1000 resultados para Réponse d’hypersensibilité de type retardé
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Introduction : Le syndrome de Brugada, décrit en 1992 par Pedro et Josep Brugada, est un syndrome cardiaque caractérisé par un sus-décalage particulier du segment ST associé à un bloc de branche droit atypique au niveau des dérivations ECG V1 à V3. Les altérations ECG du syndrome de Brugada sont classifiées en 3 types dont seul le type 1 est diagnostique. Les mécanismes physiopathologiques exacts de ce syndrome sont pour le moment encore controversés. Plusieurs hypothèses sont proposées dans la littérature dont deux principales retiennent l'attention : 1) le modèle du trouble de repolarisation stipule des potentiels d'action réduits en durée et en amplitude liés à un changement de répartition de canaux potassiques 2) le modèle du trouble de dépolarisation spécifie un retard de conduction se traduisant par une dépolarisation retardée. Dans le STEMI, un sus-décalage ST ressemblant à celui du syndrome de Brugada est expliqué par deux théories : 1) le courant de lésion diastolique suggère une élévation du potentiel diastolique transformé artificiellement en sus-décalage ST par les filtres utilisés dans tous les appareils ECG.¦Objectif : Recréer les manifestations ECG du syndrome de Brugada en appliquant les modifications du potentiel d'action des cardiomyocytes rapportées dans la littérature.¦Méthode : Pour ce travail, nous avons utilisé "ECGsim", un simulateur informatique réaliste d'ECG disponible gratuitement sur www.ecgsim.org. Ce programme est basé sur une reconstruction de l'ECG de surface à l'aide de 1500 noeuds représentant chacun les potentiels d'action des ventricules droit et gauche, épicardiques et endocardiques. L'ECG simulé peut être donc vu comme l'intégration de l'ensemble de ces potentiels d'action en tenant compte des propriétés de conductivité des tissus s'interposant entre les électrodes de surface et le coeur. Dans ce programme, nous avons définit trois zones, de taille différente, comprenant la chambre de chasse du ventricule droit. Pour chaque zone, nous avons reproduit les modifications des potentiels d'action citées dans les modèles du trouble de repolarisation et de dépolarisation et des théories de courant de lésion systolique et diastolique. Nous avons utilisé, en plus des douze dérivations habituelles, une électrode positionnée en V2IC3 (i.e. 3ème espace intercostal) sur le thorax virtuel du programme ECGsim.¦Résultats : Pour des raisons techniques, le modèle du trouble de repolarisation n'a pas pu être entièrement réalisée dans ce travail. Le modèle du trouble de dépolarisation ne reproduit pas d'altération de type Brugada mais un bloc de branche droit plus ou moins complet. Le courant de lésion diastolique permet d'obtenir un sus-décalage ST en augmentant le potentiel diastolique épicardique des cardiomyocytes de la chambre de chasse du ventricule droit. Une inversion de l'onde T apparaît lorsque la durée du potentiel d'action est prolongée. L'amplitude du sus-décalage ST dépend de la valeur du potentiel diastolique, de la taille de la lésion et de sa localisation épicardique ou transmurale. Le courant de lésion systolique n'entraîne pas de sus-décalage ST mais accentue l'amplitude de l'onde T.¦Discussion et conclusion : Dans ce travail, l'élévation du potentiel diastolique avec un prolongement de la durée du potentiel d'action est la combinaison qui reproduit le mieux les altérations ECG du Brugada. Une persistance de cellules de type nodal au niveau de la chambre de chasse du ventricule droit pourrait être une explication à ces modifications particulières du potentiel d'action. Le risque d'arythmie dans la Brugada pourrait également être expliqué par une automaticité anormale des cellules de type nodal. Ainsi, des altérations des mécanismes cellulaires impliqués dans le maintien du potentiel diastolique pourraient être présentes dans le syndrome de Brugada, ce qui, à notre connaissance, n'a jamais été rapporté dans la littérature.
