828 resultados para BINGE DRINKING
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The following study was a secondary analysis of data drawn from adolescents in South Western Ontario. The purpose of the study was to: examine the relationships among substance use and school outcomes, explore the relationships between gender and school outcomes, examine the moderating potential of gender on the substance useschool outcomes relationship, and to provide researchers and educators further knowledge of adolescent substance use behaviours. Many previous studies have failed to include the three most common substances used by adolescents (i.e., alcohol, tobacco, and marijuana). Furthermore, many studies have included only one school outcome instead of comparing several outcome variables. Moderated hierarchical regression was used to determine if gender moderated the substance use-school outcomes relationships. The dependent variables consisted of alcohol use, binge drinking, tobacco use, and marijuana use. Five measure of school outcomes were used as independent variables, including Grade Point Average, Positive School-role Behaviour, Negative School Behaviour, School Withdrawal, and School Misbehaviour. The results for this study indicated that substance use and gender were both predictors of all school outcome variables. Furthermore, gender was found to moderate 5 of the 25 substance use-school outcome relationships.
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This study was a secondary analysis of data drawn from the Youth Leisure Study. The purpose of the study was to: a) explore the relationships among physical activity, leisure boredom, and various substance use variables; b) determine if leisure boredom moderated the relationship among physical activity and substance use variables; and c) create a foundation of knowledge with which to educate adolescents and educators of the importance of adopting and maintaining a healthy lifestyle early in life (i.e., free from unhealthy behaviours such as substance use and physical inactivity). Studies examining relationships among physical activity and substance are limited and, in the past, have yielded inconsistent results. The interaction of leisure boredom with physical activity intensity variables, including both team and individual pursuits were tested using moderated hierarchical regression procedures. Six measures of physical activity were used as independent variables, including, frequency of high, medium, and low intensity individual and team physical activities. Various types of substance use, including, tobacco, marijuana, and alcohol use, binge drinking, and drunkenness were used as dependent variables. The results for this study indicated that frequency of physical activity intensity was a consistent, positive predictor of alcohol use and binge drinking, but not tobacco use, marijuana use, or drunkenness. Leisure boredom was found to be a highly significant predictor of tobacco use, however, it was not a moderator of relationships among physical activity intensity and substance use variables. The implications for the study findings, are discussed further, and suggestions for future research are presented.
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La polyconsommation d’alcool et de cannabis est rapportée par un grand nombre de jeunes adultes canadiens (Flight, 2007). Les recherches épidémiologiques suggèrent que le statut de polyconsommateur est associé à certains comportements à risque, dont la consommation excessive d’alcool et la conduite d’un véhicule automobile sous l’influence de l’alcool (Jones et al. 2001; Mohler-Kuo, et al. 2003; Shillington & Clapp, 2006). Les études qui soutiennent le risque accru de comportements à risque pour les polyconsommateurs se focalisent sur l’effet des substances. En rupture avec cette approche, ce mémoire présente une étude situationnelle de la polyconsommation en examinant l’effet du statut de polyconsommateur et, pour ceux-ci l’effet de la consommation simultanée d’alcool et de cannabis, en situant l’action dans son contexte de survenu et en examinant la contribution du contexte. La probabilité d’avoir conduit une voiture sous l’influence de l’alcool et d’avoir consommé excessivement de l’alcool sera examinée auprès d’étudiants universitaires. La contribution respective des substances, des situations et de l’expérience de la vie universitaire sera examinée. La méthodologie employée repose sur la construction de modèles de régression logistique multiniveaux, à la fois chez l’ensemble des buveurs (10 747 occasions, nichées dans 4396 buveurs) et dans le sous-échantillon des polyconsommateurs (2311 occasions de consommation d’alcool, nichées dans 880 polyconsommateurs). Les données sont issues de l’Enquête sur les campus canadiens (2004), menée auprès d’un échantillon représentatif de 6282 étudiants issus de 40 universités. Le statut de polyconsommateur est associé à la consommation excessive d’alcool, mais pas à la conduite d’une voiture suite à la consommation. Cependant, la consommation simultanée d’alcool et de cannabis n’est pas associée à un risque plus élevé de consommer excessivement de l’alcool, et est négativement associée à la conduite d’une voiture après la consommation. Plusieurs caractéristiques situationnelles sont associées aux deux comportements à l’étude et diminuent la force d’association entre ces comportements et le statut de polyconsommateur.
