977 resultados para Tennessee. General Assembly. Senate
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South Carolina laws require that each state agency submit an annual accountability report to the Governor and General Assembly that contains the agency's or department's mission, objectives to accomplish the mission, and performance measures that show the degree to which objectives are being met.
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South Carolina laws require that each state agency submit an annual accountability report to the Governor and General Assembly that contains the agency's or department's mission, objectives to accomplish the mission, and performance measures that show the degree to which objectives are being met.
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South Carolina laws require that each state agency submit an annual accountability report to the Governor and General Assembly that contains the agency's or department's mission, objectives to accomplish the mission, and performance measures that show the degree to which objectives are being met.
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South Carolina laws require that each state agency submit an annual accountability report to the Governor and General Assembly that contains the agency's or department's mission, objectives to accomplish the mission, and performance measures that show the degree to which objectives are being met.
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South Carolina laws require that each state agency submit an annual accountability report to the Governor and General Assembly that contains the agency's or department's mission, objectives to accomplish the mission, and performance measures that show the degree to which objectives are being met.
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South Carolina laws require that each state agency submit an annual accountability report to the Governor and General Assembly that contains the agency's or department's mission, objectives to accomplish the mission, and performance measures that show the degree to which objectives are being met.
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South Carolina laws require that each state agency submit an annual accountability report to the Governor and General Assembly that contains the agency's or department's mission, objectives to accomplish the mission, and performance measures that show the degree to which objectives are being met.
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Each year the South Carolina Commission on Indigent Defense produces an annual accountability report for the South Carolina General Assembly and the Budget and Control Board. Included is a discussion and analysis, major achievements for the year and goals for the future.
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Each year the Office of the Governor presents an Executive Budget to the General Assembly, consisting of a "complete and itemized plan of all proposed expenditures for each state department, bureau, division, officer, board, commission, institution, or other agency or undertaking."
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This chapter analyses the unfolding of the Cuban missile crisis in the context of the 17th General Assembly of the UN and shows that, contrary to earlier accounts, U Thant was responding to pressures from the non-aligned and the British in his attempts to handle the crisis.
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International human rights law, international humanitarian law, international refugee law and international criminal law: each chapter of this corpus stands as a fundamental defense against assaults on our common humanity… The very power of these rules lies in the fact that they protect even the most vulnerable, and bind even the most powerful. No one stands so high as to be above the reach of their authority. No one falls so low as to be below the guard of their protection. Sergio Vieira de Mello, United Nations General Assembly, November 2002.
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L’autorisation de recourir à la force est une pratique par laquelle le Conseil de sécurité permet à des États membres des Nations Unies ou à des accords ou organismes régionaux, voire au Secrétaire général des Nations Unies de recourir à la coercition militaire. Elle est l’une des circonstances excluant l’illicéité face à l’interdiction de recourir à la force dans les relations internationales dont la règle est posée à l’article 2,§ 4 de la Charte des Nations Unies. Il est évident que cette pratique ne correspond pas clairement à la lettre de la Charte mais elle tire sa légitimité du fait qu’elle permet au Conseil de sécurité de s’acquitter de sa mission principale de maintien de la paix et de la sécurité internationales, étant donné que le système de coercition militaire prévu par la Charte s’avère inapplicable dans la pratique. Il reste que cette pratique est empreinte d’ambiguïté : elle apparaît tantôt comme une intervention des Nations Unies, tantôt comme une action unilatérale au profit de certaines puissances capables de mener des opérations de grande envergure. Cette ambiguïté est encore exacerbée par le problème de l’autorisation présumée que certainsÉtats pourraient déduire des actes du Conseil de sécurité, pour intervenir dans divers conflits. Dans les faits, la pratique de l’autorisation de recourir à la force semble actualiser une tendance belliciste qui caractérisait les époques antérieures. Elle peut, si l’on n’y prend garde, refondre, par pans entiers, les legs du droit contre la guerre (jus contra bellum) issu du XXème siècle, droit qui a été le fruit de longues tribulations dans l’histoire des relations internationales. Le danger le plus grave est que des acquis chèrement négociés risquent d’être jetés par-dessus bord avec trop de facilité et sans délai, pour servir des visées à court terme.
