920 resultados para Architectural competitions
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Actualment un típic embedded system (ex. telèfon mòbil) requereix alta qualitat per portar a terme tasques com codificar/descodificar a temps real; han de consumir poc energia per funcionar hores o dies utilitzant bateries lleugeres; han de ser el suficientment flexibles per integrar múltiples aplicacions i estàndards en un sol aparell; han de ser dissenyats i verificats en un període de temps curt tot i l’augment de la complexitat. Els dissenyadors lluiten contra aquestes adversitats, que demanen noves innovacions en arquitectures i metodologies de disseny. Coarse-grained reconfigurable architectures (CGRAs) estan emergent com a candidats potencials per superar totes aquestes dificultats. Diferents tipus d’arquitectures han estat presentades en els últims anys. L’alta granularitat redueix molt el retard, l’àrea, el consum i el temps de configuració comparant amb les FPGAs. D’altra banda, en comparació amb els tradicionals processadors coarse-grained programables, els alts recursos computacionals els permet d’assolir un alt nivell de paral•lelisme i eficiència. No obstant, els CGRAs existents no estant sent aplicats principalment per les grans dificultats en la programació per arquitectures complexes. ADRES és una nova CGRA dissenyada per I’Interuniversity Micro-Electronics Center (IMEC). Combina un processador very-long instruction word (VLIW) i un coarse-grained array per tenir dues opcions diferents en un mateix dispositiu físic. Entre els seus avantatges destaquen l’alta qualitat, poca redundància en les comunicacions i la facilitat de programació. Finalment ADRES és un patró enlloc d’una arquitectura concreta. Amb l’ajuda del compilador DRESC (Dynamically Reconfigurable Embedded System Compile), és possible trobar millors arquitectures o arquitectures específiques segons l’aplicació. Aquest treball presenta la implementació d’un codificador MPEG-4 per l’ADRES. Mostra l’evolució del codi per obtenir una bona implementació per una arquitectura donada. També es presenten les característiques principals d’ADRES i el seu compilador (DRESC). Els objectius són de reduir al màxim el nombre de cicles (temps) per implementar el codificador de MPEG-4 i veure les diferents dificultats de treballar en l’entorn ADRES. Els resultats mostren que els cícles es redueixen en un 67% comparant el codi inicial i final en el mode VLIW i un 84% comparant el codi inicial en VLIW i el final en mode CGA.
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Résumée Le théâtre romain d'Aventicum s'inscrit entre la petite ville moderne d'Avenches et le village de Donatyre, au pied d'une colline en pente douce délimitant au sud-est la plaine de la Broye. Il se situe à l'ouest des quartiers urbains antiques, construits selon un plan orthogonal, et s'intègre à une zone comptant divers temples et édifices publics. Dès l'hiver 1889/1890, l'Association Pro Aventico nouvellement fondée lança les premières fouilles archéologiques. Jusqu'en 1914, on dégagea les parties originales de la maçonnerie tout en assurant la restauration de l'édifice. En 1926/1927 et de 1939 à 1942 auront lieu d'autres fouilles de grande envergure, accompagnées de mesures de conservation. En 2001, la Fondation Pro Aventico lança un projet visant à étudier l'histoire de la construction ainsi que l'architecture du monument, alors connues en partie seulement. Sur la base de vestiges attestant la présence d'édifices antérieurs au théâtre, on définira pour la construction de ce dernier un terminus post quem entre 100 et 120 ap. J.