941 resultados para Digestive tract
Resumo:
Female crickets respond selectively to variations in species-specific male calling songs. This selectivity has been shown to be age-dependent; older females are less choosy. However, female quality should also affect female selectivity. The effect of female quality on mate choice was examined in Gryllus integer by comparing the phonotactic responses of females on different diets and with different parasite loads to various synthetic models of conspecific calling song. Test females were virgin, 11-14 days old, and had been maintained on one of five diets varying in protein and fat content. Phonotaxis was quantified using a non-compensating Kugel treadmill which generates vector scores incorporating the speed and direction of movement of each female. Test females were presented with four calling song models which differed in pulse rate, but were still within the natural range of the species for the experimental temperature. After testing, females were dissected and the number of gregarine parasites within the digestive tract counted. There were no significant effects of either diet or parasitism on female motivation to mate although the combined effects of these variables seem to have an effect with no apparent trend. Control females did not discriminate among song types, but there was a trend of female preferences for lower pulse rates which are closest to the mean pulse rate for the species. Heavily parasitized females did not discriminate among pulse rates altho~gh there was a similar trend of high vector scores for low pulse rates. Diet, however, affected selectivity with poorly-fed females showing significantly high vector scores for pulse rates near the species mean. Such findings raise interesting questions about energy allocation and costs and risks of phonotaxis and mate choice in acoustic Orthoptera. These results are discussed in terms of sexual selection and female mate choice.
Resumo:
Contexte - La variation interindividuelle de la réponse aux corticostéroïdes (CS) est un problème important chez les patients atteints de maladies inflammatoires d’intestin. Ce problème est bien plus accentué chez les enfants avec la prévalence de la corticodépendance extrêmement (~40 %) élevée. La maladie réfractaire au CS a des répercussions sur le développement et le bien-être physique et psychologique des patients et impose des coûts médicaux élevés, particulièrement avec la maladie active comparativement à la maladie en rémission, le coût étant 2-3 fois plus élevé en ambulatoire et 20 fois plus élevé en hôpital. Il est ainsi primordial de déterminer les marqueurs prédictifs de la réponse aux CS. Les efforts précédents de découvrir les marqueurs cliniques et démographiques ont été équivoques, ce qui souligne davantage le besoin de marqueurs moléculaires. L'action des CS se base sur des processus complexes déterminés génétiquement. Deux gènes, le ABCB1, appartenant à la famille des transporteurs transmembraneaux, et le NR3C1, encodant le récepteur glucocorticoïde, sont des éléments importants des voies métaboliques. Nous avons postulé que les variations dans ces gènes ont un rôle dans la variabilité observée de la réponse aux CS et pourraient servir en tant que les marqueurs prédictifs. Objectifs - Nous avons visé à: (1) examiner le fardeau de la maladie réfractaire aux CS chez les enfants avec la maladie de Crohn (MC) et le rôle des caractéristiques cliniques et démographiques potentiellement liés à la réponse; (2) étudier l'association entre les variantes d'ADN de gène ABCB1 et la réponse aux CS; (3) étudier les associations entre les variantes d'ADN de gène NR3C1 et la réponse aux CS. Méthodes - Afin d’atteindre