Identifying the best body mass index metric to assess adiposity change in children.

OBJECTIVE: Although dual-energy X-ray absorptiometry (DEXA) is the preferred method to estimate adiposity, body mass index (BMI) is often used as a proxy. However, the ability of BMI to measure adiposity change among youth is poorly evidenced. This study explored which metrics of BMI change have the highest correlations with different metrics of DEXA change. METHODS: Data were from the Quebec Adipose and Lifestyle Investigation in Youth cohort, a prospective cohort of children (8-10 years at recruitment) from Québec, Canada (n=557). Height and weight were measured by trained nurses at baseline (2008) and follow-up (2010). Metrics of BMI change were raw (ΔBMIkg/m(2) ), adjusted for median BMI (ΔBMIpercentage) and age-sex-adjusted with the Centers for Disease Control and Prevention growth curves expressed as centiles (ΔBMIcentile) or z-scores (ΔBMIz-score). Metrics of DEXA change were raw (total fat mass; ΔFMkg), per cent (ΔFMpercentage), height-adjusted (fat mass index; ΔFMI) and age-sex-adjusted z-scores (ΔFMz-score). Spearman's rank correlations were derived. RESULTS: Correlations ranged from modest (0.60) to strong (0.86). ΔFMkg correlated most highly with ΔBMIkg/m(2) (r = 0.86), ΔFMI with ΔBMIkg/m(2) and ΔBMIpercentage (r = 0.83-0.84), ΔFMz-score with ΔBMIz-score (r = 0.78), and ΔFMpercentage with ΔBMIpercentage (r = 0.68). Correlations with ΔBMIcentile were consistently among the lowest. CONCLUSIONS: In 8-10-year-old children, absolute or per cent change in BMI is a good proxy for change in fat mass or FMI, and BMI z-score change is a good proxy for FM z-score change. However change in BMI centile and change in per cent fat mass perform less well and are not recommended.

Testing the bivariate distribution of daily equity returns using copulas: an application to the Spanish stock market

In this paper we deal with the identification of dependencies between time series of equity returns. Marginal distribution functions are assumed to be known, and a bivariate chi-square test of fit is applied in a fully parametric copula approach. Several families of copulas are fitted and compared with Spanish stock market data. The results show that the t-copula generally outperforms other dependence structures, and highlight the difficulty in adjusting a significant number of bivariate data series

Redox index of soil carbon stability

As an alternative to the relatively complex and expensive spectroscopic methods, the redox properties of humic acids, determined by potentiometric titrations, have been used to evaluate the stability of soil organic C. The objective of the present study was to establish a Redox Index of C Stability (RICS) and to correlate it with some properties of the humic acids extracted from different modal soils in Brazil (distinct weathering stages or management) to facilitate system comparison. The RICS was efficient for soil comparison and variations were comparable to those of the chemical and spectroscopic methods used for humic acid characterization. The values of soil pH, point of zero salt effect, sum of bases, exchangeable Ca content, weathering index, as well as the humic acid O/C ratio, quinone and semiquinone free radical contents, aromatic C and fluorescence intensity were closely related with the RICS. The RICS was higher in less weathered soils, with more active clays and higher fertility. The RICS values of soils under long-term sugarcane management were ranked in decreasing order: unburned, burned with vinasse, burned without vinasse.

The pneumonia severity index: a decade after the initial derivation and validation

The prognosis of community-acquired pneumonia ranges from rapid resolution of symptoms and full recovery of functional status to the development of severe medical complications and death. The pneumonia severity index is a rigorously studied prediction rule for prognosis that objectively stratifies patients into quintiles of risk for short-term mortality on the basis of 20 demographic and clinical variables routinely available at presentation. The pneumonia severity index was derived and validated with data on >50,000 patients with community-acquired pneumonia by use of well-accepted methodological standards and is the only pneumonia decision aid that has been empirically shown to safely increase the proportion of patients given treatment in the outpatient setting. Because of its prognostic accuracy, methodological rigor, and effectiveness and safety as a decision aid, the pneumonia severity index has become the reference standard for risk stratification of community-acquired pneumonia

