1000 resultados para Deterding, Henri, 1866-1939.


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Comment le tourisme s’est-il développé dans un territoire en pleine expansion coloniale ? Comment tourisme et colonisation se sont-ils conjugués ? Quel lien peut-on établir entre ces deux dynamiques ? C’est ce à quoi cette thèse tente de répondre en démontrant l’instrumentalisation du tourisme par les politiques coloniales. Elle se divise en sept chapitres abordant successivement le transfert des pratiques touristiques de l’Europe à l’Indochine, leurs implantations, leurs intégrations aux politiques de mise en valeur des années 1920, les conséquences spatiales de leurs implantations (construction de voies de communication et d’hébergements hôteliers) et la communication instaurée par l’Etat pour promouvoir l’Indochine comme une destination touristique auprès des Indochinois comme des touristes étrangers.

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Réalisé en cotutelle avec l'Université de la Sorbonne - Paris IV

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À l'aube des années 1930, l'Alsace partage un passé trouble avec la France et l'Allemagne. Alors que la région est redevenue française après la Première Guerre mondiale en 1919, Paris éprouve de la difficulté à la réintégrer à la République, parce qu'il ne comprend pas que les quarante ans de l'Alsace au sein du Reich allemand ont bouleversé la vie régionale aux niveaux politique, culturel, religieux et linguistique. La France ne perçoit pas le particularisme des populations retrouvées et leur volonté de conserver les valeurs qui leur sont chères. L'autonomisme alsacien des années 1920 et la répression du mouvement par les autorités françaises mettent à mal les relations entre Paris et Strasbourg. Alors que le début des années 1930 se déroule sur ce fond de tensions, l'arrivée d'Adolf Hitler au pouvoir en 1933 en Allemagne modifie radicalement la donne. Le présent mémoire s'interroge sur la perception par la presse alsacienne francophone de la montée du nazisme en Allemagne, de 1933 à 1939. L'Alsace remet-elle en question son allégeance à une France qui démontre des signes de faiblesses et qui ne comprend pas la région ou préfère-t-elle une Allemagne forte et stable? En consultant des journaux de différentes orientations politiques et religieuses, soit Les dernières nouvelles de Strasbourg, Le nouvelliste d'Alsace, Le Lorrain et L'éclair de l'Est, nous avons analysé l'opinion de la presse alsacienne sur les événements allemands des années 1930. Il apparaît évident que la presse francophone n'est pas en faveur d'un retour avec le Reich. Néanmoins, l'allégeance à la France n'est pas aussi nette que le laisse croire l'historiographie à ce sujet. Jusqu'en mars 1938, la presse alsacienne francophone ne revendique pas de statut particulier, insatisfaite qu'elle est des options qui s'offrent à elle, autant du côté de la France que de l'Allemagne. Le point de vue de la région change régulièrement. Alors que Hitler attire tous les regards en 1933, la situation politique instable en France ainsi que les décisions du Front populaire sont le point de mire pour la presse alsacienne francophone à partir de 1936. Ce n'est que lorsque la guerre semble inévitable qu'elle se range derrière la République française.

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En 1939, la France et la Grande-Bretagne réalisent que, pour arrêter les agressions d’Hitler en Europe, il va leur falloir constituer un front commun. Cette recherche d’alliés les mène à courtiser l’Union soviétique. Malgré plus de quatre mois de négociations anglo-franco-soviétiques, aucune entente n’intervient entre les parties. Cet échec est d’autant plus douloureux que le 23 août un pacte de non-agression est signé entre Berlin et Moscou et, qu’une semaine plus tard, l’Allemagne envahit la Pologne. La Seconde Guerre mondiale est commencée. Depuis les années 1990, plusieurs historiens ont affirmé que l’historiographie occidentale concernant l’échec des négociations tripartites de 1939 a été influencée par la propagande de la Guerre froide et qu’elle avait propagé l’idée que les Soviétiques n’avaient jamais eu l’intention de s’allier avec l’Entente. Toutefois, après l’analyse des études publiées entre 1961 et 2011 par les historiens français et britanniques, ce mémoire démontre que, depuis 1961, en Grande-Bretagne et en France, l’interprétation du rôle de l’Union soviétique dans cet échec est beaucoup plus libre d’aprioris idéologiques qu’on pourrait le croire. La publication de l’ouvrage d’A.J.P. Taylor, The Origins of the Second World War, et la controverse qu’il va causer ont radicalement modifié la nature du débat et permis l’ascendant de thèses en tous points semblables à celles qui ont cours en Occident depuis le démantèlement de l’Union soviétique. Celles-ci soutiennent que les dirigeants soviétiques ont priorisé une alliance avec l’Entente au moins jusqu’à la fin du mois de juillet et que ce sont les politiques étrangères de la France et, plus particulièrement, de la Grande-Bretagne, qui ont causé l’échec des négociations tripartites de 1939.

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On cover: 6. édition.

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"Ouvrage auquel l'Académie française a decerné la grand prix Gobert en 1857 et 1858."

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Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.

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Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.

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Empire is central to U.S. history. When we see the U.S. projecting its influence on a global scale in today s world it is important to understand that U.S. empire has a long history. This dissertation offers a case study of colonialism and U.S. empire by discussing the social worlds, labor regimes, and culture of the U.S. Army during the conquest of southern Arizona and New Mexico (1866-1886). It highlights some of the defining principles, mentalities, and characteristics of U.S. imperialism and shows how U.S. forces have in years past constructed their power and represented themselves, their missions, and the places and peoples that faced U.S. imperialism/colonialism. Using insights from postcolonial studies and whiteness studies, this work balances its attention between discursive representations (army stories) and social experience (army actions), pays attention to silences in the process of historical production, and focuses on collective group mentalities and identities. In the end the army experience reveals an empire in denial constructed on the rule of difference and marked by frustration. White officers, their wives, and the white enlisted men not only wanted the monopoly of violence for the U.S. regime but also colonial (mental/cultural) authority and power, and constructed their identity, authority, and power in discourse and in the social contexts of the everyday through difference. Engaged in warfare against the Apaches, they did not recognize their actions as harmful or acknowledge the U.S. invasion as the bloody colonial conquest it was. White army personnel painted themselves and the army as liberators, represented colonial peoples as racial inferiors, approached colonial terrain in terms of struggle, and claimed that the region was a terrible periphery with little value before the arrival of white civilization. Officers and wives also wanted to place themselves at the top of colonial hierarchies as the refined and respectable class who led the regeneration of the colony by example: they tried to turn army villages into islands of civilization and made journeys, leisure, and domestic life to showcase their class sensibilities and level of sophistication. Often, however, their efforts failed, resulting in frustration and bitterness. Many blamed the colony and its peoples for their failures. The army itself was divided by race and class. All soldiers were treated as laborers unfit for self-government. White enlisted men, frustrated by their failures in colonial warfare and by constant manual labor, constructed worlds of resistance, whereas indigenous soldiers sought to negotiate the effects of colonialism by working in the army. As colonized labor their position was defined by tension between integration and exclusion and between freedom and colonial control.