ces objectifs, nous avons mené une étude de cohorte des patients recrutés dans deux cliniques pédiatriques tertiaires de gastroentérologie à l’Ottawa (CHEO) et à Montréal (HSJ). Les patients avec la MC ont été diagnostiqués avant l'âge de 18 ans selon les critères standard radiologiques, endoscopiques et histopathologiques. La corticorésistance et la corticodépendance ont été définies en adaptant les critères reconnus. L’ADN, acquise soit du sang ou de la salive, était génotypée pour des variations à travers de gènes ABCB1 et NR3C1 sélectionnées à l’aide de la méthodologie de tag-SNP. La fréquence de la corticorésistance et la corticodépendance a été estimée assumant une distribution binomiale. Les associations entre les variables cliniques/démographiques et la réponse aux CS ont été examinées en utilisant la régression logistique en ajustant pour des variables potentielles de confusion. Les associations entre variantes génétiques de ABCB1 et NR3C1 et la réponse aux CS ont été examinées en utilisant la régression logistique assumant différents modèles de la transmission. Les associations multimarqueurs ont été examinées en utilisant l'analyse de haplotypes. Les variantes nongénotypées ont été imputées en utilisant les données de HAPMAP et les associations avec SNPs imputés ont été examinées en utilisant des méthodes standard. Résultats - Parmi 645 patients avec la MC, 364 (56.2%) ont reçu CS. La majorité de patients étaient des hommes (54.9 %); présentaient la maladie de l’iléocôlon (51.7%) ou la maladie inflammatoire (84.6%) au diagnostic et étaient les Caucasiens (95.6 %). Huit pourcents de patients étaient corticorésistants et 40.9% - corticodépendants. Le plus bas âge au diagnostic (OR=1.34, 95% CI: 1.03-3.01, p=0.040), la maladie cœxistante de la région digestive supérieure (OR=1.35, 95% CI: 95% CI: 1.06-3.07, p=0.031) et l’usage simultané des immunomodulateurs (OR=0.35, 95% CI: 0.16-0.75, p=0.007) ont été associés avec la corticodépendance. Un total de 27 marqueurs génotypés à travers de ABCB1 (n=14) et NR3C1 (n=13) ont été en l'Équilibre de Hardy-Weinberg, à l’exception d’un dans le gène NR3C1 (rs258751, exclu). Dans ABCB1, l'allèle rare de rs2032583 (OR=0.56, 95% CI: 0.34-0.95, p=0.029) et génotype hétérozygote (OR=0.52, 95% CI: 0.28-0.95 p=0.035) ont été négativement associes avec la dépendance de CS. Un haplotype à 3 marqueurs, comprenant le SNP fonctionnel rs1045642 a été associé avec la dépendance de CS (p empirique=0.004). 24 SNPs imputés introniques et six haplotypes ont été significativement associés avec la dépendance de CS. Aucune de ces associations n'a cependant maintenu la signification après des corrections pour des comparaisons multiples. Dans NR3C1, trois SNPs: rs10482682 (OR=1.43, 95% CI: 0.99-2.08, p=0.047), rs6196 (OR=0.55, 95% CI: 0.31-0.95, p=0.024), et rs2963155 (OR=0.64, 95% CI: 0.42-0.98, p=0.039), ont été associés sous un modèle additif, tandis que rs4912911 (OR=0.37, 95% CI: 0.13-1.00, p=0.03) et rs2963156 (OR=0.32, 95% CI: 0.07-1.12, p=0.047) - sous un modèle récessif. Deux haplotypes incluant ces 5 SNPs (AAACA et GGGCG) ont été significativement (p=0.006 et 0.01 empiriques) associés avec la corticodépendance. 19 SNPs imputés ont été associés avec la dépendance de CS. Deux haplotypes multimarqueurs (p=0.001), incluant les SNPs génotypés et imputés, ont été associés avec la dépendance de CS. Conclusion - Nos études suggèrent que le fardeau de la corticodépendance est élevé parmi les enfants avec le CD. Les enfants plus jeunes au diagnostic et ceux avec la maladie coexistante de la région supérieure ainsi que ceux avec des variations dans les gènes ABCB1 et NR3C1 étaient plus susceptibles de devenir corticodépendants.