Analyse économique et comportements à risque

Introduction Le cadre conceptuel de l'analyse économique considère que l'individu prend des décisions en mettant en balance les avantages et les inconvénients que ces décisions présentent pour lui. En s'appuyant sur ses préférences et en intégrant ses contraintes (matérielles, physiques, externes, etc.), il choisit d'effectuer ou non une action, d'adopter ou pas un comportement, de façon à ce que les conséquences de ses choix maximisent sa satisfaction. Le fait qu'un individu adopte un certain comportement révèle donc le caractère positif pour lui des conséquences de ce comportement. C'est le postulat méthodologique de rationalité du consommateur, fondement de toute analyse économique. L'adoption par un individu d'un comportement qui implique un risque pour son bien-être physique ou mental suit le même schéma d'analyse. Il résulte d'un arbitrage inter temporel entre la satisfaction que procure ce comportement et le coût du risque associé. Ce risque se définit par la combinaison de la probabilité d'occurrence de l'événement redouté avec la gravité de ses conséquences. En adoptant un comportement à risque, l'individu révèle donc que ce comportement a pour lui un impact net positif. Certains comportements à risque, comme la consommation de tabac et, plus largement, de psychotropes, engendrent une dépendance à même de brider le libre-arbitre du consommateur. Un individu peut être amené à consommer un produit alors même que sa raison lui dicte de ne pas le faire. Ces comportements ont longtemps été considérés par les économistes comme extérieurs au champ d'analyse de leur discipline, la dépendance paraissant antinomique avec le concept de rationalité du consommateur. Par son modèle de dépendance rationnelle, Gary Stanley Becker prend le contre-pied de cette approche en montrant qu'un comportement de dépendance pouvait parfaitement s'expliquer par la maximisation de la fonction de satisfaction d'un individu rationnel et informé. Il postule que les consommateurs de stupéfiants sont conscients des conséquences futures de leurs décisions présentes, tant du point de vue de leur santé que de celui de la dépendance. Dans ce modèle, la dépendance implique deux effets le renforcement et la tolérance. Le renforcement signifie que plus un bien a été consommé dans le passé, plus l'augmentation de sa consommation courante est valorisée. En d'autres termes, l'utilité marginale de la consommation courante augmente avec la consommation antérieure. La tolérance traduit le fait qu'un individu habitué à la consommation d'un bien tirera d'une consommation donnée une satisfaction inférieure par rapport à un individu qui a peu consommé par le passé. Dans l'exemple du tabagisme, l'effet de renforcement implique qu'un grand fumeur ressent une forte envie de fumer, mais que plus il a fumé dans le passé, plus le plaisir qu'il ressent en fumant une quantité donnée de cigarettes diminue. Le premier effet explique le phénomène de manque et le second explique pourquoi la satisfaction qu'un fumeur retire de sa consommation de cigarettes tend à diminuer avec le temps. Selon Becker, l'individu choisit de devenir dépendant : il sait que sa consommation présente de cigarettes contraint ses choix futurs et il détermine au départ sa consommation sur l'ensemble de sa vie. Cependant, ce modèle n'est pas compatible avec les regrets exprimés par de nombreux fumeurs et les tentatives infructueuses de sevrage souvent concomitantes. Un fumeur qui anticiperait parfaitement le phénomène de dépendance arrêterait de fumer à la date voulue, à sa première tentative. Partant de ce constat, Athanasios Orphanides a construit un modèle dans lequel les fumeurs peuvent se retrouver prisonniers de leur consommation par des anticipations imparfaites du pouvoir addictif du tabac. Leur théorie suppose que les individus ne sont pas tous sujets de la même manière à la dépendance, que chacun a une perception subjective de son risque de dépendance et que cette perception évolue constamment durant la période de consommation du bien addictif. Dans ce contexte, un individu qui maximise des préférences stables, mais qui sous-estime le potentiel addictif d'un produit peut devenir dépendant par accident et regretter ensuite cette dépendance. Le modèle de Becker ou celui d'Orphanides ont des conséquences très différentes sur l'action régulatrice que doit ou non jouer l'État sur le marché d'un bien addictif. Si, comme Becker, on considère que les consommateurs sont rationnels et parfaitement informés des conséquences de leurs actes, l'action du régulateur devrait se limiter à l'internalisation du coût externe que les fumeurs font peser sur la société. Si le fumeur est conscient du risque qu'il prend et que pour lui le plaisir qu'il retire de cette consommation dépasse le déplaisir engendré par ses conséquences, une intervention du régulateur reposerait sur une base paternaliste, l'État posant alors un jugement de valeur sur les préférences des individus. En revanche, si on considère, comme dans la modélisation d'Orphanides, que les fumeurs sous-estiment le phénomène de dépendance lorsqu'ils décident de se mettre à fumer, un marché non régulé conduit à une consommation supérieure à celle qui