984 resultados para super-orbital re-entry
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El grup de recerca AMADE de la Universitat de Girona està especialitzat en la caracteritzacióde materials compòsits. Per avaluar la resistència i la tolerà ncia al dany d'aquestes estructures,tÃpicament es realitzen dos assajos: impacte a baixa velocitat i compressió després d'impacte(CAI per les sigles en anglès de Compression After Impact), respectivament. L'objectiu del'assaig CAI és obtenir la resistència residual a compressió de l'estructura.L'objectiu d'aquest treball és el de crear una adaptació per l'utillatge capaç d'assajar plaquesamb baix gruix . La modelització amb el mètode dels elements finits serveix per avaluar quantitativament el valorde les cà rregues crÃtiques de vinclament per diferents gruixos de placa.Les plaques d'assaig són plaques de material compòsit amb là mines unidireccionals amb apilamentsimètric i balancejat
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The aim of this study was to prospectively assess the prevalence of orthoptic anomalies following conservative management of pure blowout orbital fractures and to evaluate their clinical relevance. Clinical and radiologic data of patients with unilateral conservatively managed pure blowout orbital fractures with a minimum follow-up of 6 months were reviewed. Eligible patients were contacted and invited to undergo an extended ophthalmologic examination as follows: distance and near visual acuities, Hertel exophthalmometry, corneal light reflex (Hirschberg test), ductions and versions in the 6 cardinal fields of gaze, eye deviation with prisms and alternate cover test in all of the 9-gaze directions with Maddox rod, degrees of incyclo/excyclotorsion with right and left eye fixation, horizontal and vertical deviation with Hess-Weiss coordimetry, degree of horizontal/vertical and incyclo/excyclotorsion deviation with Harms wall deviometry, and vertical deviation with Bielschowsky head-tilt test. Of the 69 patients contacted, 49 declined to participate given that they were asymptomatic. Twenty patients agreed to undergo the examination. One patient complained of minimal double vision limited to the extreme downgaze. Four patients had asymptomatic ocular motility disturbances limited to the extreme gaze. Seven patients had asymptomatic horizontal heterophoria. These disturbances did not interfere with daily or professional activities in any of the patients. The current study demonstrated that conservative management of pure orbital blowout fractures can result in orthoptic anomalies. These sequelae were restricted to a very limited portion of the binocular field of the vision and were not found to be clinically relevant.
Images de rythmes cérébraux entre clinique et subjectivation. L'exemple du neurofeedback
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We examine entry mode choice and its consequences when a multinational enterprise (MNE) expands into an institutionally different country. We argue that discussions of entry mode should distinguish between informal (e.g., culture) and formal (e.g., laws) institutions, and should take into account not just the home country of the MNE and its distance to the focal host country, but the MNE's overall footprint and experience across the world in general, especially in countries with an institutional structure that is similar to that of the focal host country. Specifically, we argue that firms with experience in countries with different informal institutions will be more likely to enter via acquisitions than firms without such experience, that such experience will not matter as much in the case of formal institutions, and that such firms will exit more quickly when they enter via equity alliances than through full acquisitions. We also distinguish between balanced and unbalanced alliances and argue that balanced alliances will be more enduring, but only when the host country is culturally (not legally) different from the other countries where the MNE has experience. Our arguments suggest that entry mode should be conditioned on a firm's experience in other markets, and that intercountry differences in formal versus informal institutions have distinct influences on entry mode.
