866 resultados para Muslim girls and schooling


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Enquadramento – A febre na criança é reconhecida como uma manifestação de doença e encarada por muitos pais com uma conotação negativa, causando grande ansiedade e obsessão pela apirexia. Objetivos – Determinar o nível do conhecimento dos pais/acompanhantes perante a criança com febre; verificar se as variáveis sociodemográficas, contextuais da febre e de caraterização da criança interferem no conhecimento dos pais/acompanhantes perante a criança com febre. Métodos – Estudo quantitativo, transversal, descritivo e correlacional, realizado numa amostra não probabilística por conveniência, constituída por 360 pais/acompanhantes de crianças na consulta de Saúde Infantil, em instituições de saúde públicas, na região centro de Portugal. Recorreu-se a um questionário de autopreenchimento, com caracterização sociodemográfica, da febre, da criança e do conhecimento sobre a febre. Resultados – Amostra com idade média de 34.7 anos ± 7.9, maioritariamente feminina (51.7%). Com fracos conhecimentos perante a criança com febre prevalecem os participantes com idade ≥ 38 anos (36.2%), que coabitam com companheiro(a) (77.0%), em zona rural (69.3%) e com escolaridade até ao 3º ciclo (53.9%). Os participantes com idade até 37 anos (68,2%), com companheiro(a) (89.0%), residentes em zona urbana (53.0%) e com o ensino superior (43.3%) revelaram bons conhecimentos. As principais fontes de informação sobre a febre foram o médico (65.8%) e o enfermeiro (50.6%). As mulheres, os acompanhantes de crianças com menos idade e com melhores atitudes revelaram melhores conhecimentos perante a criança com febre. Conclusão: Os resultados apontam para a importância da realização de sessões de educação para a saúde aos pais/acompanhantes, de modo a aumentar o conhecimento perante a febre na criança. Palavras-chave: Conhecimento - Febre - Criança.

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Parce qu’il est notamment lié à des facteurs de réussite scolaire et d’adaptation sociale (Eccles & Roeser, 2009; Finn, 1989; Janosz, Georges, & Parent, 1998), le sentiment d’appartenance des élèves est considéré comme étant un élément de première instance qui doit d’être développé et maintenu par les professionnels de l’éducation (MELS, 2012). L'objectif général visait à approfondir notre compréhension du sentiment d’appartenance à l’école. Pour répondre à cet objectif général, trois articles de recherche distincts ont été élaborés. Le premier article présente une analyse conceptuelle visant à clarifier la compréhension du concept de sentiment d’appartenance à l’école. La méthode conceptuelle privilégiée dans cet article est celle de Walker et Avant (2011). La recension des écrits et les référents empiriques répertoriés indiquent que ce concept est de nature multidimensionnelle. L’analyse des données indique quatre attributs définitionnels. L’élève doit : (1) ressentir une émotion positive à l’égard du milieu scolaire; (2) entretenir des relations sociales de qualité avec les membres du milieu scolaire; (3) s’impliquer activement dans les activités de la classe ou celles de l’école; (4) percevoir une certaine synergie (harmonisation), voir même une similarité, avec les membres de son groupe. À la suite de cette étude permettant de mieux comprendre le sentiment d’appartenance à l’école, le deuxième article visait à examiner la structure factorielle et l'invariance de l’instrument de mesure du sentiment d’appartenance Psychological Sense of School Membership (PSSM) au regard du sexe des élèves. Cette étude a été menée chez un échantillon composé de 766 filles et de 391 garçons de troisième secondaire. Les analyses factorielles confirmatoires ont indiqué une structure à trois facteurs : (1) la qualité des relations entre les élèves; (2) la qualité des relations entre les élèves et l’enseignant; ainsi que (3) le sentiment d’acceptation par le milieu. Les analyses factorielles multigroupes ont indiqué pour leur part que le PSSM est un instrument invariant chez les filles et les garçons de troisième secondaire. Finalement, le troisième article a été mené chez un échantillon de 4166 élèves de niveau secondaire afin d’examiner les processus psychologiques complexes s’opérant entre le sentiment d’appartenance et le rendement scolaire (Anderman & Freeman, 2004; Connell & et al., 1994; Roeser et al., 1996). Afin d’examiner ces processus psychologiques, quatre hypothèses issues du modèle de Freeman-Anderman ont été validées par le biais d’analyses acheminatoires : H1 Les affects positifs médiatisent partiellement et positivement l’effet du sentiment d’appartenance sur l’engagement comportemental; H2 Les affects positifs médiatisent partiellement et positivement l’effet du sentiment d’appartenance sur l’engagement affectif; H3 Les affects positifs médiatisent partiellement et positivement l’effet du sentiment d’appartenance sur l’engagement cognitif; H4 Les engagements affectif, cognitif et comportemental médiatisent partiellement et positivement l’effet du sentiment d’appartenance sur le rendement scolaire. Nos résultats appuient partiellement la première hypothèse de recherche tout en soutenant les hypothèses deux, trois et quatre. Spécifiquement, la relation entre le sentiment d’appartenance et l’engagement émotionnel montre davantage un effet direct qu’un effet indirect (H2). L’étude a produit des résultats similaires pour l’engagement cognitif (H3). Finalement, la relation entre le sentiment d’appartenance et le rendement scolaire indique un effet indirect plus grand qu’un effet direct (H4). À la lumière de ces résultats, des recommandations à l’intention des professionnels de l’éducation sont offertes en guise de conclusion.

