849 resultados para forming roll


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We analyze the properties of star forming regions in a sample of star forming galaxies at z = 0.84. Star forming regions are extracted from B band ACS-HST images. Previously we have substracted a model of the galaxy, fitting a bulged+disk model to the whole galaxy. Special care has been taken masking the star forming regions in the model fitting procedure, yielding more reliable results. We present here the properties of these star forming regions.

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We present the active galactic nucleus (AGN), star-forming, and morphological properties of a sample of 13 MIR-luminous (∫_24 700 μJy) IR-bright/optically-faint galaxies (IRBGs, ∫_24/f_R≲ 1000). While these z ∼ 2 sources were drawn from deep Chandra fields with >200 ks X-ray coverage, only seven are formally detected in the X-ray and four lack X-ray emission at even the 2σ level. Spitzer InfraRed Spectrograph (IRS) spectra, however, confirm that all of the sources are AGN-dominated in the mid-IR, although half have detectable polycyclic aromatic hydrocarbon (PAH) emission responsible for ∼25% of their mid-infrared flux density. When combined with other samples, this indicates that at least 30%–40% of luminous IRBGs have star formation rates in the ultraluminous infrared galaxy (ULIRG) range (∼100–2000 M_⨀ yr^−1). X-ray hardness ratios and MIR to X-ray luminosity ratios indicate that all members of the sample contain heavily X-ray obscured AGNs, 80% of which are candidates to be Compton thick. Furthermore, the mean X-ray luminosity of the sample, log L_2–10 keV(erg s^−1) ∼44.6, indicates that these IRBGs are Type 2 QSOs, at least from the X-ray perspective. While those sources most heavily obscured in the X-ray are also those most likely to display strong silicate absorption in the mid-IR, silicate absorption does not always accompany X-ray obscuration. Finally, ∼70% of the IRBGs are merger candidates, a rate consistent with that of sub-mm galaxies (SMGs), although SMGs appear to be physically larger than IRBGs. These characteristics are consistent with the proposal that these objects represent a later, AGN-dominated, and more relaxed evolutionary stage following soon after the star-formation-dominated one represented by the SMGs.

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We use Hubble Space Telescope (HST) NICMOS continuum and Paα observations to study the near-infrared and star formation properties of a representative sample of 30 local (d ~ 35-75 Mpc) luminous infrared galaxies (LIRGs, infrared [8-1000 μm] luminosities of log L_IR = 11-11.9 L_☉). The data provide spatial resolutions of 25-50 pc and cover the central ~3.3-7.1 kpc regions of these galaxies. About half of the LIRGs show compact (~1-2 kpc) Paα emission with a high surface brightness in the form of nuclear emission, rings, and minispirals. The rest of the sample show Paα emission along the disk and the spiral arms extending over scales of 3-7 kpc and larger. About half of the sample contains H II regions with Hα luminosities significantly higher than those observed in normal galaxies. There is a linear empirical relationship between the mid-IR 24 μm and hydrogen recombination (extinction-corrected Paα) luminosity for these LIRGs, and the H II regions in the central part of M51. This relation holds over more than four decades in luminosity, suggesting that the mid-IR emission is a good tracer of the star formation rate (SFR). Analogous to the widely used relation between the SFR and total IR luminosity of R. Kennicutt, we derive an empirical calibration of the SFR in terms of the monochromatic 24 μm luminosity that can be used for luminous, dusty galaxies.