Resumo:
La maladie de Crohn (MC) et la colite ulcéreuse (CU) sont des maladies inflammatoires chroniques du tube digestif qu’on regroupe sous le terme maladies inflammatoires de l’intestin (MII). Les mécanismes moléculaires menant au développement des MII ne sont pas entièrement connus, mais des études génétiques et fonctionnelles ont permis de mettre en évidence des interactions entre des prédispositions génétiques et des facteurs environnementaux - notamment la flore intestinale – qui contribuent au développement d’une dérégulation de la réponse immunitaire menant à l’inflammation de la muqueuse intestinale. Des études d’association pangénomiques et ciblées ont permis d’identifier plusieurs gènes de susceptibilité aux MII mais les estimations de la contribution de ces gènes à l’héritabilité suggèrent que plusieurs gènes restent à découvrir. Certains d’entre eux peuvent se trouver dans les régions identifiées par des études de liaison génétique. L’objectif de mon projet de doctorat était d’identifier un ou des facteurs de risque génétique dans la région chromosomale 19p (identifiée comme région de liaison IBD6) et de le/les caractériser au niveau fonctionnel. Nous avons d’abord entrepris une cartographie d’association de la région 19p. À la suite du génotypage successif de deux cohortes indépendantes, nous avons identifié un SNP intronique et quatre SNP codants dont un non-synonyme, rs8108738, tous localisés dans le gène microtubule associated serine threonine kinase gene-3 (MAST3) et associés aux MII. Peu d’information fonctionnelle sur MAST3 était disponible. Par contre MAST2, une protéine encodée par un gène de la même famille, régule l’activité du facteur de transcription inflammatoire NF-kappaB. Nous avons confirmé l’implication de MAST3 dans l’activité de NF-kappaB via un knockdown de MAST3 et des essais gène-rapporteur. Pour poursuivre la caractérisation fonctionnelle de MAST3, nous avons choisi une approche non ciblée pour étudier les effets de la variation des niveaux d’expression de MAST3 sur la cellule. C’est-à-dire que nous avons créé un 1er modèle cellulaire de surexpression du gène MAST3 dans les cellules HEK293 et analysé l’expression pangénomique endogène. La validation de l’expression génique dans un 2e modèle cellulaire de knockdown et de type cellulaire différent (THP1), nous a permis d’identifier et de contrer les effets non-spécifiques dus aux niveaux non-physiologiques. Notre étude d’expression a mené à l’identification d’un groupe de gènes dont l’expression est régulée par MAST3. Ces gènes sont majoritairement impliqués dans des fonctions immunitaires (cytokines pro-inflammatoires, régulateurs de NF-kappaB, migration cellulaire, etc.) et une forte proportion est régulée par NF-kappaB. Nous avons évalué l’importance du groupe de gènes régulés par MAST3 dans la présentation clinique des MII à travers des études d’expression dans des biopsies intestinales de patients atteints de CU. Nous avons constaté que l’expression de ces gènes est significativement supérieure dans les régions enflammées par rapport aux régions saines de la muqueuse intestinale des patients atteints de CU. Globalement, les résultats de nos études suggèrent que le facteur de risque aux MII MAST3 agit via la voie du facteur de transcription NF-kappaB pour influencer l’expression d’un groupe de gènes impliqués dans l’inflammation intestinale typique des MII. Chaque étude génétique sur les MII a le potentiel d’orienter les recherches fonctionnelles vers de nouvelles voies biologiques causales. Le dévoilement des mécanismes moléculaires sous-jacents à ces voies permet d’augmenter les connaissances sur le développement de ces maladies vers une compréhension plus complète de la pathogenèse qui permettra d’optimiser le diagnostic et le traitement de ces maladies.