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Cette thèse vise un apport conceptuel et empirique au sujet du rapport à l’alcool chez les hommes et les femmes âgés de 55 ans et plus provenant de la population générale du Canada. Les deux objectifs généraux sont de mieux comprendre l’influence du contexte social/environnemental sur la consommation d’alcool des adultes âgés et de mieux comprendre la relation entre la consommation d’alcool et la santé. La thèse est composée de deux articles empiriques associés à chacun des objectifs. Plus précisément, le premier article tente d’évaluer l’impact des changements associés à l’alcool depuis les années 1990 dans le contexte canadien sur la consommation d’alcool (effet période) en comparant des adultes âgés de 55 à 74 ans provenant de deux enquêtes populationnelles canadiennes : CADS de 1994 (Canada’s Alcohol and other Drugs Survey) et GENACIS de 2004 (GENder, Alcohol, and Culture: an International Study). Il vérifie également si le contexte a un effet significatif sur les différences observées en tenant compte de l’âge, de la perception subjective de la santé et de la composition sociodémographique des échantillons. Les résultats montrent que les taux de buveurs, de consommation excessive, de buveurs de bière et de vin sont plus élevés en 2004, dans un contexte social/environnemental plus favorable à l’alcool. De plus, les profils de consommation d’alcool ne diffèrent pas entre 1994 et 2004 (volume, fréquence, quantité, quantité maximale), signifiant probablement l’influence des changements physiques qui accompagnent le vieillissement normal sur la modulation de la consommation d’alcool avec l’âge. Le deuxième article vise à dégager une typologie de buveurs et de non-buveurs chez les adultes âgés canadiens, à évaluer comment cette typologie est associée à l’état de santé ainsi qu’à comparer le rôle de l’alcool à celui d’un ensemble d’autres déterminants de la santé dans l’association à la santé (ici santé autoperçue). Les résultats issus de l’enquête GENACIS de 2004 montrent que les buveurs se perçoivent en meilleure santé que les non-buveurs, peu importe le profil de consommation d’alcool rapporté. Il est probable que l’état de santé autoperçue dicte le statut de buveur ou de non-buveur et non pas l’inverse. Les résultats montrent aussi que les caractéristiques démographiques, psychosociales et les comportements liés à la santé des adultes âgés sont davantage associés à la perception de leur santé que leur consommation (ou non-consommation) d’alcool seule. Les résultats de ce second article indiquent notamment que les bienfaits de la consommation d’alcool se définissent probablement par la biologie, mais pas seulement par la biologie. Il est recommandé de poursuivre l’étude du rapport à l’alcool chez les adultes âgés qui peut varier d’une cohorte et d’une période à l’autre. D’un point de vue de santé publique, la conceptualisation d’un modèle de santé qui cible les adultes âgés implique une meilleure compréhension de l’impact de la consommation d’alcool et d’autres déterminants de la santé sur l’état de santé. Les contributions et implications pratiques de la thèse ainsi que les principales limites et pistes de futures recherches sont présentées dans la discussion.
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Le décrochage scolaire est un phénomène touchant une proportion importante d’adolescents au Québec. Les facteurs permettant de prédire ce phénomène peuvent être d’ordre individuel, familial, social, scolaire et sociodémographique. Bien que plusieurs études ont permis d’établir un lien significatif entre la consommation de substances psychoactives et le décrochage scolaire, aucune étude ne s’est attardé sur le possible rôle modérateur protecteur de l’environnement socioéducatif sur le lien existant entre ces deux comportements malgré plusieurs indications soutenant un tel effet. Cette étude vise donc à déterminer, à l’aide d’un devis longitudinal prospectif, si le climat relationnel maître-élève joue un rôle modérateur protecteur sur ce lien. L’échantillon utilisé pour cette étude est tiré de la Stratégie d’Intervention Agir Autrement (SIAA) et comprend 728 adolescents. Les données ont été obtenues à l’aide de questionnaires auto-révélés et des données officielles du Ministère de l’éducation, des loisirs et des sports. Des analyses de régressions logistiques ont été effectuées et ont démontré que le climat relationnel maître-élève semble diminuer les risques de décrochage scolaire pour les élèves consommateurs. Effectivement, le climat relationnel semble être un facteur de protection pour les élèves consommateurs réguliers de cannabis identifiés comme un groupe à risque de décrochage scolaire alors qu’il ne l’est pas pour le groupe des non consommateurs et des faibles consommateurs. En revanche, ces analyses n’ont pas permis de détecter un tel effet pour l’intoxication à l’alcool. Les implications de ces résultats sont discutées.