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Rapport de synthèse : DEVENIR NEURO-DEVELOPPEMENTAL DE NOUVEAU-NES TRAITES PAR DU SULFATE DE MAGNESIUM POUR UNE HYPERTENSION PULMONAIRE PERSISTANTE L'hypertension pulmonaire persistante du nouveau-né (HTPP) est un trouble de l'adaptation post-natale de la circulation pulmonaire caractérisé par une défaillance de la diminution normale des résistances vasculaires pulmonaires, accompagné d'un shunt droite-gauche, résultant en une hypoxémie profonde. C'est une pathologie sévère nécessitant des soins intensifs avec un risque augmenté de handicaps neurologiques chez les survivants. Le traitement de l'HTPP du nouveau-né inclut une ventilation mécanique ainsi que différents agents pharmacologiques pour dilater les vaisseaux pulmonaires, dont le sulfate de magnésium (MgSO4) à hautes doses par voie intraveineuse et le monoxyde d'azote par voie inhalée (iN0). Le MgSO4 est une alternative thérapeutique de l'HTPP du nouveau-né avec peu d'effets secondaires et une mortalité basse. Il a aussi été démontré que le MgSO4 est un traitement de l'HTPP du nouveau-né autant efficace que le iN0 et moins coüteux. Des études sur le suivi neuro-développemental de nouveau-nés avec HTPP traités selon différentes méthodes ont été publiées reportant des taux élevés de handicaps majeurs et mineurs. Plus récemment, des études de suivi après traitement par iN0 ont montré des taux plus bas qu'avec des traitements antérieurs. Le devenir neuro-développemental àlong terme d'enfants traités avec du MgSO4 n'a pas été documenté. Le but de cette étude est de décrire le développement des enfants qui ont présenté une HTPP traitée seulement avec du MgS04, de reporter l'incidence de handicaps majeurs et mineurs, et de les comparer à un groupe contrôle d'enfants sains du même âge ainsi qu'aux données de la littérature. La population consiste en 33 nouveau-nés traités pour une HTPP avec seulement du MgSO4 (groupe étude) et 32 nouveau-nés à terme sains (groupe contrôle). Un suivi neurodéveloppemental standardisé et approfondi a été effectué aux âges clés de 18 mois et 5 ans. Les taux de handicaps majeurs à 18 mois et 5 ans dans le groupe étude étaient de 6% et 11,4% respectivement, et de 0% aux deux âges dans le groupe contrôle. Les taux de handicaps mineurs aux mêmes âges étaient de 3% et 26,9% pour le groupe étude, et de 0% et 26,1% pour le groupe contrôle. Les quotients développementaux moyens à 18 mois étaient de 106,6 (DS 1,6) dans le groupe étude et de 118,3 (DS 1,0) dans le groupe contrôle (P < 0,001). L'index général intellectuel en âge préscolaire était de 112.6 (DS 3.7), respectivement de 119.3 (DS 3.1 ), sans différence significative entre les deux groupes. A 18 mois, les taux de handicaps majeurs et mineurs dans les groupes études et contrôle étaient de 6% et 3%. Dans la littérature, des taux entre 0% et 33% ont été décrits. A cet âge, il y avait une différence significative pour tous les scores du test de Griffiths, mëme en tenant compte du status socio-économique de la famille. Ceci suggère un léger retard du développement global et non une altération spécifique. Ces différences n'étaient plus significatives en âge préscolaire, suggérant un rattrapage développemental. Le taux de handicaps majeurs en âge préscolaire pour le groupe étude était de 11.5%, sans aucune infirmité motrice cérébrale. Ces résultats correspondent à ceux d'études de suivi après d'autres traitements jusqu'à l'âge de 24 mois avec des taux variant de 0% à 15%. Le taux de handicaps mineurs était de 26.9% dans le groupe étude et de 26.1% dans le groupe contrôle, sans différence significative entre les deux groupes. L'incidence de handicaps mineurs dans le groupe étude était plutôt élevée en comparaison aux données de la littérature (6 à 22% à 6 ans). Une explication possible est que nous avons considéré des problèmes de langage et de comportement comme handicaps mineurs. Ceci suggère une différence méthodologique et non une plus mauvaise issue dans nos deux groupes. Les évaluations cognitives des enfants des deux groupes se trouvaient dans la norme, ce qui est aussi le cas dans la littérature. En conclusion, cette étude longitudinale non randomisée d'enfants traités avec du MgSO4 seul pour une HTPP sévère ne montre pas de conséquences sur le devenir neuro-développemental à long terme. Cette étude le démontre pour la première fois. Malgré le fait que iN0 soit le traitement actuellement recommandé pour l'HTPP du nopuveau-né, le MgSO4 reste largement utilisé, en particulier dans des pays en voie de développement. L'absence de complications neuro-développementales majeures à long terme permet de considérer l'administration du MgSO4 pour le traitement de l'HTPP du nouveau-né en cas de non réponse ou d'inaccessibilité au iNO.