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Dans le contexte des soins intensifs pédiatriques, la douleur est une préoccupation majeure et quotidienne pour l'équipe soignante. Les patients sont vulnérables de par leur condition et les multiples stimulations douloureuses auxquelles ils sont exposés. En dépit des données probantes démontrant l'importance d'une évaluation de la douleur, le traitement de celle-ci reste non optimal dans cette population vulnérable. Une douleur inadéquatement traitée peut causer de nombreuses complications à moyen et à long terme. L'évaluation de la douleur chez le patient ventilé et non communicant représente un défi important, rendu complexe par l'utilisation concomitante de médicaments sédatifs et analgésiques qui peuvent masquer ou altérer les comportements de la douleur. Il existe des outils d'évaluation adaptés à cette population vulnérable, mais l'interprétation des scores reste difficile. L'évaluation de la douleur demande aux infirmières des connaissances et compétences élevées à même d'être mobilisées lors d'un processus complexe lié au raisonnement clinique. Le but de cette étude descriptive et observationnelle est de déterminer les indicateurs utilisés par les infirmières expertes des soins intensifs de pédiatrie lors de l'évaluation de la douleur chez le patient ventilé et non communicant, sous analgésie et sédation. Un échantillon de convenance de dix infirmières expertes travaillant dans une unité de soins intensifs pédiatriques d'un hôpital universitaire de Suisse romande a participé à cette étude. Les données ont été récoltées par l'enregistrement de la verbalisation du raisonnement clinique au lit du patient, complété par une observation non participante et un entretien semi-structuré. Le développement d'un cadre théorique constitué d'un modèle de raisonnement clinique expert et d'une modélisation du décodage de la douleur a permis de réaliser une analyse de contenu des enregistrements. Les résultats montrent une utilisation importante des indicateurs physiologiques, en lien avec la stabilité clinique du patient qui est un critère essentiel pour la prise de décision lors de la gestion de la douleur. La difficulté à discriminer l'agitation résultant de la douleur ou d'autres causes est également omniprésente. Les expertes anticipent et préviennent la survenue de la douleur en s'appuyant sur leurs connaissances et les situations de patient déjà rencontrées. Le contexte clinique influence de manière prépondérante le raisonnement clinique et les indicateurs utilisés lors de l'évaluation et la gestion de la douleur. Celle-ci doit être évaluée de manière combinée avec la stabilité clinique du patient et son niveau de sédation. De futures recherches sont nécessaires pour confirmer ces résultats réalisés avec un échantillon de petite taille et un devis observationnel.
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La lithiase rénale est une pathologie connue depuis très longtemps. Elle est très intéressante d'un point de vue épidémiologique car elle est présente dans le monde entier et reflète les habitudes alimentaires, les conditions sanitaires et le niveau de vie des populations. En effet, sa localisation, sa nature et son âge d'apparition sont associés au niveau économique d'une population donnée. Dans les pays ayant un niveau socioéconomique bas, les enfants jusqu'à 10 ans sont plus touchés que les adultes, avec un rapport garçons/filles très élevé, atteignant plus de 10. La localisation des calculs rénaux est surtout vésicale et ils sont composés majoritairement de phosphate ou d'acide urique. Par contre, dans les populations avec un niveau socioéconomique plus élevé comme c'est le cas actuellement en Europe, les adultes entre 30 et 50 ans sont majoritairement touchés avec un rapport hommes/femmes situé entre 1.5 et 2.5. La lithiase est essentiellement rénale et composée d'oxalate de calcium. Actuellement, dans la plupart des pays du monde, le calcul a une localisation rénale et est de nature oxalo-calcique, reflétant une amélioration des conditions de vie et un meilleur niveau de médicalisation. Peu de pays possèdent les moyens d'effectuer de larges études pour estimer la prévalence de la lithiase rénale. Cependant, toutes les études effectuées confirment que les calculs rénaux sont en progression dans le monde entier. Une forte augmentation de la prévalence de la lithiase rénale a notamment été observée depuis la fin de la deuxième guerre mondiale avec une mise sur le marché plus importante ainsi qu'une consommation croissante de boissons sucrées, de protéines animales et de chocolat riche en oxalate avec en parallèle une diminution de la consommation de produits laitiers et une sédentarisation de la population. La lithiase rénale comprend en effet des facteurs de risques environnementaux et sa progression est donc en grande partie due aux changements des habitudes de vie. Au cours des dernières décennies, les changements de mode de vie ont également favorisé l'augmentation de l'hypertension artérielle, de l'obésité ainsi que du diabète dans la population générale, eux-mêmes associés à la lithiase rénale. Différentes études illustrent la prévalence croissante des calculs rénaux. Des études scandinaves datant de 1970-1980 démontrent que 19% des hommes de plus de 60 ans avaient des antécédents de lithiase urinaire. Aux États-Unis, l'étude de Stamatelou et al. (1) a démontré une progression de la lithiase rénale de 3.2% entre 1976 et 1980 et de 5.2% entre 1988 et 1994. En Allemagne, la prévalence de la lithiase rénale a augmenté de 17% entre 1980 et 2000. En 2001 en Espagne, 10% des sujets de plus de 60 ans avaient une lithiase rénale. L'étude française SU.VI.MAX a notamment révélé une prévalence de calculs rénaux de 9.5% chez les personnes de plus de 45 ans avec une prédominance masculine, 13.6% chez les hommes et 7.6% chez les femmes. Le rapport hommes/femmes était de 2.35 avec une tendance à la baisse. L'âge du premier calcul était en moyenne à 35 ans chez les hommes et à 30 ans chez les femmes. Plus de la moitié des patients lithiasiques de l'étude SU.VI.MAX récidivent au cours de leur vie, 54% des hommes et 52% des femmes. Le nombre d'épisodes dans la vie d'une personne ayant eu une fois un calcul rénal était en moyenne de 3, avec un intervalle moyen de 3.5 ans entre deux récidives.