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L’objectif principal du présent mémoire réside dans l’exploration des liens concomitants existant entre les trois dimensions de l’épuisement professionnel telles que définies par Maslach (1981) et la consommation de substances psychoactives, plus précisément au niveau de la consommation épisodique excessive et hebdomadaire à risque d’alcool et de la consommation de médicaments psychotropes. À partir d’un échantillon composé de 1809 travailleurs provenant de 83 milieux de travail québécois, des profils-types correspondant à des formes particulières de comorbidité de santé mentale au travail sont identifiés grâce à la méthode d’analyse en classes latentes. Ainsi quatre profils-types sont dégagés: un premier regroupant les individus dits «sains», dont les scores aux différentes dimensions de l’épuisement professionnel sont faibles et dont la consommation de substances psychoactives est modérée; deux autres correspondant à des formes intermédiaires de risques; et un quatrième rassemblant des travailleurs dits «fragiles» dont les scores pour chacune des dimensions de l’épuisement professionnel se situent dans le quintile le plus élevé et dont les probabilités de consommation de substances psychoactives sont grandes. De plus, cette recherche s’est penchée sur l’identification de facteurs de risque et de protection associés à chacun des profils-types. À cet effet, les résultats des analyses corroborent la plupart des associations retrouvées au sein de la littérature quant aux facteurs du travail (composantes des modèles du stress professionnel de Karasek et Theorell (1990) ainsi que de Siegrist (1990)), hors travail (statut matrimonial, obligations parentales, revenu du ménage) et certaines caractéristiques individuelles (âge et genre). De faibles récompenses et un fort degré de surinvestissement de la part de l’individu se révèlent être des facteurs de risque particulièrement significatifs pour les formes intermédiaires et à risque de comorbidité de la santé mentale au travail. Dans une moindre mesure, une faible utilisation des compétences, des demandes psychologiques élevées, un soutien social inadéquat et le jeune âge expliquent une part de la variation observée entre les différents profils-types. Enfin, les résultats soutiennent une conceptualisation tridimensionnelle de l’épuisement professionnel.
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En la actualidad tanto el consumo de alcohol y marihuana, como las conductas suicidas (ideación e intención suicida) en adultos jóvenes, constituyen un problema de salud pública cuyo impacto a nivel social y emocional, irrumpe el estilo de vida no sólo de quien es consumidor y lleva a cabo conductas suicidas sino al núcleo familiar y social circundante. Hay una especial preocupación por el temprano consumo de estas sustancias, oscilando entre los 15 años en el caso de los hombres y en las mujeres a los 18 años. El objetivo de esta revisión teórica es revisar la evidencia teórica y empírica sobre la conducta suicida (ideación e intención) y el consumo de alcohol y marihuana en adolescentes y adultos jóvenes. Entre otros, los resultados muestran que el consumo de alcohol y la conducta suicida están relacionados y que no hay evidencia empírica sobre la relación entre el consumo de marihuana y esta conducta.
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L’objectiu general d’aquesta tesi és conèixer la prevalença i el patró de consum d’alcohol d’una mostra de 2,137 estudiants de la Universitat de Girona (17-35 anys). S’utilitzà un disseny multimètode integrant la metodologia quantitativa (estudi d’enquesta) amb la metodología qualitativa (grups focals). Un 65% dels joves són consumidors habituals d’alcohol. La influència social de pares, germans i amics és una variable crucial en la iniciació i manteniment del consum d’aquesta droga. El consum habitual és més freqüent entre aquells que van experimentar més precoçment amb la substància. Entre els homes és més habitual el consum massiu, però més dones efectuen consums considerats d’alt risc. Els joves reconeixen algunes repercussions socials de l’abús de l’alcohol però no en perceben per a la salut física. Aquests resultats mostren la necessitat de: endarrerir l’edat de primera experimentació, informar del risc del consum d’alcohol i fomentar un oci nocturn alternatiu i saludable.
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A associação entre consumo de bebidas alcoólicas e a incidência de hipertensão pode ser dependente do padrão de consumo e raça. Em um estudo de coorte de base populacional, foram entrevistados no domicílio 1089 adultos, selecionados ao acaso. A pressão arterial e medidas antropométricas foram aferidas de acordo com recomendações padronizadas. A quantidade de álcool consumida foi avaliada por um questionário de quantidade-freqüência. Binge drinking foi definido pelo consumo de 5 ou mais drinques em uma ocasião para homens ou 4 drinques para mulheres, e abuso de álcool, por consumo de 30 ou mais gramas por dia em homens ou 15 g ou mais em mulheres. Os entrevistadores classificaram a cor da pele dos participantes em brancos e não-brancos. Casos incidentes de hipertensão foram caracterizados por PA ≥ 140/90 mmHg ou uso de medicamento anti-hipertensivo. A razão de risco (RR) para incidência de hipertensão arterial foi computada em modelo de Cox. Entre os 589 indivíduos normotensos na entrevista basal, foram identificados 127 casos incidentes de hipertensão, após um seguimento de 5,6 ± 1,1 anos. Não houve associação de binge drinking e dependência de álcool (CAGE) com a incidência de hipertensão. A RR ajustada (idade, educação) para a incidência de hipertensão (IC 95% ) foi significativa apenas para indivíduos não-brancos que consumiam 30 g ou mais de etanol por dia: 7,3 (1,4 - 39,3). A pressão arterial sistólica aumentou entre os abusadores não brancos 16,1 ± 3,5 mmHg, em comparação com 4,9 ± 1,5 mmHg entre os abusadores brancos (P= 0,004). Indivíduos com ancestrais africanos que consumisam grandes quantidades de álcool apresentaram maior risco de desenvolverem hipertensão arterial. Este risco não foi explicado por binge drinking ou dependência de álcool.
