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Non-pharmacological interventions for cognitive impairment due to systemic cancer treatment (Review)
Resumo:
Background
It is estimated that up to 75% of cancer survivors may experience cognitive impairment as a result of cancer treatment and given the increasing size of the cancer survivor population, the number of affected people is set to rise considerably in coming years. There is a need, therefore, to identify effective, non-pharmacological interventions for maintaining cognitive function or ameliorating cognitive impairment among people with a previous cancer diagnosis.
Objectives
To evaluate the cognitive effects, non-cognitive effects, duration and safety of non-pharmacological interventions among cancer patients targeted at maintaining cognitive function or ameliorating cognitive impairment as a result of cancer or receipt of systemic cancer treatment (i.e. chemotherapy or hormonal therapies in isolation or combination with other treatments).
Search methods
We searched the Cochrane Centre Register of Controlled Trials (CENTRAL), MEDLINE, Embase, PUBMED, Cumulative Index of Nursing and Allied Health Literature (CINAHL) and PsycINFO databases. We also searched registries of ongoing trials and grey literature including theses, dissertations and conference proceedings. Searches were conducted for articles published from 1980 to 29 September 2015.
Selection criteria
Randomised controlled trials (RCTs) of non-pharmacological interventions to improve cognitive impairment or to maintain cognitive functioning among survivors of adult-onset cancers who have completed systemic cancer therapy (in isolation or combination with other treatments) were eligible. Studies among individuals continuing to receive hormonal therapy were included. We excluded interventions targeted at cancer survivors with central nervous system (CNS) tumours or metastases, non-melanoma skin cancer or those who had received cranial radiation or, were from nursing or care home settings. Language restrictions were not applied.
Data collection and analysis
Author pairs independently screened, selected, extracted data and rated the risk of bias of studies. We were unable to conduct planned meta-analyses due to heterogeneity in the type of interventions and outcomes, with the exception of compensatory strategy training interventions for which we pooled data for mental and physical well-being outcomes. We report a narrative synthesis of intervention effectiveness for other outcomes.
Main results
Five RCTs describing six interventions (comprising a total of 235 participants) met the eligibility criteria for the review. Two trials of computer-assisted cognitive training interventions (n = 100), two of compensatory strategy training interventions (n = 95), one of meditation (n = 47) and one of physical activity intervention (n = 19) were identified. Each study focused on breast cancer survivors. All five studies were rated as having a high risk of bias. Data for our primary outcome of interest, cognitive function were not amenable to being pooled statistically. Cognitive training demonstrated beneficial effects on objectively assessed cognitive function (including processing speed, executive functions, cognitive flexibility, language, delayed- and immediate- memory), subjectively reported cognitive function and mental well-being. Compensatory strategy training demonstrated improvements on objectively assessed delayed-, immediate- and verbal-memory, self-reported cognitive function and spiritual quality of life (QoL). The meta-analyses of two RCTs (95 participants) did not show a beneficial effect from compensatory strategy training on physical well-being immediately (standardised mean difference (SMD) 0.12, 95% confidence interval (CI) -0.59 to 0.83; I2= 67%) or two months post-intervention (SMD - 0.21, 95% CI -0.89 to 0.47; I2 = 63%) or on mental well-being two months post-intervention (SMD -0.38, 95% CI -1.10 to 0.34; I2 = 67%). Lower mental well-being immediately post-intervention appeared to be observed in patients who received compensatory strategy training compared to wait-list controls (SMD -0.57, 95% CI -0.98 to -0.16; I2 = 0%). We assessed the assembled studies using GRADE for physical and mental health outcomes and this evidence was rated to be low quality and, therefore findings should be interpreted with caution. Evidence for physical activity and meditation interventions on cognitive outcomes is unclear.
Authors' conclusions
Overall, the, albeit low-quality evidence may be interpreted to suggest that non-pharmacological interventions may have the potential to reduce the risk of, or ameliorate, cognitive impairment following systemic cancer treatment. Larger, multi-site studies including an appropriate, active attentional control group, as well as consideration of functional outcomes (e.g. activities of daily living) are required in order to come to firmer conclusions about the benefits or otherwise of this intervention approach. There is also a need to conduct research into cognitive impairment among cancer patient groups other than women with breast cancer.