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This study presents a list of 34 Anoplura type specimens deposited in the Werneck Collection of Instituto Oswaldo Cruz, Rio de Janeiro, RJ, Brazil. It includes 18 holotypes, 16 allotypes, 88 paratypes and 10 neotypes, distributed among the genera: Enderleinellus, Fahrenholzia, Haematopinus, Hoplopleura, Linognathus, Microthoracius, Pecaroecus, Polyplax and Pterophthirus. The types are related according to their respective data and literature.
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Introduction Liver kidney microsomal type 1 (LKM-1) antibodies have been shown to decrease CYP2D6 activity in vitro. We investigated whether LKM-1 antibodies might reduce CYP2D6 activity also in vivo.Materials and Methods All patients with chronic hepatitis C and LKM-1 antibodies enrolled in the Swiss Hepatitis C Cohort Study (SCCS) were assessed: ten were eligible and fi tted to patients without LKM-1 antibodies. Patients were genotyped for CYP2D6 variants to exclude individuals with a poor metabolizer genotype. CYP2D6 activity was measured by a specifi c substrate using the dextromethorphan/dextrorphan (DEM/DOR) metabolic ratio to classify patients into four activity phenotypes (i.e. ultrarapid, extensive, intermediate and poor metabolizers). The concordance between phenotype based on DEM/DOR ratio and phenotype expected from genotype was examined in LKM-1 positive and negative patients. Groups were compared with respect to the DEM/DOR metabolic ratio.Results All patients had a CYP2D6 extensive metabolizer genotype. The observed phenotype was concordant with CYP2D6 genotype in most LKM-negative patients, whereas only three (30%) LKM-1 positive patients had a concordant phenotype (six presented an intermediate and one a poor metabolizer phenotype). The median DEM/DOR ratio was six-fold higher in LKM-1 positive than in LKM-1 negative patients (0.096 vs. 0.016, p = 0.004), indicating that CYP2D6 metabolic function was significantly reduced in the presence of LKM-1 antibodies.Conclusion In chronic hepatitis C patients with LKM-1 antibodies, the CYP2D6 metabolic activity was on average reduced by 80%. The impact of LKM-1 antibodies on CYP2D6-mediated drug metabolism pathways warrants further translational studies in the setting of new protease inhibitor therapies
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0 Abstract L'incidence du mélanome est en nette augmentation en Europe et aux Etats-Unis. La Chirurgie peut être curative au stade précoce de la maladie,la radiothérapie se pratique À visée palliative, les chimiothérapies n'ont montré que peu d'effet. Les progress actuels se font via l'immunothérapie. Des traitements par l'interleukine-2 et l'interféron-α se sont montrés efficaces chez certains patients, mais leur utilisation est limitée par leur forte toxicité. Depuis 2011, en Suisse, une nouvelle molécule a été mise sur le marché, l'ipilimumab (Yervoy®). Il s'agit d'un anticorps! monoclonal humain dirigé contre le CTLA4. Il en résulte une activation non spécifique du système immunitaire. Une étude randomisée de phase IIIa été conduite au Etats-Unis. Elle démontre une augmentation de la survie chez les patients atteints de melanoma métastatique traits par ipilimumab, sans traitement préalable des métastases. Le but de cette etude est de determiner s'il est possible, par le biais de l'imagerie PET-CTau 18F-FDG, de prédire la réponse individuelle au traitement par ipilimumab, afin d'optimiser la prise en charge de ces patients. 0.1 Méthode Les patients atteints de mélanome métastatique sont exposés au traitement d'ipilimumab selon les recommandations de Bristol-Myers Squibb. Puis ils effectuent des PET-CT au F-18-FDG selon! le! protocole (CER 400/11, annexé) de l'étude. Les images sont!analysées selon les critères PERCIST (PETResponse Criterias In Solid Tumors) et le TLG (Total Lesion Glycolysis) est calculé. Parallèlement, des prises de sang sont effectuées et les échantillons sont analysés à l'institut Ludwig (LICR, Unil) selon les critères imRC qui determinant la réponse immunologique au traitement. 