980 resultados para Architecture -- Catalonia -- Girona -- 15th century
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"In 1559, Pieter Bruegel the Elder‘s depiction of {7f2015}Netherlandish Proverbs‖ illustrated his profound understanding of the Dutch love for proverbs, their contemporary values, and appreciation for moral lessons in art forms. Depicting gestures and poses that represented proverbial phrases enabled Bruegel‘s leap from didactic labels employed by other artists to his inscription-free success of {7f2015}Netherlandish Proverbs.‖ My examination reveals that Bruegel‘s employment of gestural imagery, indicating rhetorical phrases or proverbs, was reinforced by a history of scholarly curatorship for written proverb collections, humanist interest in proverbs, and use of Dutch vernacular to bolster protonational pride"
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This paper puts forth an alternate reading of the artistic climate in late nineteenth-century Paris than that which has traditionally been suggested. I propose that the expansion of creative opportunity during this time reveals a climate of communal support, consent, and progressive reform for women artists, rather than a struggle to undermine central (masculine) control, as many scholars have claimed. Specifically, I explore the work of American expatriates living in Paris, including but not limited to Cecilia Beaux, Anna Klumpke, Alice Kellogg, and Ellen Day Hale. The birth of the private academy in Paris offered women the chance to develop their artistic ability and assert their independence. The Académie Julian in particular provided a comparatively accepting and progressive environment where American women studying abroad could study from the nude model, receive proper training, and explore their full creative potential. Through an examination of a) these women’s self-portraits, and b) depictions of them painted by their contemporaries – both male and female – I further investigate the artistic education of American women in the highly-gendered cultural milieu of late nineteenth-century France.
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The episcopal complex of Eio, located in El Tolmo de Minateda, was built between the end of the 6th century and the beginning of the 7th century, possibly as a political decision taken by the ecclesiastical authority in the capital of the Visigothic kingdom (Toletum). With the comprehensive study of the whole complex presented below (construction cycles, furniture, decoration and location of spaces), we can interpret the function of each space in the basilica and the domus episcopi, the liturgical and general movement routes, the existence of some hierarchical environments, and specify the chronological development of the buildings. After the Arab-Berber conquest of Hispania in the early 8th century, the whole complex will experience a series of transformations that will convert the religious and monumental public area into a private, residential and industrial Islamic quarter.
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Cette thèse traite de quelques moments clés dans l’histoire urbaine et architecturale moderne de la ville de Tunis. Elle les aborde conjointement à la problématique du percement de son noyau historique : la médina, née d’un projet de modernisation urbaine lancé par les beys de Tunis à la fin du XIXe siècle, poursuivi par le protectorat français de 1881 à 1956, puis par le gouvernement indépendant de 1956 à 1987. Partant, la recherche est répartie sur trois temps avec, au centre, le projet de la percée dite de la Casbah adopté par le Président Bourguiba à la fin de 1959. Pour plusieurs raisons, ce moment est cité rapidement dans la littérature malgré son importance dans la compréhension du visage actuel de la capitale tunisienne. Pour le saisir, on a dû retourner aux premières tentatives de percement de la médina de Tunis par le colonisateur français en 1887. Puis, on s’est progressivement approché de l’ancêtre direct de la percée bourguibienne paru sur le Plan directeur de Tunis en 1948. De ce premier temps, on a mis en valeur les stratégies coloniales dans leur gestion du territoire et leur rapport au processus de valorisation/dévalorisation du patrimoine issu de la civilisation arabo-islamique. Le second temps, qui correspond au plan de décolonisation mené par l’État indépendant dès 1955, est marqué par le lancement d’un « concours international ouvert pour une étude d’aménagement de la ville de Tunis » organisé par le Secrétariat d’État aux travaux publics en collaboration avec l’Union internationale des architectes. L’étude de cet événement et du colloque qui l’a suivi a ôté le voile sur ses raisons d’être politico-économiques que dissimulaient les usuels soucis de l’hygiène, de la circulation et de l’embellissement du Grand Tunis. Pour appuyer davantage ces constats, un troisième et dernier temps a été dédié au chantier de Tunis au lendemain du concours. L’accent mis sur les lieux symboliques du pouvoir et le désir obsessif des autorités à se les approprier ont réduit ce chantier à une redistribution concertée des symboles de la souveraineté nationale dans le but de centraliser et de personnifier le pouvoir en place. Le présent travail se situe dans le cadre des études postcoloniales et projette un regard critique sur la décolonisation en rapport avec ce qu’on a taxé d’urbanisme d’État. Propulsé par une certaine perception de la modernité, cet urbanisme est indissociable d’une instrumentalisation politique qui met l’accent sur les questions identitaires et patrimoniales, insiste sur la rupture avec le passé et tend à écarter l’opinion publique des questions inhérentes à l’aménagement du territoire et à la sauvegarde de la mémoire collective. En procédant par une analyse contextuelle de faits historiques et une lecture typomorphologique de la percée de la Casbah, cette recherche attire l’attention sur l’ampleur de certaines décisions gouvernementales concernant l’aménagement de l’espace urbain et la conservation de l’héritage architectural à court, moyen et long termes. Elle renseigne aussi sur le rôle des collectivités, de l’élite et des professionnels dans la canalisation de ces décisions pour ou contre leur droit à la ville.
