1000 resultados para Canal Arterial Patente


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One-hundred patients treated with curative radiotherapy (RT) ± chemotherapy (CT) for an anal canal carcinoma (T1-4N0-3M0) were retrospectively analyzed. Five- and 10-year local control (LC) rates were 73% and 67%, respectively. Acute and late G3-G4 toxicity rates were 32% and 12%, respectively. Two patients underwent a colostomy for a G4 anal toxicity. This study confirms the outcomes of RT ± CT in the treatment of anal canal cancer. Concomitant CT and LC statistically influenced Overall Survival and Colostomy-Free Survival. CT also statistically reduced the risk of nodal relapse. High rates of acute skin toxicity impose tailored volumes and techniques of irradiation.

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BACKGROUND AND OBJECTIVE: Arterial base excess and lactate levels are key parameters in the assessment of critically ill patients. The use of venous blood gas analysis may be of clinical interest when no arterial blood is available initially. METHODS: Twenty-four pigs underwent progressive normovolaemic haemodilution and subsequent progressive haemorrhage until the death of the animal. Base excess and lactate levels were determined from arterial and central venous blood after each step. In addition, base excess was calculated by the Van Slyke equation modified by Zander (BE(z)). Continuous variables were summarized as mean +/- SD and represent all measurements (n = 195). RESULTS: Base excess according to National Committee for Clinical Laboratory Standards for arterial blood was 2.27 +/- 4.12 versus 2.48 +/- 4.33 mmol(-l) for central venous blood (P = 0.099) with a strong correlation (r(2) = 0.960, P < 0.001). Standard deviation of the differences between these parameters (SD-DIFBE) did not increase (P = 0.355) during haemorrhage as compared with haemodilution. Arterial lactate was 2.66 +/- 3.23 versus 2.71 +/- 2.80 mmol(-l) in central venous blood (P = 0.330) with a strong correlation (r(2) = 0.983, P < 0.001). SD-DIFLAC increased (P < 0.001) during haemorrhage. BE(z) for central venous blood was 2.22 +/- 4.62 mmol(-l) (P = 0.006 versus arterial base excess according to National Committee for Clinical Laboratory Standards) with strong correlation (r(2) = 0.942, P < 0.001). SD-DIFBE(z)/base excess increased (P < 0.024) during haemorrhage. CONCLUSION: Central venous blood gas analysis is a good predictor for base excess and lactate in arterial blood in steady-state conditions. However, the variation between arterial and central venous lactate increases during haemorrhage. The modification of the Van Slyke equation by Zander did not improve the agreement between central venous and arterial base excess.

