997 resultados para XXe-XXIe siècles
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A discussion of nuclear guarantees as means of deterrence and security projection in Europe, and also a countermeasure against nuclear proliferation. My contribution to this jointly authored book is contained mainly, but not exclusively, under the above section.
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Le but de ce mémoire est d’étudier les origines étymologiques des mots argotiques qui ont commencé à être utilisés pendant le vingtième siècle. 100 mots ont été choisis et présentés selon leurs origines. Les mots ont été choisis dans le Dictionnaire de l’argot et du français populaire. Les langues d’origine les plus représentées parmi ces 100 mots ont été étudiées pour voir s’il y a une raison probable pour laquelle le français a emprunté des mots à ces langues. Nous avons classé la plupart des mots en champs lexicaux pour examiner s’il y a un certain type de mots qui sont empruntés et si les langues différentes contribuent à des champs lexicaux différents. L’étude a montré que le français a emprunté des mots argotiques aux beaucoup de langues différentes pendant le vingtième siècle. L’anglais et l’arabe ont contribué avec le plus grand nombre de mots. Pour ces deux langues et pour la plupart des autres langues de l’étude, nous discutons des raisons possibles pour lesquelles les mots ont été empruntés.
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Cette dissertation a pour but d´analyser la ville de São Luís do Maranhão pendant la Première Republique, d´après le roman Vencidos e Degenerados, de José do Nascimento Moraes, publié en 1915. À partir des rapports entre l´Histoire et la Littérature, nous nous intéressons à la façon dont l´auteur écrit l´histoire d´une ville qui, après la fin de l´esclavage et l´installation de la Republique, conserve des anciens préjugés de race et reste plongée dans l´immobilité economique. Le roman fait partie d´un ensemble d´oeuvres scientifiques et littéraires d´une géneration connue sous le nom de Novos Atenienses (nouveaux athéniens), laquelle discutait la crise économique et culturelle vécue par le Maranhão au tournant des XIXe et XXe siècles. Le discours formulé par les nouveaux-athéniens comprennait des eléments nostalgiques associés au culte des lettres envisageant la conquête de la réconaissance littéraire et le désir d´adapter la ville de São Luis aux modèles de progrès et modernisation de la période républicaine. Dans ce contexte, Moraes introduit les thèmes liés à la discrimination raciale qui demerait après la fin de l´esclavage, qu´il considérait un obstacle au progrès de la capitale de Maranhão, et aussi la cause des pérsecutions littéraires dont il était victime. On a analisé le roman en cherchant compreendre les rapports entre les individus et les rapports qui´ils entretienent avec les spaces de la ville, à partir de questions d´ordre littéraire, raciale et urbaine. En guise de conclusion, la narration de l´oeuvre est dévellopée de façon que la ville, peuplée de gens de couleurs, sert à legitimée l´oeuvre littéraire de Moraes, dont le nom a été oublié dans les principaux cercles littéraires de la capitale pendant la période examinée
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Pós-graduação em Linguística e Língua Portuguesa - FCLAR
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Pós-graduação em Geografia - FCT
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Our thesis entitled The Invention of Orthodoxy. Religion and Modernity in Romanian nationalist discourse from the XIXth to the XXth century is intended to be a history of the idea of “Romanianess” which brings together, in a structural as well as in a conceptual dimension, three major themes: Romanian Orthodoxy, Modernity and the Political. Having as premise for the study of the Romanian case the simultaneous genesis of the religious and political communities, from the Middle Ages to Modernity, the purpose of our inquiry is to formulate a theologico-political definition of ‘’Romanian Orthodoxy’’. Thus, within a main theoretical framework that values the contributions of Carl Schmitt, Michel Foucault and Reinhart Koselleck, our analysis of selected texts that go from the 1860’s to the 1940’s tries to answer the question regarding the relationship between Romanian Orthodoxy and Modernity, as well as its reflection upon the political identity and organisation of the Romanian society. Considering the political context of the events that underline our conceptual focus, we consider that the proper answer to our investigation lies within the logic of multiplicity; namely, we refer to a plural Romania which is divided, at the beginning of the XXth century, between Traditionalism and Modernity, between a massive rural, agrarian society and an urban minority elite, striving to single out, in an phenomenological approach, the “Romanian way”. Secondly, we refer to a plural Modernity, which is at the same time social, cultural, religious and political. Thirdly, the logic of multiplicity applies as well in the interpretation of the fractures present within the religious nationalist discourse; namely, the rejection of Orthodoxy during the XIXth century, as it was considered an impediment in Romania’s path to adopting western modernity and later on, starting with the 1930, the restoration of the “Orthodox ethos” as a source of cultural and political values of the Romanian nation.
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For several centuries, Japanese scholars have argued that their nation’s culture—including its language, religion and ways of thinking—is somehow unique. The darker side of this rhetoric, sometimes known by the English term “Japanism” (nihon-jinron), played no small role in the nationalist fervor of the late-nineteenth and early twentieth centuries. While much of the so-called “ideology of Japanese uniqueness” can be dismissed, in terms of the Japanese approach to “religion,” there may be something to it. This paper highlights some distinctive—if not entirely unique—features of the way religion has been categorized and understood in Japanese tradition, contrasting these with Western (i.e., Abrahamic), and to a lesser extent Indian and Chinese understandings. Particular attention is given to the priority of praxis over belief in the Japanese religious context. Des siècles durant, des chercheurs japonais ont soutenu que leur culture – soit leur langue, leur religion et leurs façons de penser – était en quelque sorte unique. Or, sous son jour le plus sombre, cette rhétorique, parfois désignée du terme de « japonisme » (nihon-jinron), ne fut pas sans jouer un rôle déterminant dans la montée de la ferveur nationaliste à la fin du XIXe siècle, ainsi qu’au début du XXe siècle. Bien que l’on puisse discréditer pour l’essentiel cette soi-disant « idéologie de l’unicité japonaise », la conception nippone de la « religion » constitue, quant à elle, un objet d’analyse des plus utiles et pertinents. Cet article met en évidence quelques caractéristiques, sinon uniques du moins distinctives, de la manière dont la religion a été élaborée et comprise au sein de la tradition japonaise, pour ensuite les constrater avec les conceptions occidentale (abrahamique) et, dans une moindre mesure, indienne et chinoise. Une attention toute particulière est ici accordée à la praxis plutôt qu’à la croyance dans le contexte religieux japonais.