Last Will and Testament - Jane Caroline Woodruff (1910)

Last Will and Testament of Jane C. Woodruff. This is a handwritten copy of the previous Jane C. Woodruff will, June 15, 1910.

Indenture between George Boomer and Fanny Caroline Boomer to John Stannage

Indenture of bargain and sale between George Boomer and Fanny Caroline Boomer of Toronto to John Stannage of St. Catharines regarding 5 acres in Lot no. 13 in the 3rd Concession of Crowland. November 21, 1862.

Indenture between Samuel D. Woodruff and Jane Caroline Woodruff and Hamilton Killaly Woodruff

Indenture between Samuel D. Woodruff and Jane Caroline Woodruff and Hamilton Killaly Woodruff in which Samuel Woodruff signed over pew 15 in St. George’s Church, St. Catharines to Hamilton Killaly Woodruff for $1.00, May 12, 1900.

A poetics of apprehension : indeterminacy in Gertrude Stein, Emily Dickinson and Caroline Bergvall

Ce mémoire examine les poétiques de trois poètes très différentes, mais dont les œuvres peuvent être qualifiées d'indéterminées et de radicales : Emily Dickinson (1830-1886), Gertrude Stein (1874-1946) et Caroline Bergvall (née en 1962). Dickinson et Stein sont anglo-américaines, tandis que Bergvall est d’origine franco-norvégienne, bien qu'elle choisisse d’écrire en anglais. Toutes les trois rompent la structure syntaxique conventionnelle de l’anglais par leurs poétiques, ce qui comporte des implications esthétiques et politiques. Dans ce qui suit, j’analyse l’indétermination de leurs poétiques à partir de la notion, décrite par Lyn Hejinian, de la description comme appréhension qui présente l’écriture comme un mode de connaissance plutôt qu'un moyen d’enregistrer ce que le poète sait déjà. La temporalité de cette activité épistémologique est donc celle du présent de l’écriture, elle lui est concomitante. J'affirme que c'est cette temporalité qui, en ouvrant l’écriture aux événements imprévus, aux vicissitudes, aux hésitations, aux erreurs et torsions de l’affect, cause l'indétermination de la poésie. Dans le premier chapitre, j'envisage l'appréhension chez Gertrude Stein à travers son engagement, tout au long de sa carrière, envers « le présent continu » de l’écriture. Le deuxième chapitre porte sur le sens angoissé de l’appréhension dans la poésie de Dickinson, où le malaise, en empêchant ou en refoulant une pensée, suspend la connaissance. Le langage, sollicité par une expérience qu'il ne peut lui-même exprimer, donne forme à l'indétermination. Un dernier chapitre considère l’indétermination linguistique du texte et de l’exposition Say Parsley, dans lesquels Bergvall met en scène l’appréhension du langage : une appréhension qui survient plutôt chez le lecteur ou spectateur que chez la poète.

Skehill, Caroline: History of the Present of Child Protection and Welfare Social Work in Ireland

This unique book has at least three significant strengths. First, it offers an interesting angle on Irish social history and how social work and child protection and welfare services have been developed from the 1860s to the 1990s. Secondly, the author uses the 'history of the present' method of Michel Foucault in a promising manner, incorporating his concepts of archaeology, genealogy and discourse. Most of all she has succeeded in further developing Michel Foucault's concepts and strategies of writing. Although this is a national history, she has made a remarkable contribution to social work research. Her conceptual and methodological innovations are undoubtedly fully applicable to other social and societal contexts. This book is recommendable to those who want to implement genealogical analysis in their own research. Thirdly, her skill in writing and the way she renders the difficult language and concepts of Michel Foucault accessible means that here is a book that can also be read with ease by those whose mother tongue is not English. From the viewpoint of women and women's research the focus in this book is minor but if you are interested in social work history and genealogical analysis, this is a book you have to read!