prévaudrait en information parfaite. Certains fumeurs peuvent ainsi se retrouver accrochés à leur consommation de tabac, sans que cela ait été leur but. Dans cette perspective, l'État est légitimé à intervenir par des politiques de lutte contre le tabagisme, afin de compenser les erreurs d'anticipation des individus. Cette thèse propose d'appliquer les outils de l'analyse économique à des problématiques de santé publique dans le domaine des comportements à risque et en particulier du tabagisme. Elle a pour finalité d'apporter de nouveaux éléments de connaissance permettant d'éclairer certains choix de régulation dans ce domaine. Le premier chapitre est une analyse coût-efficacité des thérapies médicamenteuses de soutien à la désaccoutumance tabagique. Comme nous l'avons vu plus haut, certains fumeurs se trouvent piégés dans leur consommation par le phénomène de dépendance et ont des difficultés à arrêter de fumer. Ces dernières années, plusieurs médicaments de soutien au fumeur en phase de sevrage ont fait leur apparition. Parmi eux, on compte des substituts nicotiniques sous forme de gomme, patch, spray ou inhalateur, mais aussi un antidépresseur ne contenant pas de nicotine. Ces traitements présentent des efficacités et des coûts différents. L'évaluation économique en santé permet de calculer un indicateur unique d'efficience qui synthétise l'efficacité d'un traitement et son coût. Cette méthode permet de comparer différents types de prises en charge médicales d'une même pathologie, mais aussi de comparer des interventions thérapeutiques dans des domaines différents. Nous développons un modèle de Markov pour estimer le gain en année de vie d'une stratégie de prévention du tabagisme. Ce modèle permet de simuler le devenir d'une cohorte de fumeurs en fonction du type de soutien à la désaccoutumance qui leur est proposé. Sur cette base, nous calculons le coût par année de vie gagnée de chaque type d'intervention. Les résultats permettent de classer les cinq types de prise en charge selon leur efficience, mais aussi de les comparer à d'autres interventions de prévention dans des domaines différents. Le deuxième chapitre traite des corrélations entre le niveau de formation des individus et leur consommation de tabac. Sur un plan épidémiologique, on constate que les personnes qui atteignent un niveau de formation plus élevé ont une propension à fumer plus faible que les autres. Peut-on en conclure qu'il existe une relation causale inverse entre formation et tabagisme ? Sous l'angle de la théorie économique, il existe deux principales hypothèses à même d'expliquer cette corrélation. La première hypothèse repose sur le modèle de capital santé développé par Michael Grossman au début des années 1970. Dans ce modèle, l'individu dispose d'un stock de santé qui se déprécie avec le temps. Ce stock peut être augmenté grâce à des dépenses en soins médicaux ou à des investissements en temps consacré à l'amélioration de sa santé. La formation a pour effet d'augmenter l'efficacité des investissements en santé. Dans le cas du tabac, Grossman considère que des individus mieux formés auront une meilleurs information sur les méfaits du tabac sur la santé, ce qui tendra à diminuer leur consommation de tabac. La seconde hypothèse ne considère pas un lien causal entre la formation et la santé, mais repose sur l'existence d'une tierce variable qui influencerait parallèlement, et dans un sens opposé, le niveau de formation et la propension à fumer. Cette tierce variable est le taux de préférence pour le présent. Pour un individu fortement tourné vers le présent, l'investissement en temps de formation a un coût relativement élevé dans la mesure où il doit sacrifier du revenu aujourd'hui pour obtenir un revenu plus élevé demain. Parallèlement, il pondère moins fortement la santé future et a donc une plus forte propension à fumer. Nous développons une méthode économétrique qui permet de séparer l'effet de causalité de l'effet de sélection. Le troisième chapitre traite du rôle des interactions sociales dans les comportements à risque des adolescents. La théorie économique considère que chaque individu définit seul ses choix de consommation en maximisant sa fonction d'utilité. Cela ne signifie pas pour autant qu'il soit insensible aux influences extérieures, notamment au comportement de son entourage. Dans certaines situations et pour certains produits, l'utilité que procure la consommation d'un bien est corrélée avec le nombre de personnes qui consomment ce même bien dans l'entourage. En d'autres termes, la consommation des autres, augmente la valeur que l'on attribue à un bien. Ce mécanisme est souvent appliqué à l'analyse des comportements à risque des adolescents et du rôle que peut y jouer le groupe des pairs. Si cet impact est bien connu du point de vue théorique, il est beaucoup plus difficile de le quantifier sur un plan empirique. Pour identifier cet effet, nous développons une méthodologie économétrique, originale dans ce contexte, qui permet de séparer l'effet individuel de l'effet d'influence des pairs dans l'adoption d'un comportement à risque. Nous appliquons cette méthode aux trois comportements à risque que sont la consommation de tabac, d'alcool et de cannabis chez les adolescents.