-C. Comme l'indique l'étude du plan au sol, ce projet nécessita une importante planification. L'édifice lui-même se constitue d'une zone en demi-cercle réservée au public, dont les substructions indiquent qu'elle était partiellement isolée des autres. La cavea, subdivisée en trois secteurs concentriques, se termine par le bâtiment des halles et par les aditus; on relèvera que les rangées supérieures réservées aux spectateurs s'étendaient sans doute au-delà des halles et jusqu'à la façade. Les aditus permettaient d'accéder à la zone de l'orchestra et de la scène, dominée par une plate-forme de plan rectangulaire et bordée d'une proédrie. On disposait de deux voies d'accès différentes: l'une à l'avant, par les arcades des halles, et l'une à l'arrière, pratiquée dans le mur en demi-cercle; apparemment, on ne pouvait pénétrer que dans la partie centrale de ce dernier. On ne parvient à restituer que partiellement les voies de circulation dans les substructions de la cavea, en raison de leur piètre état de conservation. On a par contre pu repérer le deambulatorium, à la périphérie, ainsi que cinq vomitoria sur la première praecinctio et six vomitoria sur la seconde praecinctio. On peut admettre, sans toutefois disposer d'arguments à toute épreuve, que la troisième rangée, en haut, était accessible par des cages d'escaliers conduisant à la summa cavea. Ces hypothèses, fondées essentiellement sur le plan au sol de l'édifice et touchant aux voies de circulation, sont corroborées par une restitution des gradins des parties en élévation, aujourd'hui disparus. Quelques éléments architecturaux fournissent des arguments décisifs pour cette restitution, comme par exemple un bloc de gradin qui permet de conclure à un pendage de la cavea de 26.5°. On peut par ailleurs démontrer que le module architectural défini sur la base du plan au sol fut également appliqué lors de la planification de l'élévation. Grâce à des fragments de corniche, à deux chapiteaux de pilastre ornés de feuilles d'acanthe, à une base de pilastre engagée in situ dans la maçonnerie restaurée, et en tenant compte du module architectural, on peut proposer une reconstitution approximative de la composition de la façade de l'enceinte en demi-cercle. Si les structures architecturales révèlent que le théâtre fut planifié et édifié selon un seul et unique concept, on observe cependant quelques transformations et modifications au cours du temps. D'une part, on décèle en divers endroits des traces de réparation et de consolidation, visant sans doute à stabiliser un bâtiment ayant visiblement subi des dégâts. Par ailleurs, on a également entrepris des modifications structurelles ou fonctionnelles, comme l'édification ultérieure du postscaenium le long du mur de scène extérieur. Dans un contexte identique, on relèvera également deux murs flanquant les basiliques, qu'on suppose être en relation avec l'agrandissement du complexe architectural du temple du Cigognier et du théâtre, augmenté des deux temples édifiés au milieu du 2e s. ap. J.-C. au lieu-dit Au Lavoëx. L'excavation, au cours du dernier tiers du IIIe siècle ap. J.-C., d'un fossé de près de 6 m de large pour 1.5 m de profondeur tout autour de l'édifice fit du théâtre un véritable lieu fortifié. Au-dessus du fossé, on a pu relever une séquence stratigraphique témoignant d'une activité d'habitation à proximité du théâtre pour la période allant du IVe au VIIe siècle ap. J.-C. Il s'agit de l'un des rares cas où l'on peut, à Avenches, évoquer la présence d'un habitat de la période du Haut Moyen Age.
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This study of Iowa’s Historic Automobile Roads has been prepared by the Highway Archaeology Program under the terms of an annual cultural resource surveys contract between the Iowa DOT and The University of Iowa. Under this agreement, state transportation funds are appropriated by the Iowa DOT for The University of Iowa Highway Archaeology Program to locate and determine the significance of cultural resources in the area of proposed highway and transportation improvement work. Cultural resources include archaeological, historical, and architectural sites. The study of Iowa’s Historic Automobile Roads reported herein, including archival research and survey, was conducted between June 2002 and June 2007, by Marlin R. Ingalls and Maria F. Schroeder. The University of Iowa Highway Archaeology Program is solely responsible for the content and accuracy of these reports with respect to site location description, interpretation, and recommendations. Duplicate project reports are filed at the State Historic Preservation Office (SHPO), Community Programs Bureau in Des Moines. Illustrations in this report may have been altered for clarity and sized to fit the page.