Resumo:
Le stress oxydant joue un rôle majeur dans le développement et l’évolution des maladies inflammatoires de l’intestin. Le corps humain est doté d’une panoplie d’enzymes antioxydantes ayant pour fonction de protéger l’intégrité cellulaire. De nouvelles enzymes au fort potentiel antioxydant, les paraoxonases (PON) 1, 2 et 3, ont récemment été identifiées tout au long du tube digestif, mais leurs rôles y restent inconnus. Les cellules intestinales Caco-2/15, qui ont la capacité de se différencier et d’acquérir les caractéristiques physiologiques de l'intestin grêle, ont été utilisées dans le présent travail pour étudier la régulation des PON. Les cellules ont été traitées avec différents effecteurs physiologiques (cytokines, LPS, stress oxydant) et pharmacologiques (fibrates, thiazolidinédiones) et l’expression des leurs gènes et protéines a été évaluée. Les résultats ont mis en lumière la modulation distincte de l’expression des PON par le stress oxydant et l’inflammation. Ceci suggère que chaque PON peut jouer un rôle différent au niveau intestinal et être impliquée dans le maintien de l’homéostasie. La régulation de l’expression des PON a également été largement explorée dans un article de revue. Pour définir le rôle de PON2, celle-ci étant potentiellement la plus importante pour l’homéostasie intestinale, les cellules Caco-2/15 ont été infectées à l’aide de lentivirus contenant des ARN d’interférence, ce qui a fortement réduit l’expression de PON2. En l’absence de PON2, les cellules Caco-2/15 étaient plus susceptibles face à un stress oxydant, la réponse inflammatoire était exacerbée et la perméabilité cellulaire paraissait altérée. Toutes ces composantes sont majeures dans le développement des maladies inflammatoires de l’intestin chez l’humain. De plus, des cellules Caco-2/15 de la PON2, ce qui a renforcé la force de la défense antioxydante cellulaire. Les résultats suggèrent que les PON jouent un rôle dans le maintien de l’homéostasie intestinale et pourraient être impliquées dans l’étiologie et la pathogenèse des maladies inflammatoires de l’intestin.
Resumo:
La campylobactériose est une zoonose causée par Campylobacter jejuni, une bactérie commensale du poulet, considérée comme la principale source de contamination humaine. C. jejuni est rarement retrouvé dans le tube digestif des poulets avant deux ou trois semaines d'âge. Ce qui pourrait s'expliquer par la transmission d'une immunité maternelle (anticorps IgY) transmise aux poussins via le jaune d'œuf. À la Chaire de recherche en Salubrité des Viandes (CRSV), la caractérisation d'anticorps IgY extraits de jaunes d'œufs frais a montré des niveaux de production d’anticorps différents selon le mode d’immunisation et suggère, in vitro, des effets sur ce pathogène. Ce qui laisse penser qu'en tant qu'additif alimentaire, une poudre de jaunes d'œuf potentialisée permettrait de lutter contre C. jejuni chez le poulet à griller. Dans ce travail, le processus de fabrication de l'additif (déshydratation par « Spray dry » puis encapsulation) a été évalué et les différents modes d'immunisation des poules pondeuses ont également été comparés. Les anticorps ont été extraits des différentes poudres de jaunes d'œuf ou du produit final encapsulé, et caractérisés in vitro (dosage / ELISA, test de mobilité, bactéricidie, western blot). Puis, une évaluation in vivo de la capacité de ces poudres encapsulées, incorporée à 5 % dans la moulée, afin de réduire ou de bloquer la colonisation intestinale des oiseaux par C. jejuni a été testée. In vitro, les résultats ont montré des concentrations d'anticorps et d'efficacité variables selon le type de vaccination. Dans cette étude, on a observé que le « Spray dry » a concentré les anticorps dans les poudres et que ces anticorps sont restés fonctionnels contre C. jejuni. On a également observé que l'encapsulation n’entraîne pas une perte quantitative des anticorps contenus dans les poudres. Malgré les résultats in vitro encourageants, les résultats in vivo ne révèlent aucune inhibition ou réduction de la colonisation des oiseaux par C. jejuni. L’absence d’efficacité la poudre de jaunes d’œuf encapsulée dans notre étude n’est pas due à une perte quantitative et/ou qualitative des anticorps comme soutenu dans les expériences in vitro. Ce qui démontre que les recherches doivent être poursuivies afin de déterminer les conditions optimales de l'utilisation de la poudre de jaune d'œuf in vivo, en tant qu'additif alimentaire chez les poulets