Site index curves for European aspen ( Populus tremula L.) growing on forest land of different soils in Sweden

Summary

Soil water retention and s index after crop rotation and chiseling

Soil compaction can be minimized either mechanically or biologically, using plant species with vigorous root systems. An experiment was carried out with soybean (Glycine max) in rotation with triticale (X Triticosecale) and sunflower (Helianthus annuus) in fall-winter associated with pearl millet (Pennisetum glaucum), grain sorghum (Sorghum bicolor) or sunn hemp (Crotalaria juncea) in spring. Crop rotation under no-till was compared with mechanical chiseling. The experiment was carried out in Botucatu, São Paulo State, Brazil. Soil quality was estimated using the S index and soil water retention curves (in the layers of 0-0.05, 0.075-0.125, 0.15-0.20, 0.275-0.325, and 0.475-0.525 m deep). Crop rotation and chiseling improved soil quality, increasing the S index to over 0.035 to a depth of 20 cm in the soil profile. The improved soil quality, as shown by the S index, makes the use of mechanical chiseling unnecessary, since after 3 years the soil physical quality under no-tilled crop rotation and chiseling was similar.

The nitrogen sufficiency index underlying estimates of nitrogen fertilization requirements of common bean

Chlorophyll determination with a portable chlorophyll meter can indicate the period of highest N demand of plants and whether sidedressing is required or not. In this sense, defining the optimal timing of N application to common bean is fundamental to increase N use efficiency, increase yields and reduce the cost of fertilization. The objectives of this study were to evaluate the efficiency of N sufficiency index (NSI) calculated based on the relative chlorophyll index (RCI) in leaves, measured with a portable chlorophyll meter, as an indicator of time of N sidedressing fertilization and to verify which NSI (90 and 95 %) value is the most appropriate to indicate the moment of N fertilization of common bean cultivar Perola. The experiment was carried out in the rainy and dry growing seasons of the agricultural year 2009/10 on a dystroferric Red Nitosol, in Botucatu, São Paulo State, Brazil. The experiment was arranged in a randomized complete block design with five treatments, consisting of N managements (M1: 200 kg ha-1 N (40 kg at sowing + 80 kg 15 days after emergence (DAE) + 80 kg 30 DAE); M2: 100 kg ha-1 N (20 kg at sowing + 40 kg 15 DAE + 40 kg 30 DAE); M3: 20 kg ha-1 N at sowing + 30 kg ha-1 when chlorophyll meter readings indicated NSI < 95 %; M4: 20 kg ha-1 N at sowing + 30 kg ha-1 N when chlorophyll meter readings indicated NSI < 90 % and, M5: control (without N application)) and four replications. The variables RCI, aboveground dry matter, total leaf N concentration, production components, grain yield, relative yield, and N use efficiency were evaluated. The RCI correlated with leaf N concentrations. By monitoring the RCI with the chlorophyll meter, the period of N sidedressing of common bean could be defined, improving N use efficiency and avoiding unnecessary N supply to common bean. The NSI 90 % of the reference area was more efficient to define the moment of N sidedressing of common bean, to increase N use efficiency.