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Ne réaliser que l'on est enceinte seulement lors de l'accouchement ? N'avoir aucun ou peu des symptômes habituels de la grossesse ? Ce phénomène étonnant appelé déni de grossesse (DG) existe et n'est pas aussi rare que l'on pourrait le penser1. Dans la littérature, la plupart des articles mentionnent une prévalence de 2 à 3 cas pour 1000 accouchements2. Le DG n'a pas une définition considérée comme universelle, mais globalement nous pouvons le définir comme étant la « non-reconnaissance d'une grossesse au-delà du premier trimestre, qui peut se prolonger jusqu'à l'accouchement et recouvrir ce dernier»2, nous parlons respectivement, à partir de 14 semaines d'aménorrhée, de déni partiel et total. Bien que les dénis partiels soient plus fréquents que les dénis totaux, ces derniers sont les plus impressionnants. Dans la population générale ainsi qu'au sein des professionnels de la santé ce phénomène est encore considéré comme « impossible », il reste incompris ou est, de façon présumée, lié à des causes bien spécifiques comme par exemple un très jeune âge, une origine étrangère ou un bas niveau social. Realising you're pregnant only while giving birth ? Having no or few of the usual symptoms of pregnancy? This strange phenomenon exists and is called denial of pregnancy, and it's not as rare as one might think1. Most research articles mention a prevalence of 2-3 cases per 1000 births2. Denial of pregnancy doesn't have a universal definition, but can be defined as the « unawareness of a pregnancy after the first trimester, which can last until and even through birth »2. We will therefore subsequently speak of partial or complete denial. While partial denial is more frequent than complete denial, the latter is the most impressive. Among general population and professionals, this phenomenon is still considered as «impossible», keeps beeing misunderstood or is attributed to specific causes, such as younger age, foreign nationality or low socioeconomic status. A better understanding of this phenomenon would allow us to improve the care of the women affected. Objectifs : 1. Définir la terminologie et l'entité « déni de grossesse ». 2. Réaliser une étude rétrospective à partir des archives médicales du CHUV afin d'analyser le phénomène en fonction de plusieurs caractéristiques bien définies puis comparer les résultats obtenus avec la littérature. Méthodes : Il s'est agit d'effectuer une revue de littérature à partir de recherches au centre de documentation et planning familial de Genève, dans les bases de données informatiques telles que PubMed/MedLine, SAPHIR, Web of Science ainsi que de la lecture de plusieurs livres (cf. Bibliographie). Nous avons parcouru non seulement les archives papier mais surtout les archives électroniques des dossiers des patientes admises pour un diagnostic de DG partiel ou total (ou de grossesse méconnue/ non suivie) dans le service de gynécologie-obstétrique (DGO) du CHUV entre 1999 et 2012. A partir du recueil de données, nous avons analysé la répartition du DG en fonction de plusieurs paramètres tels que la classe d'âge, le milieu social, les éventuelles grossesses antérieures, la réaction de la famille en particulier du partenaire/mari ainsi que l'évolution ou l'issue de ces situations cliniques. La documentation à disposition n'a permis qu'une recherche de cas dans les dossiers d'obstétrique. Cette approche ne tient ainsi pas compte des DG qui se sont soldées par une interruption de grossesse ou un avortement spontané du 2e trimestre. Nous avons étudié uniquement les DG dont les grossesses ont aboutit à un accouchement. Résultats : Le déni de grossesse s'est révélé être un phénomène fréquent aussi au CHUV avec une prévalence de 2 pour 1000 naissances. Les DG partiels (90%) ont été plus fréquents que les DG totaux (10%). Les adolescentes représentaient une minorité des patientes (7%). En moyenne, les femmes étaient âgées de 27 ans ; elles ont découvert leur grossesse aux allentours de la 25ème semaine d'aménorrhée (SA) en moyenne et étaient en majorité de nationalité étrangère (68%) ce qui ne diffère pas des proportions habituellement retrouvées dans les consultations obstétricales au sein du CHUV. Les enfants nés suite à un DG avaient un poids et une taille dans la norme avec une moyenne de 2934.7 grammes et une taille moyenne de 47.5 centimètres. Nous notons une prise pondérale d'en moyenne 11 kilogrammes et une augmentation du BMI de 5 points par rapport au BMI habituel. Seule une minorité de patientes consommaient activement ou avouent avoir consommé des substances illicites durant la grossesse (17%). Le tabac est le toxique le plus consommé (44%). Les patientes viennent de tous les milieux socio-économiques, bien qu'une part importante travaille dans le secteur tertiaire. Les femmes n'habitent généralement pas seules, ce qui prouve que le DG peut être « contagieux ». La plupart (62%) sont hospitalisées durant le même nombre de jours que les patientes qui ne font pas de DG, soit habituellement entre 4 et 5 jours. Le service de divers spécialistes comme les pédopsychiatres, les sages-femmes conseillères en périnatalité, le service social ou d'autres professionnels de santé a systématiquement été sollicité afin de répondre au mieux aux besoins des patientes en adaptant chaque situation au cas par cas en fonction des éventuelles demandes de la patiente ainsi que de l'évaluation clinique. Conclusion: Le DG n'a pas encore une définition claire considérée comme universelle, bien que ce terme soit utilisé depuis 1970 dans la pratique médicale courante. Les résultats de notre étude correspondent globalement aux résultats de la littérature. De manière générale, force est de constater qu'il n'y a pas de caractéristiques propres aux femmes victimes de DG que ce soit dans notre étude ou dans la littérature, ce qui nous empêche de dresser le portrait exact d'une personne à risque et ainsi prévenir de futurs cas.  La prise en charge s'est systématiquement déroulée en collaboration avec une équipe multidisciplinaire. Connaître les circonstances du DG permettrait d'éviter toute stigmatisation et mauvaise prise en charge. Nous ne pouvons pas espérer prévenir totalement le DG mais nous pouvons limiter ses conséquences. Une façon de le faire serait d'amener ce phénomène à la connaissance de tous, qu'ils soient des professionnels de la santé ou non. Pour les médecins, il s'agit de considérer une telle possibilité face à une femme en âge de procréer qui consulte pour des douleurs abdominales ou l'apparition d'autres symptômes liés habituellement à une grossesse comme par exemple les nausées, une prise de poids avec ou sans aménorrhée. Le DG est une expérience souvent traumatique. L'issue n'est pas nécessairement dramatique ni pour la mère, l'enfant, le géniteur ou l'entourage. Plus la découverte se fait tôt dans la grossesse plus il reste de temps pour l'encadrement et l'acceptation de celle-ci.
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Récemment encore, la neuro-genèse chez le primate adulte était supposée limitée aux régions précises que sont le bulbe olfactif, la zone sous-granulaire de l'hippocampe et la région sous- ventriculaire. Depuis lors, des cellules neurales progénitrices distribuées dans l'ensemble du cortex du primate adulte furent mises en évidence. Cultivées in vitro, ces cellules forment des écosystèmes cellulaires nerveux constitués de progéniteurs neuronaux, d'astrocytes et d'oligo- dendrocytes. Transplantés sur un modèle de primate parkinsonien, certains progéniteurs complètent leur différentiation en neurones matures et développent des propriétés neuro- trophiques et neuro-protectrices. Injectées aux environs d'une lésion cérébrale, ces cellules offrent un bénéfice fonctionnel et comportemental significatif. Le présent projet mesure l'activité électro-physiologique du tissu nerveux obtenu par culture de biopsies corticales humaines adultes, de sorte à déterminer son aptitude à intégrer l'information. Des biopsies corticales humaines adultes furent cultivées in vitro avec succès sur un support Micro-Electrode-Array. Cette technologie permet l'acquisition d'enregistrements électro- physiologiques à l'échelle des circuits, au sein d'un tissu maintenu en culture. En parallèle, une mesure de l'activité à l'échelle cellulaire fut obtenue par l'application du Patch Clamp à des cellules cultivées sur un support de verre. Malgré une culture prolongée et l'induction d'une différentiation neuronale, aucune activité électro-physiologique significative ne put être démontrée. Une analyse phénotypique à un stade intermédiaire de culture montra l'expression prometteuse du marqueur neuronal précoce β-Tubulin-III. Cependant, après l'induction d'une différenciation neuronale, la surprenante co-expression de marqueurs astroglial (GFAP) et neuronal (MAP2) fut constatée. Le silence électro-physiologique issu des enregistrements sur MEA peut être l'oeuvre d'un isolement des cellules électriquement actives, et d'un défaut d'organisation en réseau. Une interposition de tissu glial entre neurones et électrodes peut également absorber le signal. Par ailleurs, les cellules enregistrées par Patch Clamp furent déterminées selon le seul critère morphologique ; leur nature exacte demeure inconnue. Les analyses phénotypiques laissent supposer l'entrée dans une voie de maturation neuronale par l'expression du marqueur β- Tubulin-III. Toutefois le phénotype exprimé au terme du processus de culture reste incertain. Des facteurs de maturation ou environnementaux semblent faire défaut à la complétion d'une différentiation neuronale. La culture de neurones bien différenciés et électriquement actifs appelle de nouvelles études in vivo, ainsi qu'une analyse fine des voies intracellulaires de maturation.
