940 resultados para Vertex Folkman Number


Relevância:

20.00% 20.00%

Publicador:

Resumo:

Le problème inverse en électroencéphalographie (EEG) est la localisation de sources de courant dans le cerveau utilisant les potentiels de surface sur le cuir chevelu générés par ces sources. Une solution inverse implique typiquement de multiples calculs de potentiels de surface sur le cuir chevelu, soit le problème direct en EEG. Pour résoudre le problème direct, des modèles sont requis à la fois pour la configuration de source sous-jacente, soit le modèle de source, et pour les tissues environnants, soit le modèle de la tête. Cette thèse traite deux approches bien distinctes pour la résolution du problème direct et inverse en EEG en utilisant la méthode des éléments de frontières (BEM): l’approche conventionnelle et l’approche réciproque. L’approche conventionnelle pour le problème direct comporte le calcul des potentiels de surface en partant de sources de courant dipolaires. D’un autre côté, l’approche réciproque détermine d’abord le champ électrique aux sites des sources dipolaires quand les électrodes de surfaces sont utilisées pour injecter et retirer un courant unitaire. Le produit scalaire de ce champ électrique avec les sources dipolaires donne ensuite les potentiels de surface. L’approche réciproque promet un nombre d’avantages par rapport à l’approche conventionnelle dont la possibilité d’augmenter la précision des potentiels de surface et de réduire les exigences informatiques pour les solutions inverses. Dans cette thèse, les équations BEM pour les approches conventionnelle et réciproque sont développées en utilisant une formulation courante, la méthode des résidus pondérés. La réalisation numérique des deux approches pour le problème direct est décrite pour un seul modèle de source dipolaire. Un modèle de tête de trois sphères concentriques pour lequel des solutions analytiques sont disponibles est utilisé. Les potentiels de surfaces sont calculés aux centroïdes ou aux sommets des éléments de discrétisation BEM utilisés. La performance des approches conventionnelle et réciproque pour le problème direct est évaluée pour des dipôles radiaux et tangentiels d’excentricité variable et deux valeurs très différentes pour la conductivité du crâne. On détermine ensuite si les avantages potentiels de l’approche réciproquesuggérés par les simulations du problème direct peuvent êtres exploités pour donner des solutions inverses plus précises. Des solutions inverses à un seul dipôle sont obtenues en utilisant la minimisation par méthode du simplexe pour à la fois l’approche conventionnelle et réciproque, chacun avec des versions aux centroïdes et aux sommets. Encore une fois, les simulations numériques sont effectuées sur un modèle à trois sphères concentriques pour des dipôles radiaux et tangentiels d’excentricité variable. La précision des solutions inverses des deux approches est comparée pour les deux conductivités différentes du crâne, et leurs sensibilités relatives aux erreurs de conductivité du crâne et au bruit sont évaluées. Tandis que l’approche conventionnelle aux sommets donne les solutions directes les plus précises pour une conductivité du crâne supposément plus réaliste, les deux approches, conventionnelle et réciproque, produisent de grandes erreurs dans les potentiels du cuir chevelu pour des dipôles très excentriques. Les approches réciproques produisent le moins de variations en précision des solutions directes pour différentes valeurs de conductivité du crâne. En termes de solutions inverses pour un seul dipôle, les approches conventionnelle et réciproque sont de précision semblable. Les erreurs de localisation sont petites, même pour des dipôles très excentriques qui produisent des grandes erreurs dans les potentiels du cuir chevelu, à cause de la nature non linéaire des solutions inverses pour un dipôle. Les deux approches se sont démontrées également robustes aux erreurs de conductivité du crâne quand du bruit est présent. Finalement, un modèle plus réaliste de la tête est obtenu en utilisant des images par resonace magnétique (IRM) à partir desquelles les surfaces du cuir chevelu, du crâne et du cerveau/liquide céphalorachidien (LCR) sont extraites. Les deux approches sont validées sur ce type de modèle en utilisant des véritables potentiels évoqués somatosensoriels enregistrés à la suite de stimulation du nerf médian chez des sujets sains. La précision des solutions inverses pour les approches conventionnelle et réciproque et leurs variantes, en les comparant à des sites anatomiques connus sur IRM, est encore une fois évaluée pour les deux conductivités différentes du crâne. Leurs avantages et inconvénients incluant leurs exigences informatiques sont également évalués. Encore une fois, les approches conventionnelle et réciproque produisent des petites erreurs de position dipolaire. En effet, les erreurs de position pour des solutions inverses à un seul dipôle sont robustes de manière inhérente au manque de précision dans les solutions directes, mais dépendent de l’activité superposée d’autres sources neurales. Contrairement aux attentes, les approches réciproques n’améliorent pas la précision des positions dipolaires comparativement aux approches conventionnelles. Cependant, des exigences informatiques réduites en temps et en espace sont les avantages principaux des approches réciproques. Ce type de localisation est potentiellement utile dans la planification d’interventions neurochirurgicales, par exemple, chez des patients souffrant d’épilepsie focale réfractaire qui ont souvent déjà fait un EEG et IRM.