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Ce travail de recherche s’est intéressé aux mères adolescentes du Gabon, pays d’Afrique Centrale. S’inscrivant en faux contre l’idée préconçue selon laquelle les grossesses à l’adolescence conduisent inéluctablement au décrochage scolaire, les résultats de recherche présentés dans ce document rendent plutôt compte d’expériences inverses, à savoir celles des mères adolescentes qui parviennent à persévérer dans leurs études. Le présent mémoire vise à comprendre et à analyser le vécu des jeunes filles mères scolarisées. Il questionne le parcours de vie de ces « mamans ados » et conséquemment les mécanismes qui leur permettent de concilier études et maternité. La démarche repose sur une méthode qualitative. Des entretiens semi-directifs auprès de 18 jeunes filles mères scolarisées ont été conduits à Libreville, capitale gabonaise. Les jeunes filles rencontrées étaient âgées de 15 à 19 ans. Les entrevues ont été enregistrées et retranscrites. Quels sont les facteurs favorisant la conciliation études/maternité chez les jeunes filles ? Nos données ont permis de mettre en évidence quatre facteurs cruciaux à cet égard. Ces facteurs sont premièrement, une capacité d’organisation et un degré d’auto-responsabilisation très poussés chez ces jeunes filles ; deuxièmement, l’activation d’un soutien important de la part du réseau familial ; troisièmement, une implication et des aides importantes apportées par le père de l’enfant ; enfin, une valorisation affirmée de l’éducation de la part des parents de la jeune mère. Il ressort aussi de nos analyses que moyennant au moins l’un, sinon plusieurs, de ces facteurs, les jeunes mères adolescentes à Libreville parviennent à mener de front études et maternité. Cela veut dire que le décrochage scolaire chez les mères adolescentes n’est pas une fatalité si des formes d’accompagnement et de soutien existent.

