128 resultados para Chronologiques


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Vol. 2 has caption title: Les grands faits de l'histoire de France racontés par les contemporains.

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Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.

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Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.

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Un document accompagne le mémoire et est disponible pour consultation au Centre de conservation des bibliothèques de l'Université de Montréal (http://www.bib.umontreal.ca/conservation/).

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Un travail consacré à la sculpture d'ornement implique de s'intéresser à un corps de métier qui n'a guère laissé de trace dans l'historiographie, les sculpteurs d'ornement. A Genève, un seul représentant de cette spécialité est passé à la postérité : Jean Jaquet (1754-1839). L'activité de celui-ci, couvrant les dernières décennies du XVIIIe et les premières années du XIXe siècle, apparaît par conséquent comme un moment de perfection de la sculpture d'ornement dans l'histoire de la République. Comment Jaquet, ce simple entrepreneur en décoration, est-il parvenu à acquérir une forme de notoriété et à entrer dans l'histoire de l'art genevoise ? En quoi son parcours professionnel se distingue-t-il de celui des autres sculpteurs d'ornement actifs à Genève au XVIIIe siècle, ses émules obscurs ? Afin de discuter ces questions, j'ai procédé en trois temps.D'abord, il a fallu se donner les moyens de connaître l'arrière-plan socio-professionnel. Un important travail de dépouillement de sources notamment des registres des permissions de séjour accordées par la Chambre des Etrangers - a permis de se faire une idée des rouages de l'entreprise de décoration, de l'activité des ateliers et de leur succession dans le temps. L'étude de la production reste néanmoins problématique. Le corpus de décorations conservées du XVIIIe siècle est en effet mal identifié et l'absence de documentation historique rend périlleuse toute tentative de classement par ateliers ou par tranches chronologiques. En raison de ces lacunes, il n'a pas paru opportun de chercher à présenter une vision globale de la décoration intérieures au XVIIIe siècle à Genève, ni de proposer une nouvelle carte des attributions. La deuxième partie de la thèse suit par conséquent un principe simple. En raison de l'omniprésence de Jaquet dans l'historiographie, elle analyse la manière dont le corpus de ses oeuvres a été constitué au fil des XIXe et XXe siècle. En d'autres termes, elle vise à déconstruire les mécanismes de l'attribution et à interroger la pertinence de ses critères. Une telle démarche permet de redessiner les contours de la production de décoration à Genève et d'en saisir les enjeux. Les ateliers ont-ils chacun leur manière propre - leur style propre ? Celui-ci se fonde-t-il sur l'expression d'une personnalité artistique autonome ? Ou leur production est-elle avant tout déterminée par une demande sociale stéréotypée, fondée sur la reproduction de modèles convenus ? Sans minimiser l'importance de Jaquet dans la décoration genevoise du XVIIIe siècle, ni la qualité de son travail, la deuxième partie de ce travail vise à révéler certaines faiblesses dans le système des attributions. Indirectement, cela permet de se faire une idée de l'apport d'autres entrepreneurs en ornement.Les deux premières parties posent les bases d'un discours critique sur les producteurs et leurs oeuvres. La troisième analyse, du XIXe au XXIe siècle, les modalités de la promotion et de la réception de Jaquet, en d'autres termes la construction de son image. Grâce à son ambition, le sculpteur s'est hissé au-dessus de sa condition. Parmi les entrepreneurs en décoration actifs à Genève, il est en effet le seul à avoir séjourné à l'étranger, fréquenté les académies, enseigné le dessin et fait quelques incursions dans le domaine de la sculpture figuriste. Par conséquent, il est aussi le seul à avoir une place dans l'histoire des Beaux-Arts, puis, à partir de la fin du XIXe siècle, dans celle des Arts décoratifs à Genève. Ni artiste de talent universel, ni ouvrier, Jaquet est un représentant de première qualité d'une catégorie professionnelle particulière, composée d'individus auxquels les historiens de l'art ne portent qu'un intérêt limité, parce qu'ils sont à la charnière des arts mécaniques et des arts libéraux.

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Contient : « Institution de l'Ordre de la Toison d'or, le 10 de janvier 1429 » ; « Extrait de quelques articles des comptes de Mathieu Regnaut pour les années 1432, 1433, 1434 et 1437 concernant l'Ordre de la Toison d'or » ; Autres pièces relatives à la Toison d'or ; « Obsèques du duc Philippe le Bon, l'an 1467 » ; Sentences du concile de Bâle, en faveur du duc de Bourgogne, 1433 ; « Des personnaiges et moralités posées à la joyeuse venue de monseigneur le duc Charles, en sa ville de Dijon, » 1469 ; Extraits de comptes de dépenses faites à la Chartreuse de Dijon ; Pièces relatives à la sainte hostie de la Sainte-Chapelle de Bijou. — A la suite sont des notes chronologiques sur l'histoire de Dijon, etc ; « Discours historique de la véritable origine des Bourguignons, de leur vray nom et de leur conversion à foy chrestienne et catholique, » attribué au P. François de La Vie, de la Compagnie de Jésus, 1643 ; Vue de Dijon ; dessin à la gouache ; Armoiries coloriées des chevaliers de la Toison d'or