Resumo:
Introducción: los tumores neuroendocrinos gastroenteropancreáticos se diagnostican en estadio avanzado en 60 - 80% de los pacientes y las opciones terapéuticas son limitadas. Se realizó una revisión sobre el beneficio clínico del tratamiento con [177Lu - DOTA - Tyr3] - Octreotate en pacientes con enfermedad metastásica o inoperable. Objetivos: evaluar la eficacia, impacto en calidad de vida y toxicidad de la terapia con 177Lu DOTATE en pacientes con tumores neuroendocrinos gastroenteropancreáticos avanzados. Materiales y Métodos: se condujo una revisión sistemática de la literatura mediante la búsqueda de estudios clínicos prospectivos y retrospectivos en bases electrónicas (MEDLINE, EMBASE, LILACS, SCIELO, OVID y la Biblioteca Cochrane) de cualquier idioma, año y estado de publicación. Se incluyeron 5 estudios, por la heterogeneidad existente entre los estudios no se realizó un metaanálisis. Resultados: la respuesta tumoral global fue del 45 - 57%, la enfermedad permaneció estable en 27% - 38% y progresó en 6% - 21% de casos en las series incluidas. El tiempo libre de progresión osciló entre 31 - 40 meses y la sobrevida global de 31– 51 meses. Se observó toxicidad hematológica grado 3-4 hasta en 9.5% de pacientes. Hubo mejoría significativa en la calidad de vida de pacientes tratados con 177LuDOTATATE. Conclusiones: la terapia con 177Lu- DOTATATE ofrece un beneficio clínico a los pacientes con tumores neuroendocrinos bien diferenciados avanzados por su impacto positivo en calidad de vida, control de síntomas, ralentiza la progresión tumoral y su toxicidad es baja.
Resumo:
Objetivo: Determinar la ocurrencia de reacciones adversas a medicamentos (RAM) como causa de ingreso a una unidad de cuidado intermedio de un hospital universitario. Materiales y Métodos: Se revisaron las historias clínicas de los pacientes admitidos a la Sala de Emergencias – Cuidado Intermedio (SALEM) entre septiembre y diciembre de 2012 que cumplieron los criterios de inclusión y se detectaron los casos sospechosos de reacción adversa a medicamento (RAM) que posteriormente fueron evaluados por cuatro investigadores respecto a la causalidad a través del Algoritmo de Naranjo, prevenibilidad usando los criterios de Shumock y Thornton y la clasificación clínica mediante el empleo del sistema DoTS. Resultados: Se encontraron 96 pacientes que presentaron 108 casos de RAM. Las RAM más frecuentes fueron las arritmias y la hemorragia de vías digestivas altas (12.04%), 20.3% de los casos correspondieron a fallos terapéuticos, y, los medicamentos mayormente asociados fueron el ácido acetil salicílico (15.74%) y el losartán (10.19%). 46 casos fueron catalogados como posibles y uno solo como definitivo. Usando la clasificación DoTS se estableció que en el 82.4% de los casos la dosis era colateral (dentro del rango de dosis terapéutica), 89.8% fueron independientes del tiempo, y entre los factores mayormente asociados a susceptibilidad a la RAM estuvieron las comorbilidades (41.7%) y la edad (49%). 44% de las RAM fueron prevenibles. Conclusión: Las RAM son una causa de ingreso no despreciable en una unidad de cuidado intermedio para las cuales existen diferentes sistemas de evaluación, y una cantidad significativa de ellas es prevenible. Se requieren más estudios a nivel nacional para evaluar la incidencia de estas y establecer estándares de clasificación y medidas para mitigar su efecto.