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La présente étude s’intéresse aux choix de filières de formation des filles comparées aux garçons. La présence des filles dans les filières de formation dans le domaine des sciences, de la technologie, du génie et de la mathématique (STGM) est moins importante que celle des garçons. Ce fait est documenté dans la plupart des pays industrialisés (OCDE, 2013). Les décideurs sont préoccupés par cette sous-représentation des filles et des femmes dans ces domaines et s’affairent à comprendre le phénomène, dans le but d’agir pour changer la situation (Drouin et al., 2008; MCCCF, 2011). Or, les facteurs d’influence pour expliquer cet écart entre les garçons et les filles sont nombreux et ne font pas l’objet d’un consensus dans la littérature (Ceci et al., 2009). Toutefois, plusieurs s’entendent pour dire que les mathématiques, importantes dans les profils de formation en STGM, et la façon dont les filles les perçoivent pourraient expliquer, en partie, leurs choix (Rowan-Kenyon et al., 2012 et Wang et al., 2013). Ces auteurs ont aussi suggéré que le contexte social et les croyances des filles au sujet des mathématiques seraient déterminants dans le processus de choix impliquant cette discipline. Un modèle théorique sociocognitif, inspiré par les travaux de Lent et al, (1994-2006), expliquant le processus de choix scolaires et professionnels a permis de conceptualiser les liens entre les déterminants socio-motivationnels spécifiques aux mathématiques. L’objectif général de la présente étude était de mieux documenter l’importance des mathématiques dans les choix de filières de formation menant aux carrières en STGM. Spécifiquement, nous avons examiné les relations entre le rendement en mathématiques, la perception des élèves quant au contexte social (soutien des parents et enseignants), leurs attentes de réussite, la valeur qu’ils accordent aux mathématiques (sentiment d’autoefficacité, anxiété, perception de l’utilité et intérêt) et les choix de filières de formation générale après leur secondaire (sciences humaines sans mathématiques, sciences humaines avec mathématiques, sciences de la santé et sciences pures). Nous avons exploré les distinctions entre les filles et les garçons. Pour ce faire, 1129 élèves finissants ont été questionnés au sujet de leurs motivations en mathématiques et de leurs intentions de formation post-secondaire. Par la suite, une comparaison entre les 583 filles et les 543 garçons a été réalisée par des analyses de régression logistiques multinomiales. Les résultats montrent que plusieurs déterminants permettent de dégager des similitudes et des différences quant aux choix de filières de formation des filles et des garçons. D’abord, il semble que pour la plupart des élèves, filles ou garçons, un rendement élevé et un important soutien des enseignants tel que perçu par les élèves à la fin du secondaire est davantage lié aux choix de filières en sciences pures et en sciences de la santé qu’en sciences humaines avec ou sans mathématiques. Toutefois, le soutien des parents perçu est plus déterminant pour les filles qui choisissent les sciences de la santé que pour les garçons. Le soutien des enseignants perçu est plus déterminant pour les garçons qui choisissent les sciences humaines que pour les filles. Aussi, un faible sentiment d’autoefficacité en mathématiques serait associé au choix de filières en sciences humaines, alors qu’une forte anxiété en mathématiques chez les filles serait associée aux filières en sciences de la santé. Pour les garçons, c’est davantage l’intérêt en mathématiques qui est déterminant pour choisir la filière des sciences pures. La perception de l’utilité des mathématiques est déterminante à la fois pour les garçons et pour les filles qui choisissent les filières de sciences les menant à des carrières en STGM. En somme, nos résultats suggèrent que le soutien en mathématiques de la part des adultes significatifs, tel que perçu par les élèves, est moins prépondérant que les attentes de réussite (sentiment d’autoefficacité et anxiété) et la valeur accordée aux mathématiques (intérêt et utilité perçue) pour comparer les garçons et les filles dans leurs choix de filières. À la lumière des résultats obtenus, il nous semble que l’implantation de mesures, dans les milieux scolaires, pour renforcer le sentiment d’autoefficacité des jeunes filles en mathématiques et surtout pour diminuer leur taux d’anxiété dans cette matière serait une voie prometteuse pour atteindre la parité entre les garçons et les filles dans les filières en STGM.