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PURPOSE: Orbital tumor recurrence is a rare but serious complication in children with retinoblastoma, leading to a high risk of metastasis and death. Therefore, we assume that these recurrences have to be detected and treated as early as possible. Preliminary studies used magnetic resonance imaging (MRI) to evaluate postsurgical findings in the orbit. In this study, we assessed the diagnostic accuracy of high-resolution MRI to detect orbital tumor recurrence in children with retinoblastoma in a large study cohort. DESIGN: Consecutive retrospective study (2007-2013) assessing MRI findings after enucleation. PARTICIPANTS: A total of 103 MRI examinations of 55 orbits (50 children, 27 male/23 female, mean age 16.3±12.4 months) with a median time of 8 months (range, 0-93) after enucleation for retinoblastoma. METHODS: High-resolution MRI using orbital surface coils was performed on 1.5 Tesla MRI systems to assess abnormal orbital findings. MAIN OUTCOME MEASURES: Five European experts in retinoblastoma imaging evaluated the MRI examinations regarding the presence of abnormal orbital gadolinium enhancement and judged them as "definitive tumor," "suspicious of tumor," "postsurgical condition/scar formation," or "without pathologic findings." The findings were correlated to histopathology (if available), MRI, and clinical follow-up. RESULTS: Abnormal orbital enhancement was a common finding after enucleation (100% in the first 3 months after enucleation, 64.3% >3 years after enucleation). All histopathologically confirmed tumor recurrences (3 of 55 orbits, 5.5%) were correctly judged as "definitive tumor" in MRI. Two orbits from 2 children rated as "suspicious of tumor" received intravenous chemotherapy without histopathologic confirmation; further follow-up (67 and 47 months) revealed no sign of tumor recurrence. In 90.2%, no tumor was suspected on MRI, which was clinically confirmed during follow-up (median follow-up after enucleation, 45 months; range, 8-126). CONCLUSIONS: High-resolution MRI with orbital surface coils may reliably distinguish between common postsurgical contrast enhancement and orbital tumor recurrence, and therefore may be a useful tool to evaluate orbital tumor recurrence after enucleation in children with retinoblastoma. We recommend high-resolution MRI as a potential screening tool for the orbit in children with retinoblastoma to exclude tumor recurrence, especially in high-risk patients within the critical first 2 years after enucleation.
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Cet ouvrage réunit des spécialistes de l'étude de la bande dessinée qui proposent une série d'éclairages sur la manière dont les productions culturelles européennes ont diffusé, exploité, reformulé ou détourné l'imaginaire et le langage des comics venus d'outre-Atlantique. L'approche se veut résolument comparative, interculturelle et intermédiale : les chercheurs abordent autant Edgar P. Jacobs ou les récents albums de Serge Lehman que les séries TV de science-fiction britanniques ou les films d'Alain Resnais, et se proposent d'interroger la réception et les réappropriations de motifs et genres populaires situés au croisement d'influences et de références diverses. La production américaine est ainsi discutée dans toute sa richesse, des super-héros à l'underground, à travers des (re)lectures proposées en Europe.
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[cat] Mentre que una creixent literatura que ha examinat la relació entre la renda i la despesa sanità ria suggereix que els serveis sanitaris són un be de luxe (elasticitat renda superior a la unitat), aquesta conclusió es contÃnuament debatuda atesa l'heterogeneïtat dels resultats. Aquest article testa la hipòtesis dels serveis sanitaris com bens de luxe fent server anà lisi de meta- regressió, particularment analitzant l'existència de biaixos de selecció de publicació, precisió aixà com biaixos d'agregació. Els resultats apunten l'existència d'un biaix de publicació, robust independentment dels controls analitzats. Els biaixos de precisió i agregació semblen tenir un paper en la generació de les estimacions de l'elasticitat renda. Els nostres resultat suggereixen que l'elasticitat renda dels serveis sanitaris un cop corregir pels biaixos esmentat varien entre 0.26 i 0.84, però no podem rebutjar que la elasticitat renda es igual a la unitat en algunes estimacions de l'elasticitat corregides.