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Ce mmoire contient un article ayant t soumis la Revue de Psychoducation. Cet article a t rdig avec comme co-auteur Michel Janosz
Association between diet quality and metabolic syndrome in overweight and obese postmenopausal women
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Rsum Objectifs : Le syndrome mtabolique (MetS) est un ensemble de composantes (obsit, rsistance l'insuline, intolrance au glucose, dyslipidmie, hypertension) qui sont associes une augmentation du risque de diabte de type 2 et de maladies cardiovasculaires. Aux tats-Unis, la frquence du MetS atteint des proportions pidmiques avec une prvalence de 25% de la population. Les tudes nutritionnelles traditionnelles se sont concentres sur leffet dun nutriment alors que les tudes plus rcentes ont dtermin leffet global de la qualit alimentaire sur les facteurs de risque. Cependant, peu d'tudes ont examin la relation entre la qualit alimentaire et le MetS. Objectif: Dterminer l'association entre la qualit alimentaire et le MetS et ses composantes. Mthodes: La prsence du MetS a t dtermine chez 88 femmes post-mnopauses en surpoids ou obses, selon la dfinition du National Cholesterol Education Program Adult treatment Panel III alors que la qualit alimentaire a t value selon le Healthy Eating Index (HEI). La sensibilit linsuline, la composition corporelle et le mtabolisme nergtique ont t mesurs. Rsultats: Le HEI corrlait ngativement avec la plupart des mesures de masse grasse et du poids mais pas avec la sensibilit l'insuline, lhypertension et la plupart des marqueurs lipidiques. Cependant, lHEI corrlait positivement avec LDL-C/ApoB et ngativement avec le mtabolisme nergtique. Conclusion: Les rsultats dmontrent que lHEI est associ avec les mesures de gras corporel et la grosseur des LDL. Mots cls: Obsit, qualit alimentaire, mtabolisme lipidique, syndrome mtabolique.
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Ce mmoire examine les questions mouvement multiple en bulgare, en accordant une importance particulire aux mcanismes qui rgissent lordre des syntagmes interrogatifs antposs. Outre la prsentation dun phnomne linguistique complexe et trs intressant, ltude propose un aperu critique des hypothses les plus importantes mises au fil des ans propos des interrogatives multiples. Dans un premier temps, nous discutons des diffrentes approches renfermant lide que lordre des mots interrogatifs au dbut de la proposition dpend entirement des rgles syntaxiques. Ensuite, nous prsentons les analyses qui tentent dexpliquer la problmatique en faisant appel des traits spcifiques des syntagmes Qu-, tels que [anim] ou [li au discours]. Le rle de la topicalisation et de la focalisation dans la formation des questions multiples, les projections fonctionnelles de la priphrie gauche en bulgare accueillant diffrents syntagmes, ainsi que la rsomption comptent galement parmi les sujets traits dans ce mmoire.
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Les tendances de la participation la formation des adultes au Canada nont pas volu depuis des dcennies, malgr les nouvelles influences conomiques qui ont stimul laugmentation et la diversification permanente de la formation des employs et malgr les initiatives plus nombreuses en faveur de lapprentissage des employs en milieu de travail. Il est donc ncessaire de ne plus se contenter dtudier les prdicteurs de la formation dj connus dans les profils des employs et des employeurs. Il est, en revanche, indispensable dtudier les antcdents de la participation des employs la formation, y compris les aspects et les tapes du processus qui la prcde. Cette tude porte sur les antcdents de la participation des employs aux formations dans un important collge communautaire urbain en Ontario. Afin de prparer le recueil des donnes, un cadre thorique a t labor partir du concept dexpression de la demande. Ce cadre implique lexistence dun processus qui comporte plusieurs tapes, au cours desquelles plusieurs intervenants interagissent et dont la formation est susceptible dtre le rsultat. Les rsultats de lenqute sur le profil dapprentissage ont permis de conclure que le comportement des employs et de lemployeur est conforme aux modles de prdicteurs existants et que les taux et les types de participation taient similaires aux tendances nationales et internationales. Lanalyse des entrevues dun groupe demploys atypiques, de leurs superviseurs, ainsi que de reprsentants du collge et du syndicat, a rvl dimportants thmes cls : lexpression de la demande nest pas structure et elle est communique par plusieurs canaux, en excluant parfois les superviseurs. De plus, la place de lauto valuation est importante, ainsi que la phase de prise de dcision. Ces thmes ont soulign linteraction de plusieurs intervenants dans le processus dexpression de la demande dapprentissage et pendant la prise de dcision. Lexamen des attentes de chacun de ces intervenants au cours de ce processus nous a permis de dcouvrir un dsir tacite chez les superviseurs et les employs, savoir que