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v. 1-2. Twice-told tales. -- v. 3. The snow-image and other twice-told tales. -- v. 4. Mosses from an old manse. -- v. 6. The scarlet letter. -- v. 7. The house of the seven gables. -- v. 8. The Blithedale romance. -- v. 9-10. The marble faun; or, The romance of Monte Beni. -- v. 11. Our old home. -- v. 12. The whole history of grandfather's chair, and Biographical stories. -- v. 13. A wonder book for girls and boys, and Tanglewood tales. -- v. 14. The Dolliver romance and kindred tales. -- v. 15. Doctor Grimshaw's secret, ed. with preface and notes by Julian Hawthorne. -- v. 16. Tales and sketches. -- v. 17. Miscellanies; biographical and other sketches and letters. -- v. 18. Passages from the American note-books. -- v. 19-22. Notes of travel.

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is ex-library copy from the Brooklyn Public Library, with library regulations printed on pocket at rear.

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Ottoman Turkish

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Mechanostat theory postulates that developmental changes in bone strength are secondary to the increasing loads imposed by larger muscle forces. Therefore, the increase in muscle strength should precede the increase in bone strength. We tested this prediction using densitometric surrogate measures of muscle force (lean body mass, LBM) and bone strength (bone mineral content, BMC) in a study on 70 boys and 68 girls who were longitudinally examined during pubertal development. On the level of the total body, the peak in LBM accrual preceded the peak in BMC accretion by an average of 0.51 years in girls and by 0.36 years in boys. In the arms, the maximal increase in LBM was followed by arm peak BMC accrual after an interval of 0.71 years in girls and 0.63 years in boys. In the lower extremities, the maximal increase in LBM was followed by peak BMC accrual after an interval of 0.22 years in girls and 0.48 years in boys. A multiple regression model revealed that total body peak LBM velocity, but not peak height velocity and sex, was independently associated with total body peak BMC velocity (r(2) = 0.50; P < 0.001). Similarly, arm and leg peak LBM velocity, but not peak height velocity and sex, were independently associated with arm and leg peak BMC velocity, respectively (r(2) = 0.61 for arms, r(2) = 0.41 for legs; P < 0.001 in both cases). These results are compatible with the view that bone development is driven by muscle development, although the data do not exclude the hypothesis that the two processes are independently determined by genetic mechanisms. (C) 2004 Elsevier Inc. All rights reserved.

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Before puberty, there are only small sex differences in body shape and composition. During adolescence, sexual dimorphism in bone, lean, and fat mass increases, giving rise to the greater size and strength of the male skeleton. The question remains as to whether there are sex differences in bone strength or simply differences in anthropometric dimensions. To test this, we applied hip structural analysis (HSA) to derive strength and geometric indices of the femoral neck using bone densitometry scans (DXA) from a 6-year longitudinal study in Canadian children. Seventy boys and sixty-eight girls were assessed annually for 6 consecutive years. At the femoral neck, cross-sectional area (CSA, an index of axial strength), subperiosteal width (SPW), and section modulus (Z, an index of bending strength) were determined, and data were analyzed using a hierarchical (random effects) modeling approach. Biological age (BA) was defined as years from age at peak height velocity (PHV). When BA, stature, and total-body lean mass (TB lean) were controlled, boys had significantly higher Z than girls at all maturity levels (P < 0.05). Controlling height and TB lean for CSA demonstrated a significant independent sex by BA interaction effect (P < 0.05). That is, CSA was greater in boys before PHV but higher in girls after PHV The coefficients contributing the greatest proportion to the prediction of CSA, SPW, and Z were height and lean mass. Because the significant sex difference in Z was relatively small and close to the error of measurement, we questioned its biological significance. The sex difference in bending strength was therefore explained by anthropometric differences. In contrast to recent hypotheses, we conclude that the CSA-lean ratio does not imply altered mechanosensitivity in girls because bending dominates loading at the neck, and the Z-lean ratio remained similar between the sexes throughout adolescence. That is, despite the greater CSA in girls, the bone is strategically placed to resist bending; hence, the bones of girls and boys adapt to mechanical challenges in a similar way. (C) 2004 Elsevier Inc. All rights reserved.