Resumo:
Trabalho Final do Curso de Mestrado Integrado em Medicina, Faculdade de Medicina, Universidade de Lisboa, 2014
Resumo:
La thérapie antirétrovirale prévient la transmission mère-enfant du VIH dans plus de 98% des cas lorsqu’administrée pendant la grossesse, le travail et au nouveau-né. L’accessibilité à la thérapie antirétrovirale dans près de 70% des 1,5 millions cas de grossesses VIH+ dans le monde mène à la naissance de plus d’un million d’enfants exposés non infectés chaque année. Le nombre d’enfants exposés non infectés est à la hausse ainsi que les préoccupations concernant leur santé. En effet, plusieurs groupes ont signalé une augmentation de la morbidité et de la mortalité chez les enfants exposés non infectés. L’analyse des données rétrospectives de 705 enfants exposés non infectés de la cohorte mère-enfant du CMIS a révélé qu’à 2 mois d’âge, les enfants nés de mères ayant une charge virale supérieure à 1,000 copies d’ARN / ml avaient une fréquence de lymphocytes B significativement plus élevés par rapport aux enfants exposés non infectés nés de mères ayant une charge virale indétectable. L’objectif de cette étude est de caractériser ces anomalies. Les lymphocytes, provenant du sang de cordon ombilical et de sang veineux obtenu à 6 et 12 mois d’âge, ont été phénotypés par cytométrie en flux à l’aide des marqueurs CD3 / CD10 / CD14 / CD16 / CD19 / CD20 / CD21 / CD27 / IgM pour les lymphocytes B et CD4 / CD8 / CD3 / CCR7 / CD45RA pour les lymphocytes T. De plus, afin d’étudier les capacités fonctionnelles des lymphocytes B CD19+, la réponse antigène-spécifique au vaccin antitétanique a été mesurée par marquage avec des tétramères fluorescents de fragment C du toxoïde tétanique. Nos travaux ont mis en évidence des différences statistiquement significatives entre les enfants exposés non-infectés (ENI) nés de mères avec une charge virale détectable comparativement à ceux nés de mères avec une charge virale indétectable. À la naissance, les enfants ENI nés de mères avec une charge virale détectable avaient significativement moins de lymphocytes B totaux, plus de lymphocytes B mémoires classiques, activés, plasmablastes et lymphocytes T CD8+ mémoires centrales. À 6 mois, ils avaient significativement plus de lymphocytes B naïfs et significativement moins de lymphocytes T CD8+ effecteurs mémoires. À 12 mois d’âge, ils avaient significativement plus de lymphocytes B et T CD8+ totaux; significativement moins de lymphocytes T CD4+ totaux et leurs lymphocytes T affichaient un profil significativement plus activé (plus de cellules mémoires). L’analyse de la réponse antigène-spécifique a révélé une fréquence plus élevé de lymphocytes B mémoires IgM+ suggérant que les enfants nés de mères avec une virémie détectable ont plus de mal à établir une mémoire immunitaire efficace face au vaccin antitétanique. Nos données suggèrent qu’il y a exposition durant le premier trimestre de grossesse à la virémie maternelle et que cette exposition impacte le système immunitaire en développement du fœtus. Les mécanismes sous-jacents causant ces anomalies doivent encore être élucidés et l’épuisement du compartiment T à la naissance et à 6 mois reste à être investigué. Dans un pays industrialisé où l’accès aux soins est facilité, ces anomalies ont des conséquences modérées mais dans des pays à faible et moyen revenu, les conséquences peuvent être beaucoup plus tragiques voir fatales.