la conversation soit linitiative de lautre . Ces thmes cls ont t ensuite abords dans une discussion qui a rvl une discordance entre le profil de lemployeur et les profils des employs. Celle-ci se prte la correction par lemployeur de son profil institutionnel pour lharmoniser avec le profil dispositionnel des employs et optimiser ainsi vraisemblablement son offre de formation. Ils doivent, pour cela, appliquer un processus plus systmatique et plus structur, dot de meilleurs outils. La discussion a port finalement sur les effets des motivations conomiques sur la participation des employs et a permis de conclure que, bien que les employs ne semblent pas se mfier de loffre de formation de lemployeur et que celle ci ne semble pas non plus les dcourager, des questions de pouvoir sont bel et bien en jeu. Elles se sont principalement manifestes pendant le processus de prise de dcision et, cet gard, les superviseurs comme les employs reconnaissent quun processus plus structur serait bnfique, puisquil attnuerait les problmes dasymtrie et dambigut. Les constatations de cette tude sont pertinentes pour le secteur de la formation des adultes et de la formation en milieu de travail et, plus particulirement, pour la mthodologie de recherche. Nous avons constat lavantage dune mthodologie deux volets, lcoute de lemployeur et des employs, afin de mieux comprendre la relation entre loffre de formation et la participation la formation. La dfinition des antcdents de la participation sous la forme dun processus dans lequel plusieurs intervenants remplissent plusieurs rles a permis de crer un modle plus dtaill qui servira la recherche future. Ce dernier a dmontr quil est indispensable de reconnatre que la prise de dcision constitue une tape part entire, situe entre lexpression de la demande et la participation la formation. Ces constatations ont galement rvl quil est vritablement indispensable que le secteur de la formation des adultes continue traiter les questions relies la reconnaissance de la formation informelle. Ces conclusions et la discussion sur les constatations cls nous ont inspir des recommandations appliquer pour modifier les retombes du processus prcdant la participation des employs la formation. La majorit de ces recommandations ont trait linfrastructure de ce processus et ciblent donc principalement lemployeur. Certaines recommandations sont cependant destines aux syndicats, aux superviseurs et aux employs qui peuvent aider lemployeur remplir son rle et favoriser la participation efficace de tous ce processus. Les recommandations qui prcdent impliquent que ce sont les antcdents de la formation qui gagneraient tre plus structurs et non la formation elle mme. La structuration de linfrastructure de lapprentissage prsente cependant des risques elle seule. En liaison avec ce phnomne, une tude spcifique des effets de la nature, de la qualit et de lasymtrie de la relation superviseur employ sur la participation des employs la formation serait bnfique. Mots cls : formation en entreprise, formation professionnelle continue, antcdents la participation, employs de soutien
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Cette thse est compose de trois essais en conomie forestire. Les deux premiers s'intressent la fixation de la redevance optimale laquelle fait face le propritaire d'une ressource forestire dans un contexte d'information asymtrique. Le troisime analyse l'impact long terme du recyclage sur la surface de terre affecte la fort. La gestion des ressources forestires implique souvent la dlgation des droits de coupe par le propritaire forestier une entreprise exploitante. Cette dlgation prend la forme d'un contrat de concession par lequel le propritaire forestier octroie les droits d'exploitation aux compagnies forestires, en contrepartie d'une redevance (transfert montaire). L'octroie des droits d'exploitation s'effectue gnralement sous plusieurs modes, dont les plus rpandus sont les appels d'offres publics et les contrats de gr gr, o le propritaire forestier et la firme exploitante spcifient entre autres la redevance dans les clauses d'exploitation de la fort. Pour dterminer le mcanisme optimal (choix de la firme, ge de coupe et redevance), le propritaire forestier a idalement besoin de connatre les cots de coupe et de reboisement. Or en ralit, les firmes sont mieux informes sur leurs cots que le propritaire forestier. Dans ce contexte d'information asymtrique, le mcanisme optimal doit donc prendre en considration des contraintes informationnelles. Les deux premiers essais caractrisent, sous ces conditions, l'ge de coupe optimal (la rotation optimale) et la redevance optimale. Le premier essai examine le contrat optimal quand le propritaire forestier cde les droits de coupes une firme par un accord de gr gr ou par une procdure d'appel d'offre public au second prix. L'analyse du problme est mene premirement dans un contexte statique, dans le sens que les cots de coupe sont parfaitement corrls dans le temps, puis dans un contexte dynamique, o les cots sont indpendants dans le temps. L'examen