989 resultados para Eric Weil
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Arkit: A-M8 N6
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Arkit: 2 arkintunnuksetonta lehteä, A-L8.
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Tutkielman tavoitteena on analysoida ohjaaja Eric Wareheimin musiikkivideoiden sisältämiä visuaalisia representaatioita ja selvittää, onko niillä ilmaisuna vastakulttuurista potentiaalia. Musiikkivideoiden jakelun ja katsomiskokemuksen siirtymä television kaapelikanavilta internetiin videopalvelimien sivuille viimeisen vuosikymmenen aikana, on muuttanut myös musiikkivideoiden kuvallista sisältöä. Kaapelikanavien ohjelmistopolitiikkaan kuuluva sensuuri ei ole enää ilmaisun esteenä internetissä löydettävien indie-videoiden kohdalla, joihin Wareheimin musiikkivideotuotanto pitkälti paikantuu. Wareheimin videoiden vastakulttuurisen merkityksen avaamiseen käytän tutkimuksessani näkemyksiä avantgardesta, karnevalismista ja camp-estetiikasta. Pyrin näillä poliittiseksi katsomillani näkökulmilla selvittämään lähiluvun kautta Wareheimin videoiden kuvallista voimaa vastakulttuurin muotona suhteuttaen niiden sisältöä aikaisempien vuosikymmenten ja nykyhetken valtavirtamusiikkivideoon. Analyysissani paljastuu, että Wareheimin musiikkivideoissa on uusia kuvallisia sisältöjä aikaisempaan valtavirtamusiikkivideon estetiikkaan nähden. Etnisyys, ruumis ja seksuaalisuus representoidaan videoissa kumouksellisella tavalla shokkihuumoriksi kutsuttavan tyylin kautta. Wareheimin musiikkivideot ottavat kantaa myös sosiaaliseen ja yhteiskunnalliseen järjestykseen rikkoen vaatimuksen valtakulttuurin sanelemasta kulttuurituotteiden sisällöllisestä poliittisesta korrektiudesta. Wareheimin musiikkivideot paljastuvat tutkimuksessani yhdenlaisen, populaarikulttuuriin lukeutuvan, vastakulttuurin visuaaliseksi ilmaisuksi.
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Ex-libris : f.2 : « ex Monasterio Corbeiensi » ; — « Sti Germani a Pratis »
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The writings of John Dewey (1859-1952) and Simone Weil (1909-1943) were analyzed with a view to answering 3 main questions: What is wisdom? How is wisdom connected to experience? How does one educate for a love of wisdom? Using a dialectical method whereby Dewey (a pragmatist) was critiqued by Weil (a Christian Platonist) and vice versa, commonalities and differences were identified and clarified. For both, wisdom involved the application of thought to specific, concrete problems in order to secure a better way of life. For Weil, wisdom was centered on a love of truth that involved a certain way of applying one's attention to a concrete or theoretical problem. Weil believed that nature was subject to a divine wisdom and that a truly democratic society had supernatural roots. Dewey believed that any attempt to move beyond nature would stunt the growth of wisdom. For him, wisdom could be nourished only by natural streams-even if some ofthem were given a divine designation. For both, wisdom emerged through the discipline of work understood as intelligent activity, a coherent relationship between thinking and acting. Although Weil and Dewey differed on how they distinguished these 2 activities, they both advocated a type of education which involved practical experience and confronted concrete problems. Whereas Dewey viewed each problem optimistically with the hope of solving it, Weil saw wisdom in, contemplating insoluble contradictions. For both, educating for a love of wisdom meant cultivating a student's desire to keep thinking in line with acting-wanting to test ideas in action and striving to make sense of actions observed.
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The wrestler's name is Yukon Eric and the number stamped on the reverse is 40. Yukon Eric's real name is Eric Holmback and he was born in Monroe, Washington. He wrestled all over the world and often in the Golden Horseshoe. He took part in the first televised wrestling match in Canada in 1953. During his best years in the 1950s, he lived in Ridgeway, Ontario and Buffalo.