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Les fouilles menées entre 1988 et 1991 sur la parcelle du Clos d'Aubonne, à La Tour-de-Peilz, ont mis au jour 578 tombes contenant les ossements de près de 850 individus. Ces sépultures constituent l'essentiel d'une vaste nécropole qui s'est développée à quelque 500 m au sud-est du vicus romain de Viviscus/Vevey, en bordure de l'ancienne voie qui mène au col du Grand Saint-Bernard. L'analyse détaillée des structures et du mobilier permet de définir trois phases chronologiques, échelonnées entre la deuxième moitié du Ve et la première moitié du IXe siècle. Au fil du temps se manifestent des signes d'une présence burgonde discrète, puis d'influences du monde franc. Plusieurs indices montrent que, dès le VIe siècle, cette nécropole est devenue le lieu d'inhumation de familles importantes. Certaines d'entre elles sont restées attachées à cet espace funéraire jusqu'à l'époque carolingienne, malgré l'absence d'un édifice voué au culte chrétien. Le second volume de la publication réunit des études spécifiques: l'analyse anthropologique des squelettes, comprenant notamment une étude approfondie de l'état de santé de la population, l'étude et le catalogue des monnaies ainsi que le catalogue des découvertes funéraires antérieures aux fouilles de 1988-89. Le catalogue des tombes, illustré de nombreux relevés, et les planches du mobilier complètent ce volume.

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Le terme complexe d'épistémologie médicale peut être explicité en définissant la médecine comme construite sur trois pôles fondamentaux et la relation qui lie ces trois pôles: le projet fondateur, l'objet du projet et les outils servant au projet. Ces trois pôles forment l'épistémologie médicale. Le projet est celui de soigner, ou encore de défendre contre la maladie: il s'agit d'agir sur le phénomène pathologique afin qu'il disparaisse. Or pour cela, il faut d'abord rendre ce phénomène visible. En d'autres termes, la construction du concept même de pathologie est indispensable au projet thérapeutique qui a besoin de faire apparaître son objet afin de pouvoir mieux le faire disparaître. L'objet dont on parle, c'est la maladie. Or, cet objet conceptuel doit être élaboré à l'aide d'outils conceptuels permettant de construire une représentation du modèle du pathologique. Ces outils sont toutes les théories conceptuelles de la maladie qui ont pu exister à travers les siècles et qui sont des application au domaine médical de différentes conceptualisations du monde, propres à chaque époque, telles que la philosophie ou la science par exemple. Le projet thérapeutique -­‐ faire disparaître le phénomène pathologique - exige donc tout d'abord l'existence de son objet -­‐ le concept de la maladie. Par la suite, il faut élaborer cet objet en un modèle de représentation de la maladie, modèle qui fournit un substrat sur lequel on peut alors appliquer des outils actifs qui, à leur tour, peuvent agir sur la maladie et tenter donc de faire disparaître le phénomène pathologique. Ces outils actifs, issus des outils conceptuels, sont en fait les techniques appliquées à la maladie. Nous distinguerons encore une troisième catégorie d'outils, faisant le lien entre les outils conceptuels et les outils actifs en rendant traductible par le corps le concept du phénomène pathologique: ce sont les outils sémiologiques. L'étude de l'épistémologie peut être définie comme l'étude de la production, de la construction et de la validation du savoir. Elle s'intéresse à comprendre comment est produite la connaissance scientifique. Or, cette production est construite de l'interaction entre les divers éléments qui définissent l'originalité des différents domaines de la science et que nous avons réunis dans les trois catégories du projet, de l'objet et des outils. Nous retrouvons ici les trois pôles fondateurs de la médecine, que nous avons définis plus haut en tant qu'objets d'étude de l'épistémologie médicale. Dans la première partie, théorique, de ce travail, qui est basée sur l'analyse de la littérature, nous nous intéresserons aux changements chronologiques de leur nature et de leurs relations dans le but de comprendre comment l'épistémologie médicale, en proposant une interprétation du phénomène pathologique, participe à la construction historique, culturelle et sociale de la maladie. La deuxième partie, pratique, est constituée de l'analyse d'interviews de médecins FMH et s'interroge sur la façon dont le médecin intègre, gère, interprète et applique l'héritage constamment en mouvement du savoir médical dans sa pratique de la médecine. En d'autres termes, comment du mélange d'un savoir médical historiquement transmis et du savoir acquis de son expérience, le médecin construit son propre socle épistémologique.