Proposal for an index to classify irrigation water quality: a case study in northeastern Brazil

One way of classifying water quality is by means of indices, in which a series of parameters analyzed are joined a single value, facilitating the interpretation of extensive lists of variables or indicators, underlying the classification of water quality. The objective of this study was to develop a statistically based index to classify water according to the Irrigation Water Quality Index (IWQI), to evaluate the ionic composition of water for use in irrigation and classify it by its source. For this purpose, the database generated during the Technology Generation and Adaptation (GAT) program was used, in which, as of 1988, water samples were collected monthly from water sources in the states of Paraíba, Rio Grande do Norte and Ceará. To evaluate water quality, the electrical conductivity (EC) of irrigation water was taken as a reference, with values corresponding to 0.7 dS m-1. The chemical variables used in this study were: pH, EC, Ca, Mg, Na, K, Cl, HCO3, CO3, and SO4. The data of all characteristics evaluated were standardized and data normality was confirmed by Lilliefors test. Then the irrigation water quality index was determined by an equation that relates the standardized value of the variable with the number of characteristics evaluated. Thus, the IWQI was classified based on indices, considering normal distribution. Finally, these indices were subjected to regression analysis. The method proposed for the IWQI allowed a satisfactory classification of the irrigation water quality, being able to estimate it as a function of EC for the three water sources. Variation in the ionic composition was observed among the three sources and within a single source. Although the water quality differed, it was good in most cases, with the classification IWQI II.

Development and validation of a symptom-based activity index for adults with eosinophilic esophagitis.

BACKGROUND & AIMS: Standardized instruments are needed to assess the activity of eosinophilic esophagitis (EoE) and to provide end points for clinical trials and observational studies. We aimed to develop and validate a patient-reported outcome (PRO) instrument and score, based on items that could account for variations in patient assessments of disease severity. We also evaluated relationships between patient assessment of disease severity and EoE-associated endoscopic, histologic, and laboratory findings. METHODS: We collected information from 186 patients with EoE in Switzerland and the United States (69.4% male; median age, 43 y) via surveys (n = 135), focus groups (n = 27), and semistructured interviews (n = 24). Items were generated for the instruments to assess biologic activity based on physician input. Linear regression was used to quantify the extent to which variations in patient-reported disease characteristics could account for variations in patient assessment of EoE severity. The PRO instrument was used prospectively in 153 adult patients with EoE (72.5% male; median age, 38 y), and validated in an independent group of 120 patients with EoE (60.8% male; median age, 40.5 y). RESULTS: Seven PRO factors that are used to assess characteristics of dysphagia, behavioral adaptations to living with dysphagia, and pain while swallowing accounted for 67% of the variation in patient assessment of disease severity. Based on statistical consideration and patient input, a 7-day recall period was selected. Highly active EoE, based on endoscopic and histologic findings, was associated with an increase in patient-assessed disease severity. In the validation study, the mean difference between patient assessment of EoE severity (range, 0-10) and PRO score (range, 0-8.52) was 0.15. CONCLUSIONS: We developed and validated an EoE scoring system based on 7 PRO items that assess symptoms over a 7-day recall period. Clinicaltrials.gov number: NCT00939263.

Validity of Charlson Comorbidity Index in patients hospitalised with acute coronary syndrome. Insights from the nationwide AMIS Plus registry 2002-2012.