0.2 Résultats Nous notons une discrépance dans les résultats. Lorsque nous observons une maladie stable avec les critères immunologiques imRC, nous observons une maladie progressive avec lescritères PERCIST. 0.3 Discussion - Conclusion Nous n'avons pu faire entrer que cinq patients dans l'étude, dont trois étaient vivants à trois mois, ce qui a restreint le nombre de données analysables. Les discrépances que nous observons dans nos résultats pourraient être dues au fait que le PET-CT au 18FDG ne nous permet pas de différencier l'activité tumorale de l'activité inflammatoire péri-tumorale. Ce biais pourrait être à l'avenir prévenu en utilisant du 18FLT, un marqueur plus sélectif des cellules tumorales.L'analyse desimages avec les critères de total-lesion glycolysis a été impossible au vu du nombre de lésions que présentaient certains patients. Les critères PERCIST exigent un protocole d'acquisition très strict. La corrélation entre les images, les données immunologiques et la clinique mérite d'être suivie sur le long terme, car il pourrait y avoir une réponse positive plus tardive du traitement par ipilimumab.
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Automated systems are required when numerous samples need to be processed, offering both high through put and test of a multiple simultaneously. This study was performed to compare the MicroScan WalkAway automated identification system in conjunction with the new MicroScan Combo Neg Panels Type 1S with conventional biochemical methods for identifying ten environmental Serratia plymuthica strains. High correlation between both methods were observed for all the 21 tests evaluated, and the MicroScan system was found capable of correctly identifying all S. plymuthica strains tested. In all tests, the percentage of correlation was 100%, except in raffinose test (91%).
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Loss-of-function mutations in calpain 3 have been shown to cause limb-girdle muscular dystrophy type 2A (LGMD2A), an autosomal recessive disorder that results in gradual wasting of the muscles of the hip and shoulder areas. Due to the inherent instability of calpain 3, recombinant expression of the full-length enzyme has not been possible, making in vitro analysis of specific LGMD2A-causing mutations difficult. However, because calpain 3 is highly similar in amino acid sequence to calpain 2, the recently solved crystal structure of full-length, Ca2+-bound, calpastatin-inhibited rat calpain 2 has allowed us to model calpain 3 as a Ca2+-bound homodimer. The model revealed three distinct areas of the enzyme that undergo a large conformational change upon Ca2+-binding. Located in these areas are several residues that undergo mutation to cause LGMD2A. We investigated the in vitro effects of six of these mutations by making the corresponding mutations in rat calpain 2. All six mutations examined in this study resulted in a decrease in enzyme activity. All but one of the mutations caused an increased rate of autoproteolytic degradation of the enzyme as witnessed by SDS-PAGE, indicating the decrease in enzyme activity is caused, at least in part, by an increase in the rate of autoproteolytic degradation. The putative in vivo effects of these mutations on calpain 3 activity are discussed with respect to their ability to cause LGMD2A.
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The frequency of coinfection with Strongyloides stercoralis and human T-cell leukemia/lymphoma virus type 1 (HTML-1) was determined in 91 blood donors examined at the blood bank of a large hospital in São Paulo city, Brazil. As control group 61 individuals, not infected by HTLV-1, were submitted to the same techniques for the diagnosis of S. stercoralis infection. In HTLV-1 infected patients the frequency of S. stercoralis infection was 12.1%; on the other hand, the control group showed a frequency significantly lower of S. stercoralis infection (1.6%), suggesting that HTLV-1 patients shoud be considered as a high risk group for strongyloidiasis in São Paulo city.
