89 resultados para Dieux
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Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal
Vénus et Neptune en Crète : la fonction dramatique des divinités dans Idoménée de Danchet et Campra.
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Ce mémoire porte sur le rôle des divinités dans la structure dramatique de la tragédie en musique Idoménée d’Antoine Danchet et d’André Campra, originalement créée en 1712 et remaniée en 1731. L’étude répond à des questions d’ordre structurel quant à l’évolution du genre et montre de quelle façon la représentation des dieux dans Idoménée est liée à une ouverture formelle qui annonce la disparition du prologue, puisque les divinités n’y sont plus confinées à une fonction de louange du roi, mais contribuent activement à lancer l’action dramatique dès cette partie liminaire de l’opéra. Par un bref aperçu historique de la tragédie lyrique et des traditions mythologiques se rapportant à Vénus et à Neptune, ce mémoire questionne la place de ces dieux dans l’univers des hommes, tel que l’envisage la tragédie lyrique, qui démontre, comme on le sait, une propension à unifier les mondes surnaturel et humain. Dans Idoménée, cette unification passe en grande partie par l’usage d’un prologue qui fait office de premier acte, en assurant aux divinités en question une fonction essentielle à la structure dramatique.
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Ce mémoire se focalise sur la pièce Antony and Cleopatra de Shakespeare en relation avec la pensée biblique, l’humanisme de la Renaissance et les caractéristiques de la tragédie comme genre littéraire et philosophie grecque. La chute d’Adam et Eve dans la Bible, ainsi que le conflit entre le héros tragique et les dieux, sont deux thèmes qui sont au centre de ce mémoire. Le mythe de la chute d’Adam et Eve sert, en effet, d’un modèle de la chute—et par conséquent, de la tragédie—d’Antoine et Cléopâtre mais aussi de structure pour ce mémoire. Si le premier chapitre parle de paradis, le deuxième évoque le péché originel. Le troisième, quant à lui, aborde une contre-rédemption. Le premier chapitre réfère à l’idée du paradis, ou l’Éden dans la bible, afin d’examiner ce qui est édénique dans Antony and Cleopatra. La fertilité, l’épicuréisme, l’excès dionysien sont tous des éléments qui sont présents dans la conception d’un Éden biblique et Shakespearien. Le deuxième chapitre est une étude sur la tragédie comme genre fondamentalement lié à la pensée religieuse et philosophique des grecs, une pensée qui anime aussi Antony and Cleopatra. Ce chapitre montre, en effet, que les deux protagonistes Shakespeariens, comme les héros tragiques grecs, défient les dieux et le destin, engendrant ainsi leur tragédie (ou ‘chute’, pour continuer avec le mythe d’Adam et Eve). Si le deuxième chapitre cherche à créer des ponts entre la tragédie grecque et la tragédie Shakespearienne, le troisième chapitre montre que le dénouement dans Antony and Cleopatra est bien différent des dénouements dans les tragédies de Sophocle, Euripide, et Eschyle. Examinant la pensée de la Renaissance, surtout la notion d’humanisme, la partie finale du mémoire présente les protagonistes de Shakespeare comme des éternels rebelles, des humanistes déterminés à défier les forces du destin.
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Cette thèse a pour but de dresser un panorama complet des croyances de Xénophon en la divination. À l’aide d’une analyse rigoureuse de la totalité des œuvres de cet auteur antique pendant longtemps déprécié, il ressort que le problème de la consultation des dieux, loin d’être abordé de manière anecdotique et spontanée à la façon d’un legs de la tradition que la pensée critique n’a pas touchée, est au contraire un élément essentiel de la formation d’une réflexion profonde sur la piété et plus généralement les rapports qu’entretiennent les hommes avec les dieux. D’autre part, en raison du zèle de Xénophon à avoir rapporté des récits ou des réflexions à propos de la divination, cette analyse offre l’occasion de mieux comprendre les subtilités de cette pratique rituelle logée au cœur de la religion grecque et qui ne saurait être réduite à une forme de superstition.
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Les épicuriens étaient-ils pieux? Des témoins du moyen et du dernier épicurisme, tels Cicéron et Plutarque, ont eu beaucoup de peine à le croire : selon eux, les épicuriens ne voyaient dans les prêtres que des bouchers, et ne participaient au culte populaire que pour éviter les accusations d’athéisme. Les épicuriens, quant à eux, se sont toujours qualifiés de pieux. L’archéologie nous confirme que les épicuriens ont activement participé au culte populaire, et ce tout au long de l’histoire de l’école. Malgré ces preuves archéologiques, la théologie épicurienne reste problématique : bien que leur éthique fasse des dieux des modèles, il ne semble pas y avoir de place pour les dieux dans leur physique. Que faire, donc, des pratiques rituelles où les dieux sont invoqués, voire où ils sont montrés au moyen d’un support matériel? Pourrait-on réduire la piété épicurienne à un exercice rationnel, froid et distant, au cœur même des temples? Mais cette distance avec le culte ne supposerait-elle pas une certaine hypocrisie, celle-là même qui fut décriée par Cicéron ou par Plutarque? Notre travail entend montrer de quelle manière les épicuriens purent être pieux, de façon non distante, tout en restant cohérents avec le problème philosophique de la représentation des dieux. Cette cohérence ne sera possible qu’au prix d’une « conversion » à l’épicurisme (et à son épistémologie) grâce à laquelle nous pourrons voir les dieux et nous reconnaître nous-mêmes comme des dieux.
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"We are not jealous of gods, we do not serve them, we do not fear them, but at the risk of our lives, we attest for their multiple existence, and are stirred to be of their chancy keeping when they are no more remembered of". What could mean such a sentence written by René Char? Is it still possible to think and to experiment, here and now, after centuries of monotheism, something like a plurality of gods? What is it to be a pagan? Rereading Homer, and then Plato, Nietzsche and Lyotard, we could risk the following de´Çü nition: pagan is someone able to suppose, between performance and cosmos, that the one coming up to him is, may be, some god.
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"We are not jealous of gods, we do not serve them, we do not fear them, but at the risk of our lives, we attest for their multiple existence, and are stirred to be of their chancy keeping when they are no more remembered of". What could mean such a sentence written by René Char? Is it still possible to think and to experiment, here and now, after centuries of monotheism, something like a plurality of gods? What is it to be a pagan? Rereading Homer, and then Plato, Nietzsche and Lyotard, we could risk the following de´Çü nition: pagan is someone able to suppose, between performance and cosmos, that the one coming up to him is, may be, some god.
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"We are not jealous of gods, we do not serve them, we do not fear them, but at the risk of our lives, we attest for their multiple existence, and are stirred to be of their chancy keeping when they are no more remembered of". What could mean such a sentence written by René Char? Is it still possible to think and to experiment, here and now, after centuries of monotheism, something like a plurality of gods? What is it to be a pagan? Rereading Homer, and then Plato, Nietzsche and Lyotard, we could risk the following de´Çü nition: pagan is someone able to suppose, between performance and cosmos, that the one coming up to him is, may be, some god.
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No. 1. Les dieux dans l'ombre des cavernes--no. 2. La villa rose--no. 3. Aux bordes du fleuve sacré.
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3-4. Dialogues de l'orateur.--5. L'orateur. Les topiques. Partitions oratoires. Orateurs parfaits.--30. De la nature des dieux.--32. Traité des devoirs. Dialogue sur le vieillesse.--34. Du gouvernement. Sur l'amnistie.--35. Des lois. Discours au peuple.
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The original edition was published Paris, E. Renduel, 1835. cf. Vicaire's Manuel.