Relevância:

20.00% 20.00%

Publicador:

Resumo:

Gowers, dans son article sur les matrices quasi-aléatoires, étudie la question, posée par Babai et Sos, de l'existence d'une constante $c>0$ telle que tout groupe fini possède un sous-ensemble sans produit de taille supérieure ou égale a $c|G|$. En prouvant que, pour tout nombre premier $p$ assez grand, le groupe $PSL_2(\mathbb{F}_p)$ (d'ordre noté $n$) ne posséde aucun sous-ensemble sans produit de taille $c n^{8/9}$, il y répond par la négative. Nous allons considérer le probléme dans le cas des groupes compacts finis, et plus particuliérement des groupes profinis $SL_k(\mathbb{Z}_p)$ et $Sp_{2k}(\mathbb{Z}_p)$. La premiére partie de cette thése est dédiée à l'obtention de bornes inférieures et supérieures exponentielles pour la mesure suprémale des ensembles sans produit. La preuve nécessite d'établir préalablement une borne inférieure sur la dimension des représentations non-triviales des groupes finis $SL_k(\mathbb{Z}/(p^n\mathbb{Z}))$ et $Sp_{2k}(\mathbb{Z}/(p^n\mathbb{Z}))$. Notre théoréme prolonge le travail de Landazuri et Seitz, qui considérent le degré minimal des représentations pour les groupes de Chevalley sur les corps finis, tout en offrant une preuve plus simple que la leur. La seconde partie de la thése à trait à la théorie algébrique des nombres. Un polynome monogéne $f$ est un polynome unitaire irréductible à coefficients entiers qui endengre un corps de nombres monogéne. Pour un nombre premier $q$ donné, nous allons montrer, en utilisant le théoréme de densité de Tchebotariov, que la densité des nombres premiers $p$ tels que $t^q -p$ soit monogéne est supérieure ou égale à $(q-1)/q$. Nous allons également démontrer que, quand $q=3$, la densité des nombres premiers $p$ tels que $\mathbb{Q}(\sqrt[3]{p})$ soit non monogéne est supérieure ou égale à $1/9$.

Relevância:

20.00% 20.00%

Publicador:

Resumo:

A graphs G is clique irreducible if every clique in G of size at least two,has an edge which does not lie in any other clique of G and is clique reducible if it is not clique irreducible. A graph G is clique vertex irreducible if every clique in G has a vertex which does not lie in any other clique of G and clique vertex reducible if it is not clique vertex irreducible. The clique vertex irreducibility and clique irreducibility of graphs which are non-complete extended p-sums (NEPS) of two graphs are studied. We prove that if G(c) has at least two non-trivial components then G is clique vertex reducible and if it has at least three non-trivial components then G is clique reducible. The cographs and the distance hereditary graphs which are clique vertex irreducible and clique irreducible are also recursively characterized.

Relevância:

20.00% 20.00%

Publicador:

Resumo:

A profile on a graph G is any nonempty multiset whose elements are vertices from G. The corresponding remoteness function associates to each vertex x 2 V.G/ the sum of distances from x to the vertices in the profile. Starting from some nice and useful properties of the remoteness function in hypercubes, the remoteness function is studied in arbitrary median graphs with respect to their isometric embeddings in hypercubes. In particular, a relation between the vertices in a median graph G whose remoteness function is maximum (antimedian set of G) with the antimedian set of the host hypercube is found. While for odd profiles the antimedian set is an independent set that lies in the strict boundary of a median graph, there exist median graphs in which special even profiles yield a constant remoteness function. We characterize such median graphs in two ways: as the graphs whose periphery transversal number is 2, and as the graphs with the geodetic number equal to 2. Finally, we present an algorithm that, given a graph G on n vertices and m edges, decides in O.mlog n/ time whether G is a median graph with geodetic number 2

Relevância:

20.00% 20.00%

Publicador:

Resumo:

The focus of this paper is to develop computationally efficient mathematical morphology operators on hypergraphs. To this aim we consider lattice structures on hypergraphs on which we build morphological operators. We develop a pair of dual adjunctions between the vertex set and the hyperedge set of a hypergraph , by defining a vertex-hyperedge correspondence. This allows us to recover the classical notion of a dilation/erosion of a subset of vertices and to extend it to subhypergraphs of . This paper also studies the concept of morphological adjunction on hypergraphs for which both the input and the output are hypergraphs

Relevância:

20.00% 20.00%

Publicador:

Resumo:

For a set S of vertices and the vertex v in a connected graph G, max x2S d(x, v) is called the S-eccentricity of v in G. The set of vertices with minimum S-eccentricity is called the S-center of G. Any set A of vertices of G such that A is an S-center for some set S of vertices of G is called a center set. We identify the center sets of certain classes of graphs namely, Block graphs, Km,n, Kn −e, wheel graphs, odd cycles and symmetric even graphs and enumerate them for many of these graph classes. We also introduce the concept of center number which is defined as the number of distinct center sets of a graph and determine the center number of some graph classes

Relevância:

20.00% 20.00%

Publicador:

Resumo:

A periphery transversal of a median graph G is introduced as a set of vertices that meets all the peripheral subgraphs of G. Using this concept, median graphs with geodetic number 2 are characterized in two ways. They are precisely the median graphs that contain a periphery transversal of order 2 as well as the median graphs for which there exists a profile such that the remoteness function is constant on G. Moreover, an algorithm is presented that decides in O(mlog n) time whether a given graph G with n vertices and m edges is a median graph with geodetic number 2. Several additional structural properties of the remoteness function on hypercubes and median graphs are obtained and some problems listed

Relevância:

20.00% 20.00%

Publicador:

Resumo:

We study the asymptotics conjecture of Malle for dihedral groups Dl of order 2l, where l is an odd prime. We prove the expected lower bound for those groups. For the upper bounds we show that there is a connection to class groups of quadratic number fields. The asymptotic behavior of those class groups is predicted by the Cohen-Lenstra heuristics. Under the assumption of this heuristic we are able to prove the expected upper bounds.

Relevância:

20.00% 20.00%

Publicador:

Resumo:

Let k be a quadratic imaginary field, p a prime which splits in k/Q and does not divide the class number hk of k. Let L denote a finite abelian extention of k and let K be a subextention of L/k. In this article we prove the p-part of the Equivariant Tamagawa Number Conjecture for the pair (h0(Spec(L)),Z[Gal(L/K)]).