité sont maintenant disponibles pour au moins deux espèces de guêpes parasitoïdes, une composante essentielle des modèles d'optimalité. Le rôle de la dépense énergétique dans la mesure du temps a aussi été démontré. Nos résultats fournissent également la preuve de l'impact de la température sur la perception du temps chez les insectes. L'utilisation de la dépense énergétique en tant que proxy pour mesurer le temps pourrait expliquer une partie de sa thermosensibilité, puisque les guêpes parasitoïdes sont poïkilothermes. Cette mesure du temps sensible à la température pourrait affecter des stratégies de lutte biologique. Sur le terrain, au début de la journée, la température de l'air sera similaire à la température de l'air autour des plantes infestées par des parasites, alors qu'elle sera plus chaude pendant la journée. En lutte biologique augmentative, les guêpes parasitoïdes libérées resteraient plus longtemps dans les agrégats d’hôtes que celles relâchées en début de journée.

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Les modèles d'optimalité postulent que les animaux en quête de ressources utilisent le taux de gain de valeur adaptative pour optimiser plusieurs comportements tels que la répartition du temps lors de l’exploitation d‘un agrégat et l'investissement en progénitures. Bien que la durée de plusieurs comportements doit être régulée, peu d’évidences de la perception du temps sont actuellement disponibles pour les insectes et aucune pour les guêpes parasitoïdes, et ce malgré leur importance en tant que modèles écologiques. De plus, puisque les guêpes parasitoïdes sont poïkilothermes, cette capacité pourrait être affectée par la température. Nous avons supposé que les guêpes parasitoïdes auraient la capacité de percevoir le temps, à la fois de façon prospective (mesure du temps écoulé) et rétrospective (durée d'un événement passé), afin d'optimiser les décisions liées à l'exploitation d’agrégats d’hôtes et à la reproduction. Nous avons également émis l'hypothèse que la température aurait une incidence sur la perception du temps des guêpes parasitoïdes. Pour la mesure prospective du temps, nous avons utilisé la capacité d’apprentissage associatif de Microplitis croceipes (Hymenoptera: Braconidae). Les guêpes ont été entraînées à associer une odeur à la durée d'un intervalle entre des hôtes. Après leur entraînement, elles ont été testées dans un tunnel de vol avec un choix d’odeurs. Les guêpes ont choisi majoritairement l'odeur associée à l'intervalle de temps auquel elles étaient testées. Nous avons également investigué le rôle de la dépense énergétique sur la mesure du temps. Suite à une restriction de mouvement des guêpes pendant l'intervalle de temps entre les hôtes, elles choisissaient aléatoirement dans le tunnel de vol. L'absence de dépense énergétique les aurait rendues incapables de mesurer le temps. La dépense d'énergie est donc un substitut essentiel pour mesurer le temps. Pour la mesure rétrospective du temps, nous avons utilisé le processus d'évaluation de l'hôte de Trichogramma euproctidis (Hymenoptera: Trichogrammatidae). Certains trichogrammes utilisent la durée du transit initial sur l'œuf hôte afin d’en évaluer la taille et d’ajuster le nombre d’œufs à y pondre. Nous avons augmenté artificiellement la durée de transit initiale de T. euproctidis en suspendant l'œuf hôte pour le faire paraître plus gros qu'un œuf de taille similaire. Une augmentation de la durée de transit initiale a augmenté la taille de la ponte. Ceci démontre la capacité de T. euproctidis de mesurer la durée du transit initial, et donc d’une mesure du temps rétrospective. Pour déterminer si la température modifie la mesure du temps dans les espèces poïkilothermes, nous avons utilisé le comportement d’exploitation d’agrégats d’hôtes de T. euproctidis. Les modèles d’optimalités prédisent que les guêpes devraient rester plus longtemps et quitter à un faible taux de gain de valeur adaptative suite à un déplacement de longue durée plutôt que pour un déplacement de courte durée. Nous avons testé l'impact d'un déplacement de 24 h à différentes températures sur l'exploitation d’agrégats d’hôtes. Un déplacement à température chaude augmente le temps de résidence dans l’agrégat et diminue le taux de gain de valeur adaptative au moment de quitter ; ces comportements sont associés à un trajet de longue durée. L'inverse a été observé lors d’un déplacement à une température froide. Les températures chaude et froide ont modulé la mesure du temps en accélérant ou ralentissant l'horloge biologique, faisant paraître le déplacement respectivement plus long ou plus court qu’il ne l’était réellement. Ces résultats démontrent clairement que les guêpes parasitoïdes ont la capacité de mesurer le temps, autant rétrospectivement que prospectivement. Des preuves directes de leur capacité sont maintenant disponibles pour au moins deux espèces de guêpes parasitoïdes, une composante essentielle des modèles d'optimalité. Le rôle de la dépense énergétique dans la mesure du temps a aussi été démontré. Nos résultats fournissent également la preuve de l'impact de la température sur la perception du temps chez les insectes. L'utilisation de la dépense énergétique en tant que proxy pour mesurer le temps pourrait expliquer une partie de sa thermosensibilité, puisque les guêpes parasitoïdes sont poïkilothermes. Cette mesure du temps sensible à la température pourrait affecter des stratégies de lutte biologique. Sur le terrain, au début de la journée, la température de l'air sera similaire à la température de l'air autour des plantes infestées par des parasites, alors qu'elle sera plus chaude pendant la journée. En lutte biologique augmentative, les guêpes parasitoïdes libérées resteraient plus longtemps dans les agrégats d’hôtes que celles relâchées en début de journée.