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Rapport de recherche
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Les pensées de l’action de Weil et de Camus se heurtent à une même antinomie : la volonté d’agir raisonnablement implique à la fois de renoncer à toute action, car une action ne peut être efficace que si elle est potentiellement violente, et d’agir, car s’abstenir de toute action signifie accepter la violence présente. L’agent doit dès lors justifier la violence qu’il met en œuvre. En conséquence, cet article confronte la manière dont ces deux auteurs s’efforcent de résoudre cette difficulté. Une telle confrontation nous permet, d’une part, de trouver chez Weil les fondements philosophiques qui manquent à la pensée camusienne. D’autre part, la lecture de Camus nous prémunit contre une interprétation erronée de la justification weilienne de moyens violents par une fin raisonnable.
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Pour Simone Weil, le malheur est « quelque chose de spécifique, irréductible à toute autre chose, comme les sons, dont rien ne peut donner aucune idée à un sourd-muet ». Il s’apparente à un sacrement, à un rite sacré susceptible de rapprocher l’homme du divin. Et si la pensée weilienne se révèle non-conformiste pour aborder la figure du malheur, c’est parce qu’elle ne se limite pas à une tradition unique, mais trouve écho tant dans la religion chrétienne et le Nouveau Testament que dans la philosophie grecque de l’antiquité – principalement le stoïcisme et le platonisme – et dans certains textes orientaux tels que la Bhagavad-Gîtâ et le Tao Te King. Par un singulier amalgame de ces influences, Weil donne naissance à une méthode spirituelle dont une des étapes fondamentales est le malheur, thème très fécond pour dénouer et affronter le dialogue entre spiritualité et contemporanéité. Parce que cette méthode ne peut pleinement être appréhendée que sur la frontière de l’athéisme et de la croyance religieuse, approfondir ses implications permet d’interroger les traces du sacré dans les civilisations occidentales. Retracer les étapes de son développement permet également de sonder le rapport qu’entretiennent les hommes avec le malheur, ainsi que de porter un regard sensible sur une époque où l’actualité fait souvent état des malheureux alors que le malheur d’autrui semble être une réalité à fuir.
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Ayant recours aux théories de la «surconscience linguistique», du «choc des langues» et des «zones de contact» telles que développées par Lise Gauvin, Sherry Simon et Catherine Leclerc, ce mémoire a pour objectif de développer une littérature montréalaise activée par la langue et les langues dans un contexte contemporain. S'inspirant des débats entourant la littérature anglo-québécoise, et la place accordée à l'imaginaire anglo-montréalais et à ses représentants dans l'histoire, deux romans sont analysés du point de vue des langues : La logeuse d'Eric Dupont et Heroine de Gail Scott. À la lumière d'une interdiction formulée par Gilles Marcotte dans « Neil Bissoondath disait… », célèbre brûlot qui prohibe l’analyse conjointe des littératures de langue française et anglaise, l'approche adoptée dans ce mémoire vise par l'intermédiaire des romans à dépasser les propos de Marcotte afin de créer une spécificité montréalaise orientée par des préoccupations linguistiques. Ce mémoire démontre que les propos de Gilles Marcotte sont intenables dans le contexte actuel où les langues ne sont plus une source de division, mais bien un prétexte à joindre dans un propos qui les englobe et les dépasse les corpus de langue anglaise et française dans le contexte montréalais. La logeuse et Heroine témoignent d'un imaginaire et de préoccupations linguistiques comparables et de ce fait, permettent de définir les contours d'une littérature montréalaise activée par les langues. Enfin, ce mémoire se questionne sur l'équation entre langue et culture, mais également entre littérature et culture afin qu'une langue montréalaise, à l'instar d'une littérature montréalaise, prenne forme.
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Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal
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En 1938, Simone Weil a une expérience qu’elle qualifie – dans deux lettres datées de 1942 – de mystique, un contact direct avec Dieu. Notre article vise à montrer que sa philosophie théologique est fortement influencée par cette expérience ; d’abord en ce que c’est elle qui permet à Weil de définir Dieu comme amour et ensuite parce qu’une telle caractérisation de Dieu appelle une attitude bien particulière chez les hommes : la décréation. Notre article propose ensuite d’interroger la relation entre Weil et l’Église. Il s’agit donc ici de mettre en relief sa conception hétérodoxe du Christianisme et l’ascendance de celle-ci sur l’hésitation de Weil à demander le baptême.