929 resultados para Sugar plants
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Ambient (03) ozone concentrations were compared to ozone damage on milkweed plants to determine if there was a correlation. Eight survey sites of at least 100 plants each were located within 5 kilometers of Air Quality Index (AQI) stations in southern Ontario. Sites were visited nine times from June-September (2007) and milkweed leaves from 75 plants were assessed using methods pioneered in the United States. Ambient 0 3 results were calculated into SUM65, seasonal cumulative 0 3, and total 03. The 0 3 exposure indices SUM65 and cumulative 0 3 were tested statistically to determine which index is biologically relevant to milkweed as an 0 3 damage indicator species. The milkweed damage indices were incidence of leaves damaged per plant, incidence of plants damaged per site, and total 0 3• The incidence of plants injured per site was the best damage parameter with an F(1,28)=17.37, p=0.0003 for SUM65 and F(1,28)=7.5, p=O.0106 for cumulative 03 .. Milkweed plants showed quantifiable ozone damage with minimal spatial differences in damage and thus have potential use as a biomonitor species in southern Ontario.
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A sugar permit for Col. F. McCordick ending July 18, 1918. The permit is issued July 3, 1918.
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Receipt from W.J. and J. McCalla, St. Catharines for sugar, March 3, 1888.
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Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal
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La prévalence de l’obésité, du diabète de type 2, et du syndrome métabolique, sont à la hausse chez les Cris d’Eeyou Istchee (CEI-Nord du Québec). Ces problèmes sont aggravés par leur diète non traditionnelle, leur sédentarité, ainsi que par une résistance culturelle aux produits pharmaceutiques. Afin de développer des traitements antidiabétiques culturellement adaptés, notre équipe a effectué une enquête ethnobotanique qui a identifié 17 plantes provenant de la pharmacopée traditionnelle des CEI. À partir des études de criblage effectuées in vitro, deux plantes parmi les 17 ont attiré notre attention. Populus balsamifera L. (Salicaceae) pour ses propriétés anti-obésité et Larix laricina K. Koch (Pinaceae) pour ses propriétés antidiabétiques. P. balsamifera et son composé actif salicortin ont inhibé l’accumulation de triglycérides durant l’adipogénèse dans les adipocytes 3T3-L1. L. laricina a augmenté le transport de glucose et l’activation de l’AMPK dans les cellules musculaires C2C12, l’adipogénèse dans les 3T3-L1 et a démontré un fort potentiel découpleur (propriété anti-obésité). Les objectifs de cette thèse sont d'évaluer les potentiels anti-obésité et antidiabétique et d’élucider les mécanismes d'action de P. balsamifera, salicortin, et L. laricina chez la souris C57BL/6 rendue obèse par une diète riche en gras (HFD). Les souris ont été soumises pendant huit (étude préventive) ou seize semaines (étude traitement) à une HFD, ou à une HFD dans laquelle P. balsamifera, salicortin, ou L. laricina a été incorporé soit dès le départ (prévention), ou dans les 8 dernières des 16 semaines d'administration de HFD (traitement). iv Les résultats démontrent que P. balsamifera (dans les deux études) et salicortin (évalué dans l’étude traitement) diminuent: le poids corporel, le gras rétropéritonéal, la sévérité de la stéatose et l’accumulation de triglycérides hépatique (ERK impliqué), les niveaux de glycémie et d'insuline, et le ratio leptine/adiponectine. Dans les deux études, P. balsamifera a significativement réduit la consommation de nourriture mais cet effet coupe-faim nécessite d’être approfondi. Dans l'étude préventive, P. balsamifera a augmenté la dépense énergétique (hausse de la température à la surface de la peau et de l’activation de la protéine découplante-1; UCP-1). Les voies de signalisation activées par P. balsamifera et par salicortin (de façon plus modeste) sont impliquées dans: la production de glucose hépatique (Akt), l’expression de Glut4 dans le muscle squelettique, la captation du glucose et du métabolisme des lipides (Akt dans le tissu adipeux), la différenciation des adipocytes (ERK et PPARg), l’inflammation dans le foie (IKKαβ), et l'oxydation des acides gras dans le muscle, le foie, ou le tissu adipeux (PPARa et CPT-1). D’autre part, L. laricina a également diminué les niveaux de glycémie et d’insuline, le ratio leptine/adiponectine, le gras rétropéritonéal et le poids corporel. Ces effets ont été observés en conjonction avec une augmentation de la dépense énergétique: hausse de température à la surface de la peau (prévention) et amélioration de la fonction mitochondriale et de la synthèse d'ATP (traitement). En conclusion, l’utilisation de P. balsamifera, salicortin et L. laricina comme des traitements alternatifs et culturellement adaptés aux CEI représente une contribution importante dans la prévention et le traitement de l’obésité et du diabète.