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Grapholita molesta (Lepidoptera: Tortricidae) é uma das principais pragas do pessegueiro no Brasil, causando perdas de 3-5% da produção. Dentre os agentes de controle biológico Trichogramma pretiosum (Hymenoptera: Trichogrammatidae) tem sido encontrado nos pomares de pessegueiros. O objetivo deste trabalho foi estudar a criação de T. pretiosum em ovos de G. molesta e Anagasta kuehniella (Lepidoptera: Pyralidae) e selecionar as linhagens de T. pretiosum com potencial de controle de G. molesta. A seleção de linhagens foi realizada com cinco populações de T. pretiosum coletadas em pomares de pessegueiro cultivados sob o sistema orgânico de produção. O estudo foi realizado em condições controladas de temperatura (25 ± 2°C), umidade relativa (70 ± 10%) e fotofase (14h). Ovos de G. molesta são hospedeiros adequados ao desenvolvimento de T. pretiosum uma vez que, nas variáveis estudadas número de ovos parasitados, porcentagem de parasitismo e razão sexual, os valores foram equivalentes aos criados em ovos de A. kuehniella . O maior parasitismo de ovos de G. molesta ocorreu com posturas de até 48h de desenvolvimento embrionário. Das linhagens de T. pretiosum coletadas, H08, PO8, PEL e L3M apresentaram melhor desempenho biológico, sendo, portanto, indicadas para estudos de semi-campo e campo para o controle biológico da mariposa-oriental.

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Parasitoid Hymenoptera (Insecta, Hymenoptera) collected in a cotton (Gossypium hirsutum L.) (Malvaceae) plantation at the municipal district of Ribeirão Preto, SP, Brazil. Parasitoid Hymenoptera were collected by using Moericke trap placed in a cotton plantation (Gossypium hirsutum L.) of the variety Delta Pine 90, during the period of February 23rd to April 3rd, 2001. A total of 16,166 specimens of parasitoids, belonging to eight superfamilies and 22 families, were collected. Encyrtidae, Trichogrammatidae, Mymaridae and Scelionidae were the most common families, being responsible for 45.14%, 19.11%, 14.33% and 6.57% of the total number of parasitoids collected, respectively. Other eigthteen families showed the relative frequency lower than 5%.

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Parasitoid Hymenoptera collected in a soybean plantation (Glycine max (L.)) Merril (Fabaceae) at the municipal district of Nuporanga, SP, Brazil. Parasitoid Hymenoptera were collected by using Moericke trap placed in a soybean plantation (Glycine max (L.) Merril) (Fabaceae) of the variety Conquista, during the period of March 24th to April 7th, 2000. A total of 4,969 specimens of parasitoids, belonging to seven superfamilies and 15 families, were collected. Scelionidae, Encyrtidae, Aphelinidae and Trichogrammatidae were the most common families, being responsible for 41.66%, 19.42%, 11.19% and 7.35% of the total number of parasitoids collected, respectively. Other eleven families showed the relative frequency lower than 5%.

