1000 resultados para Référence spatiale
Resumo:
Référence bibliographique : Rol, 54822
Resumo:
Référence bibliographique : Rol, 54819
Resumo:
Référence bibliographique : Rol, 54817
Resumo:
Référence bibliographique : Rol, 54814
Resumo:
Référence bibliographique : Rol, 54808
Resumo:
Référence bibliographique : Rol, 56840
Resumo:
Référence bibliographique : Rol, 56837
Resumo:
Référence bibliographique : Rol, 56481
Resumo:
Introduction et objectif: Lors d'essais cliniques, le pharmacien est responsable de la préparation et de la dispensation des médicaments à évaluer. Un article récent a toutefois montré que les aspects pharmaceutiques liés au contrôle de la dose administrée in fine étaient souvent mal contrôlés. Il peut exister une différence entre la dose nominale fournie par le certificat d'analyse du fabricant et la dose réellement administrée au sujet, biais qui se reporte en cascade sur l'estimation des paramètres pharmaco¬cinétiques (PK), comme la clairance ou le volume de distribution. Ce travail visait à évaluer les biais entachant la quantité de médicament réellement injectée (iv/sc) aux volontaires d'un essai clinique étudiant la PK et la relation dose-réponse d'un nouveau produit biotechnologique. Méthode: La dose de médicament administrée lors de l'essai clinique (D) a été calculée de la manière suivante: D = C ? V - pertes. La concentration du produit (C; titre nominal du fabricant) a été vérifiée par immuno-essai. Le volume de médicament injecté (V) a été déterminé pour chaque injection par pesée (n=72), en utilisant la masse de la seringue avant et après injection et la densité du produit. Enfin, une analyse in vitro a permis d'évaluer les pertes liées à l'adsorption du produit dans les lignes de perfusion et de choisir le dispositif adéquat in vivo. Résultats: La concentration du médicament s'est révélée proche du titre nominal (96 ± 7%), et a été utilisée comme référence. Le volume injecté était quant à lui entaché d'un biais systématique par rapport à la valeur théorique correspondant à 0.03 mL pour la dose minimale (i.e. 75% du volume à injecter à cette dose). Une analyse complémentaire a montré que cela s'expliquait par une réaspiration partielle de la solution médica-menteuse avant le retrait de la seringue après injection sc, due à l'élasticité du piston. En iv, le biais était par contre provoqué par une réaspiration du soluté de perfusion co-administré. Enfin, la mesure des quantités de médicament récupérées après injection dans le dispositif de perfusion a démontré des pertes minimales par adsorption. Discussion-conclusion: Cette étude confirme l'existence de biais inversement corrélés au volume et à la concentration du médicament administré, pouvant provoquer des erreurs importantes sur les paramètres PK. Ce problème est négligé ou insuffisamment considéré dans les protocoles de Phase I et nécessiterait une planification rigoureuse. Les procédures opératoires devraient attirer l'attention sur ce point crucial.