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Pendant la grossesse, la pression artérielle reste stable malgré une nette augmentation du volume d'éjection systolique et du débit cardiaque. Cette stabilité vient d'un côté d'une vasodilatation périphérique entraînant une diminution des résistances périphériques et d'un autre côté d'une moindre rigidité des principales artères notamment l'aorte. En conséquence, l'amplitude des ondes de pouls est atténuée, de même que leur vitesse de propagation dans le sens tant antérogade que rétrograde (ondes réfléchies). Les ondes réfléchies tendent ainsi à atteindre l'aorte ascendante plus tard durant la systole, voire durant la diastole, ce qui peut contribuer à diminuer la pression puisée. La prééclampsie perturbe massivement ce processus d'adaptation. Il s'agit d'une maladie hypertensive de la grossesse engendrant une importante morbidité et mortalité néonatale et maternelle. Il est à remarquer que la diminution de la rigidité artérielle n'est pas observée chez les patientes atteintes avec pour conséquence une forte augmentation de la pression systolique centrale (aortique) par les ondes réfléchies. Ce fait a été établi grâce à l'existence de la tonométrie d'aplanation, une méthode permettant l'évaluation non invasive de l'onde de pouls centrale. Dans cette méthode, un senseur de pression piézo-électrique permet de capter l'onde de pouls périphérique, le plus souvent sur l'artère radiale. Par la suite, un algorithme validé permet d'en déduire la forme de l'onde de pouls centrale et de visualiser à quel moment du cycle cardiaque s'y ajoutent les ondes réfléchies. Plusieurs études font état d'une forte augmentation de la pression systolique centrale par les ondes réfléchies chez les patientes atteintes de prééclampsie, suggérant l'utilisation de cette méthode pour le diagnostic et le monitoring voire pour le dépistage de ces patientes. Pour atteindre ce but, il est nécessaire d'établir des normes en rapport notamment avec l'âge gestationnel. Dans la littérature, les données pertinentes actuellement disponibles sont variables, voire contradictoires. Par exemple, les ondes réfléchies proéminentes dans la partie diastolique de l'onde de pouls centrale disparaissaient chez des patientes enceintes au 3eme trimestre comparées à des contrôles non enceintes dans une étude lausannoise, alors que deux autres études présentent l'observation contraire. Autre exemple, certains auteurs décrivent une diminution progressive de l'augmentation systolique jusqu'à l'accouchement alors que d'autres rapportent un nadir aux environs du 6ème mois, suivi d'un retour à des valeurs plus élevées en fin de grossesse. Les mesures effectuées dans toutes ces études différaient dans leur exécution, les patientes étant notamment dans des postions corporelles différentes (couchées, semi-couchées, assises, en décubitus latéral). Or nous savons que le status hémodynamique est très sensible aux changements de position, particulièrement durant la grossesse où l'utérus gravide est susceptible d'avoir des interactions mécaniques avec les veines et possiblement les artères abdominales. Ces différences méthodologiques pourraient donc expliquer, au moins en partie, l'hétérogénéité des résultats concernant l'onde de pouls chez la femme enceinte, ce qui à notre connaissance n'a jamais été exploré. Nous avons mesuré l'onde de pouls dans les positions assise et couchée chez des femmes enceintes, au 3eme trimestre d'une grossesse non compliquée, et nous avons effectué une comparaison avec des données similaire obtenues chez des femmes non enceintes en bonne santé habituelle. Les résultats montrent que la position du corps a un impact majeur sur la forme de l'onde de pouls centrale. Comparée à la position assise, la position couchée se caractérise par une moindre augmentation systolique et, par contraste, une augmentation diastolique plus marquée. De manière inattendue, cet effet s'observe aussi bien en présence qu'en l'absence de grossesse, suggérant que la cause première n'en réside pas dans les interactions mécaniques de l'utérus gravide avec les vaisseaux sanguins abdominaux. Nos observations pourraient par contre être expliquées par l'influence de la position du corps, via un phénomène hydrostatique simple, sur la pression transmurale des artères éloignées du coeur, tout particulièrement celles des membres inférieurs et de l'étage abdominal. En position verticale, ces vaisseaux augmenteraient leur rigidité pour résister à la distension de leur paroi, ce qui y accroîtrait la vitesse de propagation des ondes de pression. En l'état, cette explication reste hypothétique. Mais quoi qu'il en soit, nos résultats expliquent certaines discordances entre les études conduites à ce jour pour caractériser l'influence de la grossesse physiologique sur la forme de l'onde de pouls central. De plus, ils indiquent que la position du corps doit être prise en compte lors de toute investigation utilisant la tonométrie d'applanation pour déterminer la rigidité des artères chez les jeunes femmes enceintes ou non. Il sera aussi nécessaire d'en tenir compte pour établir des normes en vue d'une utilisation de la tonométrie d'aplanation pour dépister ou suivre les patientes atteintes de prééclampsie. Il serait enfin intéressant d'évaluer si l'effet de la position sur la forme de l'onde de pouls central existe également dans l'autre sexe et chez des personnes plus âgées.

