846 resultados para Manufacturing Exports
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Around 1837, Luther Rixford founded a tool manufacturing business (originally known as the Luther Rixford Manufacturing Co.) in East Highgate, Vermont, that specialized in manufacturing scythes and other agricultural tools. A branch of this business was established in Upper Bedford, Quebec, around the late 1840's. Subsequent generations of the Rixford family took over the operations of both facilities, and in 1857 Oscar S. Rixford renamed the company the O.S. Rixford Manufacturing Co. The company was incorporated in 1883. Around 1920, the O.S. Rixford Manufacturing Company (of Canada) was acquired by Welland Vale Manufacturing, in St. Catharines, Ontario. The Rixford Company in Vermont continued operations until 1956, when decreasing demand for the tools they manufactured caused them to close their doors.
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The patent incorporates the Ontario Grape Growing and Wine Manufacturing Company for the purpose "for the manufacture of wine within the province of Ontario" and is recorded as no. 85 on June 9, 1873.
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Certificate for 5 shares of common stock in Lincoln Manufacturing Company Limited to Hamilton K. Woodruff, April 10, 1923.
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Certificate for 10 shares of accumulative preference capital stock in Lincoln Manufacturing Company Limited to Hamilton K. Woodruff, April 10, 1923.
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Certificate for 20 shares of accumulative preference capital stock in Lincoln Manufacturing Company Limited to Hamilton K. Woodruff, April 14, 1923.
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Certificate for 25 shares of common in Lincoln Manufacturing Company Limited to Hamilton K. Woodruff, April 14, 1923.
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Certificate for 10 shares of accumulative preference shares of capital stock in Lincoln Manufacturing Company Limited to Hamilton K. Woodruff, July 4, 1923.
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Tesis (Maestro en Ciencias de la Administración con Especialidad en Producción y Calidad) U.A.N.L. - 2001
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Tesis (Maestría en Ciencias Computacionales con Especialidad en Teleinformática) U.A.N.L.
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Rapport de recherche
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Rapport de recherche
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Fortement liées à l’international, les industries françaises du textile ont connu une évolution erratique entre 1871 et 1914. L’adoption de tarifs hautement protectionnistes en 1892 favorise les industriels du coton au détriment de ceux travaillant la laine et la soie. Ces derniers exportent leurs marchandises luxueuses sur des marchés ouverts à la concurrence. Ils profitent peu des marchés coloniaux, moins intéressés par leurs produits. Des politiques hardies d’importation directe de la matière première permettent, notamment à Roubaix, de pallier à certains désavantages. Si plusieurs industriels incitent le gouvernement à réformer ses services commerciaux à l’étranger et à y adjoindre des spécialistes, ils retiennent peu les recommandations des experts concernant l’adoption des moyens propres à favoriser les exportations. Plusieurs carences du commerce français ont été soulignées précocement mais il a été difficile de rapidement appliquer des solutions. Dans un contexte marqué par une concurrence accrue sur les marchés extérieurs, la France s’en tire mieux qu’on a pu le penser. La flexibilité de l’appareil productif français permet d’obtenir de nombreuses commandes dans les créneaux du luxe et du demi-luxe. Son niveau d’intégration, moins élevé que dans d’autres pays, se révèle ainsi parfois être un avantage. Toutefois, l’industrie textile est handicapée par la grande difficulté des patrons à s’associer de manière stable à l’extérieur du clan familial. L’entente se réalise cependant plus aisément et avantageusement pour ceux qui ont une production spécialisée, rare ou brevetée. Les performances et l’organisation des entreprises textiles françaises à l’étranger montrent que le marché national stimulait peu les producteurs à adopter les meilleures conditions de production possibles. Ces sociétés et celles obtenant des succès à l’exportation sont souvent les plus dynamiques et les plus rentables.
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Rapport de recherche présenté à la Faculté des arts et des sciences en vue de l'obtention du grade de Maîtrise en sciences économiques.