Resumo:
Les écosystèmes fournissent de nombreuses ressources et services écologiques qui sont utiles à la population humaine. La biodiversité est une composante essentielle des écosystèmes et maintient de nombreux services. Afin d'assurer la permanence des services écosystémiques, des mesures doivent être prises pour conserver la biodiversité. Dans ce but, l'acquisition d'informations détaillées sur la distribution de la biodiversité dans l'espace est essentielle. Les modèles de distribution d'espèces (SDMs) sont des modèles empiriques qui mettent en lien des observations de terrain (présences ou absences d'une espèce) avec des descripteurs de l'environnement, selon des courbes de réponses statistiques qui décrive la niche réalisée des espèces. Ces modèles fournissent des projections spatiales indiquant les lieux les plus favorables pour les espèces considérées. Le principal objectif de cette thèse est de fournir des projections plus réalistes de la distribution des espèces et des communautés en montagne pour le climat présent et futur en considérant non-seulement des variables abiotiques mais aussi biotiques. Les régions de montagne et l'écosystème alpin sont très sensibles aux changements globaux et en même temps assurent de nombreux services écosystémiques. Cette thèse est séparée en trois parties : (i) fournir une meilleure compréhension du rôle des interactions biotiques dans la distribution des espèces et l'assemblage des communautés en montagne (ouest des Alpes Suisses), (ii) permettre le développement d'une nouvelle approche pour modéliser la distribution spatiale de la biodiversité, (iii) fournir des projections plus réalistes de la distribution future des espèces ainsi que de la composition des communautés. En me focalisant sur les papillons, bourdons et plantes vasculaires, j'ai détecté des interactions biotiques importantes qui lient les espèces entre elles. J'ai également identifié la signature du filtre de l'environnement sur les communautés en haute altitude confirmant l'utilité des SDMs pour reproduire ce type de processus. A partir de ces études, j'ai contribué à l'amélioration méthodologique des SDMs dans le but de prédire les communautés en incluant les interactions biotiques et également les processus non-déterministes par une approche probabiliste. Cette approche permet de prédire non-seulement la distribution d'espèces individuelles, mais également celle de communautés dans leur entier en empilant les projections (S-SDMs). Finalement, j'ai utilisé cet outil pour prédire la distribution d'espèces et de communautés dans le passé et le futur. En particulier, j'ai modélisé la migration post-glaciaire de Trollius europaeus qui est à l'origine de la structure génétique intra-spécifique chez cette espèce et évalué les risques de perte face au changement climatique. Finalement, j'ai simulé la distribution des communautés de bourdons pour le 21e siècle afin d'évaluer les changements probables dans ce groupe important de pollinisateurs. La diversité fonctionnelle des bourdons va être altérée par la perte d'espèces spécialistes de haute altitude et ceci va influencer la pollinisation des plantes en haute altitude. - Ecosystems provide a multitude of resources and ecological services, which are useful to human. Biodiversity is an essential component of those ecosystems and guarantee many services. To assure the permanence of ecosystem services for future generation, measure should be applied to conserve biodiversity. For this purpose, the acquisition of detailed information on how biodiversity implicated in ecosystem function is distributed in space is essential. Species distribution models (SDMs) are empirical models relating field observations to environmental predictors based on statistically-derived response surfaces that fit the realized niche. These models result in spatial predictions indicating locations of the most suitable environment for the species and may potentially be applied to predict composition of communities and their functional properties. The main objective of this thesis was to provide more accurate projections of species and communities distribution under current and future climate in mountains by considering not solely abiotic but also biotic drivers of species distribution. Mountain areas and alpine ecosystems are considered as particularly sensitive to global changes and are also sources of essential ecosystem services. This thesis had three main goals: (i) a better ecological understanding of biotic interactions and how they shape the distribution of species and communities, (ii) the development of a novel approach to the spatial modeling of biodiversity, that can account for biotic interactions, and (iii) ecologically more realistic projections of future species distributions, of future composition and structure of communities. Focusing on butterfly and bumblebees in interaction with the vegetation, I detected important biotic interactions for species distribution and community composition of both plant and insects along environmental gradients. I identified the signature of environmental filtering processes at high elevation confirming the suitability of SDMs for reproducing patterns of filtering. Using those case-studies, I improved SDMs by incorporating biotic interaction and accounting for non-deterministic processes and uncertainty using a probabilistic based approach. I used improved modeling to forecast the distribution of species through the past and future climate changes. SDMs hindcasting allowed a better understanding of the spatial range dynamic of Trollius europaeus in Europe at the origin of the species intra-specific genetic diversity and identified the risk of loss of this genetic diversity caused by climate change. By simulating the future distribution of all bumblebee species in the western Swiss Alps under nine climate change scenarios for the 21st century, I found that the functional diversity of this pollinator guild will be largely affected by climate change through the loss of high elevation specialists. In turn, this will have important consequences on alpine plant pollination.