Resumo:
Diet digestibility and rate of passage, eating and rumination behavior, dry matter intake (DMI), and lactation performance were compared in 6 Jersey and 6 Holstein multiparous cows. Cows were fed gestation diets according to body weight (BW) beginning 7 wk before expected calving and ad libitum amounts of a lactation diet postpartum. Diet digestibility and rate of passage were measured in 5-d periods at wk 5 prepartum and wk 6 and 14 of lactation. Eating and ruminating behavior was measured over 5-d periods at wk 5 and 2 prepartum and wk 2, 6, 10, and 14 of lactation. Milk yield and DMI were higher in Holsteins, but milk energy output per kilogram of metabolic BW (BW0.75) and intake capacity (DMI/kg of BW) did not differ between breeds. Holsteins spent longer ruminating per day compared with Jerseys, but daily eating time did not differ between breeds. Jerseys spent more time eating and ruminating per unit of ingested feed. The duration and number of meals consumed did not differ between breeds, but the meals consumed by Jerseys were distributed more evenly throughout each 24-h period, providing a more regular supply of feed to the rumen. Feed passed through the digestive tract more quickly in Jerseys compared with Holsteins, suggesting particle breakdown and rumen outflow were faster in Jerseys, but this may also reflect the relative size of their digestive tract. Neutral detergent fiber digestibility was greater in Jerseys, despite the shorter rumen retention time, but digestibility of dry matter, organic matter, starch, and N did not differ between breeds. Utilization of digested N for tissue retention was higher at wk 5 prepartum and lower at wk 14 of lactation in Jerseys. In contrast to numerous published studies, intake capacity of Jerseys was not higher than that of Holsteins, but in the present study, cows were selected on the basis of equal expected milk energy yield per kilogram of metabolic BW. Digestibility of neutral detergent fiber and rate of digesta passage were higher in Jerseys, probably as a consequence of increased mastication per unit of feed consumed in Jerseys and their smaller size.
Resumo:
Fundamental nutrition seeks to describe the complex biochemical reactions involved in assimilation and processing of nutrients by various tissues and organs, and to quantify nutrient movement (flux) through those processes. Over the last 25 yr, considerable progress has been made in increasing our understanding of metabolism in dairy cattle. Major advances have been made at all levels of biological organization, including the whole animal, organ systems, tissues, cells, and molecules. At the whole-animal level, progress has been made in delineating metabolism during late pregnancy and the transition to lactation, as well as in whole-body use of energy-yielding substrates and amino acids for growth in young calves. An explosion of research using multicatheterization techniques has led to better quantitative descriptions of nutrient use by tissues of the portal-drained viscera (digestive tract, pancreas, and associated adipose tissues) and liver. Isolated tissue preparations have provided important information on the interrelationships among glucose, fatty acid, and amino acid metabolism in liver, adipose tissue, and mammary gland, as well as the regulation of these pathways during different physiological states. Finally, the last 25 yr has witnessed the birth of "molecular biology" approaches to understanding fundamental nutrition. Although measurements of mRNA abundance for proteins of interest already have provided new insights into regulation of metabolism, the next 25 yr will likely see remarkable advances as these techniques continue to be applied to problems of dairy cattle biology. Integration of the "omics" technologies (functional genomics, proteomics, and metabolomics) with measurements of tissue metabolism obtained by other methods is a particularly exciting prospect for the future. The result should be improved animal health and well being, more efficient dairy production, and better models to predict nutritional requirements and provide rations to meet those requirements.
Resumo:
Diet therapy utilizing probiotics and prebiotics may help treat many common gastrointestinal complaints. From birth to about 2 years of age the human digestive tract changes from sterile to a complex ecosystem with at least 500 bacterial species, most of these are benign and even necessary, however, pathogenic species also colonize the digestive tract. The idea is that prebiotics and probiotics can be used to displace and neutralise these pathogens.