en statique et en dynamique montre que la rotation optimale va satisfaire une version modifie de la rgle de Faustmann qui prvaudrait en information symtrique. Cette modification est ncessaire afin d'inciter la firme rvler ses vrais cots. Dans le cas statique, il en rsulte que la rotation optimale est plus leve en information asymtrique qu'en situation de pleine information. Nous montrons galement comment le seuil maximal de cot de coupe peut tre endognis, afin de permettre au propritaire d'accrotre son profit espr en s'assurant que les forts non profitables ne seront pas exploites. Nous comparons ensuite la redevance optimale en information asymtrique et symtrique. Les redevances forestires dans un arrangement de gr gr tant gnralement, en pratique, une fonction linaire du volume de bois, nous drivons le contrat optimal en imposant une telle forme de redevance et nous caractrisons la perte en terme de profit espr qui rsulte de l'utilisation de ce type de contrat plutt que du contrat non linaire plus gnral. Finalement, toujours dans le contexte statique, nous montrons travers un mcanisme optimal d'enchre au second prix qu'en introduisant ainsi la comptition entre les firmes le propritaire forestier augmente son profit espr. Les rsultats obtenus dans le contexte dynamique diffrent pour la plupart de ceux obtenus dans le cas statique. Nous montrons que le contrat optimal prvoit alors que chaque type de firme, incluant celle ayant le cot le plus lev, obtient une rente strictement positive, laquelle augmente dans le temps. Ceci est ncessaire pour obtenir la rvlation moindre cot la priode courante du vritable type de la firme. Comme implication, la rotation optimale s'accrot aussi dans le temps. Finalement, nous montrons qu'il y a distorsion en asymtrique d'information par rapport l'optimum de pleine information mme pour le cot le plus bas (la ralisation la plus favorable). La concurrence introduite dans le premier essai sous forme d'enchre au second prix suppose que chaque firme connat exactement son propre cot de coupe. Dans le deuxime essai nous relchons cette hypothse. En ralit, ni le propritaire forestier ni les firmes ne connaissent avec prcision les cots de coupe. Chaque firme observe de manire prive un signal sur son cot. Par exemple chaque firme est autorise visiter un lot pour avoir une estimation (signal) de son cot de coupe. Cependant cette valuation est approximative. Ainsi, le cot de chaque firme va dpendre des estimations (signaux) d'autres firmes participantes. Nous sommes en prsence d'un mcanisme valeurs interdpendantes. Dans ce contexte, la valeur d'une allocation dpend des signaux de toutes les firmes. Le mcanisme optimal (attribution des droits d'exploitation, redevance et ge de coupe) est explor. Nous dterminons les conditions sous lesquelles le mcanisme optimal peut tre implment par une enchre au second prix et drivons la rotation optimale et le prix de rserve dans le contexte de ce type d'enchre. Le troisime essai de la thse analyse l'impact long terme du recyclage sur la surface de terre affecte la fort. L'un des principaux arguments qui milite en faveur du recours au recyclage est que cela entranerait une rduction de la coupe de bois, pargnant ainsi des arbres. L'objectif est donc d'aboutir un nombre d'arbres plus important qu'en l'absence de recyclage. L'ide d'accrotre le stock d'arbre tient au fait que les forts gnrent des externalits: elles crent un flux de services rcratifs, freinent l'rosion des sols et des rives des cours d'eau et absorbent du dioxyde de carbone prsent dans l'atmosphre. tant donn la prsence d'externalits, l'quilibre des marchs rsulterait en un nombre d'arbre insuffisant, justifiant donc la mise en oeuvre de politiques visant l'accrotre. Le but de ce troisime essai est de voir dans quelle mesure la promotion du recyclage est un instrument appropri pour atteindre un tel objectif. En d'autres mots, comment le recyclage affecte-t-il long terme la surface de terre en fort et l'ge de coupe? Nous tudions cette question en spcifiant un modle dynamique d'allocation d'un terrain donn, par un propritaire forestier priv, entre la fort et une utilisation alternative du terrain, comme l'agriculture. Une fois les arbres coups, il dcide d'une nouvelle allocation du terrain. Il le fait indfiniment comme dans le cadre du modle de Faustmann. Le bois coup est transform en produit final qui est en partie recycl comme substitut du bois original. Ainsi, les outputs passs affectent le prix courant. Nous montrons que, paradoxalement, un accroissement du taux de recyclage rduira long terme la surface forestire et donc diminuera le nombre d'arbres plants. Par contre l'ge de coupe optimal va s'accrotre. L'effet net sur le volume de bois offert sur le march est ambigu. Le principal message cependant est qu' long terme le recyclage va rsulter en une surface en fort plus petite et non plus grande. Donc, si le but est d'accrotre la surface en fort, il pourrait tre prfrable de faire appel d'autres types d'instruments de politique que celui d'encourager le recyclage.