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A Mata Atlântica é um dos ambientes mais ricos e ameaçados do mundo, o que deveria ter estimulado em muito o estudo e a conservação do Bioma, mas a fauna de Hymenoptera permanece ainda relativamente pouco conhecida. Em especial, a fauna de abelhas da floresta ombrófila densa é pouco estudada em comparação à fauna das áreas abertas brasileiras. O projeto temático "Biodiversidade de Hymenoptera e Isoptera: riqueza e diversidade ao longo de um gradiente latitudinal na Mata Atlântica - a floresta úmida do leste do Brasil", integrante do Programa Biota-Fapesp, foi idealizado com o objetivo de catalogar térmitas, formigas e famílias selecionadas de vespas ao longo da Mata Atlântica, disponibilizando dados que permitam melhor embasar a conservação deste bioma. O protocolo de amostragem aplicada para a coleta de himenópteros (excluindo as formigas) empregou armadilhas Malaise, pratos-armadilha de cor amarela e esforço similar na varredura de vegetação ao longo de 17 localidades selecionadas, representando um gradiente de quase 20° de latitude na Mata Atlântica, dos Estados da Paraíba até Santa Catarina. Este protocolo foi definido para otimizar a coleta de vespas, sendo as abelhas um produto secundário da amostragem (levantamentos de abelhas em geral utilizam captura em flores ao longo das estações do ano). No entanto, devido à escala regional do projeto e ao grande esforço de amostragem, uma expressiva quantidade de abelhas foi coletada durante o projeto, incluindo novos registros de abelhas para a Mata Atlântica. Foi amostrado um total de 797 espécimes distribuídos em 105 espécies de abelhas; o grupo de abelhas mais rico e abundante foi Meliponina. Uma análise de correspondência "destendenciada" ('detrended correspondence analysis') aplicada à uma matriz de presença ou ausência de Meliponina revela a relativamente fraca influência do gradiente latitudinal na composição das assembléias de abelhas de Mata Atlântica. Uma listagem das espécies amostradas por localidade, com suas freqüências relativas, é apresentada e discutida.

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Stingless bees collect plant resins and make it into propolis, although they have a wider range of use for this material than do honey bees (Apis spp.). Plebeia spp. workers employ propolis mixed with wax (cerumen) for constructing and sealing nest structures, while they use viscous (sticky) propolis for defense by applying it onto their enemies. Isolated viscous propolis deposits are permanently maintained at the interior of their colonies, as also seen in other Meliponini species. Newly-emerged Plebeia emerina (Friese) workers were observed stuck to and unable to escape these viscous propolis stores. We examined the division of labor involved in propolis manipulation, by observing marked bees of known age in four colonies of P. emerina from southern Brazil. Activities on brood combs, the nest involucrum and food pots were observed from the first day of life of the marked bees. However, work on viscous propolis deposits did not begin until the 13th day of age and continued until the 56th day (maximum lifespan in our sample). Although worker bees begin to manipulate cerumen early, they seem to be unable to handle viscous propolis till they become older.

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At present a complete mtDNA sequence has been reported for only two hymenopterans, the Old World honey bee, Apis mellifera and the sawfly Perga condei. Among the bee group, the tribe Meliponini (stingless bees) has some distinction due to its Pantropical distribution, great number of species and large importance as main pollinators in several ecosystems, including the Brazilian rain forest. However few molecular studies have been conducted on this group of bees and few sequence data from mitochondrial genomes have been described. In this project, we PCR amplified and sequenced 78% of the mitochondrial genome of the stingless bee Melipona bicolor (Apidae, Meliponini). The sequenced region contains all of the 13 mitochondrial protein-coding genes, 18 of 22 tRNA genes, and both rRNA genes (one of them was partially sequenced). We also report the genome organization (gene content and order), gene translation, genetic code, and other molecular features, such as base frequencies, codon usage, gene initiation and termination. We compare these characteristics of M. bicolor to those of the mitochondrial genome of A. mellifera and other insects. A highly biased A+T content is a typical characteristic of the A. mellifera mitochondrial genome and it was even more extreme in that of M. bicolor. Length and compositional differences between M. bicolor and A. mellifera genes were detected and the gene order was compared. Eleven tRNA gene translocations were observed between these two species. This latter finding was surprising, considering the taxonomic proximity of these two bee tribes. The tRNA Lys gene translocation was investigated within Meliponini and showed high conservation across the Pantropical range of the tribe.

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Melipona quadrifasciata quadrifasciata and M. quadrifasciata anthidioides are subspecies of M. quadrifasciata, a stingless bee species common in coastal Brazil. These subspecies are discriminated by the yellow stripe pattern of the abdominal tergites. We found Vsp I restriction patterns in the cytochrome b region closely associated to each subspecies in 155 M. quadrifasciata colonies of different geographical origin. This mitochondrial DNA molecular marker facilitates diagnosis of M. quadrifasciata subspecies matrilines and can be used to establish their natural distribution and identify hybrid colonies.