Resumo:
Background The gut and immune system form a complex integrated structure that has evolved to provide effective digestion and defence against ingested toxins and pathogenic bacteria. However, great variation exists in what is considered normal healthy gut and immune function. Thus, whilst it is possible to measure many aspects of digestion and immunity, it is more difficult to interpret the benefits to individuals of variation within what is considered to be a normal range. Nevertheless, it is important to set standards for optimal function for use both by the consumer, industry and those concerned with the public health. The digestive tract is most frequently the object of functional and health claims and a large market already exists for gut-functional foods worldwide. Aim To define normal function of the gut and immune system and describe available methods of measuring it. Results We have defined normal bowel habit and transit time, identified their role as risk factors for disease and how they may be measured. Similarly, we have tried to define what is a healthy gut flora in terms of the dominant genera and their metabolism and listed the many, varied and novel methods for determining these parameters. It has proved less easy to provide boundaries for what constitutes optimal or improved gastric emptying, gut motility, nutrient and water absorption and the function of organs such as the liver, gallbladder and pancreas. The many tests of these functions are described. We have discussed gastrointestinal well being. Sensations arising from the gut can be both pleasant and unpleasant. However, the characteristics of well being are ill defined and merge imperceptibly from acceptable to unacceptable, a state that is subjective. Nevertheless, we feel this is an important area for future work and method development. The immune system is even more difficult to make quantitative judgements about. When it is defective, then clinical problems ensure, but this is an uncommon state. The innate and adaptive immune systems work synergistically together and comprise many cellular and humoral factors. The adaptive system is extremely sophisticated and between the two arms of immunity there is great redundancy, which provides robust defences. New aspects of immune function are discovered regularly. It is not clear whether immune function can be "improved". Measuring aspects of immune function is possible but there is no one test that will define either the status or functional capacity of the immune system. Human studies are often limited by the ability to sample only blood or secretions such as saliva but it should be remembered that only 2% of lymphocytes circulate at any given time, which limits interpretation of data. We recommend assessing the functional capacity of the immune system by: measuring specific cell functions ex vivo, measuring in vivo responses to challenge, e. g. change in antibody in blood or response to antigens, determining the incidence and severity of infection in target populations during naturally occurring episodes or in response to attenuated pathogens.
Resumo:
The aim of the study was to evaluate whether supplementation of milk-formulas with prebiotic fructooligosaccharides or a probiotic, Lactobacillus johnsonii La1 (La1), could modulate the composition of the fecal microbiota of formula-fed infants, compared to breastfed (BF) infants. Ninety infants close to 4 months of age were randomized into one of three groups to be blindly assigned to receive for 13 weeks: a) an infant formula (Control), b) the same formula with fructo-oligosaccharides (Prebio), or c) with La1 (Probio). At the end of this period, all infants received the control formula for 2 additional weeks. Twenty-six infants, breastfed throughout the study, were recruited to form group BF. Fecal samples were obtained upon enrolment and after 7 and 15 weeks. Bacterial populations were assessed with classical culture techniques and fluorescent in situ hybridisation (FISH). Seventy-six infants completed the study. On enrolment, higher counts of Bifidobacterium and Lactobacillus and lower counts of enterobacteria were observed in BF compared to the formula-fed infants; these differences tended to disappear at weeks 7 and 15. No major differences for Clostridium, Bacteroides or Enterococcus were observed between the groups or along the follow up. Probio increased fecal Lactobacillus counts (P<0.001); 88% of the infants in this group excreted live La1 in their stools at week 7 but only 17% at week 15. Increased Bifidobacterium counts were observed at week 7 in the 3 formula groups, similar to BF infants. These results confirm the presence of higher counts of bifidobacteria and lactobacilli in the microbiota of BF infants compared to formula-fed infants before dietary diversification, and that La1 survives in the infant digestive tract.