OBJECTIVE: This study aimed to assess the impact of individual comorbid conditions as well as the weight assignment, predictive properties and discriminating power of the Charlson Comorbidity Index (CCI) on outcome in patients with acute coronary syndrome (ACS). METHODS: A prospective multicentre observational study (AMIS Plus Registry) from 69 Swiss hospitals with 29 620 ACS patients enrolled from 2002 to 2012. The main outcome measures were in-hospital and 1-year follow-up mortality. RESULTS: Of the patients, 27% were female (age 72.1 ± 12.6 years) and 73% were male (64.2 ± 12.9 years). 46.8% had comorbidities and they were less likely to receive guideline-recommended drug therapy and reperfusion. Heart failure (adjusted OR 1.88; 95% CI 1.57 to 2.25), metastatic tumours (OR 2.25; 95% CI 1.60 to 3.19), renal diseases (OR 1.84; 95% CI 1.60 to 2.11) and diabetes (OR 1.35; 95% CI 1.19 to 1.54) were strong predictors of in-hospital mortality. In this population, CCI weighted the history of prior myocardial infarction higher (1 instead of -0.4, 95% CI -1.2 to 0.3 points) but heart failure (1 instead of 3.7, 95% CI 2.6 to 4.7) and renal disease (2 instead of 3.5, 95% CI 2.7 to 4.4) lower than the benchmark, where all comorbidities, age and gender were used as predictors. However, the model with CCI and age has an identical discrimination to this benchmark (areas under the receiver operating characteristic curves were both 0.76). CONCLUSIONS: Comorbidities greatly influenced clinical presentation, therapies received and the outcome of patients admitted with ACS. Heart failure, diabetes, renal disease or metastatic tumours had a major impact on mortality. CCI seems to be an appropriate prognostic indicator for in-hospital and 1-year outcomes in ACS patients. ClinicalTrials.gov Identifier: NCT01305785.

Silicate fertilization of tropical soils: silicon availability and recovery index of sugarcane

Sugarcane is considered a Si-accumulating plant, but in Brazil, where several soil types are used for cultivation, there is little information about silicon (Si) fertilization. The objectives of this study were to evaluate the silicon availability, uptake and recovery index of Si from the applied silicate on tropical soils with and without silicate fertilization, in three crops. The experiments in pots (100 L) were performed with specific Si rates (0, 185, 370 and 555 kg ha-1 Si), three soils (Quartzipsamment-Q, 6 % clay; Rhodic Hapludox-RH, 22 % clay; and Rhodic Acrudox-RA, 68 % clay), with four replications. The silicon source was Ca-Mg silicate. The same Ca and Mg quantities were applied to all pots, with lime and/or MgCl2, when necessary. Sugarcane was harvested in the plant cane and first- and second-ratoon crops. The silicon rates increased soil Si availability and Si uptake by sugarcane and had a strong residual effect. The contents of soluble Si were reduced by harvesting and increased with silicate application in the following decreasing order: Q>RH>RA. The silicate rates promoted an increase in soluble Si-acetic acid at harvest for all crops and in all soils, except RA. The amounts of Si-CaCl2 were not influenced by silicate in the ratoon crops. The plant Si uptake increased according to the Si rates and was highest in RA at all harvests. The recovery index of applied Si (RI) of sugarcane increased over time, and was highest in RA.

Comparing Basal Area Diameter Distributions Estimated by Tree Species and for the Entire Stock in a Mixed Stand

Summary

Revisiting the S-index for soil physical quality and its use in Brazil

The S-index was introduced in 2004 in a publication by A.R. Dexter. S was proposed as an indicator of soil physical quality. A critical value delimiting soils with rich and poor physical quality was proposed. At present, Brazil is world leader in citations of Dexter's publication. In this publication the S-theory is mathematically revisited and extended. It is shown that S is mathematically correlated to bulk density and total porosity. As an absolute indicator, the value of S alone has proven to be incapable of predicting soil physical quality. The critical value does not always hold under boundary conditions described in the literature. This is to be expected because S is a static parameter, therefore implicitly unable to describe dynamic processes. As a relative indicator of soil physical quality, the S-index has no additional value over bulk density or total porosity. Therefore, in the opinion of the author, the fact that bulk density or total porosity are much more easily determined than the water retention curve for obtaining S disqualifies S as an advantageous indicator of relative soil physical quality. Among the several equations available for the fitting of water retention curves, the Groenevelt-Grant equation is preferable for use with S since one of its parameters and S are linearly correlated. Since efforts in soil physics research have the purpose of describing dynamic processes, it is the author's opinion that these efforts should shift towards mechanistic soil physics as opposed to the search for empirical correlations like S which, at present, represents far more than its reasonable share of soil physics in Brazil.