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Contexte La connectomique, ou la cartographie des connexions neuronales, est un champ de recherche des neurosciences évoluant rapidement, promettant des avancées majeures en ce qui concerne la compréhension du fonctionnement cérébral. La formation de circuits neuronaux en réponse à des stimuli environnementaux est une propriété émergente du cerveau. Cependant, la connaissance que nous avons de la nature précise de ces réseaux est encore limitée. Au niveau du cortex visuel, qui est l’aire cérébrale la plus étudiée, la manière dont les informations se transmettent de neurone en neurone est une question qui reste encore inexplorée. Cela nous invite à étudier l’émergence des microcircuits en réponse aux stimuli visuels. Autrement dit, comment l’interaction entre un stimulus et une assemblée cellulaire est-elle mise en place et modulée? Méthodes En réponse à la présentation de grilles sinusoïdales en mouvement, des ensembles neuronaux ont été enregistrés dans la couche II/III (aire 17) du cortex visuel primaire de chats anesthésiés, à l’aide de multi-électrodes en tungstène. Des corrélations croisées ont été effectuées entre l’activité de chacun des neurones enregistrés simultanément pour mettre en évidence les liens fonctionnels de quasi-synchronie (fenêtre de ± 5 ms sur les corrélogrammes croisés corrigés). Ces liens fonctionnels dévoilés indiquent des connexions synaptiques putatives entre les neurones. Par la suite, les histogrammes peri-stimulus (PSTH) des neurones ont été comparés afin de mettre en évidence la collaboration synergique temporelle dans les réseaux fonctionnels révélés. Enfin, des spectrogrammes dépendants du taux de décharges entre neurones ou stimulus-dépendants ont été calculés pour observer les oscillations gamma dans les microcircuits émergents. Un indice de corrélation (Rsc) a également été calculé pour les neurones connectés et non connectés. Résultats Les neurones liés fonctionnellement ont une activité accrue durant une période de 50 ms contrairement aux neurones fonctionnellement non connectés. Cela suggère que les connexions entre neurones mènent à une synergie de leur inter-excitabilité. En outre, l’analyse du spectrogramme dépendant du taux de décharge entre neurones révèle que les neurones connectés ont une plus forte activité gamma que les neurones non connectés durant une fenêtre d’opportunité de 50ms. L’activité gamma de basse-fréquence (20-40 Hz) a été associée aux neurones à décharge régulière (RS) et l’activité de haute fréquence (60-80 Hz) aux neurones à décharge rapide (FS). Aussi, les neurones fonctionnellement connectés ont systématiquement un Rsc plus élevé que les neurones non connectés. Finalement, l’analyse des corrélogrammes croisés révèle que dans une assemblée neuronale, le réseau fonctionnel change selon l’orientation de la grille. Nous démontrons ainsi que l’intensité des relations fonctionnelles dépend de l’orientation de la grille sinusoïdale. Cette relation nous a amené à proposer l’hypothèse suivante : outre la sélectivité des neurones aux caractères spécifiques du stimulus, il y a aussi une sélectivité du connectome. En bref, les réseaux fonctionnels «signature » sont activés dans une assemblée qui est strictement associée à l’orientation présentée et plus généralement aux propriétés des stimuli. Conclusion Cette étude souligne le fait que l’assemblée cellulaire, plutôt que le neurone, est l'unité fonctionnelle fondamentale du cerveau. Cela dilue l'importance du travail isolé de chaque neurone, c’est à dire le paradigme classique du taux de décharge qui a été traditionnellement utilisé pour étudier l'encodage des stimuli. Cette étude contribue aussi à faire avancer le débat sur les oscillations gamma, en ce qu'elles surviennent systématiquement entre neurones connectés dans les assemblées, en conséquence d’un ajout de cohérence. Bien que la taille des assemblées enregistrées soit relativement faible, cette étude suggère néanmoins une intrigante spécificité fonctionnelle entre neurones interagissant dans une assemblée en réponse à une stimulation visuelle. Cette étude peut être considérée comme une prémisse à la modélisation informatique à grande échelle de connectomes fonctionnels.

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Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.

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Contexte La connectomique, ou la cartographie des connexions neuronales, est un champ de recherche des neurosciences évoluant rapidement, promettant des avancées majeures en ce qui concerne la compréhension du fonctionnement cérébral. La formation de circuits neuronaux en réponse à des stimuli environnementaux est une propriété émergente du cerveau. Cependant, la connaissance que nous avons de la nature précise de ces réseaux est encore limitée. Au niveau du cortex visuel, qui est l’aire cérébrale la plus étudiée, la manière dont les informations se transmettent de neurone en neurone est une question qui reste encore inexplorée. Cela nous invite à étudier l’émergence des microcircuits en réponse aux stimuli visuels. Autrement dit, comment l’interaction entre un stimulus et une assemblée cellulaire est-elle mise en place et modulée? Méthodes En réponse à la présentation de grilles sinusoïdales en mouvement, des ensembles neuronaux ont été enregistrés dans la couche II/III (aire 17) du cortex visuel primaire de chats anesthésiés, à l’aide de multi-électrodes en tungstène. Des corrélations croisées ont été effectuées entre l’activité de chacun des neurones enregistrés simultanément pour mettre en évidence les liens fonctionnels de quasi-synchronie (fenêtre de ± 5 ms sur les corrélogrammes croisés corrigés). Ces liens fonctionnels dévoilés indiquent des connexions synaptiques putatives entre les neurones. Par la suite, les histogrammes peri-stimulus (PSTH) des neurones ont été comparés afin de mettre en évidence la collaboration synergique temporelle dans les réseaux fonctionnels révélés. Enfin, des spectrogrammes dépendants du taux de décharges entre neurones ou stimulus-dépendants ont été calculés pour observer les oscillations gamma dans les microcircuits émergents. Un indice de corrélation (Rsc) a également été calculé pour les neurones connectés et non connectés. Résultats Les neurones liés fonctionnellement ont une activité accrue durant une période de 50 ms contrairement aux neurones fonctionnellement non connectés. Cela suggère que les connexions entre neurones mènent à une synergie de leur inter-excitabilité. En outre, l’analyse du spectrogramme dépendant du taux de décharge entre neurones révèle que les neurones connectés ont une plus forte activité gamma que les neurones non connectés durant une fenêtre d’opportunité de 50ms. L’activité gamma de basse-fréquence (20-40 Hz) a été associée aux neurones à décharge régulière (RS) et l’activité de haute fréquence (60-80 Hz) aux neurones à décharge rapide (FS). Aussi, les neurones fonctionnellement connectés ont systématiquement un Rsc plus élevé que les neurones non connectés. Finalement, l’analyse des corrélogrammes croisés révèle que dans une assemblée neuronale, le réseau fonctionnel change selon l’orientation de la grille. Nous démontrons ainsi que l’intensité des relations fonctionnelles dépend de l’orientation de la grille sinusoïdale. Cette relation nous a amené à proposer l’hypothèse suivante : outre la sélectivité des neurones aux caractères spécifiques du stimulus, il y a aussi une sélectivité du connectome. En bref, les réseaux fonctionnels «signature » sont activés dans une assemblée qui est strictement associée à l’orientation présentée et plus généralement aux propriétés des stimuli. Conclusion Cette étude souligne le fait que l’assemblée cellulaire, plutôt que le neurone, est l'unité fonctionnelle fondamentale du cerveau. Cela dilue l'importance du travail isolé de chaque neurone, c’est à dire le paradigme classique du taux de décharge qui a été traditionnellement utilisé pour étudier l'encodage des stimuli. Cette étude contribue aussi à faire avancer le débat sur les oscillations gamma, en ce qu'elles surviennent systématiquement entre neurones connectés dans les assemblées, en conséquence d’un ajout de cohérence. Bien que la taille des assemblées enregistrées soit relativement faible, cette étude suggère néanmoins une intrigante spécificité fonctionnelle entre neurones interagissant dans une assemblée en réponse à une stimulation visuelle. Cette étude peut être considérée comme une prémisse à la modélisation informatique à grande échelle de connectomes fonctionnels.