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En octobre 2005, l’assemblée générale de l’UNESCO adoptait la Déclaration universelle sur la bioéthique et les droits de l’Homme. Le projet de cette déclaration a été élaboré par le Comité international de bioéthique (CIB) en consultation avec le Comité intergouvernemental de bioéthique (CIGB), les États membres, le comité interagences des Nations Unies, des organisations gouvernementales et non gouvernementales, des comités nationaux d’éthiques et de multiples acteurs impliqués en bioéthique. Cette déclaration faisait suite à deux autres textes sur le même sujet produits en 1997 et 2003, la Déclaration sur le génome humain et les droits de l’homme et la Déclaration internationale sur les données génétiques humaines. Les nouvelles questions éthiques que suscitaient les développements scientifiques et technologiques ainsi que la mondialisation de la recherche avaient incité cette organisation à se doter d’instruments normatifs pouvant rejoindre toutes les nations. Seule organisation mondiale ayant une vocation spécifique en éthique, l’UNESCO a voulu par cette dernière déclaration fournir à ses États membres un cadre normatif susceptible de les aider à formuler des lois et des lignes directrices. Ayant été impliquée, à titre de présidente du Comité international de bioéthique dans la préparation de cet instrument nous nous sommes posée la question suivante : Dans un contexte de mondialisation, une bioéthique qui vise le bien commun universel est-elle possible au sein de la diversité et de la pluralité culturelle des nations ? L’exemple de l’élaboration de la déclaration universelle sur la bioéthique et les droits de l’homme de l’UNESCO. Le bien commun étant un concept fréquemment mentionné et à peu près jamais défini clairement, il nous a semblé intéressant d’en retracer l’histoire et de dégager un cadre conceptuel qui a ensuite servi à étudier et dégager le sens donné à ces concepts dans la préparation de la déclaration. Un premier chapitre présente le contexte et la problématique. Le deuxième chapitre présente la revue de la littérature et la définition des concepts ainsi que le cadre conceptuel. Le troisième chapitre présente le cadre théorique et les données analysées et la méthodologie. Le quatrième chapitre présente l’analyse détaillée des différentes étapes de l’élaboration de la déclaration. Le cinquième chapitre présente la portée et les limites de la thèse et le cinquième chapitre la conclusion. Nous concluons que la déclaration en ayant utilisé une méthode de consultation, de délibération et de consensus pragmatique, offre un texte avec une vision d’un bien commun universel susceptible d’être utilisé dans tous les contextes culturels et par toutes les nations, spécialement les nations en développement. En effet, son architecture flexible et son souci de ne pas catégoriser les principes, mais plutôt de les utiliser en complémentarité les uns avec les autres, en fait un texte souple et adaptable au plan mondial. Ce travail pourra aussi contribuer à enrichir la réflexion et l’action des organisations internationales impliquées en bioéthique. Il pourra aussi inspirer les recherches actuelles en sciences politiques et en droit alors que sont explorés de nouveaux modèles de gouvernance et de nouvelles façons de construire les législations et les normes et de faire face aux défis actuels qui se posent aux droits de l’homme.
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A compact Co-Planar Waveguide (CPW) fed antenna operating at 2.4GHz with 300MHz 2:1 VSWR bandwidth is presented. Compared to a conventional quarter wavelength CPW fed monopole antenna, the aperture area reduction of the present antenna is 85%. The prototype antenna fabricated on a substrate of εr = 4.4 and thickness 1.6mm is only 22x10x1.6mm3. This much size reduction and impedance matching is achieved by adjusting the signal to ground plane separation and meandering the ground plane of a 50Ω CPW transmission line
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A Coplanar waveguide fed compact planar monopole antenna with a modified ground plane is presented. Measured and simulated results reveal that the antenna operates in the Ultra Wide Band with almost constant group delay throughout the band. Developed design equations of the antenna are validated for different substrates. Time domain performance of the antenna is also discussed in order to assess its suitability for impulse radio applications