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Certains symptmes sont les indicateurs incontests des trs graves problmes que connat lglise. Sils existent aussi dans des confessions et des religions diverses, seuls seront examins ici ceux qui concernent lglise catholique. Parmi les plus significatifs figurent un fort dclin dans la participation des activits religieuses comme les clbrations eucharistiques dominicales, surtout chez les jeunes, une pnurie presque catastrophique de prtres ordonns, une perte de prestige et dinfluence de lenseignement dispens par lglise. Ces symptmes varient en intensit selon les pays, mais les statistiques indiquent quils se multiplient. Nombre de ces problmes sont attribuables lextrme vlocit de changements qui surviennent partout et lapparente inaptitude de lglise sadapter, en raison notamment de son attachement la pense no-scolastique et la tradition tridentine. Cette fidlit absolue une tradition vieille de quatre cents ans lempche de se faire un environnement en volution rapide et radicale. Des changements appropris simposent pratiquement partout dans lglise. Or, pour que ceux-ci soient efficaces et respectueux de la nature propre de lglise, la tradition est un guide qui ne suffit pas. Sappuyant sur les termes de lencyclique Ecclesia de Eucharistia, le moment dcisif o elle (lglise) a pris forme est certainement celui o a eu lieu linstitution de lEucharistie, dans la chambre ltage , la thse prsente suit le plus prs possible linterprtation donne aux paroles de Jsus, ceci est mon corps, telles quelles ont t prononces la premire fois. Selon cette vidence, il est permis daffirmer que les caractristiques dfinitoires de lglise provenant de ces mots sont agape, unit, service. Tel doit tre le principe directeur des changements. Cest sur une telle base que sont dcrits les secteurs o les changements simposent ainsi que les aspects viss. Ces changements comprennent les points suivants : liturgie, sacrements, catchse, mystagogie, thologie, structure, gouvernance de lglise et ses enseignements, vanglisation. Ces secteurs exigent des efforts srieux dans la prparation des personnes touches par ces changements et dans lattention porte lexigence primordiale voulant quagape, unit et service soient les principes actifs et vidents rgissant lglise.
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Le projet dune thorie dialectique de luvre dart est sans doute un des plus complexes que Theodor Adorno ait tenu en haleine, projet qui table sur les horizons thoriques les plus diversifis du philosophe de Francfort. Il ne sagit donc pas ici den rsumer la pertinence et les prmisses, de rendre justice sa pleine complexit. Ce que je propose bien plutt de faire cest de dvelopper trois faons inter-relies de comprendre ce projet. En partant dabord de la situation de lesthtique contemporaine Adorno, nous voudrions regarder en face la solution quoffre la Thorie esthtique pour revitaliser lesthtique philosophique. Il sagit donc dabord de questionner les catgories traditionnelles de lesthtique qui semblent inadquates la ralit de lart moderne lpoque o il devient objet de rflexion . Le second aspect concerne linterprtation et la mthode de prsentation. Lessai comme forme quAdorno excute et dveloppe de pair avec la tendance parataxique de la posie dHlderlin est lobjet des Notes sur la littrature. Ces travaux font cho des notions clefs de la Thorie esthtique, dj en germes dans Lactualit de la philosophie : linterprtation, le contenu de vrit et le caractre nigmatique. Je propose finalement de restituer une certaine volution du matriau-dissonance, ce qui recoupe et matrialise les deux premires perspectives.