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La présente thèse se propose d'étudier les fortifications connues dans le territoire d'Erétrie (île d'Eubée, Grèce), essentiellement aux époques classique et hellénistique (Ve-IIe siècles av. J.-C.). La plupart de ces constructions (forteresses de grand appareil, habitats fortifiés, enceintes de pierres sèches et tours) sont connues depuis le 19e siècle, mais ce travail constitue la première étude archéologique et historique d'ensemble qui leur est consacrée exclusivement. Bien que décrites depuis longtemps, les fortifications des campagnes grecques ont surtout été étudiées d'un point de vue architectural et historique. Cette approche a privilégié une interprétation militaire et stratégique, reliant les fortifications au sein de réseaux défensifs conçus à grande échelle et destinés à bloquer les accès et les frontières du territoire. Notre perspective est différente, puisqu'elle s'efforce de replacer chaque fortification dans la géographie antique en étudiant son interaction avec les plaines et les reliefs, les frontières, l'habitat, les voies de communication, les terres cultivables et la répartition de la population. Pour ce faire, nous avons établi une carte archéologique de l'Erétriade, conduit des prospections extensives autour des fortifications, ainsi que dans de nombreuses régions du territoire. Cette méthode permet d'aborder l'étude des fortifications rurales en adoptant des angles d'analyse différents : le premier, macro-géographique, met ainsi en valeur des caractéristiques générales, telles que la relation entre les fortifications et la capitale d'une part, les fortifications et les terres cultivables de l'autre ; au plan régional, ou micro-géographique, elle analyse la répartition des fortifications au sein de chaque district de l'Erétriade, voire des vallées ou des cantons, mettant en évidence le rôle local des ouvrages fortifiés. Au terme de cette recherche, il est apparu qu'une approche purement stratégique ou militaire ne permettait pas d'expliquer la répartition géographique des fortifications, puisque ces dernières se trouvent pour la plupart à l'intérieur du territoire et non à ses frontières. Elles ne sont pas non plus disposées de manière à pouvoir exercer une surveillance étroite sur les routes pénétrant dans la chôra ; aussi leur fonctionnement au sein d'un «réseau défensif frontalier ne peut pas être démontré. Dans l'Erétriade, la colonne vertébrale de la sécurité publique est formée par les habitats fortifiés, dèmes et kômai, complétée par l'existence de deux forteresses militaires ayant accueilli des garnisons. Placés toujours à bonne distance de la ville, puis à intervalles plus ou moins réguliers au sein du territoire, les habitats fortifiés jouent sur le plan régional le rôle de la ville : en cas d'invasion ou de danger, la population du dème ou des dèmes environnants pouvait y trouver refuge, mettant ainsi à l'abri récoltes, biens et animaux. L'apparition des fortifications territoriales correspond à l'extension maximale de l'occupation humaine, agricole et économique du territoire. Les communautés rurales qui en avaient la possibilité se dotèrent alors de fortifications, souvent sommaires, pour faire face à des menaces variées, mais surtout pour assurer leur propre sécurité et protéger un équilibre autarcique fragile. Il ne faut donc pas nécessairement attribuer la construction de fortifications à un événement historique précis, interprétation abusive courante dans l'étude des fortifications, en Grèce comme ailleurs. La fortification des habitats ruraux s'est réalisée de manière progressive, en réponse aux sentiments d'insécurité d'une population rurale toujours plus nombreuse. Faute de références littéraires et d'inscriptions, en particulier de décrets honorifiques, les forteresses et les habitats fortifiés de l'Erétriade constituent les derniers témoins de l'insécurité publique et des violences auxquelles fut confronté le territoire d'Erétrie aux époques classique et hellénistique.