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"Mode 3" allows and emphasizes the co-existence and co-evolution of different knowledge and innovation paradigms: the competitiveness and superiority of a knowledge system is highly determined by its adaptive capacity to combine and integrate different knowledge and innovation modes via co-evolution, co-specialization and coopetition [sic] of knowledge stock and flow dynamics. What results is an emerging fractal knowledge and innovation ecosystem, well-configured for the knowledge economy and society. The intrinsic litmus test of the capacity of such an ecosystem to survive and prosper in the context of continually glocalizing [sic] and intensifying competition represents the ultimate competitiveness benchmark with regards to the robustness and quality of the ecosystem's knowledge and innovation architecture and topology.
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Cette thèse traite de quelques moments clés dans l’histoire urbaine et architecturale moderne de la ville de Tunis. Elle les aborde conjointement à la problématique du percement de son noyau historique : la médina, née d’un projet de modernisation urbaine lancé par les beys de Tunis à la fin du XIXe siècle, poursuivi par le protectorat français de 1881 à 1956, puis par le gouvernement indépendant de 1956 à 1987. Partant, la recherche est répartie sur trois temps avec, au centre, le projet de la percée dite de la Casbah adopté par le Président Bourguiba à la fin de 1959. Pour plusieurs raisons, ce moment est cité rapidement dans la littérature malgré son importance dans la compréhension du visage actuel de la capitale tunisienne. Pour le saisir, on a dû retourner aux premières tentatives de percement de la médina de Tunis par le colonisateur français en 1887. Puis, on s’est progressivement approché de l’ancêtre direct de la percée bourguibienne paru sur le Plan directeur de Tunis en 1948. De ce premier temps, on a mis en valeur les stratégies coloniales dans leur gestion du territoire et leur rapport au processus de valorisation/dévalorisation du patrimoine issu de la civilisation arabo-islamique. Le second temps, qui correspond au plan de décolonisation mené par l’État indépendant dès 1955, est marqué par le lancement d’un « concours international ouvert pour une étude d’aménagement de la ville de Tunis » organisé par le Secrétariat d’État aux travaux publics en collaboration avec l’Union internationale des architectes. L’étude de cet événement et du colloque qui l’a suivi a ôté le voile sur ses raisons d’être politico-économiques que dissimulaient les usuels soucis de l’hygiène, de la circulation et de l’embellissement du Grand Tunis. Pour appuyer davantage ces constats, un troisième et dernier temps a été dédié au chantier de Tunis au lendemain du concours. L’accent mis sur les lieux symboliques du pouvoir et le désir obsessif des autorités à se les approprier ont réduit ce chantier à une redistribution concertée des symboles de la souveraineté nationale dans le but de centraliser et de personnifier le pouvoir en place. Le présent travail se situe dans le cadre des études postcoloniales et projette un regard critique sur la décolonisation en rapport avec ce qu’on a taxé d’urbanisme d’État. Propulsé par une certaine perception de la modernité, cet urbanisme est indissociable d’une instrumentalisation politique qui met l’accent sur les questions identitaires et patrimoniales, insiste sur la rupture avec le passé et tend à écarter l’opinion publique des questions inhérentes à l’aménagement du territoire et à la sauvegarde de la mémoire collective. En procédant par une analyse contextuelle de faits historiques et une lecture typomorphologique de la percée de la Casbah, cette recherche attire l’attention sur l’ampleur de certaines décisions gouvernementales concernant l’aménagement de l’espace urbain et la conservation de l’héritage architectural à court, moyen et long termes. Elle renseigne aussi sur le rôle des collectivités, de l’élite et des professionnels dans la canalisation de ces décisions pour ou contre leur droit à la ville.
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Continued by the author's: Some account of domestic architecture in England from Richard II. to Henry VIII.
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Added illustrated title-page.
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Signatures: pi1 a¹² A-E¹² F⁶.
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Includes bibliographical references.
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234-237 repeated in paging.
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Portrait plate of Francine by Abraham Bosse; other plates by Tavernier after Francine's designs.
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Sheet divided into 9 sections and mounted on cloth. Bound in red bookcloth, stamped in blind and gilt.
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A prospectus soliciting subscriptions for the publication of the works of Giovanni Battista and Francesco Piranesi. This work was eventually published in parts between 1804 and 1837.