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Notre recherche a pour but de mieux comprendre les comportements de citoyennet organisationnelle et plus particulirement ce qui peut les favoriser ou les dfavoriser. Nous en avons retenu cinq pour notre recherche: les comportements de vertu civique, desprit dquipe, conformistes, de courtoisie et daltruisme Nous avons choisi dtudier linfluence des valeurs au travail sur ces comportements et notre objectif est de vrifier linfluence de 28 valeurs au travail sur nos cinq comportements de citoyennet organisationnelle. Par ailleurs, nous avons choisi dinclure notre modle de recherche la variable des gnrations. Nous cherchons savoir si les valeurs au travail peuvent changer en fonction de lappartenance dun individu lune des 4 gnrations prsentes sur le march du travail (Vtrans, Baby Boomers, X et Y) et si le fait dappartenir une gn-ration plutt quune autre aura un impact sur les comportements de citoyennet organisationnelle. Les donnes ont t collectes au sein de la firme de sondage lObservateur. Au total, 278 questionnaires sont utilisables dans le cadre de notre recherche. Des analyses de rgression hirarchiques ont permis de vrifier la capacit explicative des valeurs sur les comportements de citoyennet organisationnelle. Des tests post hoc de Scheff ont permis de vrifier lexistence de diffrences de valeurs entre les gnrations et des analyses de variance nous ont permis de vrifier linfluence des gnrations sur les comportements de citoyennet organisationnelle. Les rsultats indiquent que des liens significatifs existent entre les valeurs et les comportements de citoyennet organisationnelle permettant ainsi de confirmer linfluence favorable ou dfavorable de certaines valeurs parmi les 28 ltude sur nos cinq comportements de citoyennet organisationnelle. En ce qui a trait aux diffrences existan-tes entre nos gnrations ltude, les rsultats nous rvlent quelles sont beaucoup moins importantes que ce que la littrature nous laisse penser. Finalement, nos rsultats ne nous permettent pas de confirmer que certaines gnrations sont plus disposes que dautres adopter des comportements de citoyennet organisationnelle. Mots-cls : valeurs au travail, gnration, comportements de citoyennet organisationnelle.
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Lobjectif de ce mmoire est danalyser une praxis, la mienne, au moyen des techniques de la praxologie, en tentant ainsi de raffirmer le bien-fond de mon travail dauteure au service de la foi. En effet, la rdaction de Saffia, femme de Smyrne, dbute aprs une quinzaine dannes de vie professionnelle active en tant qucrivaine, me laisse croire que ce roman historique et sa prsentation sont des outils adapts pour transmettre lvangile. Ma recherche dbute par une prsentation gnrale de luvre de fiction Saffia, femme de Smyrne ainsi que des confrences qui en dcoulent. Je mettrai ensuite en mots lobservation du discours secondaire, compos des apprciations ou des impressions de lecteurs. Mon interprtation ou mon hypothse surgiront de ma problmatisation par la question praxologique Pourquoi est-ce que je fais ce que je fais et seront formules au moyen des cinq fonctions dlaboration. La partie ayant trait la transmission de lvangile sera value par des lectures en thologie, qui mettent en exergue les tudes dauteurs : Jean-Guy Nadeau, Pierre Vadeboncur, et Norbert Greinacher tandis que celle rfrant aux sciences humaines sera tudie au moyen des uvres de spcialistes Grard Delteil, Rgis Debray, Flix Moser et Antoine Compagnon. Soutenue par ces diffrentes tudes, je serai en mesure de mieux dfinir ce que la fiction en gnral peut apporter la transmission de lvangile en mappuyant sur ltude de la fiction en thologie faite par des auteurs comme Paul Ricur et Joseph Moingt. Je conclurai par une rflexion sur le mode de transmission de Saffia, femme de Smyrne et, je lespre, par une explication de la raison pour laquelle je continuerai utiliser la fiction pour transmettre lvangile. Une courte nouvelle me permettra dappliquer mon tude et ainsi douvrir ma rflexion dans une praxis.