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Complex adaptive polymorphisms are common in nature, but what mechanisms maintain the underlying favorable allelic combinations [1-4]? The convergent evolution of polymorphic social organization in two independent ant species provides a great opportunity to investigate how genomes evolved under parallel selection. Here, we demonstrate that a large, nonrecombining "social chromosome" is associated with social organization in the Alpine silver ant, Formica selysi. This social chromosome shares architectural characteristics with that of the fire ant Solenopsis invicta [2], but the two show no detectable similarity in gene content. The discovery of convergence at two levels-the phenotype and the genetic architecture associated with alternative social forms-points at general genetic mechanisms underlying transitions in social organization. More broadly, our findings are consistent with recent theoretical studies suggesting that suppression of recombination plays a key role in facilitating coordinated shifts in coadapted traits [5, 6].
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While studies on triggers and outcomes of Psychological Momentum (PM) exist, little is known about the dynamics by which PM emerges and develops over time. Based on video-assisted recalls of PM experiences in table tennis and swimming competitions, this research qualitatively explored the triggering processes, contents, and the development of PM over time. PM was found to be triggered by mechanisms of dissonance, consonance, or fear of not winning. During the PM experience, participants reported a variety of perceptions, affects and emotions, cognitions, and behaviors, and PM was found to develop through processes of amplification that sometimes ended with a reduction of efforts when the victory or defeat was perceived as certain. These findings are discussed in light of theories on self-regulation and reactance-helplessness. From a practical standpoint, achievement goal-based strategies are suggested, since mastery-approach goals were found to be endorsed to maintain positive PM and overcome negative PM
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Enterprise Architecture (EA), which has been approached by both academia and industry, is considered comprising not only architectural representations, but also principles guiding architecture's design and evolution. Even though the concept of EA principles has been defined as the integral part of EA, the number of publications on this subject is very limited and only a few organizations use EA principles to manage their EA endeavors. In order to critically assess the current state of research and identify research gaps in EA principles, we focus on four general aspects of theoretical contributions in IS. By applying these aspects to EA principles, we outline future research directions in EA principles nature, adoption, practices, and impact.
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Plants compete with neighbouring vegetation for limited resources. In competition for light, plants adjust their architecture to bring the leaves higher in the vegetation where more light is available than in the lower strata. These architectural responses include accelerated elongation of the hypocotyl, internodes and petioles, upward leaf movement (hyponasty), and reduced shoot branching and are collectively referred to as the shade avoidance syndrome. This review discusses various cues that plants use to detect the presence and proximity of neighbouring competitors and respond to with the shade avoidance syndrome. These cues include light quality and quantity signals, mechanical stimulation, and plant-emitted volatile chemicals. We will outline current knowledge about each of these signals individually and discuss their possible interactions. In conclusion, we will make a case for a whole-plant, ecophysiology approach to identify the relative importance of the various neighbour detection cues and their possible interactions in determining plant performance during competition.
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The dopamine antagonist [3H]-domperidone-[3H]-DOM-bound to a single class of high-affinity (Kd = 1.24 +/- 0.14 nM) and saturable receptors on dispersed bovine anterior pituitary (AP) cells. The binding of [3H]-DOM was stereoselective and reversible with agonists and antagonists. Dopamine competitions for [3H]-DOM binding modeled best for a single site consistent with an interaction with a homogeneous population of receptors. The mean number of specific binding sites labeled by [3H]-DOM was 53,000 per cell in dispersed AP cells consisting of 42% lactotrophs. Dispersed bovine AP cells attached to extracellular matrix within 3 h, and prolactin secretion from these cells was effectively inhibited by dopamine. Several observations suggested that [3H]-DOM-labeled receptors on dispersed bovine AP cells were restricted to the outer plasma membrane and not internalized. These included (1) the rapid and complete dissociation of specific [3H]-DOM binding; (2) the ability of treatment with acid or proteolytic enzymes to entirely remove specifically bound [3H]-DOM, and (3) the lack of effect of metabolic inhibitors on specific [3H]-DOM binding.