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Retroelements are important evolutionary forces but can be deleterious if left uncontrolled. Members of the human APOBEC3 family of cytidine deaminases can inhibit a wide range of endogenous, as well as exogenous, retroelements. These enzymes are structurally organized in one or two domains comprising a zinc-coordinating motif. APOBEC3G contains two such domains, only the C terminal of which is endowed with editing activity, while its N-terminal counterpart binds RNA, promotes homo-oligomerization, and is necessary for packaging into human immunodeficiency virus type 1 (HIV-1) virions. Here, we performed a large-scale mutagenesis-based analysis of the APOBEC3G N terminus, testing mutants for (i) inhibition of vif-defective HIV-1 infection and Alu retrotransposition, (ii) RNA binding, and (iii) oligomerization. Furthermore, in the absence of structural information on this domain, we used homology modeling to examine the positions of functionally important residues and of residues found to be under positive selection by phylogenetic analyses of primate APOBEC3G genes. Our results reveal the importance of a predicted RNA binding dimerization interface both for packaging into HIV-1 virions and inhibition of both HIV-1 infection and Alu transposition. We further found that the HIV-1-blocking activity of APOBEC3G N-terminal mutants defective for packaging can be almost entirely rescued if their virion incorporation is forced by fusion with Vpr, indicating that the corresponding region of APOBEC3G plays little role in other aspects of its action against this pathogen. Interestingly, residues forming the APOBEC3G dimer interface are highly conserved, contrasting with the rapid evolution of two neighboring surface-exposed amino acid patches, one targeted by the Vif protein of primate lentiviruses and the other of yet-undefined function.
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Circulating levels of adiponectin, a hormone produced predominantly by adipocytes, are highly heritable and are inversely associated with type 2 diabetes mellitus (T2D) and other metabolic traits. We conducted a meta-analysis of genome-wide association studies in 39,883 individuals of European ancestry to identify genes associated with metabolic disease. We identified 8 novel loci associated with adiponectin levels and confirmed 2 previously reported loci (P = 4.5×10(-8)-1.2×10(-43)). Using a novel method to combine data across ethnicities (N = 4,232 African Americans, N = 1,776 Asians, and N = 29,347 Europeans), we identified two additional novel loci. Expression analyses of 436 human adipocyte samples revealed that mRNA levels of 18 genes at candidate regions were associated with adiponectin concentrations after accounting for multiple testing (p<3×10(-4)). We next developed a multi-SNP genotypic risk score to test the association of adiponectin decreasing risk alleles on metabolic traits and diseases using consortia-level meta-analytic data. This risk score was associated with increased risk of T2D (p = 4.3×10(-3), n = 22,044), increased triglycerides (p = 2.6×10(-14), n = 93,440), increased waist-to-hip ratio (p = 1.8×10(-5), n = 77,167), increased glucose two hours post oral glucose tolerance testing (p = 4.4×10(-3), n = 15,234), increased fasting insulin (p = 0.015, n = 48,238), but with lower in HDL-cholesterol concentrations (p = 4.5×10(-13), n = 96,748) and decreased BMI (p = 1.4×10(-4), n = 121,335). These findings identify novel genetic determinants of adiponectin levels, which, taken together, influence risk of T2D and markers of insulin resistance.