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Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.

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The influence of habitat modification by Mytilus edulis L. on the settlement and development of Fucus serratus populations was investigated on rocky shores of the Isle of Anglesey, North Wales. Settlement of fucoids was higher inside mussel habitat than outside on one of two shores studied. The effect of microhabitat on survival of fucoid germlings was examined by transplanting the germlings into and outside mussel habitats, each with and without the exclusion of grazers. Observation showed that periwinkles and top shells were abundant in mussel habitat, while limpets dominated bare rock. Exclusion of grazers greatly enhanced the survival of fucoid germlings in both habitats, indicating that while mussel habitat supports a different grazer assemblage to bare rock, both assemblages are important in limiting fucoid recruitment. The risk of dislodgement was assessed and compared between fucoids growing on mussel shells and bare rock. In situ pull-tests showed that less force was required to detach large fertile thalli growing on mussel shells than those growing on the rock. Adhesion was generally broken between the mussel and the rock rather than between the holdfast and the mussel. These observations indicate that mussels provide an unstable substrate for mature fucoids. Overall results suggest that a negative effect of mussel-modified habitat on fucoids is profound in adults; but the effect is context-dependent in juveniles and can be positive at settlement. Results from a survey on population structure of fucoids across two shores showed that there were greater numbers of large fertile fucoids growing directly attached to rock than on mussel shells, while there was no difference for juvenile fucoids confirming the experimental results. Moreover thalli larger than 60 cm were found only on the rock but not on shells. This finding suggests that a mussel dominated habitat may have a significant impact on reproductive output in fucoid populations.

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The influence of habitat modification by Mytilus edulis L. on the settlement and development of Fucus serratus populations was investigated on rocky shores of the Isle of Anglesey, North Wales. Settlement of fucoids was higher inside mussel habitat than outside on one of two shores studied. The effect of microhabitat on survival of fucoid germlings was examined by transplanting the germlings into and outside mussel habitats, each with and without the exclusion of grazers. Observation showed that periwinkles and top shells were abundant in mussel habitat, while limpets dominated bare rock. Exclusion of grazers greatly enhanced the survival of fucoid germlings in both habitats, indicating that while mussel habitat supports a different grazer assemblage to bare rock, both assemblages are important in limiting fucoid recruitment. The risk of dislodgement was assessed and compared between fucoids growing on mussel shells and bare rock. In situ pull-tests showed that less force was required to detach large fertile thalli growing on mussel shells than those growing on the rock. Adhesion was generally broken between the mussel and the rock rather than between the holdfast and the mussel. These observations indicate that mussels provide an unstable substrate for mature fucoids. Overall results suggest that a negative effect of mussel-modified habitat on fucoids is profound in adults; but the effect is context-dependent in juveniles and can be positive at settlement. Results from a survey on population structure of fucoids across two shores showed that there were greater numbers of large fertile fucoids growing directly attached to rock than on mussel shells, while there was no difference for juvenile fucoids confirming the experimental results. Moreover thalli larger than 60 cm were found only on the rock but not on shells. This finding suggests that a mussel dominated habitat may have a significant impact on reproductive output in fucoid populations.