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BACKGROUND: Direct noninvasive visualization of the coronary vessel wall may enhance risk stratification by quantifying subclinical coronary atherosclerotic plaque burden. We sought to evaluate high-resolution black-blood 3D cardiovascular magnetic resonance (CMR) imaging for in vivo visualization of the proximal coronary artery vessel wall. METHODS AND RESULTS: Twelve adult subjects, including 6 clinically healthy subjects and 6 patients with nonsignificant coronary artery disease (10% to 50% x-ray angiographic diameter reduction) were studied with the use of a commercial 1.5 Tesla CMR scanner. Free-breathing 3D coronary vessel wall imaging was performed along the major axis of the right coronary artery with isotropic spatial resolution (1.0x1.0x1.0 mm(3)) with the use of a black-blood spiral image acquisition. The proximal vessel wall thickness and luminal diameter were objectively determined with an automated edge detection tool. The 3D CMR vessel wall scans allowed for visualization of the contiguous proximal right coronary artery in all subjects. Both mean vessel wall thickness (1.7+/-0.3 versus 1.0+/-0.2 mm) and wall area (25.4+/-6.9 versus 11.5+/-5.2 mm(2)) were significantly increased in the patients compared with the healthy subjects (both P<0.01). The lumen diameter (3.6+/-0.7 versus 3.4+/-0.5 mm, P=0.47) and lumen area (8.9+/-3.4 versus 7.9+/-3.5 mm(2), P=0.47) were similar in both groups. CONCLUSIONS: Free-breathing 3D black-blood coronary CMR with isotropic resolution identified an increased coronary vessel wall thickness with preservation of lumen size in patients with nonsignificant coronary artery disease, consistent with a "Glagov-type" outward arterial remodeling. This novel approach has the potential to quantify subclinical disease.

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BACKGROUND AND PURPOSE: Onset-to-reperfusion time (ORT) has recently emerged as an essential prognostic factor in acute ischemic stroke therapy. Although favorable outcome is associated with reduced ORT, it remains unclear whether intracranial bleeding depends on ORT. We therefore sought to determine whether ORT influenced the risk and volume of intracerebral hemorrhage (ICH) after combined intravenous and intra-arterial therapy. METHODS: Based on our prospective registry, we included 157 consecutive acute ischemic stroke patients successfully recanalized with combined intravenous and intra-arterial therapy between April 2007 and October 2011. Primary outcome was any ICH within 24 hours posttreatment. Secondary outcomes included occurrence of symptomatic ICH (sICH) and ICH volume measured with the ABC/2. RESULTS: Any ICH occurred in 26% of the study sample (n=33). sICH occurred in 5.5% (n=7). Median ICH volume was 0.8 mL. ORT was increased in patients with ICH (median=260 minutes; interquartile range=230-306) compared with patients without ICH (median=226 minutes; interquartile range=200-281; P=0.008). In the setting of sICH, ORT reached a median of 300 minutes (interquartile range=276-401; P=0.004). The difference remained significant after adjustment for potential confounding factors (adjusted P=0.045 for ICH; adjusted P=0.002 for sICH). There was no correlation between ICH volume and ORT (r=0.16; P=0.33). CONCLUSIONS: ORT influences the rate but not the volume of ICH and appears to be a critical predictor of symptomatic hemorrhage after successful combined intravenous and intra-arterial therapy. To minimize the risk of bleeding, revascularization should be achieved within 4.5 hours of stroke onset.

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Transcatheter (or percutaneous) renal denervation is a novel technique developed for the treatment of resistant hypertension. So far, only one randomised controlled trial has been published, which has shown a reduction of office blood pressure. The Swiss Society of Hypertension, the Swiss Society of Cardiology, The Swiss Society of Angiology and the Swiss Society of Interventional Radiology decided to establish recommendations to practicing physicians and specialists for good clinical practice. The eligibility of patients for transcatheter renal denervation needs (1.) confirmation of truly resistant hypertension, (2.) exclusion of secondary forms of hypertension, (3.) a multidisciplinary decision confirming the eligibility, (4.) facilities that guarantee procedural safety and (5.) a long-term follow-up of the patients, if possible in cooperation with a hypertension specialist. These steps are essential until long-term data on safety and efficacy are available.