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Diruthenium tetracarbonyl complexes of the type [Ru2(CO)4(l2-g2-O2CR)2L2] containing a Ru-Ru backbone with four equatorial carbonyl ligands, two carboxylato bridges, and two axial two-electron ligands in a sawhorse-like geometry have been synthesized with porphyrin-derived substituents in the axial ligands [1: R is CH3, L is 5-(4-pyridyl)-10,15,20-triphenyl-21,23H-porphyrin], in the bridging carboxylato ligands [2: RCO2H is 5-(4-carboxyphenyl)-10,15,20-triphenyl-21,23H-porphyrin, L is PPh3; 3: RCO2H is 5-(4-carboxyphenyl)-10,15,20-triphenyl-21,23H-porphyrin, L is 1,3,5-triaza-7-phosphatricyclo [3.3.1.1]decane], or in both positions [4: RCO2H is 5-(4-carboxyphenyl)-10,15,20-triphenyl-21,23H-porphyrin, L is 5-(4-pyridyl)-10,15,20-triphenyl-21,23H-porphyrin]. Compounds 1-3 were assessed on different types of human cancer cells and normal cells. Their uptake by cells was quantified by fluorescence and checked by fluorescence microscopy. These compounds were taken up by human HeLa cervix and A2780 and Ovcar ovarian carcinoma cells but not by normal cells and other cancer cell lines (A549 pulmonary, Me300 melanoma, PC3 and LnCap prostate, KB head and neck, MDAMB231 and MCF7 breast, or HT29 colon cancer cells). The compounds demonstrated no cytotoxicity in the absence of laser irradiation but exhibited good phototoxicities in HeLa and A2780 cells when exposed to laser light at 652 nm, displaying an LD50 between 1.5 and 6.5 J/cm2 in these two cell lines and more than 15 J/cm2 for the others. Thus, these types of porphyric compound present specificity for cancer cell lines of the female reproductive system and not for normal cells; thus being promising new organometallic photosensitizers.
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Several factors appear to affect vertical HIV-1 transmission, dependent mainly on characteristics of the mother (extent of immunodeficiency, co-infections, risk behaviour, nutritional status, immune response, genetical make-up), but also of the virus (phenotype, tropism) and, possibly, of the child (genetical make-up). This complex situation is compounded by the fact that the virus may have the whole gestation period, apart from variable periods between membrane rupture and birth and the breast-feeding period, to pass from the mother to the infant. It seems probable that an extensive interplay of all factors occurs, and that some factors may be more important during specific periods and other factors in other periods. Factors predominant in protection against in utero transmission may be less important for peri-natal transmission, and probably quite different from those that predominantly affect transmission by mothers milk. For instance, cytotoxic T lymphocytes will probably be unable to exert any effect during breast-feeding, while neutralizing antibodies will be unable to protect transmission by HIV transmitted through infected cells. Furthermore, some responses may be capable of controlling transmission of determined virus types, while being inadequate for controlling others. As occurence of mixed infections and recombination of HIV-1 types is a known fact, it does not appear possible to prevent vertical HIV-1 transmission by reinforcing just one of the factors, and probably a general strategy including all known factors must be used. Recent reports have brought information on vertical HIV-1 transmission in a variety of research fields, which will have to be considered in conjunction as background for specific studies.
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INTRODUCTION: Spectral frequencies of the surface electromyogram (sEMG) increase with contraction force, but debate still exists on whether this increase is affected by various methodological and anatomical factors. This study aimed to investigate the influence of inter-electrode distance (IED) and contraction modality (step-wise vs. ramp) on the changes in spectral frequencies with increasing contraction strength for the vastus lateralis (VL) and vastus medialis (VM) muscles. METHODS: Twenty healthy male volunteers were assessed for isometric sEMG activity of the VM and VL, with the knee at 90° flexion. Subjects performed isometric ramp contractions in knee extension (6-s duration) with the force gradually increasing from 0 to 80 % MVC. Also, subjects performed 4-s step-wise isometric contractions at 10, 20, 30, 40, 50, 60, 70, and 80 % MVC. Interference sEMG signals were recorded simultaneously at different IEDs: 10, 20, 30, and 50 mm. The mean (F mean) and median (F median) frequencies and root mean square (RMS) of sEMG signals were calculated. RESULTS: For all IEDs, contraction modalities, and muscles tested, spectral frequencies increased significantly with increasing level of force up to 50-60 % MVC force. Spectral indexes increased systematically as IED was decreased. The sensitivity of spectral frequencies to changes in contraction force was independent of IED. The behaviour of spectral indexes with increasing contraction force was similar for step-wise and ramp contractions. CONCLUSIONS: In the VL and VM muscles, it is highly unlikely that a particular inter-electrode distance or contraction modality could have prevented the observation of the full extent of the increase in spectral frequencies with increasing force level.