966 resultados para 340203 Finance Economics
Resumo:
I study local shocks to consumer credit supply arising from the opening
of bank-related retail stores. Bank-related store openings coincide with
sharp increases in credit card placements in the neighborhood of the
store, in the months surrounding the store opening, and with the bank
that owns the store. I exploit this relationship to instrument for new
credit cards at the individual level, and find that obtaining a new
credit card sharply increases total borrowing as well as default risk,
particularly for risky and opaque borrowers. In line with theories of
default externality, I observe that existing lenders react to the
increased consumer borrowing and associated riskiness by contracting
their own supply. In particular, in the year following the issuance of a
new credit card, banks without links to stores reduce credit card limits
by 24-51%, offsetting most of the initial increase in total credit
limits.
Resumo:
I explore and analyze a problem of finding the socially optimal capital requirements for financial institutions considering two distinct channels of contagion: direct exposures among the institutions, as represented by a network and fire sales externalities, which reflect the negative price impact of massive liquidation of assets.These two channels amplify shocks from individual financial institutions to the financial system as a whole and thus increase the risk of joint defaults amongst the interconnected financial institutions; this is often referred to as systemic risk. In the model, there is a trade-off between reducing systemic risk and raising the capital requirements of the financial institutions. The policymaker considers this trade-off and determines the optimal capital requirements for individual financial institutions. I provide a method for finding and analyzing the optimal capital requirements that can be applied to arbitrary network structures and arbitrary distributions of investment returns.
In particular, I first consider a network model consisting only of direct exposures and show that the optimal capital requirements can be found by solving a stochastic linear programming problem. I then extend the analysis to financial networks with default costs and show the optimal capital requirements can be found by solving a stochastic mixed integer programming problem. The computational complexity of this problem poses a challenge, and I develop an iterative algorithm that can be efficiently executed. I show that the iterative algorithm leads to solutions that are nearly optimal by comparing it with lower bounds based on a dual approach. I also show that the iterative algorithm converges to the optimal solution.
Finally, I incorporate fire sales externalities into the model. In particular, I am able to extend the analysis of systemic risk and the optimal capital requirements with a single illiquid asset to a model with multiple illiquid assets. The model with multiple illiquid assets incorporates liquidation rules used by the banks. I provide an optimization formulation whose solution provides the equilibrium payments for a given liquidation rule.
I further show that the socially optimal capital problem using the ``socially optimal liquidation" and prioritized liquidation rules can be formulated as a convex and convex mixed integer problem, respectively. Finally, I illustrate the results of the methodology on numerical examples and
discuss some implications for capital regulation policy and stress testing.
Resumo:
The last three decades have seen social enterprises in the United Kingdom pushed to the forefront of welfare delivery, workfare and area-based regeneration. For critics, this is repositioning the sector around a neoliberal politics that privileges marketization, state roll-back and disciplining community groups to become more self-reliant. Successive governments have developed bespoke products, fiscal instruments and intermediaries to enable and extend the social finance market. Such assemblages are critical to roll-out tactics, but they are also necessary and useful for more reformist understandings of economic alterity. The issue is not social finance itself but how it is used, which inevitably entangles social enterprises in a form of legitimation crises between the need to satisfy financial returns and at the same time keep community interests on board. This paper argues that social finance, how it is used, politically domesticated and achieves re-distributional outcomes is a necessary component of counter-hegemonic strategies. Such assemblages are as important to radical community development as they are to neoliberalism and the analysis concludes by highlighting the need to develop a better understanding of finance, the ethics of its use and tactical compromises in scaling it as an alternative to public and private markets.