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This paper updates single risk factors identified by the Northern Finland 1966 Birth Cohort Study up to the end of year 2001 or age 34. Impaired performance (e.g., delayed motor or intellectual development) or adverse exposures (e.g., pregnancy and birth complications, central nervous system diseases) are associated with an increased risk for schizophrenia. However, upper social class girls and clever schoolboys also have an increased risk to develop schizophrenia, contrasted to their peers. Individuals who subsequently develop schizophrenia follow a developmental trajectory that partly and subtly differs from that of the general population; this trajectory lacks flexibility and responsiveness compared to control subjects, at least in the early stages. We propose a descriptive, lifespan, multilevel systems model on the development and course of schizophrenia.

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A presente pesquisa apresenta-se em uma perspectiva qualitativa, de cunho etnográfico. Analisa as relações estabelecidas entre os educadores e educadoras que trabalham com a educação infantil, sob a ótica das relações de gênero. Inicialmente, discute o percurso histórico da Educação Infantil nas principais Leis e Documentos que orientam a Educação Brasileira sob a ótica de gênero. Em seguida, em uma trajetória reflexiva, a análise passa a ser inspirada nos estudos da categoria gênero, e traz reflexões importantes acerca da sua definição, bem como do seu contexto histórico, político e social, segundo as autoras Joan Scott, Guacira Lopes Louro, Fúlvia Rosemberg e Jane Soares de Almeida. O foco da pesquisa está direcionado nas relações que se estabelecem entre os educadores e educadoras das instituições de educação infantil. E a repercussão dessas relações na educação das crianças pequenas. Muitos são os conflitos e barreiras da educação infantil sob a ótica de gênero. Porém, ao longo dos anos várias conquistas foram alcançadas na perspectiva das relações de gênero nessa modalidade de ensino. Ao se analisar as relações entre educadoras e educadores de uma creche, verificou-se que as relações estabelecidas na educação infantil apresentam-se como uma das formas de introdução de meninos e meninas na vida social. E, pensar na interação entre os pares, sejam eles grandes ou pequenos, meninos e meninas é oportunizar as mais variadas compreensões de si, do outro e da realidade.(AU)

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Este estudo investigou, a partir do referencial psicanalítico, a percepção de crianças indígenas Guarani Mbya sobre a psicodinâmica de suas relações familiares; mais especificamente, descreveu aspectos da dinâmica familiar, na percepção dessas crianças indígenas, bem como aspectos intra-psíquicos e da introjeção das figuras parentais por essas crianças. O estudo foi realizado numa aldeia indígena da etnia Guarani Mbya, situada na periferia da cidade de São Paulo. Participaram deste estudo quatro crianças, na faixa etária de 07 a 10 anos, sendo três meninas e um menino. Como instrumentos, foram utilizados Oficinas Lúdicas e o Procedimento de Desenhos de Família com Estórias. Os dados foram coletados concomitantemente à realização das oficinas que ocorreram na escola da própria aldeia durante o ano de 2007. O material clínico, analisado de forma qualitativa, foi agrupado e descrito a partir do conteúdo extraído dos Desenhos de Família com Estórias, dos comportamentos apresentados e das relações que se estabeleceram nas oficinas. Os resultados, além de mostraram a importância das Oficinas Lúdicas como elemento fundamental para a coleta do material, dado a configuração do setting por elas proporcionado, permitiram a identificação de conflitos no que se refere à introjeção de figuras parentais, especialmente a paterna; conflitos na formação da identidade da criança e que pareciam relacionados à influência das relações entre cultura indígena e cultura não indígena. Observou-se ainda que, na percepção das crianças, a casa de reza representa apoio, proteção e segurança, que entendemos como tendo uma função egóica. Concluiu-se que há conflitos no desenvolvimento dessas crianças e na dinâmica das relações familiares. Ressalta-se a necessidade de mais pesquisas de natureza psicológica sobre esses povos, a fim de compreendê-los melhor, dado as especificidades desses grupos étnicos, para que assim se possam planejar ações preventivas e de promoção de saúde, que visem, principalmente, à proteção e preservação da identidade dessas crianças.(AU)