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Afin d’étudier l’influence de la migration sur l’alimentation à Montréal aux XVIIe et XVIIIe siècles, 64 individus de la collection du cimetière Notre-Dame, daté de 1691 à 1796, ont fait l’objet d’analyses ostéologiques et isotopiques. Les analyses isotopiques ont portées sur le carbone (d13C) et l’azote (d15N) du collagène des os, ainsi que sur le d13C et l’oxygène (d18O) du carbonate de l’apatite des os et des dents (prémolaires et troisièmes molaires). Le d18O des dents a permis de définir approximativement trois régions d’origine (région de Montréal, région enrichie en 18O (i.e. Acadie, Louisiane, Nouvelle-Angleterre, France, Antilles et Afrique) et région appauvrie en 18O (intérieur des terres et plus au nord) pour 58 individus, et sept possibles parcours migratoire (N=27). Plus de la moitié de l’échantillon est composé d’individus possiblement natifs de Montréal (55 %). De plus, les résultats indiquent que les gens étaient peu mobiles avant l’âge de 16 ans. Toutefois, 12 individus ont entrepris des déplacements entre 7 et 16 ans, majoritairement d’un environnement enrichi vers Montréal (N=5) ou de Montréal vers une région appauvrie (N=5). L’âge de recrutement des mousses sur les navires, la traite de la fourrure, la coupe du bois et possiblement aussi l’esclavage pourraient expliquer cette « jeune » migration. Sur le plan alimentaire, les végétaux de type C3, la viande nourrie aux ressources C3 et le poisson faisaient partie du menu montréalais. Les plantes C4 (majoritairement maïs mais aussi sucre de canne [rhum]) étaient consommées en quantité variable. La question de l’influence de la migration sur l’alimentation n’a pu être explorée en profondeur en raison de contraintes liées à la contamination du d18O du carbonate des os. La combinaison des données ostéologiques et isotopiques à la distribution spatiale des sépultures, a permis d’étudier un aspect de l’archéologie funéraire à l’échelle individuelle (identité possible), sans toutefois fournir de résultats probants, à l’échelle du cimetière et de son organisation globale.
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Nous avons utilisé une approche ethnobotanique pour identifier des espèces de plantes utilisées par les Cris afin de traiter les symptômes du diabète de type 2. Larix laricina du Roi (L. laricina) a récemment été identifiée comme une des meilleures plantes qui a stimulé le transport de glucose dans les cellules C2C12 et fortement potentialisé la différenciation des 3T3-L1 en indiquant une sensibilité potentiellement accrue à l’insuline. Ensuite, ces études de criblage ont été effectuées sur des extraits éthanolique (EE) en utilisant une série de bioessais in vitro. Cependant, les préparations traditionnelles des plantes sont souvent faites avec l’eau chaude. Le but de cette thèse de doctorat était d’isoler les principes actifs de L. laricina par un fractionnement guidé par l’adipogenèse; d’évaluer et de comparer l’activité et les mécanismes antidiabétiques des EE et des extraits aqueux (HWE) de ces 17 plantes. Pour le fractionnement de L. laricina, on a isolé plusieurs composés connus et identifié un nouveau composé actif cycloartane triterpene, qui a amélioré fortement l’adipogenèse et a été responsable en partie de l’activité adipogénique (potentiellement similaire à l’effet sensibilisateur à l’insuline des glitazone) de l’extrait éthanolique issu de l’écorce de L. laricina. Pour le métabolisme lipidique, nos résultats ont confirmé que 10 parmi les 17 EE ont augmenté la différenciation des adipocytes alors que 2 extraits seulement l’ont inhibée. Les HWE ont montré une faible activité adipogénique ou antiadipogénique. Les EE de R. groenlandicum et K. angustifolia ont le PPAR γ (peroxisome proliferator-activated receptor γ), le SREBP-1 (sterol regulatory element binding protein-1) et le C/EBP (CCAAT-enhancer binding proteins) α, alors que ceux de