Resumo:
La thérapie antirétrovirale prévient la transmission mère-enfant du VIH dans plus de 98% des cas lorsqu’administrée pendant la grossesse, le travail et au nouveau-né. L’accessibilité à la thérapie antirétrovirale dans près de 70% des 1,5 millions cas de grossesses VIH+ dans le monde mène à la naissance de plus d’un million d’enfants exposés non infectés chaque année. Le nombre d’enfants exposés non infectés est à la hausse ainsi que les préoccupations concernant leur santé. En effet, plusieurs groupes ont signalé une augmentation de la morbidité et de la mortalité chez les enfants exposés non infectés. L’analyse des données rétrospectives de 705 enfants exposés non infectés de la cohorte mère-enfant du CMIS a révélé qu’à 2 mois d’âge, les enfants nés de mères ayant une charge virale supérieure à 1,000 copies d’ARN / ml avaient une fréquence de lymphocytes B significativement plus élevés par rapport aux enfants exposés non infectés nés de mères ayant une charge virale indétectable. L’objectif de cette étude est de caractériser ces anomalies. Les lymphocytes, provenant du sang de cordon ombilical et de sang veineux obtenu à 6 et 12 mois d’âge, ont été phénotypés par cytométrie en flux à l’aide des marqueurs CD3 / CD10 / CD14 / CD16 / CD19 / CD20 / CD21 / CD27 / IgM pour les lymphocytes B et CD4 / CD8 / CD3 / CCR7 / CD45RA pour les lymphocytes T. De plus, afin d’étudier les capacités fonctionnelles des lymphocytes B CD19+, la réponse antigène-spécifique au vaccin antitétanique a été mesurée par marquage avec des tétramères fluorescents de fragment C du toxoïde tétanique. Nos travaux ont mis en évidence des différences statistiquement significatives entre les enfants exposés non-infectés (ENI) nés de mères avec une charge virale détectable comparativement à ceux nés de mères avec une charge virale indétectable. À la naissance, les enfants ENI nés de mères avec une charge virale détectable avaient significativement moins de lymphocytes B totaux, plus de lymphocytes B mémoires classiques, activés, plasmablastes et lymphocytes T CD8+ mémoires centrales. À 6 mois, ils avaient significativement plus de lymphocytes B naïfs et significativement moins de lymphocytes T CD8+ effecteurs mémoires. À 12 mois d’âge, ils avaient significativement plus de lymphocytes B et T CD8+ totaux; significativement moins de lymphocytes T CD4+ totaux et leurs lymphocytes T affichaient un profil significativement plus activé (plus de cellules mémoires). L’analyse de la réponse antigène-spécifique a révélé une fréquence plus élevé de lymphocytes B mémoires IgM+ suggérant que les enfants nés de mères avec une virémie détectable ont plus de mal à établir une mémoire immunitaire efficace face au vaccin antitétanique. Nos données suggèrent qu’il y a exposition durant le premier trimestre de grossesse à la virémie maternelle et que cette exposition impacte le système immunitaire en développement du fœtus. Les mécanismes sous-jacents causant ces anomalies doivent encore être élucidés et l’épuisement du compartiment T à la naissance et à 6 mois reste à être investigué. Dans un pays industrialisé où l’accès aux soins est facilité, ces anomalies ont des conséquences modérées mais dans des pays à faible et moyen revenu, les conséquences peuvent être beaucoup plus tragiques voir fatales.
Resumo:
Antecedentes: El trasplante renal es la mejor alternativa terapéutica para la enfermedad renal crónica terminal. Los medicamentos inmunosupresores previenen el rechazo. El rechazo mediado por anticuerpos es frecuente y disminuye la función y duración del injerto. Objetivo: Evaluar sistemáticamente la evidencia disponible relacionada con la eficacia y seguridad del tratamiento para el rechazo mediado por anticuerpos en pacientes trasplantados renales. Metodologia: Revisión sistemática en bases de datos MEDLINE, EMBASE, Scopus y Biblioteca virtual de la salud. Literatura gris google scholar, google academico, www.clinicaltrialsregister.eu, and https://clinicaltrials.gov/. Búsqueda manual referencias artículos pre-seleccionados así como de revisiones previamente publicadas. Se siguieron las recomendacioes guia PRISMA para la identificacion de artículos potenciales, tamizaje y selección teniendo en cuenta los criterios de inclusion. Extracción datos de acuerdo a las variables, revisión calidad de los artículos elegidos utilizando evaluación riesgo de segos de Cochrane. Resultados: Se seleccionaron 9 ensayos clínicos publicados entre 1980 y 2016, incluyeron 222 pacientes (113 brazo de intervención y 109 en el control), seguimiento promedio 16 meses. Intervenciones evaluadas plasmaféresis, inmunoadsorción y rituximab. Hubo una amplia heterogeneidad en la definición de criterios de inclusión, criterios diagnósticos de rechazo y medidas de evaluación de eficacia de las intervenciones. Tres estudios encontraron diferencias estadísticamente significativas entre los grupos de tratamiento. Conclusiones: La evidencia sobre la eficacia de los tratamientos del rechazo mediado por anticuerpos en injertos renales es de baja calidad. Son necesarios ensayos clínicos controlados para poder definir el tratamiento óptimo de estos pacientes.