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Le 29 juillet 1994, Megan Kanka, une jeune fille de sept ans de la municipalit de Hamilton au New Jersey, est enleve, agresse sexuellement et tue par ce qui se rvlera tre son voisin den face, Jesse Timmendequas. lpoque, lassaillant de Megan avait dj fait lobjet de deux condamnations pour agression sexuelle. Suite cette tragdie, les parents de Megan luttrent pour la cration dune loi qui rvlerait automatiquement au public lidentit et le lieu de rsidence des dlinquants sexuels. Moins de trois mois plus tard, la Loi de Megan tait ratifie. Ainsi un rpertoire tatique centralis de dlinquants sexuels en partie disponible au public fut cr. Notre tude se centre sur ce cas et tente de comprendre comment une construction particulire de la dlinquance sexuelle comme problme social mena la rponse pnale spcifique qutait la Loi de Megan. Pour ce faire, nous analysons les discours et argumentaires politiques en lien avec laffaire. Huit entretiens avec diffrents acteurs impliqus dans le dbat politique menant la cration de la loi de Megan furent effectus. Une analyse de plus de 150 articles de journaux et de quelques projets et textes de lois fut galement effectue. Nos rsultats soulignent dabord le rle primordial quavait le contexte sociopolitique autant sur la construction du problme social de la dlinquance sexuelle que sur la solution qui lui tait lie. Lanalyse du cas nous indique galement que la dyade problme-solution slabora en conjonction, dans un cadre temporel uniforme, dont les seules tapes dtectables sont celles du narratif de la mort de Megan et de llaboration concrte de la loi. En dautres mots, la mort de Megan ne constituait quun point focal qui permit des acteurs de mettre en pratique des concepts dj largement partags. Ltude conclue en liant le contexte sociopolitique du Canada celui retrouv dans notre tude de cas et suggre quune construction similaire de la dlinquance sexuelle comme problme peut facilement tre envisageable chez nous. Si personne ne souhaite loccurrence dune situation comparable celle vcue par Megan Kanka et sa famille, cet lment nous apparat comme tant celui qui propulserait rellement cette construction sur la place publique, condition bien videmment quune personne ou un groupe de personnes en fassent une question dbattre.
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Alors que les hypothses de valence et de dominance hmisphrique droite ont longtemps t utilises afin dexpliquer les rsultats de recherches portant sur le traitement motionnel de stimuli verbaux et non-verbaux, la littrature sur le traitement de mots motionnels est gnralement en dsaccord avec ces deux hypothses et semble converger vers celle du dcours temporel. Cette dernire hypothse stipule que le dcours temporal lors du traitement de certains aspects du systme smantique est plus lent pour lhmisphre droit que pour lhmisphre gauche. Lobjectif de cette thse est dexaminer la faon dont les mots motionnels sont traits par les hmisphres crbraux chez des individus jeunes et gs. cet effet, la premire tude a pour objectif dvaluer lhypothse du dcours temporel en examinant les patrons dactivations relatif au traitement de mots motionnels par les hmisphres gauche et droit en utilisant un paradigme damorage smantique et une tche dvaluation. En accord avec lhypothse du dcours temporel, les rsultats obtenus pour les hommes montrent que lamorage dbute plus tt dans lhmisphre gauche et plus tard dans lhmisphre droit. Par contre, les rsultats obtenus pour les femmes sont plutt en accord avec lhypothse de valence, car les mots valence positive sont principalement amorcs dans lhmisphre gauche, alors que les mots valence ngative sont principalement amorcs dans lhmisphre droit. Puisque les femmes sont considres plus motives que les hommes, les rsultats ainsi obtenus peuvent tre la consquence des effets de la tche, qui exige une dcision explicite au sujet de la cible. La deuxime tude a pour objectif dexaminer la possibilit que la prservation avec lge de lhabilet traiter des mots motionnels sexprime par un phnomne compensatoire dactivations bilatrales frquemment observes chez des individus gs et maintenant un haut niveau de performance, ce qui est galement connu sous le terme de phnomne HAROLD (Hemispheric Asymmetry Reduction in OLDer adults). En comparant les patrons damorages de mots motionnels auprs de jeunes adultes et dadultes gs performants des niveaux levs sur le plan comportemental, les rsultats rvlent que lamorage se manifeste unilatralement chez les jeunes participants et bilatralement chez les participants gs. Par ailleurs, lamorage se produit chez les participants gs avec un lger dlai, ce qui peut rsulter dune augmentation des seuils sensoriels chez les participants gs, qui ncessiteraient alors davantage de temps pour encoder les stimuli et entamer lactivation travers le rseau smantique. Ainsi, la performance quivalente au niveau de la prcision retrouve chez les deux groupes de participants et lamorage bilatral observ chez les participants gs sont en accord avec lhypothse de compensation du phnomne HAROLD.