P. balsamifera et A. incana les ont inhibés. L’effet inhibiteur de P. balsamifera a également été prouvé d’avoir impliqué l’activation de la protéine kinase activée par l’AMP (AMPK). Les EE et HWE de R. groenlandicum ont stimulé les mêmes facteurs de transcription alors que les extraits aqueux d’autres plantes sélectionnées ont perdu ces effets en comparaison avec leurs extraits éthanoliques respectifs. L’analyse phytochimique a également identifié le groupe des espèces actives et inactives, notamment lorsque les espèces ont été séparées par famille de plante. Finalement concernant l’homéostasie de glucose, nos résultats ont confirmé que plusieurs EE ont stimulé le transport de glucose musculaire et inhibé l’activité de la glucose-6-phosphatase (G6Pase) hépatique. Certains des HWE ont partiellement ou complètement perdu ces activités antidiabétiques par rapport aux EE, tandis qu’une seule plante (R.groenlandicum) a juste conservé un potentiel similaire entre les EE et HWE dans les deux essais. Dans les cellules musculaires, les EE de R.groenlandicum, A. incana et S. purpurea ont stimulé le transport de glucose en activant la voie de signalisation de l’AMPK et en augmentant le niveau d’expression des GLUT4. En comparaison avec les EE, les HWE de R.groenlandicum ont montré des activités similaires; les HWE de A. incana ont complètement perdu leur effet sur tous les paramètres étudiés; les HWE de S. purpurea ont activé la voie de l’insuline au lieu de celle de l’AMPK pour augmenter le transport de glucose. Dans les cellules H4IIE, les EE et HWE des 5 plantes ont activé la voie de l’AMPK, et en plus les EE et HWE de 2 plantes ont activé la voie de l’insuline. La quercétine-3-O-galactoside et la quercétine 3-O-α-L-arabinopyranoside ont été identifiées comme des composés ayant un fort potentiel antidiabétique et donc responsables de l'activité biologique des plantes HWE actifs avec le transport du glucose. En conclusion, on a isolé plusieurs composés connus et identifié un nouveau triterpène actif à partir du fractionnement de L. laricina. Nous avons fourni également une preuve directe pour l'évaluation et la comparaison d'une action analogue à l'insuline ou insulino-sensibilisateur des EE et HWE de plantes médicinales Cris au niveau de muscle, de foie et de tissus adipeux. Une partie de leur action peut être liée à la stimulation des voies de signalisation intracellulaire insulino-dépendante et non-insulino-dépendante, ainsi que l’activation de PPARγ. Nos résultats indiquent que les espèces de plantes, les tissus ou les cellules cibles, ainsi que les méthodes d'extraction sont tous des déterminants significatifs de l'activité biologique de plantes médicinales Cris sur le métabolisme glucidique et lipidique.
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L’auto-incompatibilité (AI) est une barrière reproductive prézygotique qui permet aux pistils d’une fleur de rejeter leur propre pollen. Les systèmes d’AI peuvent prévenir l’autofertilisation et ainsi limiter l’inbreeding. Dans l’AI gamétophytique, le génotype du pollen détermine son propre phénotype d’incompatibilité, et dans ce système, les déterminants mâles et femelles de l’AI sont codés par un locus multigénique et multi-allélique désigné le locus S. Chez les Solanaceae, le déterminant femelle de l’AI est une glycoprotéine stylaire extracellulaire fortement polymorphique possédant une activité ribonucléase et désignée S-RNase. Les S-RNases montrent un patron caractéristique de deux régions hypervariables (HVa et HVb), responsables de leur détermination allélique, et cinq régions hautement conservées (C1 à C5) impliquées dans l’activité catalytique ou la stabilisation structurelle de ces protéines. Dans ce travail, nous avons investigué plusieurs caractéristiques des S-RNases et identifié un nouveau ligand potentiel aux S-RNases chez Solanum chacoense. L’objectif de notre première étude était l’élucidation du rôle de la région