Resumo:
Résumé Introduction : La conjonctivite giganto-papillaire chez des patients porteurs de lentilles de contact survient lors d'une intolérance et/ou d'une allergie aux lentilles de contact. L'éotaxine est un CC chémokine produisant un puissant effet chémotactique sur les éosinophiles, qui sont impliqués dans les allergies. Le but de cette étude est de mesurer le taux d'éotaxine dans les larmes de patients porteurs de lentilles de contact et de le comparer à celui de sujets normaux. Les taux d'éotaxine sont également corrélés avec le degré de conjonctivite giganto-papillaire. Méthode : Environ 10 Ill de larmes ont été collectés avec une rnicropipette en verre chez 16 patients porteurs de lentilles de contact et chez 10 volontaires normaux. La conjonctivite giganto-papillaire a été évaluée selon une échelle de 0 à 4 en référence à des images photographiques de la paupière supérieure réalisées à la lampe à fente. La concentration de l'éotaxine dans les larmes a été mesurée par un ELISA utilisant un anticorps d'éotaxine de souris dirigé contre l'anticorps humain. Pour l'analyse statistique des résultats, le test de Wilcox/Kruskal-Wallis a été utilisé. Résultats : La concentration moyenne d'éotaxine était de 2698 +233 (SEM) pg/ml chez les patients porteurs de lentilles de contact et de 1498 139 pg/ml chez les sujets normaux. La différence était statistiquement significative avec P = 0.0004. Le score moyen des papilles était de 1.75 ±0.19 chez les patients porteurs de lentilles de contact et de 0.2 +0.13 chez les sujets normaux (P <0.0001). Le grading des papilles a pu être mis en relation avec le taux d'éotaxine dans les larmes (R2- 0.6562 avec P <0.0001). Conclusion : Une augmentation du taux d'éotaxine dans les larmes a été mesurée chez les patients porteurs de lentilles de contact. Les taux d'éotaxine ont été corrélés avec la sévérité de la conjonctivite giganto-papillaire. Ces données suggèrent que l'éotaxine pourrait jouer un rôle important dans la formation des papilles. Abstract : Purpose: Giant papillary conjunctivitis in patients wearing contact lenses occurs after intolerance and/or allergy to contact lenses. Eotaxin is a CC chemokine with a potent and specific chemotactic effect for eosinophils, which are involved in allergies. The purpose of this study is to measure the eotaxin levels in tears of patients wearing contact lenses and in normal subjects. Eotaxin levels were also correlated with the grade of giant papillary conjunctivitis. Methods: Around 10µL of tears were collected with glass capillaries in 16 patients wearing contact lenses and in 10 normal volunteers. Giant papillary conjunctivitis was graded from 0 to 4 by reference to standard slit-lamp photographs of the superior tarsal conjunctiva. Eotaxin concentration in tears was measured by ELSA using mouse anti-human eotaxin monoclonal antibodies. For the statistical analysis of the results, the paired Wilcoxon/Kruskai-Wallis test was used. Results: The mean concentration of eotaxin was 2698 ± 233 (SEM) pg/mL in patients wearing contact lenses and 1498 ± 139 pg/mL normal subjects. The difference was statistically significant (P =0.0004). The mean score of papilla grade was 1.75 ± 0.19 in patients wearing contact lenses and 01 ± 0.13 in normal subjects (P < 0.0001). Papilla grade could be correlated to the eotaxin level in tears (R2 = 0.6562 and P< 0.0001), Conclusion: An increase of eotaxin levels in tears was measured in patients wearing contact lenses. Eotaxin levels correlated with the severity of giant papillary conjunctivitis. These data suggest that eotaxin could play a role in papilla formation.
Resumo:
Référence bibliographique : Rol, 56590
Resumo:
Collection : [Physiologies Aubert]
Resumo:
Référence bibliographique : Rol, 56908
Resumo:
Référence bibliographique : Rol, 56483