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Rsum Lobjectif de cette tude tait de dterminer les effets de la source de slnium sur les concentrations de Se et de GSH-Px des vaches de boucherie (n =33) et leurs veaux et sur des paramtres immunitaires des veaux. Deux groupes de vaches ont reu 3 mg/j/animal de Se organique ou inorganique dans le minral. Le troisime groupe n'a pas t supplment en Se et leurs veaux ont t diviss en deux sous-groupes, lun des deux a reu une injection de slnite de sodium (0,087 mg/Kg) la naissance. Le Se et la GSH-Px ont t respectivement mesurs par HPLC-UV et par cintique enzymatique. La phagocytose, la flambe respiratoire et le ratio CD4:CD8ont t valus par des kits commerciaux et les IgG totales ont t mesurs par immunodiffusion radiale. La supplmentation de Se a augment significativement le Se srique et colostral (P<0,02) et la GSH-Px(P0,04) pour les vaches et leurs veaux avec un effet significativement plus lev pour le Se organique. Le Se du lait a augment de faon significative uniquement avec la source organique du Se (P0,0007). Linjection du Se chez les veaux a permis une augmentation significative mais temporaire (P<0,0001) du Se srique. La supplmentation en Se na pas influenc les paramtres immunitaires mesurs (P>0,01, non significatif aprs correction de Bonferroni). Nous concluons que la supplmentation en Se amliore le niveau du Se colostral, lact et srique ainsi que la GSH-Px pour les vaches et leurs veaux sans effet sur les paramtres immunitaires mesurs des veaux. Mots cls: Slnium, veaux de boucherie, phagocytose, flambe respiratoire, anticorps, ratio CD4:CD8, GSH-Px.
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Les graphiques ont t raliss avec le logiciel Alceste.
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Lobjectif de cette thse est dlucider lintention, la pertinence et la cohrence de lappropriation par Heidegger des concepts principaux de la philosophie pratique aristotlicienne dans ses premiers cours. Notre analyse portera principalement sur les notions clefs denergeia et de phronsis. La premire section de la thse est prparatoire : elle est consacre une analyse troite des textes pertinents de lthique Nicomaque, mais aussi de la Mtaphysique, en discussion avec dautres commentateurs modernes. Cette analyse jette les fondations philologiques ncessaires en vue daborder les audacieuses interprtations de Heidegger sur une base plus ferme. La deuxime et principale section consiste en une discussion de lappropriation ontologique de lthique Nicomaque que Heidegger entreprend de 1922 1924, partir des textes publis jusqu ce jour et en portant une attention spciale Mtaphysique IX. Le rsultat principal de la premire section est un aperu du caractre central de lenergeia pour le projet dAristote dans lthique Nicomaque et, plus spcifiquement, pour sa comprhension de la praxis, qui dans son sens original savre tre un mode dtre des tres humains. Notre analyse reconnat trois traits essentiels de lenergeia et de la praxis, deux desquels provenant de llucidation aristotlicienne de lenergeia dans Mtaphysique IX 6, savoir son immdiatet et sa continuit : energeia exprime ltre comme un accomplissement immdiat mais inachev . Lirrductibilit, troisime trait de lenergeia et de la praxis, rsulte pour sa part de lapplication de la structure de lenergeia la caractrisation de la praxis dans lthique Nicomaque, et du contraste de la praxis avec la poisis et la theria. Ces trois caractristiques impliquent que la vrit pratique la vrit de la praxis, ce qui est l objet de la phronsis ne peut tre proprement parler possde et ainsi transmise : plus quun savoir, elle se rvle surtout comme quelque chose que nous sommes. Cest ce caractre unique de la vrit pratique qui a attir Heidegger vers Aristote au dbut des annes 1920. La deuxime section, consacre aux textes de Heidegger, commence par la reconstruction de quelques-uns des pas qui lont conduit jusqu Aristote pour le dveloppement de son propre projet philosophique, pour sa part caractris par une profonde, bien qunigmatique combinaison dontologie et de phnomnologie. La lgitimit et la faisabilit de lappropriation clairement ontologique de lthique Nicomaque par Heidegger est aussi traite, sur la base des rsultats de la premire section. Lanalyse de ces textes met en lumire la pntrante opposition tablie par Heidegger entre la phronsis et lenergeia dans son programmatique Natorp Bericht en 1922, une perspective qui diverge fortement des rsultats de notre lecture philologique