C4 des S-RNases. Afin de tester l’hypothèse selon laquelle la région C4 serait impliquée dans le repliement ou la stabilité des S-RNases, nous avons généré un mutant dans lequel les quatre résidus chargés présents en région C4 furent remplacés par des résidus glycine. Cette protéine mutante ne s’accumulant pas à des niveaux détectables, la région C4 semble bien avoir un rôle structurel. Afin de vérifier si C4 est impliquée dans une liaison avec une autre protéine, nous avons généré le mutant R115G, dans lequel un acide aminé chargé fût éliminé afin de réduire les affinités de liaison dans cette région. Ce mutant n’affectant pas le phénotype de rejet pollinique, il est peu probable que la région C4 soit impliquée dans la liaison des S-RNases avec un ligand ou leur pénétration à l’intérieur des tubes polliniques. Enfin, le mutant K113R, dans lequel le seul résidu lysine conservé parmi toutes les S-RNases fût remplacé par un résidu arginine, fût généré afin de vérifier si cette lysine était un site potentiel d’ubiquitination des S-RNases. Toutefois, la dégradation des S-RNases ne fût pas inhibée. Ces résultats indiquent que C4 joue probablement un rôle structurel de stabilisation des S-RNases. Dans une seconde étude, nous avons analysé le rôle de la glycosylation des S-RNases, dont un site, en région C2, est conservé parmi toutes les S-RNases. Afin d’évaluer la possibilité que les sucres conjugués constituent une cible potentielle d’ubiquitination, nous avons généré une S11-RNase dont l‘unique site de glycosylation en C2 fût éliminé. Ce mutant se comporte de manière semblable à une S11-RNase de type sauvage, démontrant que l’absence de glycosylation ne confère pas un phénotype de rejet constitutif du pollen. Afin de déterminer si l’introduction d’un sucre dans la région HVa de la S11-RNase pourrait affecter le rejet pollinique, nous avons généré un second mutant comportant un site additionnel de glycosylation dans la région HVa et une troisième construction qui comporte elle aussi ce nouveau site mais dont le site en région C2 fût éliminé. Le mutant comportant deux sites de glycosylation se comporte de manière semblable à une S11-RNase de type sauvage mais, de manière surprenante, le mutant uniquement glycosylé en région HVa peut aussi rejeter le pollen d’haplotype S13. Nous proposons que la forme non glycosylée de ce mutant constitue un allèle à double spécificité, semblable à un autre allèle à double spécificité préalablement décrit. Il est intéressant de noter que puisque ce phénotype n’est pas observé dans le mutant comportant deux sites de glycosylation, cela suggère que les S-RNases ne sont pas déglycosylées à l’intérieur du pollen. Dans la dernière étude, nous avons réalisé plusieurs expériences d’interactions protéine-protéine afin d’identifier de potentiels interactants polliniques avec les S-RNases. Nous avons démontré que eEF1A, un composant de la machinerie de traduction chez les eucaryotes, peut lier une S11-RNase immobilisée sur résine concanavaline A. Des analyses de type pull-down utilisant la protéine eEF1A de S. chacoense étiquetée avec GST confirment cette interaction. Nous avons aussi montré que la liaison, préalablement constatée, entre eEF1A et l’actine est stimulée en présence de la S11-RNase, bien que cette dernière ne puisse directement lier l’actine. Enfin, nous avons constaté que dans les tubes polliniques incompatibles, l’actine adopte une structure agrégée qui co-localise avec les S-RNases. Ces résultats suggèrent que la liaison entre eEF1A et les S-RNases pourrait constituer un potentiel lien fonctionnel entre les S-RNases et l’altération du cytosquelette d’actine observée lors des réactions d’AI. Par ailleurs, si cette liaison est en mesure de titrer les S-RNases disponibles à l’intérieur du tube pollinique, ce mécanisme pourrait expliquer pourquoi des quantités minimales ou « seuils » de S-RNases sont nécessaires au déclenchement des réactions d’AI.