Resumo:
Les questions abordées dans les deux premiers articles de ma thèse cherchent à comprendre les facteurs économiques qui affectent la structure à terme des taux d'intérêt et la prime de risque. Je construis des modèles non linéaires d'équilibre général en y intégrant des obligations de différentes échéances. Spécifiquement, le premier article a pour objectif de comprendre la relation entre les facteurs macroéconomiques et le niveau de prime de risque dans un cadre Néo-keynésien d'équilibre général avec incertitude. L'incertitude dans le modèle provient de trois sources : les chocs de productivité, les chocs monétaires et les chocs de préférences. Le modèle comporte deux types de rigidités réelles à savoir la formation des habitudes dans les préférences et les coûts d'ajustement du stock de capital. Le modèle est résolu par la méthode des perturbations à l'ordre deux et calibré à l'économie américaine. Puisque la prime de risque est par nature une compensation pour le risque, l'approximation d'ordre deux implique que la prime de risque est une combinaison linéaire des volatilités des trois chocs. Les résultats montrent qu'avec les paramètres calibrés, les chocs réels (productivité et préférences) jouent un rôle plus important dans la détermination du niveau de la prime de risque relativement aux chocs monétaires. Je montre que contrairement aux travaux précédents (dans lesquels le capital de production est fixe), l'effet du paramètre de la formation des habitudes sur la prime de risque dépend du degré des coûts d'ajustement du capital. Lorsque les coûts d'ajustement du capital sont élevés au point que le stock de capital est fixe à l'équilibre, une augmentation du paramètre de formation des habitudes entraine une augmentation de la prime de risque. Par contre, lorsque les agents peuvent librement ajuster le stock de capital sans coûts, l'effet du paramètre de la formation des habitudes sur la prime de risque est négligeable. Ce résultat s'explique par le fait que lorsque le stock de capital peut être ajusté sans coûts, cela ouvre un canal additionnel de lissage de consommation pour les agents. Par conséquent, l'effet de la formation des habitudes sur la prime de risque est amoindri. En outre, les résultats montrent que la façon dont la banque centrale conduit sa politique monétaire a un effet sur la prime de risque. Plus la banque centrale est agressive vis-à-vis de l'inflation, plus la prime de risque diminue et vice versa. Cela est due au fait que lorsque la banque centrale combat l'inflation cela entraine une baisse de la variance de l'inflation. Par suite, la prime de risque due au risque d'inflation diminue. Dans le deuxième article, je fais une extension du premier article en utilisant des préférences récursives de type Epstein -- Zin et en permettant aux volatilités conditionnelles des chocs de varier avec le temps. L'emploi de ce cadre est motivé par deux raisons. D'abord des études récentes (Doh, 2010, Rudebusch and Swanson, 2012) ont montré que ces préférences sont appropriées pour l'analyse du prix des actifs dans les modèles d'équilibre général. Ensuite, l'hétéroscedasticité est une caractéristique courante des données économiques et financières. Cela implique que contrairement au premier article, l'incertitude varie dans le temps. Le cadre dans cet article est donc plus général et plus réaliste que celui du premier article. L'objectif principal de cet article est d'examiner l'impact des chocs de volatilités conditionnelles sur le niveau et la dynamique des taux d'intérêt et de la prime de risque. Puisque la prime de risque est constante a l'approximation d'ordre deux, le modèle est résolu par la méthode des perturbations avec une approximation d'ordre trois. Ainsi on obtient une prime de risque qui varie dans le temps. L'avantage d'introduire des chocs de volatilités conditionnelles est que cela induit des variables d'état supplémentaires qui apportent une contribution additionnelle à la dynamique de la prime de risque. Je montre que l'approximation d'ordre trois implique que les primes de risque ont une représentation de type ARCH-M (Autoregressive Conditional Heteroscedasticty in Mean) comme celui introduit par Engle, Lilien et Robins (1987). La différence est que dans ce modèle les paramètres sont structurels et les volatilités sont des volatilités conditionnelles de chocs économiques et non celles des variables elles-mêmes. J'estime les paramètres du modèle par la méthode des moments simulés (SMM) en utilisant des données de l'économie américaine. Les résultats de l'estimation montrent qu'il y a une évidence de volatilité stochastique dans les trois chocs. De plus, la contribution des volatilités conditionnelles des chocs au niveau et à la dynamique de la prime de risque est significative. En