Resumo:
Assessment of the risk to human health posed by contaminated land may be seriously overestimated if reliant on total pollutant concentration. In vitro extraction tests, such as the physiologically based extraction test (PBET), imitate the physicochemical conditions of the human gastro-intestinal tract and offer a more practicable alternative for routine testing purposes. However, even though passage through the colon accounts for approximately 80% of the transit time through the human digestive tract and the typical contents of the colon in vivo are a carbohydrate-rich aqueous medium with the potential to promote desorption of organic pollutants, PBET comprises stomach and small intestine compartments only. Through addition of an eight-hour colon compartment to PBET and use of a carbohydrate-rich fed-state medium we demonstrated that colon-extended PBET (CE-PBET) in- creased assessments of soil-bound PAH bioaccessibility by up to 50% in laboratory soils and a factor of 4 in field soils. We attribute this increased bioaccessibility to a combination of the additional extraction time and the presence of carbohydrates in the colon compartment, both of which favor PAH desorption from soil. We propose that future assessments of the bioaccessibility of organic pollutants in soils using physiologically based extraction tests should have a colon compartment as in CE-PBET.
Resumo:
Despite the fact that mites were used at the dawn of forensic entomology to elucidate the postmortem interval, their use in current cases remains quite low for procedural reasons such as inadequate taxonomic knowledge. A special interest is focused on the phoretic stages of some mite species, because the phoront-host specificity allows us to deduce in many occasions the presence of the carrier (usually Diptera or Coleoptera) although it has not been seen in the sampling performed in situ or in the autopsy room. In this article, we describe two cases where Poecilochirus austroasiaticus Vitzthum (Acari: Parasitidae) was sampled in the autopsy room. In the first case, we could sample the host, Thanatophilus ruficornis (Küster) (Coleoptera: Silphidae), which was still carrying phoretic stages of the mite on the body. That attachment allowed, by observing starvation/feeding periods as a function of the digestive tract filling, the establishment of chronological cycles of phoretic behavior, showing maximum peaks of phoronts during arrival and departure from the corpse and the lowest values in the phase of host feeding. From the sarcosaprophagous fauna, we were able to determine in this case a minimum postmortem interval of 10 days. In the second case, we found no Silphidae at the place where the corpse was found or at the autopsy, but a postmortem interval of 13 days could be established by the high specificity of this interspecific relationship and the departure from the corpse of this family of Coleoptera.
Resumo:
Prostaglandins (PG) are bioactive lipids derived from the metabolism of membrane polyunsaturated fatty acids (PUFA), and play important roles in a number of biological processes including cell division, immune responses and wound healing. Cyclooxygenase (COX) is the key enzyme in PG synthesis from arachidonic acid. The hypothesis of the present study was that expression of COX-2 in porcine intestine was dependent on the microbial load and the age of piglets. Piglets were obtained from sows raised either on outdoor free-range farms or on indoor commercial farms, and littermates were divided into three treatments: One group of piglets suckled the sow, a second group was put into an isolator and fed a milk formula, and a third group was put into the isolator fed milk formula and injected with broad spectrum antibiotics. Samples were collected from the 75% level of the small intestine at day 5, 28 and 56 of age. Tissue section from four piglets from each of these six treatment groups was analysed by immunofluorescence for COX-2 and type-IV collagen (basement membrane, defining lamina propria (LP)). Image analysis was used to determine the number of positive pixels expressing LP and epithelial COX-2. COX-2 expressing cells were observed in LP and epithelium in all porcine intestinal samples. When analysing images obtained on day 28, injection of antibiotics seemed to reduce the COX-2 expression in intestinal samples of piglets when compared to other treatments (P=0.053). No significant effect of farm, treatments or age of piglets was observed on COX-2 expressing data when analysing all data of images obtained at day 28 and 56. By double-labelling experiments, COX-2 was found not to be expressed on cell co-expressing CD45, CD16, CD163 or CD2, thus indicating that mucosal leukocytes, including dendritic cells, macrophages and NK cells did not express COX-2. Future research should investigate the role of COX-2 expression in the digestive tract in relation to pig health.