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The present study on the sustainability of medicinal plants in Kerala economic considerations in domestication and conservation of forest resources. There is worldwide consensus on the fact that medicinal plants are important not only in the local health support systems but in rural income and foreign exchange earnings. Sustainability of medicinal plants is important for the survival of forest dwellers, the forest ecosystem, conserving a heritage of human knowledge and overall development through linkages. More equitable sharing of the benefits from commercial utilization of the medicinal plants was found essential for the sustainability of the plants. Cultivation is very crucial for the sustainability of the sector. Through a direct tie-up with the industry, the societies can earn more income and repatriate better collection charges to its members. Cultivation should be carried out in wastelands, tiger reserves and in plantation forests. In short, the various players in the in the sector could find solution to their specific problems through co-operation and networking among them. They should rely on self-help rather than urging the government to take care of their needs. As far as the government is concerned, the forest department through checking over- exploitation of wild plants and the Agriculture Dept. through encouraging cultivation could contribute to the sustainable development of the medicinal plant sector.
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In the present scenario, there is an increasing demand for natural products in food industry, pharmaceuticals, cosmetics and agricultural sectors. In this context phytochemical study to identify newer chemicals has got great relevance. Phytochemical studies have become more reliable and encouraging with the development of modern analytical techniques.In the present work the leaves of Piper colubrinum (Piperaceae), aerial parts of Mussaenda fiondosa (Rubiaceae) and Humboldtia vahliana (Leguminosae) and the pericarp of fruits of Artocarpus heterophyllus (Moraceae) were investigated for their secondary metabolites. The major compounds isolated belong to the groups of flavonoids and triterpenoids.Naturally occurring flavonoids have been used widely in chemotaxonomic studies of plants. Flavones and flavonols constitute a group of biosynthetically related natural products. No universal function has been established for flavones and flavonols in plants. However, many functions in individual plants have been demonstrated. These include protection of plants from ultraviolet light, insects and pests; pollinator attractants; antioxidants; plant hormone controllers; enzyme inhibitors and allelopathic agents. Flavonoids are attracting the attention of medical scientists in recent years because of their anticarcinogenic, antiallergic and antiinflammatory properties. The recent discovery that flavonoids are involved in the process of nitrogen fixation in plants also opens the way for agricultural application of these constituents.Triterpenoids are another class of compounds that are ubiquitous in plants. Some triterpenoids present in the latex and resins of plants are believed to be involved in chemical defence against pathogens and herbivores. Triterpenoids possess various biological properties including anti-inflammatory, antifeedant, pesticidal, fungitoxic and antimicrobial activities. Triterpenoids with cytotoxic activity and inhibitory effect on seed germination are also known.
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In the light of the very huge demand for natural ephedrine and pseudoephidrine, a search for an angiosperm plant containing the alkaloid ephedrine was made and could locate Sida spp. of malvaceae family. Sida is a large genus of, herbs and shrubs distributed throughout the tropics. About a dozen species occur in India. The medicinally important species known are S.rhombrfolia S.cordata and S.spinosa (Anon, 1972). Among the various species, S.rh0mbIfolia is the most widely used one in the traditional system of medicine. An attempt was made in the present study to develop an ideal bioprocess for the in vitro production of ephedrine from the cell culture system of Sida rhombrfolia Linn. ssp. retusa. The callus and suspension culture were initiated and attempts were made to enhance the yield positively by employing various strategies like mutagenesis, immobilization and addition of precursors, elicitors and penneabilizing agents.
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The effect of lasers of three wavelengths in the visible region - 476, 488 and 514 nm on mitotic and meiotic cell divisions, growth, yield and activity of specific enzymes were studied in two taxonomically diverse plant species — A/lium cepa L. and Vicia faba. The effect of laser exposures was compared with the effect of two physical mutagens (Gamma and Ultraviolet radiations) and two chemical mutagens (Ethyl Methane Sulphonate and Hydroxyl amine). The study indicated that lasers could be mutagenic causing aberration in the mitotic and meiotic cell divisions while also producing changes in the growth and yield of the plants. Lasers of higher wavelengths 488 and 514 nm caused aberrations in the early stages of mitotic cell division whereas lasers of lower wavelengths (476 nm) caused more aberrations in the later stages of mitotic cell division. Laser exposure of 488 nm wavelength at power density 400 mW induced higher mitotic and meiotic aberrations and also induced higher pollen sterility than lasers of 476 and 514 nm. The frequency of mitotic aberrations induced by lasers was lesser than that caused by y-irradiation but comparable to that induced by EMS and HA. Lasers cause mutations in higher frequencies than UV. Lasers had a stimulatory effect on growth and yield in both plant species. This stimulatory effect of lasers on germination could not however be correlated to the activity of amylase and protease, the key enzymes in seed gennination. Enzymes such as peroxidase and catalase, involved in scavenging of free oxygen radicals often produced by irradiation, did not show increased activity in laser irradiated samples. Further studies are required for elucidating the exact mechanisms by which lasers cause mutations
