1000 resultados para Histoire — Histoire littéraire


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Contient : « Mémoire concernant les érections des fiefs, en Provence, en duchés, marquisats, comtés, vicomtés et baronies » ; « Rôle de ceux qui feurent déclarés nobles en Provence lors de la recherche qui s'en fit aux années 1667, 68 et 69 » ; Notes et extraits généalogiques divers concernant la Provence ; « Mémoires tirés des archives du couvent de Saint-Maximin, en aoust 1677 » ; Recueil de copies de pièces sur les affaires de la Valteline et des Grisons sous Louis XIII, provenant de Peiresc ; « Testamentum B[ertranni] comitis super restitutionem B. Mariae S. Trophimo » Arelatensi (c. 1063) ; Mémoires sur l'histoire de Provence, recueillis par Peiresc, et dont plusieurs ont été préparés pour l'impression, entre autres (fol. 345) un « Abrégé de l'histoire de Provence » rédigé par Peiresc, et dédié par lui au baron d'Oppede, premier président au Parlement d'Aix ; etc

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Contient : Inventaire des « Minutes des notaires de Bourges. Imprimé à Bourges, le dernier aoust 1673 ; » ; « Remarques sur l'Histoire de Berry du sieur de La Thaumassière ; » peut-être du chevalier Gougnon

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Histoire discursive du « cinéma-vérité ». Techniques, controverses, historiographie (1960-1970) retrace l'histoire du succès et de la disgrâce du label « cinéma vérité » en France qui, entre 1960 - date à laquelle Edgar Morin publie son essai programmatique « Pour un nouveau "cinéma vérité" » dans France Observateur - et 1964-65 - moment où la notion commence à perdre en popularité - sert de bannière à un mouvement cinématographique supposé renouveler les rapports entre cinéma et réalité. Une vingtaine de films - comme Chronique d'un été de Jean Rouch et Edgar Morin, Primary de Richard Leacock et Robert Drew, Les Inconnus de la terre ou Regard sur la folie de Mario Ruspoli, Hitler, connais pas de Bertrand Blier, Le Chemin de la mauvaise route de Jean Herman, Le Joli Mai de Chris Marker, La Punition de Jean Rouch ou Pour la Suite du monde de Michel Brault et Pierre Perrault - revendiquent cette étiquette ou y sont associés par la presse hexagonale qui y consacre des centaines d'articles. En effet, la sortie en salles de ces « films-vérité » provoque en France de virulentes controverses qui interrogent aussi bien l'éthique de ces projets où les personnes filmées sont supposées révéler une vérité intime face à la caméra, le statut artistique de ces réalisations, ou l'absence d'un engagement politique marqué des « cinéastes-vérité » devant les questions abordées par les protagonistes (par exemple la Guerre d'Algérie, la jeunesse française, la politique internationale). L'hypothèse à la base de cette recherche est que la production cinématographique qui se réclame du « cinéma-vérité » se caractérise par une étroite corrélation entre film et discours sur le film. D'une part car la première moitié de la décennie est marquée par de nombreuses rencontres entre les « cinéastes vérité », les critiques ou les constructeurs de caméras légères et de magnétophones synchrones ; rencontres qui contribuent à accentuer et à médiatiser les dissensions au sein du mouvement. D'autre part car la particularité de nombreux projets est d'inclure dans le film des séquences méta-discursives où les participants, les réalisateurs ou des experts débattent de la réussite du tournage. Ce travail montre que le succès du mouvement entre 1960 et 1964-65 ne se fait pas malgré une forte polémique, mais qu'au contraire, nombre de longs métrages intègrent la controverse en leur sein, interrogeant, sur un plan symbolique, l'abolition du filtre entre le film et son spectateur. Si les films qui s'inscrivent dans la mouvance du « cinéma vérité » octroient une large place à la confrontation, c'est parce que la « vérité » est pensée comme un processus dialectique, qui émerge dans une dynamique d'échanges (entre les réalisateurs de cette mouvance, entre les protagonistes, entre le film et son public). Les querelles internes ou publiques qui rythment ces quelques années font partie du dispositif « cinéma-vérité » et justifient de faire l'histoire de ce mouvement cinématographique par le biais des discours qu'il a suscité au sein de la cinéphilie française.