particulier, les effets des volatilités conditionnelles des chocs de productivité et de préférences sont significatifs. La volatilité conditionnelle du choc de productivité contribue positivement aux moyennes et aux écart-types des primes de risque. Ces contributions varient avec la maturité des bonds. La volatilité conditionnelle du choc de préférences quant à elle contribue négativement aux moyennes et positivement aux variances des primes de risque. Quant au choc de volatilité de la politique monétaire, son impact sur les primes de risque est négligeable. Le troisième article (coécrit avec Eric Schaling, Alain Kabundi, révisé et resoumis au journal of Economic Modelling) traite de l'hétérogénéité dans la formation des attentes d'inflation de divers groupes économiques et de leur impact sur la politique monétaire en Afrique du sud. La question principale est d'examiner si différents groupes d'agents économiques forment leurs attentes d'inflation de la même façon et s'ils perçoivent de la même façon la politique monétaire de la banque centrale (South African Reserve Bank). Ainsi on spécifie un modèle de prédiction d'inflation qui nous permet de tester l'arrimage des attentes d'inflation à la bande d'inflation cible (3% - 6%) de la banque centrale. Les données utilisées sont des données d'enquête réalisée par la banque centrale auprès de trois groupes d'agents : les analystes financiers, les firmes et les syndicats. On exploite donc la structure de panel des données pour tester l'hétérogénéité dans les attentes d'inflation et déduire leur perception de la politique monétaire. Les résultats montrent qu'il y a évidence d'hétérogénéité dans la manière dont les différents groupes forment leurs attentes. Les attentes des analystes financiers sont arrimées à la bande d'inflation cible alors que celles des firmes et des syndicats ne sont pas arrimées. En effet, les firmes et les syndicats accordent un poids significatif à l'inflation retardée d'une période et leurs prédictions varient avec l'inflation réalisée (retardée). Ce qui dénote un manque de crédibilité parfaite de la banque centrale au vu de ces agents.
Resumo:
In my PhD thesis I propose a Bayesian nonparametric estimation method for structural econometric models where the functional parameter of interest describes the economic agent's behavior. The structural parameter is characterized as the solution of a functional equation, or by using more technical words, as the solution of an inverse problem that can be either ill-posed or well-posed. From a Bayesian point of view, the parameter of interest is a random function and the solution to the inference problem is the posterior distribution of this parameter. A regular version of the posterior distribution in functional spaces is characterized. However, the infinite dimension of the considered spaces causes a problem of non continuity of the solution and then a problem of inconsistency, from a frequentist point of view, of the posterior distribution (i.e. problem of ill-posedness). The contribution of this essay is to propose new methods to deal with this problem of ill-posedness. The first one consists in adopting a Tikhonov regularization scheme in the construction of the posterior distribution so that I end up with a new object that I call regularized posterior distribution and that I guess it is solution of the inverse problem. The second approach consists in specifying a prior distribution on the parameter of interest of the g-prior type. Then, I detect a class of models for which the prior distribution is able to correct for the ill-posedness also in infinite dimensional problems. I study asymptotic properties of these proposed solutions and I prove that, under some regularity condition satisfied by the true value of the parameter of interest, they are consistent in a "frequentist" sense. Once I have set the general theory, I apply my bayesian nonparametric methodology to different estimation problems. First, I apply this estimator to deconvolution and to hazard rate, density and regression estimation. Then, I consider the estimation of an Instrumental Regression that is useful in micro-econometrics when we have to deal with problems of endogeneity. Finally, I develop an application in finance: I get the bayesian estimator for the equilibrium asset pricing functional by using the Euler equation defined in the Lucas'(1978) tree-type models.
Resumo:
This paper provides a brief review of the connecting literature in management science, economics and finance, and discusses some research that is related to the three disciplines. Academics could develop theoretical models and subsequent econometric models to estimate the parameters in the associated models, and analyze some interesting issues in the three disciplines.