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The objective of the study was to find out a natural way to fight white spot syndrome virus (WSSV) in cultured shrimps, as the present scenario necessitated an organic remedy for the devastating pathogen in crustaceans. Under this research programme seven mangrove plants were collected, identified and aqueous extracts screened for their protective effect on the giant tiger shrimp Penaeus monodon against WSSV. The experimental design consisted two modes of application, such as exposure of the virus to the extract and injection challenge, and oral administration of the extract coated feed followed by oral challenge. All experimental animals were monitored through a nested diagnostic PCR analysis. Of the seven mangrove extracts screened aqueous extract from Ceriops tagal imparted total protection to shrimp from WSSV when challenged by both methods. Shrimps administered with the aqueous extract from C. tagal were devoid of virions. The HPLC fingerprint of the aqueous extracts from C. tagal showed more than 25 peaks and 7 of them were larger and well separated. Preliminary phytochemical analysis revealed the presence of alkaloids, flavonoids, polyphenolics, cardiac glycosides, saponins and sterols. The study indicated suitability of the aqueous extract of C. tagal as a possible prophylaxis for WSSV infection in shrimp. This is the first report on the anti WSSV property of the mangrove plant C. tagal
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The objective of the study was to find out a natural way to fight white spot syndrome virus (WSSV) in cultured shrimps, as the present scenario necessitated an organic remedy for the devastating pathogen in crustaceans. Under this research programme seven mangrove plants were collected, identified and aqueous extracts screened for their protective effect on the giant tiger shrimp Penaeus monodon against WSSV. The experimental design consisted two modes of application, such as exposure of the virus to the extract and injection challenge, and oral administration of the extract coated feed followed by oral challenge. All experimental animals were monitored through a nested diagnostic PCR analysis. Of the seven mangrove extracts screened aqueous extract from Ceriops tagal imparted total protection to shrimp from WSSV when challenged by both methods. Shrimps administered with the aqueous extract from C. tagal were devoid of virions. The HPLC fingerprint of the aqueous extracts from C. tagal showed more than 25 peaks and 7 of them were larger and well separated. Preliminary phytochemical analysis revealed the presence of alkaloids, flavonoids, polyphenolics, cardiac glycosides, saponins and sterols. The study indicated suitability of the aqueous extract of C. tagal as a possible prophylaxis for WSSV infection in shrimp. This is the first report on the anti WSSV property of the mangrove plant C. tagal
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Plants and microorganisms provide the pharmaceutical industry with some of the most important sources of components for the research of new medications This thesis involves the study of three medicinal plants belonging to three different important families viz, Cyperus rotundus (Cyperaceae), Stereospermum colais (Bignoniaceae) as well as the well known medicinal plant Zingiber officinale (Zingiberaceae) as the third. The first chapter gives an overview of biologically active natural products with special reference to antioxidant, antidiabetic, anti-inflammatory and antimicrobial molecules from terrestrial sources. Chapter 2 of the thesis deals with the isolation of phytochemical constituents of the medicinal plant Cyperus rotundus and its antioxidant and radical scavenging potential. Chapter 3 of the thesis describes the studies on the roots of Stereospermum colais, A Bignoniaceae plant belonging to the genus Stereospermum which is used extensively. Chapter 3 of the thesis describes the studies on the roots of Stereospermum colais, a Bignoniaceae plant belonging to the genus Stereospermum which is used extensively in Ayurveda. Chapter 4 describes the biological potential of rhizomes of Zingiber officinale. Ethyl acetate extract of ginger (EAG) possessed antioxidant activity as is evident from the results of various in vitro assays compared to other extracts .In conclusion, medicinal plants Cyperus rotundus and Stereospermum colais have been analysed for their phytochemical constituents. Also, the positive results obtained from biological activity studies such as antioxidant, anti-inflammatory and antimicrobial activity on the isolated compounds/extracts add on to the medicinal properties of these plants. Apart from that, ethyl acetate extract of Zingiber officinale (ginger) rhizomes has been shown to have very good biological potential including glucose lowering and adipocyte differentiation inhibitory effect.