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O objetivo deste trabalho foi investigar as expectativas de homens e mulheres com relação ao uso do álcool e a associação dessas com o comportamento de beber com embriaguez. Foi realizado inquérito epidemiológico, domiciliar, transversal, de base populacional, com amostra probabilística estratificada por conglomerados, na Região Metropolitana de São Paulo, Brasil. Foram entrevistadas 2.083 pessoas de ambos os sexos utilizando-se o questionário GENACIS (Gender, Alcohol and Culture: An International Study). Beber com embriaguez foi considerada variável dependente, e foram construídos modelos de regressão logística para cada sexo, ajustando-se os modelos para idade, escolaridade e renda. Todas as expectativas, exceto achar mais fácil falar com companheiro, associaram-se ao comportamento de beber com embriaguez. Nosso estudo mostrou que beber com embriaguez pode estar associado a expectativas com uso do álcool. Compreender essas expectativas pode contribuir para elaboração de estratégias mais efetivas de prevenção do beber excessivo.
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Como parte do projeto GENACIS, este artigo visou estimar a prevalência de depressão em amostra urbana de São Paulo, Brasil, assim como a associação entre depressão e padrão de uso de álcool segundo gênero. Para tanto, foi realizado inquérito epidemiológico com amostra probabilística e por conglomerados, com um total de 2083 adultos. Utilizou-se o CIDI SF para identificação de depressão. A análise estatística utilizou o teste de Rao Scott e regressão logística multivariada. A taxa de resposta foi de 74,9%. Predominaram mulheres (58,8%), menores de 40 anos de idade (52%). A prevalência de depressão foi de 28,3% para as mulheres e 12,7% para os homens. Entre os homens, 61,1% são de bebedores no último ano e a depressão esteve associada ao padrão de consumo de álcool, à maior frequência de binge drinking e à presença de problemas decorrentes do álcool. Entre as mulheres, 69,5% são abstinentes e a depressão se associou à convivência com cônjuge com problemas devidos ao álcool. Os resultados ressaltam que a associação entre depressão e consumo de álcool é distinta entre os gêneros.
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Pós-graduação em Educação - FFC
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Pós-graduação em Alimentos e Nutrição - FCFAR
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BACKGROUND AND OBJECTIVES: Gross motor (GM) deficits are often reported in children with prenatal alcohol exposure (PAE), but their prevalence and the domains affected are not clear. The objective of this review was to characterize GM impairment in children with a diagnosis of fetal alcohol spectrum disorder (FASD) or moderate to heavy maternal alcohol intake.METHODS: A systematic review with meta-analysis was conducted. Medline, Embase, Allied and Complementary Medicine Database, Cumulative Index to Nursing and Allied Health Literature, PsycINFO, PEDro, and Google Scholar databases were searched. Published observational studies including children aged 0 to <= 18 years with (1) an FASD diagnosis or moderate to heavy PAE, or a mother with confirmed alcohol dependency or binge drinking during pregnancy, and (2) GM outcomes obtained by using a standardized assessment tool. Data were extracted regarding participants, exposure, diagnosis, and outcomes by using a standardized protocol. Methodological quality was evaluated by using Strengthening the Reporting of Observational Studies in Epidemiology guidelines.RESULTS: The search recovered 2881 articles of which 14 met the systematic review inclusion criteria. The subjects' mean age ranged from 3 days to 13 years. Study limitations included failure to report cutoffs for impairment, nonstandardized reporting of PAE, and small sample sizes. The meta-analysis pooled results (n = 10) revealed a significant association between a diagnosis of FASD or moderate to heavy PAE and GM impairment (odds ratio: 2.9; 95% confidence interval: 2.1-4.0). GM deficits were found in balance, coordination, and ball skills. There was insufficient data to determine prevalence.CONCLUSIONS: The significant results suggest evaluation of GM proficiency should be a standard component of multidisciplinary FASD diagnostic services.
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Studies have shown that adolescents begin to make use of alcoholic beverages earlier and excessively, a behavior which has several negative consequences. Thus, the present study aims at investigating whether the expectations they have for the effects of alcohol consumption are high or low and if there is a relationship between expectation and consumption pattern. AUDIT and IECPA were applied as data collection instruments. The first indentifies the pattern of alcohol use and the second investigates the expectations the subjects have in relation to the use of alcohol. The results of this study, differently than others, do not evidence the positive relationship between binge-drinking and high expectations about the use of alcohol.