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Abelhas das orquídeas (Apini, Euglossina) apresentam distribuição principalmente Neotropical, com cerca de 200 espécies e cinco gêneros descritos. Muitos levantamentos locais de fauna estão disponíveis na literatura, mas estudos comparativos sobre a composição e distribuição dos Euglossina são ainda escassos. O objetivo deste estudo é analisar os dados disponíveis de 29 assembleias a fim de entender os padrões gerais de distribuição espacial nas áreas amostradas ao longo do Neotrópico. Métodos de ordenação (DCA e NMDS) foram utilizados para descrever os agrupamentos de assembleias de acordo com as ocorrências de abelhas das orquídeas. As localidades de florestas da América Central e da Amazônia formaram grupos coesos em ambas as análises, enquanto as localidades de Mata Atlântica ficaram mais dispersas nos gráficos. Localidades na margem leste da Amazônia aparecem como áreas de transição características entre esta sub-região e a Mata Atlântica. As análises de variância entre o primeiro eixo da DCA e variáveis selecionadas apresentaram valores significantes quanto à influência dos gradientes de latitude, longitude e precipitação, bem como das sub-regiões biogeográficas nos agrupamentos das assembleias. O padrão geral encontrado é congruente com os padrões biogeográficos previamente propostos para a região Neotropical. Os resultados do DCA auxiliam ainda a identificar, de forma independente, os elementos das faunas de cada uma das formações vegetais estudadas.

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In the first paper of this series (Albuquerque & Brandão, 2004) we revised the Vezenyii species group of the exclusively Neotropical solenopsidine (Myrmicinae) ant genus Oxyepoecus. In this closing paper we update distribution information on the Vezenyii group species and revise the other Oxyepoecus species-group (Rastratus). We describe two species (Oxyepoecus myops n. sp. and O. rosai n. sp.) and redescribe previously known species of the group [O. daguerrei (Santschi, 1933), O. mandibularis (Emery, 1913), O. plaumanni Kempf, 1974, O. rastratus Mayr, 1887, and O. reticulatus Kempf, 1974], adding locality records and comments on the meagre biological data of these species. We also present an identification key to Oxyepoecus species based on workers.

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A assembléia de abelhas (Hymenoptera, Apidae) de uma área restrita de campos naturais do Parque Estadual de Vila Velha, Paraná e comparações com áreas de campos e cerrado. Foram realizadas coletas sistemáticas de abelhas em uma área restrita no Parque Estadual de Vila Velha, Paraná, no período de outubro de 2003 a setembro de 2004. Essa amostragem visou gerar subsídios para comparações entre áreas de campo dentro do Parque e com outras áreas de vegetação aberta brasileiras. A área de estudo possui cerca de quatro hectares e foi subdividida em quatro subáreas contínuas e com o mesmo perímetro. As abelhas em flores e em vôo foram capturadas com auxílio de rede entomológica. Foram coletados 1.459 espécimes pertencentes a 122 espécies de abelhas. Estas espécies estão distribuídas em 51 gêneros, 20 tribos e cinco subfamílias. As plantas visitadas correspondem a 93 espécies, pertencentes a 62 gêneros e 29 famílias. Neste estudo e em outro estudo realizado anteriormente em outra área do Parque foram coletadas 222 espécies sendo 74 espécies em comum as duas áreas e uma soma de 148 espécies restritas a uma ou outra área. Ainda, registros históricos de abelhas para Vila Velha elevam a riqueza conhecida para 261 espécies. O índice de similaridade de Morisita entre as áreas foi de 0,50 quando utilizadas as plantas como variáveis e 0,88 quando utilizados gêneros e espécies de abelhas, revelando uma notável heterogeneidade. Comparações entre as áreas do Parque Estadual de Vila Velha e áreas de campos e cerrado foram realizadas através do índice de similaridade e da análise de correspondência. Foram observados dois agrupamentos fortemente evidentes, referentes aos campos e ao cerrado. A análise de correspondência sugere que alguns gêneros podem ser relacionados a determinadas formações vegetais. Esse estudo indica que a fauna de abelhas de Vila Velha é composta principalmente por gêneros relacionados às áreas de campos, porém com presença de elementos de cerrado.