1000 resultados para Douleur neuropathique centrale
Resumo:
Les Conférences de l'IUFRS, Institut Universitaire de formation et de recherche en soins, Lausanne, Suisse, juin 2011
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La « surexploitation » des eaux souterraines est devenue au début des années 2000 une thématique majeure des programmes de développement des régions semi arides et arides de Syrie. Les fondements scientifiques du discours de surexploitation posent cependant question à plus d'un titre. Mobilisant une notion mal définie, le diagnostic de surexploitation réinterprète d'anciennes données soviétiques qui n'ont pas été actualisées. D'autre part, appliqué globalement à des espaces très hétérogènes, il n'apporte aucun élément d'évaluation et de régulation des pratiques d'exploitation. Les mesures de conservation des eaux souterraines qu'il justifie offrent alors un paradoxe. Présentées comme des mesures de restriction de l'exploitation des eaux souterraines, leur application dans les régions semi-arides a conduit à pénaliser les agriculteurs qui font l'usage le plus efficace de la ressource hydrique sans pour autant réduire la consommation en eau.
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Dans une étude précédente, nous avons démontré qu'un soutieninformatique rappelant les Recommandations de Pratiques Cliniques(RPC) améliore la gestion de la douleur aiguë aux urgences à moyenterme (JEUR 2009;22:A88). Par contre, son acceptation par lessoignants et son impact sur leurs connaissances des RPC sontinconnus. But de l'étude: mesurer l'impact du logiciel en termesd'acceptation et connaissance des RPC par l'équipe soignante.Méthode: analyse de 2 questionnaires remplis par les médecins etinfirmiers: le 1er administré en pré-, post-déploiement et 6 mois plustard (phases P1, P2 et P3) qui a évalué: a) l'appréciation subjective desconnaissances des RPC par échelle de Lickert à 5 niveaux; b) lesconnaissances objectives des RPC à l'aide de 7 questions théoriques(score max. 7 points); le 2ème administré en P2 et P3, l'utilité perçue dulogiciel (échelle à 4 niveaux). Analyses statistiques par test de chi2outest exact de Fisher; p bilatéral <0.05 significatif. Résultats: la proportiondes soignants estimant avoir une bonne connaissance des RPC apassé de 48% (45/94) en P1, à 73% (83/114) puis 84% (104/124) en P2et P3, respectivement (p <0.0001). Score des connaissances: cftableau. Entre P2 et P3, l'appréciation globale de l'utilité du logiciel s'estaméliorée: la proportion des avis favorables a passé de 59% (47/79) à82% (96/117) (p = 0.001). Conclusion: ce logiciel a été bien accepté et apermis une amélioration significative des connaissances des RPC parles soignants.
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An increasing number of articles are published on the differences about pain in men and women. These differences seem to be due to the sex, the biological dimension of the person, and to the gender, which is the role given to that person in a given social and culture environment. The pain prevalence is higher in women, its threshold and tolerance are lower. The pain interpretation, its perception and the coping is also different in men and women. Finally doctors translate and treat pain differently. This article proposes some explanations on these differences which should help us to treat this frequent and noxious symptom for the quality of life in a better way.