dAristote dans la premire section. Cette opposition est maintenue dans nos deux sources principales le cours du semestre dhiver 1924-25 Platon: Sophistes, et le cours du semestre dt 1924 Grundbegriffe der aristotelischen Philosophie. Le commentaire que Heidegger fait du texte dAristote est suivi de prs dans cette section: des concepts tels que energeia, entelecheia, telos, physis ou hexis qui trouvent leur caractrisation ontologique dans la Mtaphysique ou la Physique doivent tre examins afin de suivre largument de Heidegger et den valuer la solidit. Lhypothse de Heidegger depuis 1922 savoir que lontologie aristotlicienne nest pas la hauteur des aperus de ses plus pntrantes descriptions phnomnologiques rsulte en un conflit opposant phronsis et sophia qui divise ltre en deux sphres irrconciliables qui auraient pour effet selon Heidegger de plonger les efforts ontologiques aristotliciens dans une impasse. Or, cette conclusion de Heidegger est construite partir dune interprtation particulire de lenergeia qui laisse de ct dune manire dcisive son aspect performatif, pourtant lun des traits essentiels de lenergeia telle quAristote la conue. Le fait que dans les annes 1930 Heidegger ait lui-mme retrouv cet aspect de lenergeia nous fournit des raisons plus fortes de mettre en doute le suppos conflit entre ontologie et phnomnologie chez Aristote, ce qui peut aboutir une nouvelle formulation du projet heideggrien.
Resumo:
Cette recherche vise dcrire 1) les erreurs lexicales commises en production crite par des lves francophones de 3e secondaire et 2) le rapport lerreur lexicale denseignants de franais (conception de lerreur lexicale, pratiques dvaluation du vocabulaire en production crite, modes de rtroaction aux erreurs lexicales). Le premier volet de la recherche consiste en une analyse derreurs trois niveaux : 1) une description linguistique des erreurs laide dune typologie, 2) une valuation de la gravit des erreurs et 3) une explication de leurs sources possibles. Le corpus analys est constitu de 300 textes rdigs en classe de franais par des lves de 3e secondaire. Lanalyse a rvl 1144 erreurs lexicales. Les plus frquentes sont les problmes smantiques (30%), les erreurs lies aux proprits morphosyntaxiques des units lexicales (21%) et lutilisation de termes familiers (17%). Cette rpartition dmontre que la moiti des erreurs lexicales sont attribuables une mconnaissance de proprits des mots autres que le sens et la forme. Lvaluation de la gravit des erreurs repose sur trois critres : leur acceptation linguistique selon les dictionnaires, leur impact sur la comprhension et leur degr dintgration lusage. Les problmes lis aux registres de langue sont gnralement ceux qui sont considrs comme les moins graves et les erreurs smantiques reprsentent la quasi-totalit des erreurs graves. Le troisime axe danalyse concerne la source des erreurs et fait ressortir trois sources principales : linfluence de la langue orale, la proximit smantique et la parent formelle entre le mot utilis et celui vis. Le second volet de la thse concerne le rapport des enseignants de franais lerreur lexicale et repose sur lanalyse de 224 rdactions corriges ainsi que sur une srie de huit entrevues menes avec des enseignants de 3e secondaire. Lors de la correction, les enseignants relvent surtout les erreurs orthographiques ainsi que celles relevant des proprits morphosyntaxiques des mots (genre, invariabilit, rgime), quils classent parmi les erreurs de grammaire. Les erreurs plus purement lexicales, cest--dire les erreurs smantiques, lemploi de termes familiers et les erreurs de collocation, demeurent peu releves, et les annotations des enseignants concernant ces types derreurs sont vagues et peu systmatiques, donnant peu de pistes aux lves pour la correction. Lvaluation du vocabulaire en production crite est toujours soumise une apprciation qualitative, qui repose sur limpression gnrale des enseignants plutt que sur des critres prcis, le seul indicateur clair tant la rptition. Les explications des enseignants concernant les erreurs lexicales reposent beaucoup sur lintuition, ce qui tmoigne de certaines lacunes dans leur formation en lien avec le vocabulaire. Les enseignants admettent enseigner trs peu le vocabulaire en classe au secondaire et expliquent ce choix par le manque de temps et doutils adquats. Lenseignement du vocabulaire est toujours subordonn des tches dcriture ou de lecture et vise davantage lacquisition de mots prcis que le dveloppement dune relle comptence lexicale.